Je suis d’origine italienne, ma famille est de Segni un bourg de montagne où mon père tient une grosse auberge « La Pace ». Moi je suis venu en ville pour des études peu passionnantes qui me laissent pas mal de temps libre. Je suis un beau latin, bien foutu, bronzé, cheveux noirs et regard profond. Je plais beaucoup aux filles qui aiment mon corps de sportif et j’ai tendance à en abuser de façon addictive. Je ne peux m’empêcher de draguer tout le temps car j’aime avant tout séduire et jouir de l’emprise que j’ai sur les autres par ce moyen. Mon sourire et mon humour sont efficaces mais je ne me prends pas au sérieux et je ne cherche pas l’âme sœur. Je veux juste avoir un maximum de plaisir au jour le jour et être à la hauteur de mon prénom « Eros ».
La nuit je vais en boite de nuit. Je danse comme un fou une grande partie de la soirée en invitant plein de filles. Cela me permet de repérer celle dont j’ai envie. A celle-ci je fais du gringue et lui propose de boire un verre au bar où d’aller fumer sur la terrasse pour engager une conversation où je lui donne l’impression qu’elle est géniale. J’ai une écoute performante et une conversation cultivée. Souvent ça baisse sa vigilance et je peux passer à des contacts plus précis, des baisers romantiques ou sensuels, des mains baladeuses, des propositions coquines. Quand la fille est chaude je l’emmène et nous faisons l’amour dans des lieux variés, des fois dans les toilettes ou sur le parking dans une voiture, d’autres fois à l’hôtel ou chez elle mais jamais chez moi. Il m’est même arrivé d’en baiser debout dans la rue contre une voiture garée à l’écart. Je passe peu de soirées sans y arriver car si une fille résiste à mon charme je vais rapidement vers une autre. Elles aiment mon contact et je suis connu dans plusieurs lieux de la nuit pour être un bon coup. De fait mon endurance sexuelle me permet de toujours les faire jouir sans problèmes. Je suis toujours à leur écoute et suis intéressé par la diversité de leurs pratiques sexuelles. J’ai beaucoup d’expérience et ne me lasse pas de ces jeux pervers.
Il y a eu cette grande rousse à peau blanche qui aimait sucer ma langue et qui m’a demandé de lui faire l’amour debout toute habillée dans un coin sombre de la boite en retroussant un peu sa jupe et en écartant sa culotte. Heureusement je connais bien le personnel qui nous a laissé tranquille. Elle était très mouillée et a joui vite en me disant « j’aime ta queue ».
J’ai eu une grosse fille dodue à très grosses fesses qui rigolait de tout et qui a voulu que je la prenne par derrière pendant que penchée en avant elle s’agrippait au lavabo des toilettes. Proche de l’orgasme elle me dit « met moi un doigt dans le cul » et de fait ce fut efficace. Sa copine tenait la porte fermée pour qu’on ne soit pas surpris.
Je me souviens d’une femme grande et mince très élégante dans la trentaine avec qui je flirtais sur la terrasse depuis un moment. Je l’avais chauffée en lui caressant le pubis après qu’elle eut jeté son string par-dessus le balcon. Elle était de plus en plus excitée et me dit avec candeur « je ne prends pas de contraceptif, il faudra que tu me sodomises ». Nous nous sommes exécutés peu après sur la banquette arrière de sa voiture, ses amis étant encore en train de danser. Quand elle fut apaisée elle me dit « j’adore que ça fasse mal au début, c’est tellement bon après ».
Il y eu cette petite asiatique dont les yeux noirs exprimait le vice. Nous étions dans la pièce fumoir équipée de profonds fauteuils de cuir. Elle s’était progressivement dénudée et n’avais gardé qu’une mini-robe qu’elle avait complètement ouverte sur le devant. Elle n’avait pratiquement pas de seins. A cheval sur mes genoux et me faisant face je lui ai mis mon pénis dans sa chatte et elle s’est tortillée un moment en gémissant puis m’a regardé dans les yeux pour me dire « j’ai un god ceinture dans mon sac ; je veux le mettre dans ton cul mon chéri ». Je ne lui répondis pas mais enfonçait ma bite fermement dans son anus. Elle cria puis se mit en mouvement pour profiter de toute la longueur de mon membre. Quelques instants plus tard elle jouit pendant que je pinçais son clitoris.
Une fille arabe très typée probablement algérienne avait un sexe tellement poilu qu’on ne pouvait rien voir d’autre que sa toison. Elle avait aussi une forêt sous chaque aisselle et des poils sur les avant-bras. Elle semblait timide. Quand je l’eus décidée à aller dans sa chambre d’étudiante elle se déchaîna et fût une véritable furie en colère. J’eu du mal à la maintenir sous moi pendant que je la baisai profond. Elle était très vaginale et eut de multiples orgasmes bruyants. Elle m’épuisa quand elle me finit en me suçant en gorge profonde.
Je ne peux me souvenir de toutes car j’ai fait l’amour avec une centaine de femmes depuis que je suis étudiant. Il faudra que j’essaye avec un travesti pour voir. Il y en avait un très féminin cette semaine autour du parking de la boite.
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