Je rentrais chez moi après les cours. C’est mon 16ème anniversaire, et je ne m’attendais à rien de spécial depuis que maman était morte. Une année de plus en compagnie de mon frère et mon père. Nous étions soudés, mais il y avait une certaine réserve dans les agissements de mon père.
Je pose mes clés, lance un « bonjour je suis rentrééée”, pas de réponse, je hausse les épaules et file dans ma chambre pour travailler. Au bout d’une heure, la nuit commence à tomber et je me demande où sont mon frère et mon père… Je décide d’aller prendre une bonne douche et d’enfiler des vêtements confortables : un shorty et un soutient gorge triangle confortable. J’adore la lingerie simple et je m’admire dans la glace. Un corps jeune et ferme, des seins généreux mais pas trop. Je passe mes mains sur mon corps pour en apprécier la douceur de peau en soupirant. Je m’arrête sur mes tétons qui durcissent à travers le tissus fin… J’entends enfin la porte du bas, je tends l’oreille. Ils rient de bon coeur.
« Chérie, tu es rentrée? dit mon père
-oui je suis dans la salle de bain, j’arrive !
-File dans ta chambre, on a une surprise pour toi avec ton frère! ajoute-t-il
Intriguée et heureuse, je les attends fébrilement. J’entends leurs pas dans les escaliers et je me retourne vers la porte avec un grand sourire. J’étais toujours en sous vêtements de confort, et je remarque le regard avide de mon frère. Peu importe, il m’a déjà vue comme ça.
Mon père s’approche de moi :
» Et bien et bien, tu as 16 ans aujourd’hui, il est temps que ton grand frère et moi complétions ton… éducation, dit-il en me caressant la joue.
-Mon éducation? Hein ? dis je surprise.
-Oui soeurette, il faut qu’on te prépare à la …. vie… dit-il avec un sourire pervers
-Ne lui fait pas peur, ce n’est pas le but, dit mon père avec un regard désapprobateur.
Il glisse alors sa main vers mes seins, dont les tétons déjà excités redurcissent instantanément. Je suis choquée et pétrifiée. Ce ne sont pas des choses à faire! Oui j’avais déjà surpris mon frère pendant qu’il se touchait, néanmoins je n’avais éprouvé que de la gêne… enfin… presque… .
Il me regarde rougir avec délectation :
» On dirait que cela te plait, continuons veux-tu…
Je ravale ma salive, j’ai chaud et je suis étourdie
-Mais Papa… dis-je dans un souffle.
Mon frère toujours en retrait, sourit de plus en plus, et une bosse se forme dans son pantalon. Mon père sort mes seins du petit soutien gorge, et commence à les caresser et les malaxer. Je retiens un gémissement. Il appelle mon frère et l’invite à me têter. Mon entrejambe se fait brulant… j’ai du mal à cacher non seulement ma gêne mais aussi le plaisir ressenti.
» C’est mal Papa, je ne veux pas… dis-je en essayant de couvrir ma poitrine dénudée.
-ho laisse toi faire soeurette, ça reste entre nous et tu ne crains rien avec nous, tu vas voir … dit mon frère en repoussant mes bras et en s’activant de plus belle sur ma poitrine.
Mon père passe derrière moi et porte ses mains en coupe autour de mes seins pour mieux les offrir à mon frère. Je renverse la tête en arrière de plaisir, complètement désarçonnée par la situation. Il me susurre à l’oreille un ‘bon anniversaire ma puce’ avant de plonger sa main dans ma culotte. Je hoquette de surprise et j’essaie de m’extraire de son emprise. Il me maintient fermement, le souffle court. Je me rend compte qu’une bosse se forme aussi dans son pantalon. Je suis grisée par l’excitation… et mon esprit n’a de cesse de me répéter : c’est mal, tellement mal !
Mon père toujours derrière moi passe ses immenses bras par dessous mes cuisses pour me soulever jambes écartées. J’essaie de me débattre afin de cacher mon entrejambe humide. Mon frère m’arrache la culotte et recule d’un pas pour m’admirer.
» Tu avais raison Papa, c’est une vue à couper le souffle, une si belle chatte !
Et en se rapprochant :
-hooo mais c’est que ça lui plait, elle est toute mouillée !
Il passe un doigts entre mes lèvres trempées.
« Arrêtez tous les deux !! Ca ne se fait pas!!! Laissez moi tranquille !!
-On te montre juste ce que c’est d’avoir du plaisir jeune fille, la moindre des choses c’est d’apprécier le moment ! Vas-y mon grand, fait ce que tu as à faire !
A partir de là, je me suis enfermée dans une mutisme net, ne laissant paraitre que gémissement impossible à retenir. Mon frère a plongé la tête dans mon intimité, et a exploré le moindre centimètre de mon sexe avec sa langue. Je sentais le sexe dur de mon père contre mes fesses, toujours tenue en l’air. Après s’être repu de mon entrejambe brulant, mon frère commence à défaire sa boucle de ceinture, et sort sa verge turgescente. Je ne peux en détacher le regard. Il s’approche fièrement de moi, et l’introduit en moi, je sens le souffle court et chaud de mon père dans mon cou. Je m’abandonne. Le plaisir est là, fou, intense, comme je ne l’ai jamais connu même dans mes petites séances de masturbation… Et dans un souffle de plaisir, je remercie Père et mon frère pour ce magnifique cadeau.
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