Voici une description très complète du meilleur moment en tant que edgeur, je sais vous êtes nombreux ici. Le moment où je ne suis plus capable de continuer, que je dois me laisser aller. Mettre tant de mots sur un événement qui ne dure qu’une vingtaine de secondes. J’ai inclus le plus de détails techniques possibles, les sensations, quelques images. Tout ça fait saliver, attention si vous êtes sur la limite lol
Il y a déjà un bout que je me masturbe, je suis détendu les jambes ouvertes ma verge pointant vers le haut, mon gland bien gonflé le méat bien ouvert. Déjà près de 3/4 d’heure sont passé, je tente de moduler mon niveau d’excitation pour le maintenir au maximum tout en évitant de franchir le point de non-retour; moment si fort, si puissant, si agréable, le meilleur moment mais qui est synonyme de la fin également. Non, je ne veux pas tout de suite, je veux continuer c’est trop bon.
Je continue très lentement, la chaleur envahie tout le bas mon ventre, la base de mon pénis. Des picotements agréables partent de la base, je ressent une tensions à l’intérieur de ma prostate engorgée de liquide au maximum. Hmmmm que ces sensation sont bonne je me sent sur un nuage
Je touche à peine mon pénis, je lutte je veux que ça continue. Je respire fort, mon gland devient soudainement encore plus gros et rouge, le pénis est comme du rock, mon périnée s’est contracté, mes testicules douloureux, mes épididymes sont gonflés, j’ai cessé la stimulation je suis en iminence! Les signaux ne trompent pas. Je ne me touche plus, je suis en pause…Vais-je reprendre le contrôle? Hmmm… oui heureusement le niveau d’excitation descend, je peux continuer…
Je reprend enfin j’ai droit à encore une à une petite prolongation de ce moment de bonheur. Un petit picotement me remontre dans l’urètre… le liquide pré éjaculatoire perle à la sortie de mon méat, il provient de mes glandes de cowper. Il coule…mon gland est bien humide, je le caresse tout en continuant les vas-et viens lentement. Mon pénis est prêt! Ma respiration augmente à nouveau, non je ne veux pas mais je sais que le grand moment approche, une petite voix intérieur me dit « allez vas-y… » hummm Oui! Je n’ai plus le choix, ma respiration est à son plus port la base de mon pénis me vibre, me chauffe, mes testicules bien resserrés, je ressent toutes les glandes de mon système reproducteur sous pression hmmm Je suis maintenant à 1/2 vas et viens de franchir ce Point de Non-Retour, déclencher l’émission. Est-ce que j’y vais? GO…. C’est MAINTENANT! Je tire vers le bas d’un coup et « AHHHHHHhhhh » Je le sens, je suis pile dessus, le seuil est franchi, « ça vient! je vais éjaculer! » Impossible à revenir en arrière…
Mes jambes s’écartent, mes orteils se retroussent, mes abdominaux de contractent, je ressent un flash, je suis déconnecté de la réalité. C’est LE MEILLEUR MOMENT! Je pousse un grand râlement, je suis en phase d’émission. Cette étape ne dure que 4 secondes mais oh qu’elle est bonne.
Ma prostate se presse comme un citron, je la ressent. Sa multitude de canaux internes expulsent leur sécrétion laiteuse au niveau du bulbe urétral, partie de l’urètre traversant la glande. Le bulbe urétrale est isolé grâce aux contractions des 2 sphincters aux extrémités de la prostate. Une petite fraction de seconde plus tard, mes vésicules séminales et mes ampoules déférentielles se contractent violemment, Une pression extrême de sécrétions épaisses est appliquée à l’intérieur de mes minuscules canaux éjaculateurs, je la ressent comme un courant électrique qui me part des testicules jusqu’au bout de mon gland, j’en ai un soubresaut. Ce torrent de liquide est projeté au niveau du bulbe et vient se mélanger aux sécrétions prostatiques, le mélange chimique est débuté, le flot de mes glandes est constant, les robinets sont grand ouverts. Sous l’effet de la pression, je ressent le bulbe se dilater du double, du triple, c’en est rendu douloureux hmmmm. Mon sperme est prêt, je le sent, je maintiens la peau étiré au maximum, mon gland est gonflé à bloc, rien n’est encore apparent mais c’est très proche. Sous l’effet de la pression extrême, le sphincter inférieur ne peut plus tenir, je le sent se relâcher. Je ressent mon sperme brûlant remonter chaque millimètre de mon urètre tel la larve dans un volcan, Le sentiment d’irrésistibilité est à son comble. Ah! Que c’est bon! une coulée de mon précieux sperme fraîchement produit de mes glandes apparaît au bout de mon gland, L’expulsion se fait attendre et elle est imminente. « Vite! Un kleenex, une serviette! Fuck that! J’en ai pas je laisse faire » hmmmm
Soudainement et sans avertissement, une puissante contraction au niveau des muscles de mon périnée se fait ressentir, je pousse un grand « AHHHHHHHhhhh » de soulagement, La phase d’expulsion vient de débutée, une 2 ème, une 3 ème, une 4 ème contraction, elles s’enchaînent. Un jet de mon sperme brûlant est passé au dessus de mon épaule, l’autre m’a atteint au cou, j’en ai sur le thorax. Je ressent sa chaleur sa texture gluante et épaisse. L’odeur de mon sperme m’envahit, une odeur que j’associe au plaisir, à ce moment si bon.
Je ne contrôle rien, tout est réflexe, l’expulsion libère tellement, c’est tellement bon. À chaque contraction je ressent mon pénis palpiter à l’intérieur de ma main, l’urètre se gonfler à chaque passage du sperme. L’expulsion est une puissante pompe qui aspire du plus profond de moi, au niveau de ma prostate et et se contracte puissamment pour décharger ma semence. À la fin il ne doit pas en rester une seule goutte. Je ne voudrais jamais que cette éjaculation ne se termine mais je sais que le moment tire déjà à sa fin. Une 5 ème, 6 ème, 7 ème Wow! Le sperme commence à manquer, une 8 ème, 9 ème, tous deux très très puissante avec juste quelques petites gouttes, je lâche un autre « ahhhhh » 3-4 autres contractions subséquentes espacées et sèche, Je suis complètement vidé, C’est accompli! Je reprends mon souffle, c’est la résolution!
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