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Le Piège ! (5) Révélations !

Le Piège ! (5) Révélations !



Il est quatre heures du matin et il est maintenant temps d’aller au lit. Léa dit à Anthony qu’après ma crise de larmes il serait bien de ne pas me laisser dormir seule. Anthony retrouve le chemin de ma bouche pour un nouveau baiser et me demande ce que j’en pense. Et effectivement je n’ai pas envie de me retrouver seule à réfléchir dans le grand lit, même si je trouve la chambre qui m’est réservée superbe. Léa dit en riant à Anthony que nous pourrions pour une fois partager son lit pour la nuit. Je rougis une nouvelle fois de la proposition. Mais Léa reste imperturbable. Et continue en riant : A moins Anthony que deux petites nanas en manque dans ton lit ne te fasse peur ? Je dois à nouveau maitriser mon excitation masculine, mais comme d’habitude j’en subis les conséquences et je sens à nouveau que mon clito encagé humidifie ma petite culotte.
Anthony répond que si c’est un défi, pour sa part il le relève avec plaisir.
Nous nous retrouvons donc tous les trois dans sa chambre, bien plus spacieuse que celle dans laquelle Léa m’a conduite, mais l’ambiance est purement masculine. Un immense lit est installé au centre de la pièce. Les rares meubles sont anciens et patinés, et des miroirs sur tous les murs me renvoient mon reflet hyper sexy et féminin, avec ma nuisette très courte qui voile de plus à peine ma petite culotte très sexy. Léa c’est arrêtée deux minutes dans la chambre voisine pour prendre ses vêtements pour la nuit. Et elle se dirige en ondulant dans la pièce communicante qui semble être une grande salle de bain. Moi je suis déjà en tenue. Et après la préparation que j’ai subie, je me sens parfaitement prête pour la nuit. Anthony m’embrasse à nouveau, ouvre le lit, et me sentant timide, me porte sans effort dans ses bras et me couche au centre dans les draps d’une finesse infinie. Il retire mes escarpins, effleurant du même coup mes bas résilles. Ce simple geste suffit à me faire couler à nouveau, avec un sentiment d’impuissance dans le contrôle de mes propres sensations. Mon sourire que je vois dans un miroir, ne doit lui laisser aucun doute sur l’effet qu’il me fait. Il me murmure d’ailleurs à l’oreille que j’ai tout d’une petite femme perverse et en chaleur. Il baise mon cou sous mon oreille, provocant instantanément une avalanche de frissons qui descendent jusqu’à mes orteils. La chaire de poule qui apparait sur mes bras ne lui échappe pas. Il me dit adorer quand je ne peux pas dissimuler mon plaisir le plus intime. Que je suis vraiment née pour être transformée en femelle passionnée. Je dois être rouge de honte. Léa refait surface, moulée dans une chemise de nuit moulante, noire, longue et sublime qui met en valeur sa silhouette parfaite. Ainsi que la mienne sa transparence laisse deviner des dessous assortis et qui rendraient n’importe quel homme fou de désir. Elle vient se lover immédiatement contre moi sur ma droite. C’est au tour d’Anthony de disparaitre. Léa en profite pour sourire et me dire qu’elle est très heureuse d’être au lit avec moi. Je sens ses mains me caresser tendrement
Enfin Anthony pénètre dans la chambre. Il est en tenue d’Adam. Je ne peux m’empêcher de regarder son corps entretenus, les muscles jouent sous sa peau et son sexe énorme et dressé qui renforce encore cette vision de mâle viril, et qu’il ne fait aucun effort pour masquer. Mon regard est fixé sur lui et ses yeux soutiennent sans effort mes yeux qui le dévorent. Tout mon coté raisonnable me dit que je suis folle de ressentir une attirance irrésistible pour lui. Et mon coté sensuel, qui semble gagner la bataille, ne peut se détacher de son sexe, qui rendrait le mien ridicule même si je n’étais pas encagée.
Sa seule présence me rabaisse immédiatement au rang de femelle amoureuse. Il vient s’allonger sur ma droite. Il vient immédiatement envahir ma bouche dans un baiser délicieux, et ses mains s’égarent dans le même temps entre mes bas et ma culotte, entre mes cuisses tièdes qui frémissent à nouveau de ce contact.
Son sexe dressé et dur se frotte sur mon corps. Léa me sentant attirée, glisse une main dans le décolleté de ma nuisette et sous mon soutien gorge et vient me pincer les tétons. Une vague de désir éclate dans ma tête. J’ai envie d’eux ! J’ai envie d’être possédée, exhibée, fessée, dilatée. Les pensées perverses qui m’envahissent alimentent encore mon trouble. Je ne maîtrise plus rien…
Anthony me traite de petite pute et Léa renchéri en disant que tant de désirs exprimés si clairement ne peuvent traduire qu’une nymphomane affamée de pénétration. Elle me dit que je vais être rassasiée avant que le jour se lève, même si elle sait très bien que mon désir de petite salope ne tardera pas à revenir à la charge. C’est le moment qu’elle choisit pour me chuchoter à l’oreille qu’en plus elle a un petit compte à régler avec moi. Et qu’elle a horreur de se faire traiter de menteuse. Pendant cette déclaration, elle a troussé sa longue nuisette sur ses reins. Et baissant sa magnifique petite culotte, elle découvre un pénis qui n’a rien à envier à celui d’Anthony ! si ce dernier a une toison pubienne entretenue mais visible, le sexe de Léa est parfaitement lisse, accentuant encore son énormité.
Ils proposent ensemble de me bander les yeux, pour que mon ressenti soit maximum. Le fait de le proposer ensemble les fait rire. Et je ne tarde pas à me retrouver avec un « Loup » En dentelle et satin vert pastel poudré sur les yeux, me plongeant dans l’obscurité.
Je sens les mains fermes d’Anthony me guider dans la position de levrette. Non sans baiser ma bouche dans le déplacement. Il trousse ma nuisette sur mes hanches. Le corset m’emprisonne toujours et la cambrure de mon dos en est accentuée. Je sens les mains douces de Léa écarter ma petite culotte. Mon bijou anal m’est a nouveau retiré, et elle enduit mon anus de lubrifiant. Massant d’abord ma rosette, puis introduisant progressivement ses doigts en moi pour faire pénétrer le produit visqueux qu’elle utilise. Elle se penche vers ma tête et me dit qu’un jour c’est sa main entière qu’elle mettra dans mon petit cul de chienne. Je frémis de peur… et de visions perverses en même temps. Un sexe ne tarde pas à se présenter contre mon anus. Je n’ai aucun moyen pour l’instant de savoir qui va me défoncer. Suite à mes deux très récentes expériences, je sais maintenant ce qu’il me faudra faire quand la pression va s’accentuer.
Les mains d’Anthony viennent emprisonner ma taille fine, à la limite de mon corset. Ce dernier lui fournit en fait d’excellentes prises sur mon corps, rendant mes hanches bien plus rondes. C’est donc lui qui va me pénétrer. Et mon cerveau, complètement sous le charme, est impatient de l’accueillir. Seule le petit brin de raison qu’il me reste encore me fait craindre cette pénétration en pensant au deux énormes sexes de mes partenaire de jeu. La pression augmente d’un seul coup. Anthony me dit de tout faire pour que mon corps de petite chienne se laisse enfiler. Je pousse comme une folle et je sens que mes efforts sont récompensés. Ma chatte anale se moule déjà sur une partie de sa queue. J’ai horriblement mal, et je peux ressentir immédiatement que mes deux précédentes expériences n’étaient rien à coté de ce sexe digne d’un étalon. Mais mon envie est également à son paroxysme. Pas question que je me dérobe. Je le veux en amant ! je l’aime ! A peine la notion d’amour arrive à mon cerveau, que mes fesses reculent sur ce sexe qui me déchire. Ma chatte anale l’avale d’elle-même. La douleur est intense. Mais ses courts poils pubiens viennent maintenant caresser mes fesses parfaitement lisses. Il me félicite comme on félicite une petite chienne, en claquant gentiment mon cul offert. Il ne bouge plus. La difficulté de la pénétration lui a fait comprendre que je ne suis pas une habituée de l’acte. Cela semble même le faire durcir encore plus. Si cela était possible.
Cette pause le temps que ma chatte se forme à ce monstrueux envahisseur, que Léa, nul doute que ce soit elle, présente son sexe contre mes lèvres. J’ouvre immédiatement la bouche, mais ce sexe hors norme également me distend les lèvres en venant prendre place dans l’humidité de ma cavité buccale
Léa me dit que je suis la pire petite pute en chaleur qu’elle n’ait jamais vue. Que tout trahi mon manque d’expérience, mais que la manière dont je m’offre, les efforts que je fais pour les laisser me pénétrer, découvrent parfaitement ma nature secrète. Mon cerveau est fait pour être dominé et guidé. Mon corps trouve tout son plaisir dans le fait d’être envahi.
Anthony tente déjà un léger mais implacable retrait. Puis se plante à nouveau en moi. Je dois être obscène, avec cette énorme queue qui disparait en moi. L’amplitude de ses mouvements augmente. Le lubrifiant est très efficace et semble comporter un composant légèrement anesthésiant. Je sens mes muscles intimes se détendre, renforçant encore l’impression d’être horriblement béante sur le sexe de mon amour. Le plaisir de l’avoir en moi augmente encore. Il glisse maintenant en moi, lentement mais sans pause. Mon petit cul trouve le courage de participer à ce défonçage en règle et adopte presque malgré moi le mouvement inverse de son bassin. Ses mains viennent augmenter ma participation, me poussant et me tirant en cadence. L’amplitude devient maximale. Et Léa entame alors elle aussi le même rythme qu’Anthony. Je m’imagine un instant être une poulette au four, embrochée entre ses deux grosses bites, qui semblent se rejoindre à travers moi. Je ressens un plaisir immense. Mon clito encagé coule maintenant à chaque pénétration d’Anthony. Je trempe ma petite culotte qui écartée derrière, l’enveloppe toujours devant. Pour la première fois je ne suis plus honteuse ou indifférente à ce phénomène, mais terriblement heureuse de mouiller presque comme une fille. Anthony ne manque pas de sentir que ma culotte est mouillée alors qu’il alterne caresses sur mon corps et claques sur mes fesses. Il décrit à Léa le phénomène, et il s’accordent à dire qu’une petite salope qui mouille sa petite culotte quand on prend du plaisir en elle est un régal.
Je suis rabaissée au statut d’objet sexuel, donnant du plaisir à ces deux personnes que je ne connaissais pas il y a quatre heures. Et pourtant je me sens irrésistiblement euphorique d’être le trait d’union entre ses deux êtres que je trouve parfaits et dont je suis déjà amoureuse.
Au bout de dix minutes Anthony quitte ma chatte anale. L’impression est horrible. Je sens l’air m’envahir très loin. Je dois être affreusement béante. Mais Anthony m’écarte les fesses et me dit que mon trou ressemble à un gouffre, et que ce cratère béant parfaitement rond en son centre augmente encore la beauté de mon petit cul. Qu’ainsi il expose au regard sa soif de pénétration. Aux caresses d’Anthony, je sens qu’il s’est rapproché de Léa. Il lui dit qu’il va jouir sur son gros sexe et qu’ainsi elle pourra me faire laper et nettoyer son énorme clito. Léa quitte également ma bouche, et j’entends le gémissement d’Anthony quand il jouit.
Le sexe de Léa touche à nouveau ma bouche. Mais elle me demande de tirer ma langue et de m’en servir pour butiner comme une abeille mon nectar d’amour. Je me sens sourire en commençant cette tache si bien présentée et que j’ai tellement envie de réaliser parfaitement. Je lèche en papillonnant sur sa queue. Je recueille avec application le nectar dans ma bouche. Rien ne peut m’arrêter. Enfin ma langue ne rencontre plus que la peau douce de ce superbe membre. Sans qu’on me le demande, je met ma tête en arrière, j’ouvre ma bouche, je fais tourner ma langue dans la semence d’un de mes amours. Je deviens amoureuse et heureuse de ce gout si particulier, ne ressemblant à aucun autre. Je joue avec et fait des bulles de bonheur.
Une grosse fessée sur mon cul me rappelle à la réalité. Anthony me dit que j’ai assez joué et pris du plaisir en petite nana égoïste, et que je n’ai pas fini ma prestation de belle petite conne. Il me dit d’avaler mon plaisir. Ce que je fais dans un sourire. Je suce ensuite à nouveau la grosse glace de Léa. Je m’applique avec amour. Insiste sur le frein de son gland avec ma langue. Excite avec le bout de ma langue son méat offert. Enfin dans une dernière sussions d’amour, je suis électrisée de sentir enfin les premiers soubresauts de ce monstre. Inutile qu’elle me donne des ordres. Je ne veux pas en perdre une goutte. Comme si sa semence qui va pénétrer en moi ma rendra aussi femme fatale que cette superbe créature. Je suis réellement sur un nuage. J’essaie de m’imprégner de ce liquide en le faisant circuler dans ma bouche. En le capturant entre ma langue et mon palais. C’est sublime ! J’avale enfin à petite gorgées sa production. Je suis fière de le faire. Je sens que sous le loup mes yeux sont brillants de gratitude.
Enfin Léa enlève dans une caresse le loup qui masque mes yeux. Les lumières de la chambre m’éblouissent. Ses caresses sont tendres. Et elle vient elle aussi pour la première fois baiser ma bouche. Je les regarde en alternance. Et… je les remercie de ce plaisir intense, leur disant que je n’ai jamais pris autant mon pied qu’avec eux. Léa examine mon corps en me caressant. Elle me dit que mon petit bijou anal ne pourra pas tenir dans ma chatte qui reste encore béante malgré le temps qui passe. Elle se lève et revient peu de temps après avec un objet long enveloppé dans sa main. Elle déchire le papier et sort un énorme tampon avec applicateur. Elle me dit que lui ne risquera pas de glisser et que ma chatte anale lubrifiée ne risque pas pour la nuit d’être desséchée par lui.
Je sens l’applicateur a l’entrée de mon anus. Elle s’amuse à faire des rond avec pour me faire sentir a quel point je suis encore ouverte. Et que de toute façon Anthony m’a modelée à son sexe. Que je resterai plus souple maintenant après ce petit traitement (petit dit-elle !).
Enfin elle enfile l’applicateur le plus loin possible sans le lâcher, et pousse sur le piston pour éjecter mon bouchon provisoire. Elle retire l’applicateur, et je sens la cordelette jouer sur mes fesses lisses. De son autre main elle découvre une seringue. Elle m’indique qu’elle l’a remplie d’eau dans la salle de bain. Elle la fait à son tour pénétrer et éjecte l’eau en direction du tampon. En même temps je le sens gonfler en moi et épouser parfaitement mon conduit toujours ouvert.
Elle caresse ma petite culotte en me disant que j’ai vraiment mouillé comme une grande cochonne. Mais qu’il est hors de question qu’une cochonne n’assume pas ses éjections perverses. Et que je devrais dormir avec. Elle la remet quand même tendrement en place. En laissant dépasser la petite ficelle sur un coté. Elle m’embrasse en riant en tirant en même temps sur le cordon. Le renouveau de ma rougeur la rend heureuse. Elle me dit qu’une petite soumise doit toujours avoir quelque chose en elle qui permette aux autres de jouer avec le plus intime d’elle-même sans effort. Bijoux anal, plug ou tampon hygiénique. L’utilité est la même.
C’est prise en sandwich entre Anthony et Léa que je m’endors enfin. Sans aucun regret et sans larme cette fois. Leurs corps me rassurent. Un moment hyper tendre après le sexe. Leurs mains qui se rejoignent sur mes cuisses chaudes, emprisonnant le cordon. Juste un dernier baiser de Léa, un sourire, et une interrogation : Alors ma belle,je suis toujours une menteuse ?

Je m’endors avec un sourire aux lèvres. Elle n’est pas menteuse… Et j’ai adoré sa leçon !

Fin de la partie 5. Faut-il une suite ? Sans commentaire, je graverai le mot fin sur le beau postérieur de Sarah 🙂

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