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J’offre ma femme Nadia à un ami

J’offre ma femme Nadia à un ami



Tout a commencé il y a deux ans.
Nous accueillons pour la première fois, ma femme Nadia et moi, un vieux pote à dîner.
Je l’avais croisé fortuitement dans le cadre du boulot et de suite reconnu, lui non.
« Samir, ça va ? »
« Euh, excusez-moi, je ne vous remets pas »
« Moi Karim, on était ensemble au collège X, tu te rappelles ? »
« Ah oui, Karim, je te remets maintenant, t’as pas mal changé en vérité… »
Bon, il est vrai qu’avec l’âge je me suis un peu empâté…
Quelques banalités, et j’invite cet incorrigible coureur de jupons à dîner le week-end qui suit, voilà mon « erreur… ».

Nadia était contente de recevoir quelqu’un qui m’avait connu assez jeune, il faut dire que nous nous sommes, nous-mêmes connus, assez jeunes (19 ans) et vite mariés.
Nous n’avons peut-être pas eu assez d’expériences individuelles avant de nous unir, mais c’est un autre sujet…quoique.
Nadia est ravissante ce soir, comme à son habitude, mais plus en mode « soirée » : La petite robe noire qui met bien en valeur ses formes, notamment ses petits seins qui pointent à travers le tissu : en effet, elle a une petite poitrine avec des tétons très réactifs, et pour ces deux raisons, elle a pris l’habitude de ne pas mettre de soutien-gorge, surtout bien habillée.

Généralement, nous sommes plutôt sages, et il n’y a guère que moi qui connais ce jardin d’Eden arrondi, Nadia étant plutôt « sportswear » habituellement.
Mais ce soir, c’est festival entre ce magnifique corps qui attire irrémédiablement nos regards quand elle repart vers la cuisine et ses tétons pointant avec arrogance.
Samir n’en perd pas une miette même s’il essaie de faire le discret, je suis ses regards à chaque mouvement de ma femme qui, elle est ce soir, bien en joie.
Il faut dire qu’on arrose un peu, Samir a amené du champagne, quelques verres de bourgogne et digestifs par la suite, ma femme est grisée et on se marre bien, dansons même quelques morceaux ensembles.

Sur quelques danses « orientales », Nadia allume « involontairement » Samir qui se laisse aller également, un grand sourire carnassier se déployant sur son visage de baroudeur.
Il faut dire que si j’ai changé, lui aussi, mais en bien : il s’est sculpté une carrure de sportif, est habillé très chic, la barbe de 3 jours…
Quand, lors de la soirée, nous avons abordé le sujet de la vie de couple, il nous a confessé n’avoir jamais posé ses valises, mais continuer à « s’entraîner » le plus régulièrement possible.
« Je te garantis que la chanceuse qui m’aura, va avoir de quoi s’amuser, avec tout ce que toutes ces femmes m’ont appris ! »
J’ai vu le regard de ma chérie briller un peu plus lors de cette révélation.
Il faut dire que si nous nous amusons bien au lit, notre vie sexuelle a forcément pris un tour plus « académique » avec le temps, Nadia en semble satisfaite et moi aussi.
Bien sûr, comme tout le monde, on se livre parfois à certains jeux érotiques (les dés coquins, les mises en scène), mais surtout, je la photographie beaucoup, fou de son corps que je suis.

Il est tard, ça y est, Nadia capote, l’alcool aidant.
Je ressers un verre à Samir et vais la coucher.
« Je peux checker mes mails le temps que tu couches madame ? » me demande Samir
« Pas de problème, réduis le pc et fais comme chez toi ! »
Je prends le temps de coucher ma chérie, qui se fait un peu chatte et tente de me retenir auprès d’elle, mais bon, je suis un bon hôte, je vais donc retrouver Samir.
Sortant du couloir qui mène à notre chambre, j’ai une vue sur notre pc, sur l’écran duquel, stupeur, je vois le cul de ma femme en gros plan !
Et dans la seconde suivante, son visage est en gros plan, langue vicieusement tirée sous ma bite et regard coquin en plein phare !
Samir ne s’est pas gêné et a fouillé dans mon pc !
Amusé et quelque peu excité pour ne rien cacher (c’est vrai : on prend tous des photos de nos meufs, mais à qui peut-on les montre ?), je le laisse filer un peu.
Il tourne encore une dizaine de photos, des plus artistiques aux plus cochonnes, avant que je me décide à intervenir.
Volontairement, je fais donc un peu de bruit avant de regagner le salon et y trouve Samir en train de nous servir un nouveau Jack Daniels.
« Bonne soirée, non, Samir ? »
« Impeccable oui, t’as une petite femme délicieuse et très jolie, tu sais !
« Oui, moi je le sais, mais elle moins, elle doute souvent de son physique et de sa capacité de séduction… »
« C’est vrai ? Pourtant, si je peux me permettre, elle a certains attraits, voire même des attraits certains… »
« Je suis d’accord, mais par rapport à toutes les bombasses que tu te tapes, ça n’a rien à voir, non ? ». Lui dis-je en resservant un coup.
« J’avoue que j’en ai eu des belles, mais la comparaison avec la tienne m’est impossible, je ne l’ai pas vu nue ! » dit-il en éclatant de rire.
Et là, l’alcool, le fantasme de montrer sa moitié, de la partager sans danger…
« Et tu voudrais la voir nue ? »

Un bref silence, il reprend une gorgée : « si ça ne te gêne pas, je suis preneur. Après tout, on est entre amis… »
Je contrôle la situation quand même, je le crois en tous cas, ça va être amusant de lui montrer seulement les photos qu’il a déjà vues !
Je tourne l’écran vers lui, l’œil brillant : « Mate ! »
Je fais le tour des photos qu’il a déjà vues, en lui demandant son avis à chaque fois, assez échauffé par la situation : je vois distinctement une bosse se former dans son pantalon…
« Elle est magnifique et elle a l’air vraiment coquine, dis-moi, j’aime cette manière de te regarder pendant qu’elle te….euh…dis, ça te dérange si je me touche un peu ? »
Victoire ! Le grand séducteur craque devant la femme du petit gros comptable, je suis trop fier d’elle !
« Non, vas-y, on est entre amis ! » dis-je en nous resservant.
Il sort donc un bel engin semi bandé, une de ces matraques qui doivent faire du bien aux dames, et commence à se caresser doucement.
« Excuse-moi, mais elle me fait de l’effet ta gonzesse ! »

L’alcool, le fait de voir sa queue, attirante même pour un homme, je me sens perdre le contrôle de la situation : ma résolution de ne lui montrer que les photos déjà vues s’efface devant l’excitation, et c’est la queue à la main que je fais tourner les photos, perdant toute pudeur.
Ici, on voit Nadia en levrette, écartant ses deux globes majestueux (Oh putain, quel cul de folie !). Là, elle m’avale entièrement (accélération de sa main sur sa bite), ici encore, elle se met un gode dans le cul alors qu’elle est empalée sur moi.
Les photos s’enchaînent, les verres aussi, nous voilà comme deux glands à s’astiquer chacun le sien en matant ma femme.
« J’y crois pas, t’as une chance mec, et quel cul ! »
Et là, un pas de plus vers le précipice (devrait-on boire autant, ou alors simplement, ça libère ce qui est enfoui):
« Et encore, tu ne l’as pas vue en vrai ! »
Je me rends compte, malgré tout, instantanément de ce que je viens de dire et de ce que cela ouvre comme possibilités…
« Ben, je ne demande pas mieux ! »
« Sérieux ? » Dis-je, la voix un peu pâteuse.
« Carrément ! »
« Bon ok, mais vite fait, et range ton machin le temps que j’aille voir si elle dort bien ! »

Et oui, elle dort bien, un simple drap posé sur l’objet de tous nos désirs à l’heure qu’il est.
Et à peine je suis arrivé et ai pu le temps de le vérifier que Samir est déjà derrière moi.
Je m’assure qu’il a bien rentré sa grosse pine et lui donne les consignes : « Pas de bruit ! Si elle se réveille, elle va flipper grave, et….pas touche ! »
« Ca marche, allez ! »

Et nous voilà comme deux cambrioleurs en train de nous approcher délicatement du lit sur lequel ma chérie dort de sa bonne cuite.
« Alors ? » lui fais-je, fier de ma femme.
« Ben, je ne vois pas grand-chose avec le drap » dit-il
« T’as raison… ». Et de faire glisser délicatement celui-ci sur l’épaule de Nadia qui est sur le dos, laissant doucement apparaître son sein gauche…
« Whao ! » Chuchote-t-il en s’approchant et en mettant involontairement un coup dans le pied du lit alors que j’en étais arrivé au ventre.
Coup de pression, ma femme va me voir en train de la découvrir devant un type qu’elle ne connaissait pas quelques heures en arrière…
Mais non, elle est bien cuite et se retourne simplement, nous offrant son cul mais l’ayant, auparavant, recouvert du drap.
« Allez, on lâche l’affaire ! », dis-je, un fond de panique restant.
« Non, ne sois pas salaud ! Pas avant d’avoir vu le meilleur, tu m’as dit que c’était son cul… »
Je commence à avoir comme une bouffée de chaleur, entre l’alcool, l’excitation et le coup de panique.
« Attends… » Dis-je en m’asseyant sur la chaise devant le lit.
« Pas de souci, récupère un peu, je vais juste jeter un œil et après on y va ».

C’est donc bien allumé que je le vois doucement tirer sur le drap, dévoilant, petit à petit, le dos, les reins, le début des fesses, et enfin cette si belle lune, unique et objet de tous mes fantasmes.
« Putain, tu ne m’avais pas menti ! » dit-il en jetant un œil dans ma direction.
Me voyant dans le gaz, il s’enhardit et passe délicatement sa main sur un globe, puis l’autre et ressort son engin de chantier de sa braguette.
« Pas touche ! » C’est la seule chose que je parviens à articuler afin de tenter de rappeler le contrat initial.
« T’inquiète pas ! » me dit-il, manifestement moins allumé que moi.
Pourtant, défoncé comme un rat sur ma chaise de spectateur, je ne m’endors pas et recommence à bander comme un âne.
Après s’être assuré de son solide sommeil par des caresses légères, je le vois commencer à écarter les fesses de ma chérie, en faisant des commentaires salaces : « Putain, quel cul, ferme et tendre à la fois ! Sûr, j’en ai déjà vu des comme ça, mais des nanas qui mouillent aussi vite, jamais ! »
Quoi ? Ma femme mouille ?
A n’en pas douter au bruit que font maintenant ses doigts qui s’agitent sur son clitoris par en dessous…
Je vois le mouvement de chaloupe bien connu du cul de ma chérie qui commence à s’engager. Pas de doute, elle prend son pied !
« Et gné sur que… ».
Oui évidemment, difficile pour lui de répondre à une question incompréhensible, aussi se contente-t-il de me dire :
« Regarde comme elle aime ça, cette chienne ! Et toi aussi on dirait ! ».
C’est sûr, j’ai sorti ma bite et je jouis sous son regard sans même me toucher pendant qu’il continue à caresser Nadia.
« Bon garçon ça ! » me dit-il
Aussi incroyable que ça puisse paraître, Nadia semble toujours dormir, même si elle ondule sous les doigts habiles de Samir.
Et d’ailleurs, changement de régime pour celui-ci : revenant vers moi, il me dit :
« Tu sais que c’est une bonne petite pouliche ça ! Les doigts, ça ne lui suffit pas, et je crains que ton petit machin non plus ! » Regardant ma bite débandée en m’exhibant la sienne devant les yeux.

J’avoue qu’il a vraiment une bite de conquérant, de la voir si dure et si près de mon visage, j’ai comme la tentation de m’en rapprocher et…
Ce salaud m’a capté et me fait : « Non, pas maintenant ! J’ai des trucs à faire d’abord… »
Nu en deux secondes, je le vois s’approcher de ma femme par derrière, le cul de celle-ci tendu, en l’attente de la saillie…
« Non ! » dis-je.
« T’inquiète, je suis clean ! » Répond-il, s’approchant du cul offert.

Voir cette belle bite s’approcher de la chatte de ma femme me réveille quelque peu, mais au lieu de reprendre le contrôle de la situation, je ressens une sourde excitation : il va la prendre devant moi, fantasme ultime, et en plus, j’ai l’excuse de l’alcool pour ne pas m’en vouloir…
Il a repris doucement ses caresses, sa main passant maintenant sous le ventre de ma chérie tandis que son zob s’approche inexorablement de son objectif.
Le cul rêvé bouge de plus en plus alors que le gland de Samir s’appuie sur les lèvres de Nadia.
Cette dernière est en transe, et moi aussi d’ailleurs !
Il n’y a que Samir qui semble maître de lui.

Quelques secondes plus tard, je vois son zob impressionnant s’introduire, centimètre après centimètre, dans cette chatte qui ne connaît, depuis 10 ans maintenant, que ma petite bite.
En voyant ça, je jouis à nouveau : Nadia respire de plus en plus fort et commence même à gémir en alternance.
Parvenu au fond de ma femme, Samir s’arrête et ne bouge plus, là où dans une telle circonstance, je me serais excité à fond et aurais envoyé la purée en quelques minutes.
Et enfin commence le mouvement : pas celui de Samir, celui de ma femme ! Elle vient le chercher la garce, il est en train de la rendre dingue !
« Mmmmm, oui, vas-y putain ! » Dit-elle toujours en dormant (enfin je pense…)
Stoïque le Samir : il ne bouge toujours pas et laisse ma femme s’embrocher de plus en plus vite et fort sur sa belle bite.
« Mmmmm, oui, oui, oui ! » Fait-elle en gigotant de plus belle.
Et tout d’un coup, l’explosion : les mains de Samir qui caressaient distraitement le corps de Nadia s’accrochent fermement à ses hanches et, à grand coup de reins, le voilà qui empale ma chérie de plus en plus vite et de plus en plus fort.

Ma femme devient hystérique, s’accroche aux montants du lit, visage dans l’oreiller, elle crie à réveiller l’immeuble entier malgré tout. Je ferai certainement le malin demain en faisant croire que c’est moi qui lui ai fait ça, mais pour l’heure, je bande à nouveau comme un dingue, queue à la main comme un ado…
Je crois qu’elle jouira 5 fois de cette manière (« ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »), avant de retomber inanimée sur les draps.
Fier de lui mais conscient que c’en est assez pour elle, Samir se retire (ça ne fait pas « pop » moi quand je me retire !) et se retourne vers moi :
« Elle en a assez pour ce soir, à toi maintenant !»
Et d’autorité, sans que j’aie fait le moindre geste pour l’en dissuader d’ailleurs, il me fourre son zob dans la bouche :
« Suce, c’est son jus qui est sur ma bite ! »
Je n’ai jamais fait ça auparavant, quelle sensation !
« On m’appelle le révélateur de talents ! » Ironise-t-il. « Je viendrai chaque samedi vous baiser tous les deux ! » et de se vider en longs traits épais dans ma bouche…

Et moi, j’ai encore joui sans me toucher !

FIN

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