J’avais commencé à faire ma toilette. Nous étions en été et il faisait chaud. J’ai entendu un cri strident et j’ai quitté la salle de bains pour aller à la fenêtre de ma chambre. Cette fenêtre donne sur le jardin des voisins. Je ne voyais rien. Tout à coup, j’ai vu jaillir la voisine. Elle n’avait pas l’air affolé mais elle courait sur la pelouse de son jardin, complètement nue.
– J’en ai marre que tu m’encules, s’est-elle mise à crier ! Cette fois, tu ne la mettras pas !
J’avais beau regarder, il n’y avait personne d’autre. Mais si, son mari qui hésitait à sortir dans le jardin. Je pouvais le voir, dans l’encoignure de la porte de leur salon, complètement nu lui aussi et je me suis précipitée dans le bureau pour prendre les jumelles et je suis revenu.
Maintenant, je voyais très bien mon voisin. Il regardait dehors et il se branlait. Il a fini par faire un pas au dehors puis il s’est mis à crier à sa femme que ce n’est pas pour rien qu’il a épousé une putain.
Ça devenait de plus en plus intéressant. Le voisin s’est avancé dans le jardin, la main à la bite sans oublier de se branler. Il s’est avancé sur la pelouse. Sa femme s’était cachée derrière un buisson mais il a fini par la trouver et il l’a empoignée avant de la pousser à quatre pattes devant lui puis il l’a attrapée par les hanches et il l’a sodomisée.
Je voyais tout en gros plan et il n’y avait aucun doute.
– Je t’encule parce que tu ne veux pas prendre la pilule, lui a jeté son mari ! Je t’encule parce que tu aimes ça ! Tu ne vas pas rester tout le temps à la maison ! Il faut bien que tu gagnes ta vie !
– Je ne veux pas y retourner, plaidait son épouse !
– Bien sûr que tu vas y retourner, a ajouté son mari ! Tu ne sais rien faire d’autre que ça ! Tu ne sais que faire des pipes, te faire baiser et surtout te faire enculer ! C’est bien toi qui me l’a proposé quand je t’ai rencontrée ! Tu crois que je vais me contenter de te baiser ? Il faut que tu rapporte du pognon !
Il était sur elle et je pouvais voir la bite s’enfoncer et ressortir pour s’enfoncer à nouveau. J’ai pensé que ce n’est pas mon mari qui pourrait en avoir une aussi longue. Et aussi large aussi. Elle s’enfoncait dans l’anus en écartant les chairs. La femme était à quatre pattes et les seins balançaient sous son torse, majestueux.
J’ai pensé qu’elle était vraiment faite pour ça, pour faire la pute. C’est le lot de certaines femmes. Le pilon continuait à s’enfoncer. J’ai vu les doigts sur la chatte et je me suis rendue compte que j’étais en train de me frotter sur le coin du guéridon.
– Si je pouvais, ai-je pensé…
Je pensais que si je pouvais bénéficier de cette bite. Ça changerait ma vie. Mon mari est un autre genre. Un visuel. Il aime bien que je me masturbe devant lui, que je m’enfonce un gode. Le dernier truc à la mode est de m’écraser les seins sur la table. Un jour, il m’a fait un truc qu’il a vu sur un site, me planter un clou dans le mamelon pour m’immobilier pendant qu’il me faisait un fist. C’était horrible au début mais ça s’est arrangé et j’y ai pris du plaisir, en réalisant que j’en avais déjà fait un, avec le bras de mon baigneur quand j’étais encore une gamine. Je l’avais enfoncé dans mon vagin, par curiosité et j’avais trouvé bizarre qu’il disparaisse ainsi. Enfin, pas vraiment. Je m’étais déjà explorée avec un crayon, assise sur une chaise, cuisses ouvertes et j’avais regardé le crayon disparaître. Ma mère m’avait surprise et elle m’avait demandé ce que je faisais. Comme si elle ne le savait pas. Plus tard, j’avais découvert qu’elle se baisait en cachette avec une sorte de bite en plastique, sans s’occuper de papa.
J’avais aussi exploré mon anus de cette façon puis je m’étais assise sur la bite en plastique de ma mère et elle avait disparu dans mon trou du cul. A partir de là, j’avais commencé à fouiller dans les livres qu’entassaient mes parents et j’avais fini par trouver un exemplaire d’Histoire d’O et je l’avais lue et relue pendant des mois et j’avais été fascinée par cette femme qui fini par se laisser marquer au fer rouge par l’amour d’un homme.
Ma première expérience sexuelle avait été bien moins piquante. Mon ami était timide. Il avait peur du sexe. J’étais parti en voiture avec lui et je lui avais proposé de sucer sa bite mais il ne se décidait pas. Il n’arrivait pas à bander, si bien que je lui avais offert de me masturber devant lui mais ça ne l’excitait pas. Je suis pourtant resté avec lui pendant des mois, sans plus de progrès.
Le suivant était un homme, un vrai, un terrassier venu creuser une tranchée dans notre rue. J’étais dans le jardin. On avait discuté et on avait fait ça dans la cabane de chantier. Il avait fait de moi une vraie femme.
La suite est plus banale. J’avais envie de me marier, comme mes copines et je m’étais mariée, mais ce n’est pas vraiment la joie.
Dans le jardin des voisins, il avait fini par jouir dans l’anus de son épouse et ils étaient rentrés dans leur maison.
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