J’ai 46 ans je suis marié a Nora, depuis 16 ans, nous habitons la capitale Alger. Nora a sa jeune sœur Inès âgée de 28 ans qui s’est mariée, il y a deux années de ça, elle n’habite pas loin de chez nous. Un jour, elle appela sa sœur, elle est sortie faire des courses et au retour chez elle, elle n’est pas arrivé à ouvrir la porte de son appartement, la clé reste coincée. Nora, m’appela, et me dis si je pouvais aller, pour l’aider, car le mari de Inès, est en déplacement dans une autre ville. Je pars en direction du logement d’Inès.
Elle habite un petit immeuble, au 3eme etage. je la trouve avec ses courses devant sa porte, la clé est coincée dans la vachette de la ported’entrée. J’essaye de dégager la clé, et je sens qu’il faudrait huiler un peu, je descendis pour chercher quelques outils de ma voiture.
Apres un bon moment j’arrive à décoincer la clé et en insistant j’ouvris la porte. Inès, rentre à la maison et m’invita à rentrer. Elle me dit qu’il faudrait se laver, j’avais les mains un peu sales, car j’ai mis un peu d’huile dans la serrure pour débloquer la clé.
Je rentrai dans la salle de bain, je jetais un coup d’œil, je voyais dans un coin une corbeille à linge, ou était entreposé du linge sale. Je voyais un string au-dessus du couvercle de la corbeille. C’est celui de Inès, je le pris, je le mis sous mon nez, je sentais l’odeur, naturelle de Inès, une odeur, de mélange de sperme, de cyprine et de mouille. Cette situation m’excitait tellement que j’ai bandé, mon érection était tellement forte, que la bosse formée sur mon pantalon était visible.
Le fait de tarder, Inès m’appela, pour me dire, si je n’avais pas des problèmes, je dis à haute voix, « non »
Je rejoignis Inès, au salon, elle s’est changée, très vite, elle portait une robe d’intérieur, qui met en évidence ses gros seins. Elle me dit de m’installer sur le fauteuil et qu’elle aller m’offrir un rafraichissant. Je décline, en lui disant que je dois partir. Elle me dit, si je pouvais rester quelques moments, elle a envie de discuter avec moi. Elle se confia a moi, elle me parle de son mari, qui se fatigue trop dans ses déplacements, et qui ne s’occupait pas bien d’elle, … enfin… il n’accordait pas une importance à ses désirs sans cesse croissant. Elle me dit, en baissant la tête… qu’elle s’est rendu compte de… mon érection, et qu’elle aussi était en manque depuis longtemps.
J’avais le souffle coupé… je ne savais quoi dire… Elle se leva se rapproche de moi, elle s’asseyait à mes côtés. Je lui ai dit Inès ; « tu sais tu es ma belle-sœur, je ne peux faire ça à Nora »Ecoutes, Nora, est une salope, elle se vante que tu la baise bien, … , sans répondre, elle approche son visage, et me plaça un baiser sur mes lèvres.
Je répondis, elle embrasse bien. Je l’embrasse langoureusement en passant ma main sur visage, et l’autre main je la pénétrai dans l’échancrure de la robe à la recherche des seins. Je les palpe, les masses au-dessus du soutien. Elle me dévora les lèvres, elle émettait des gémissements. Je passai maintenant la main sur ses jambes bien gabées au-dessus de sa robe.
Je la fis lever je lui enlevais sa robe, elle était debout en string et soutien. Je la fais coucher sur le canapé. Je dégrafe son soutien et libère tes seins. Ils se tenaient bien droits, orgueilleux et fiers. Elle avait déjà les tétons gonflés montrant son degré d’excitation. Je pose mes mains sur sa poitrine et me mis à masser les globes. Elle se cambre en arrière et son pubis vint au contact du mien. Elle met ses mains sur mes épaules.
Elle avait un petit string qui cachait à peine les poils de son pubis. Après avoir enlevé le petit morceau de tissus je mis à l’air son entrejambe et découvris les lèvres de son vagin en lui écartant les cuisses. Je me mis à la lécher, puis à aspirer son clito en le prenant délicatement dans ma bouche. Elle sentait bon la femme qui a envie de baiser. Une odeur de mouille fraiche se dégageait d’elle. Plus je la suçais, plus son clitoris gonflait.
Elle commençait à gémir de plus en plus fort. Tout en continuant à agacer son clito, je faisais rouler tes tétons entre mes doigts. Son orgasme se déclencha subitement. Elle déclame des mots sans suite, comme si elle délirait. Son corps se mit à trembler et elle serre ma tête entre ses cuisses.
Pendant tout le temps que dura sa jouissance, je continuais à aspirer son clitoris et à masser sa poitrine. Elle hurle puis se détendit. Pendant qu’elle est immobile allongée les bras en croix, je défis mon pantalon, enlevais mon slip, et pris ma bite pour la présenter à l’entrée de ton vagin. Je passais doucement mon gland entre les grandes lèvres pour mélanger ma mouille avec la sienne. Poussant à peine, je fis entrer le gland dans son orifice. Je me mis à la baiser. Elle est tellement croquante, croustillante, que l’orgasme que j’ai eu, m’a vidé de ma semence ; je tire mon sexe de son vagin, le présente à sa bouche, elle le suce et elle lèche le sperme tout chaud qu’elle avale avidement. Je m’étends un peu à son coté. Je me lève, je m’habille rapidement, je prends mon portable qui ne cesse de sonner, c’est Nora, qui appelle, je lui dis, que c’était réglé. Inès toute nue, vient se coller à moi, elle me dit, elle n’avait jamais baisé comme ça. Que c’était très bon. Elle me dit qu’il faudrait qu’on refasse ça, je lui dis pourquoi pas.
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