« Qu’est-ce-qui vous ferez plaisir Coralie ? »
« Si vous le permettez j’aimerais que ce soit Marc qui me soulage avec sa langue. C’est ce que j’aime chez les hommes d’âge mûr, ils sont certes moins endurants que les jeunes, sans vous offenser, mais ils savent divinement utiliser leurs mains et surtout leur langue. »
« Oui Coralie, vous avez bien raison, l’endurance nous la perdons bien vite sans entrainement. Et je doute que Marc soit du genre à s’entrainer. N’est-ce-pas Marc ? »
Le Directeur laisse passer un court silence et ajoute :
« Marc, voudriez-vous rendre ce service à Coralie ? » Marc ne sait pas quoi répondre. Au fond de lui il rêve de pouvoir caresser ce corps, le lécher, le sucer, le pénétrer, lui faire toutes ces choses qui lui passent à présent par la tête. Mais il n’arrive pas à répondre, il craint que son désir se dévoile, et devant Marie il se sent gêner de toutes ces idées lubriques.
« Marc, ne me dites pas que vous n’en avez pas envie ? »
« Allons ne soyez pas timide ! Peut-être que Coralie ne vous plait pas ? »
« Je ferai ce que vous me demandez. » C’est la seule formule qu’il a trouvée pour masquer son envie.
« Bien ! Coralie, je vous laisse faire. »
« Je peux lui détacher les mains, j’aimerai bien qu’elles soient libres de leurs mouvements. »
Tout en allant récupérer la paire de ciseaux dans le tiroir du bureau, le Directeur ajoute :
« Bien sûr Coralie »
Il coupe le bracelet de la main gauche et : « Voulez-vous que je détache les pieds aussi ? »
« Non, laissez-le comme ça, je ne voudrais pas que dans un mouvement incontrôlé il me saute dessus. » répond-elle en regardant Marc d’un air coquin.
Coralie s’avance vers Marc qui ne peut détacher son regard de ce jeune corps sublime, de ces petits seins tendus, ces petites lèvres qui dépassent sous le petit capuchon qui dévoile à peine son bouton sensible, de ses jambes. Elle pose un pied sur un genoux de Marc, écarte sa cuisse et passe un doigts entre ses petites lèvres trempées. Marc ne manque rien de la scène, et toujours des pulsations, qui trahissent ses idées pornographiques, battent dans son sexe qui reste sans réaction. Ses mains sont libres à présent mais, par retenu ou par habitude de les avoir attachées, il ne bouge pas.
Coralie glisse son pied dans l’ouverture formée par l’accoudoir, s’assoie sur Marc et fait la même chose avec l’autre jambe. Elle se retrouve à califourchon sur Marc, l’enfermant sur sa chaise de ses cuisses ouvertes.
Marie assiste au spectacle, entre envie et jalousie, entre colère et admiration, elle ne sait pas, mais cela la fascine. Coralie est une fille incroyable, d’une assurance aussi rare que sa beauté. Elle commence peut-être à comprendre la distance qu’elle a ressentie avec celle-ci quand elle l’a vue pour la première fois tout à l’heure. Elle ne saisit pas toutes les raisons qui poussent la jeune secrétaire à se comporter ainsi, mais son naturel et son assurance lui laissent imaginer que rien ne l’y force. Elle se rappelle les soirées entre filles il y a quelques années, où la discussion tournait rapidement sur le sexe et les relations avec les garçons, et elle se surprend à avoir presque honte des réactions ridicules et des petits rires faussement outrés de chacune quand le sujet devenait trop graveleux. La sodomie et la masturbation étaient des sujets presque tabous, et seuls été acceptées par la petite assemblée, l’éventuelle expérience d’un doigt introduit dans l’anus sans le vouloir, d’une masturbation jamais renouvelée avec un flacon de déodorant, d’une pipe dans les vestiaires de la piscine ; et tous ces sujets et le sérieux qu’ils auraient pu apporter dans la discussion disparaissaient dans des rires stupides. Et la notion de plaisir et surtout des moyens pour y arriver vraiment, n’étaient jamais abordés sérieusement. En regardant Coralie sur Marc, elle se sent comme une élève devant son prof, prenant une leçon, pas seulement d’éducation sexuelle mais une leçon de vie.
En voyant Marie baisser la tête, le Directeur comprend ce qui peut se passer dans la tête de Marie, ou au moins imagine-t-il quelques-uns des sentiments qui doivent l’envahir.
« Marie, ne faites pas cette tête. C’est sûr que Coralie sait y faire avec les hommes. Et vous voulez que je vous dise comment elle fait ? »
Sans attendre de réponse il ajoute : « Elle se connait bien et n’écoute que son désir de plaisir. »
C’est comme s’il venait de lire dans ses pensées.
« Mais ne restez pas là, avancez, venez profiter du spectacle ! »
Marie sursaute quand elle sent les mains du Directeur sur ses épaules. Elle se laisse déplacer juste à côté de la chaise sur laquelle Coralie chevauche Marc et reste là, comme une statue quand le Directeur retire ses mains et s’éloigne un peu. Aussi incroyable que cela lui paraisse, elle n’a pas eu peur quand les mains du Directeur se sont posées sur ses épaules, elle a senti comme une puissance qui lui imposait de se déplacer mais n’a même pas imaginé qu’il la touche autrement. La relation entre Coralie et le Directeur ; dont son éducation, ses principes et sa morale lui interdisent d’imaginer autre chose que quelques débuts d’explications floues, cette relation la rassure. Elle ne comprend toujours pas le comportement de cet homme étrange avec elle, d’autant que la bosse sous son pantalon montre son intérêt pour le sexe et la gente féminine ; mais elle ne craint plus à cette seconde qu’il la touche, elle pense qu’il ne le fera pas, pas maintenant.
Coralie, tout en frottant son sexe contre celui de Marc, entreprend de lui enlever sa chemise, elle défait les boutons un à un et entre chaque bouton glisse une main ou deux sur son torse en l’embrassant à pleine bouche. Arrivée au dernier, elle enlève sa chemise, Marc lève les bras et réalise presque surpris qu’ils sont libres de leur mouvement, et au moment où il s’apprête à les reposer sur les accoudoirs, Coralie lui att**** les mains et les pose sur ses fesses. Marc a rapidement regardé Marie et a vu son visage presque triste, il n’a pas le temps ni l’énergie ni l’esprit de se demander pourquoi, mais les yeux de Marie lui rappellent sa situation et l’oblige à mettre de la retenue dans ses caresses, dans ses mains qu’il promène sur le cul divin de Coralie. Il pense que si Marie n’était pas là il pétrirait ce cul parfait, il glisserait un doigt dans sa raie pour titiller son petit trou, il sucerait ces petits seins qui sautent là, devant lui.
D’un coup, Coralie se recule et cesse tous ses mouvements, elle libère le sexe de Marc de la pression de son propre sexe, passe un main sur sa chatte, y entre un doigt profondément, et le retire pour le faire sucer à Marc. Elle saisit la bite de Marc qui malgré toute l’excitation qu’il peut ressentir est restée molle. Les trois éjaculations précédentes l’ont rendue inutilisable pour quelques temps.
« Dis-donc petite coquine, tu caches bien ton jeu, tu l’as épuisé ce pauvre Marc. »
Marie ressent presque de la joie en entendant Coralie lui dire cette phrase, toujours de sa voix si douce, en la regardant. Oui c‘est vrai finalement, c’est elle qui l’a fait jouir trois fois de suite, se dit-elle. Et même si elle a moins d’expérience que cette petite secrétaire, elle a quand même bien réussi à lui donner du plaisir. Et puis peut-être se sent-elle aussi un peu rassurée en pensant que Marc ne va pas faire l’amour avec Coralie. Le sentiment est diffus mais elle regrette un peu de ne pas avoir laisser davantage libre court à ses pulsions lors des cessions tardives de travail avec Marc et elle commence à penser qu’elle aimerait bien se ratt****r et se laisser pénétrer par cette bite qu’elle a sucé et branlé trois fois.
Coralie retire ses jambes de la chaise.
« Coralie, voulez-vous que je vous passe la télécommande ? Peut-être cela aidera-t-il un peu ce pauvre Marc à vous montrer davantage de désir. »
Marie ne comprend pas cette histoire de télécommande, elle n’a rien vu sur le sexe de Marc, ni sur la chaise, même quand elle a passé sa main sous ses couilles pour les masser. Il est nu comme un vers. Et tout à coup elle comprend, ou imagine comprendre et elle en esquisse même un sourire. Elle connait ces modèles de vibro masseurs connectés et imagine, sans trop y croire, cet engin enfoncé dans l’anus de Marc.
« Non merci Monsieur, je crois qu’il est vidé, il ne tiendrait pas longtemps de toute façon, je vais m’amuser autrement. »
Elle se déplace derrière la chaise de Marc et l’avance jusqu’à la coller à la table ronde. Tout en se penchant vers Marc elle lui att**** les mains et les pose sur la table et lui glisse sans que personne ne puisse entendre :
« Tu vas pouvoir passer à table. »
Et après l’avoir encore embrassé à pleine bouche, elle s’assoit sur le rebord, place une jambe de chaque côté des mains de Marc et s’allonge sur le dos. Elle avance encore un peu son bassin et écarte ses jambes le plus qu’elle peut en passant une main derrière chacune de ses cuisses. Marie est surprise par la souplesse de Coralie qui est quasiment en grand écart ; et étrangement, cette position, qui lui semblerait en temps normal d’une obscénité sans borne, cette position qu’elle n’a vu que dans les films, cette position vulgaire qui ferait rire ses copines bêtement, elle en ressent une certaine grâce et tout l’érotisme. La petite secrétaire semble dénuée de toute vulgarité et cela fascine Marie encore une fois.
« J’espère que tu sais te servir de ta langue au moins. »
Marc reste quelques secondes immobile, cette punition est une bénédiction, pense-t-il incrédule. Cette jolie et jeune chatte ouverte à quelques centimètres de son nez, ce petit anneau brun au milieu de ce cul incroyablement doux et ferme, cette odeur qui se dégage de ces lèvres ouvertes et brillantes, tout cela le garde dans un état d’excitation permanent.
« Marc vous avez 10 minutes pour faire jouir Coralie, langue et mains uniquement. Coralie, si vous tenez plus de dix minutes, vous aurez droit à une petite prime, Marc si vous n’y arrivez pas je crois que je demanderai à Marie de vous retirer le petit dispositif que vous a placé Coralie, je sais que vous n’en avez pas vraiment envie, alors mettez-y du vôtre. »
Le Directeur et Coralie échange un regard complice sous les yeux de Marie qui recommence à sentir cette pointe de jalousie la titiller. Pourquoi n’a-t-elle jamais fait ça ? Pourquoi ne s’est-elle jamais allongée de cette manière si impudique devant Marc en lui demandant de la caresser de sa langue ? Elle risquait quoi finalement ? Qu’il ne veuille pas ? Elle en doute fortement et quand bien même, elle serait alors repartie triomphante comme le ferait Coralie sûrement, le narguant avec son cul, peut-être moins ferme mais quand même attirant. Elle aurait peut-être commencé à se caresser devant lui, écartant ses lèvres et lui dévoilant son intimité la plus troublante. Bref, elle aurait dû essayer n’écoutant que son désir de l’instant et laissant tomber sa pseudo morale et ses principes à deux balles. Et à présent elle doit assister impuissante à Marc qui est obligé de donner un orgasme à Coralie, cet orgasme qu’elle aurait dû lui demander, cet orgasme qu’il lui doit !
Marc a commencé ce qu’il doit faire, et avec Marie dans son dos il ne sent plus la retenue qu’elle lui imposait inconsciemment. Il aimerait y aller sauvagement, aspirer ce petit bouton de chair qu’il décalotte en douceur du pouce, le sucer, le branler, enfoncer ses doigts dans cette caverne rose, ou dans ce petit œillet qu’il imagine palpiter. Mais il sait, ou croit savoir, de ce que lui a dit son ex-femme, qu’il faut y aller tout en douceur pour un résultat plus rapide. Et le premier soupir de Coralie quand il pose sa langue sur son petit clitoris sensible et nu, le conforte dans cette pensée. Il s’applique, en douceur, en fait le tour, le frôle de haut en bas puis de gauche à droite, rapidement mais du bout de la langue.
Les ondulations du bassin de la petite secrétaire l’encouragent. Son pouce gauche maintient le petit clitoris nu et libre sous sa langue et sa main droite commence à masser doucement ce jeune sexe ouvert, il est chaud, humide. Coralie a posé ses mains sur la tête de Marc et lui imprime le rythme. Quand il aventure un doigt entre ses chairs intimes, il sent le bassin de Coralie en réclamer davantage, il s’avance encore et y pénètre aussi loin qu’il peut. Il est surpris par la quantité de liquide qui dégouline et par la facilité avec laquelle son doigt la pénètre, elle est plus étroite que celle de son ex-femme mais il tente quand même d’y mettre un autre doigt et faisant pivoter sa main et cassant son poignée il fait aller et venir son index et son majeur, essayant de masser les parois le plus profondément possible tout en gardant le rythme de sa langue sur le petit bouton.
Le souffle de Coralie se transforment rapidement en cris, et sans qu’il s’y attende vraiment elle garde une forte pression sur sa tête tout en l’immobilisant, pendant quelques secondes elle se branle sur sa langue qu’il laisse tendue, et explose dans un orgasme qui déclenche une éjaculation qu’il voit pour la première fois. Le sexe de Coralie s’agite devant ses yeux de spasmes puissants tout en l’inondant d’un liquide à l’odeur incroyablement excitante de son intimité la plus profonde. Il veut continuer les mouvements de sa langue mais Coralie repousse sa tête d’une main, il retire ses doigts de cette entre délicieuse et lève la tête sur une Coralie qui a reposé la sienne et regarde le Directeur.
Le temps s’arrête quelques secondes, ou quelques minutes.
« Je n’aurai pas ma prime mais ça en valait le coup, vous avez vraiment un don pour ça. » dit Coralie d’une voix encore essoufflée qui résonne de bonheur.
Le Directeur comprend ce que désigne le « vous », lui sourit et ajoute :
« Pas mal Marc, vous vous débrouillez aussi assez bien. Finalement vous formez un joli couple avec Marie. »
Marie, il avait presqu’oublié sa présence dans son excitation. Il n’ose pas se retourner. C’est vrai qu’ils forment un joli couple pense-t-il avec une certaine mélancolie. Elle est sans doute trop jeune pour lui et il ne lui plait certainement pas, mais elle est tellement belle sa Marie ; le joli couple dont parle le Directeur, il l’imagine depuis le premier instant où il l’a croisée il y a quelques mois.
Coralie se relève et ajoute encore ce « Autre chose Monsieur ? » qui dans la circonstance sort rapidement Marc et Marie de leurs rêveries. Marie n’en revient toujours pas de ce comportement aussi naturel dans sa position : nue devant tous, après un orgasme sonore, elle a déjà repris sa place de secrétaire le plus naturellement qui soit.
« Merci Coralie, je pense que vous pouvez y aller, je vais libérer nos très jeunes tourtereaux. »
« Bien Monsieur. »
Coralie regarde la bosse qui déforme toujours le pantalon du Directeur et ajoute :
« Vous savez que si vous avez encore besoin de moi pour quoique ce soit, j’ai vraiment le temps et toujours autant envie de vous … être agréable. »
Le Directeur comprend très bien ce qu’elle veut dire, mais il a une autre intention ce soir pour soulager son érection.
« C’est très gentil à vous Coralie, mais je crois que je vais rentrer assez tôt ce soir et terminer cette journée dans quelques caresses solitaires. Vous ferez sans doute partie de mon scénario, comme souvent, mais j’ai envie de prendre mon temps au calme. »
« Comme vous voudrez Monsieur. Alors je file, je vais au « Deux amants » ce soir avec Philippe et je crois qu’il m’a préparé une petite surprise. »
« Philippe ? Du 54 ? »
« Oui, je vous raconterai, je pense qu’il pourrait vous surprendre. »
« Vous me remplissez de curiosité Coralie. Allez, filez. »
Coralie se rhabille assez rapidement, comme si elle sortait de la douche et était en retard pour aller au travail et quitte la pièce après un « Salut Marc » accompagné d’un regard taquin, et d’un « A bientôt Marie, je suis impatiente de te revoir. » accompagné d’un regard rempli de tendresse, qui font naitre dans ce petit être fragile et ingénu un sentiment étrange. Est-il possible qu’elle … Qu’elle tombe amoureuse de Coralie ? Elle ne sait pas se poser la question autrement, tellement elle ne peut rester insensible au charme de cette fille surprenante, à ses attitudes, à son comportement, à sa voix, à ses caresses, à sa beauté.
« Bien ! Je pense que vous avez assez travaillé pour aujourd’hui. Je vais vous laisser quelques instructions pour la semaine à venir. Quelques devoirs en somme. Et nous nous revoyons jeudi prochain à la même heure pour votre rapport et le rendu de vos exercices. »
Une fois de plus Marie ne sait pas à quoi s’attendre une petite crainte remonte un peu. Même si elle se sent complètement soulagée que cette journée se termine enfin.
Le Directeur se dirige vers son bureau, ouvre un tiroir et tend la paire de ciseaux à Marie :
« Marie, détachez ce pauvre Marc à présent. »
Pendant qu’elle s’occupe à couper les liens qui retiennent les pieds de Marc, le Directeur ouvre un autre tiroir et en sort un sac à dos qu’il pose sur le bureau.
« Approchez tous les deux. »
Marc, en se levant, sent le petit plug anal que lui a glissé Coralie avant que tout cela ne commence. Il espère que le Directeur a oublié, qu’il n’en dira rien, que cela restera entre lui, le Directeur et Coralie ; même s’il se demande bien comment il va pouvoir l’enlever.
Marc et Marie, toujours nus, se tiennent debout devant le bureau, face au Directeur qui ouvre le sac et en sort deux montres et une petite caméra, comme ces caméras de sport. Il tend alors une montre à chacun :
« Tenez, cadeau de la maison. Vous devez connaitre ces montres connectées, elles vont me permettre de vous suivre et surtout de veiller à ce que vous respectiez une partie de mes demandes. Je vous laisse jusqu’à ce soir minuit, profitez-en, pour les connecter à vos smartphones, éventuellement vous créer un compte, si vous n’en avez pas, et m’envoyer vos codes d’accès sur l’adresse mail indiquée sur ce papier. De cette manière je pourrai suivre votre activité en temps réel.
Je ne peux que vous conseiller de respecter ce que je vous demande. »
Marie n’a pas l’air plus inquiète que ça et ne comprend pas bien ce qu’il va pouvoir surveiller, peut-être ses déplacements qui ne s’éloignent que rarement du trajet appartement travail.
« Et voici une petite caméra, cadeau de la maison aussi. Elle est prête à fonctionner et la carte mémoire vous permettra d’enregistrer jusqu’à 3 heures de film, ce sera largement suffisant pour mes demandes. Je vous laisse le soin de la recharger si besoin. »
Marie est plus inquiète de la caméra. Connaissant à présent de quoi est capable le Directeur, elle sent une vague de stress monter.
« Alors, pour commencer, Marc, Marie vous êtes privés d’orgasmes jusqu’à jeudi prochain. Les petites montres que vous portez vont suivre votre rythme cardiaque et je peux vous assurer que les variations de ce rythme lors d’un orgasme sont très reconnaissables. Vous pouvez essayer si vous voulez mais je ne vous conseille pas de prendre ce risque. Bien sûr, je vous laisse jusqu’à ce soir minuit pour en profiter une dernière fois. Marc je doute que le résultat soit fantastique, mais ce n’est pas sûr, vous verrez. Et puis j’imagine que vous n’allez pas garder le petit cadeau de Coralie jusqu’à jeudi prochain. Ah ah ah ! En revanche Marie, je sais déjà que vous ne résisterez pas à l’envie de vous caresser ce soir avant minuit. »
Marie n’est pas vraiment inquiète de ne pas se masturber pendant une semaine. Mais elle réalise que le Directeur a raison, elle se voit déjà profiter de ce soir pour se caresser de la manière la plus impudique qui soit, il faut qu’elle éteigne ce feu qui la brûle encore, elle se voit plonger dans ce monde lubrique dont elle vient d’apercevoir un minuscule échantillon.
Marc est rassuré que le « petit cadeau » de Coralie en reste là, mais il imagine bien que cela sera compliqué de ne pas se branler chaque soir. Effectivement, il ne pense pas profiter beaucoup de sa soirée dans son état, mais les images qui se bousculent dans sa tête lui laissaient envisager de sacrés soirées de masturbations.
« Bien ! La caméra. Chaque matin et chaque soir où vous travaillez, en arrivant et avant de repartir, vous vous retrouverez dans un bureau, ou une quelconque pièce du magasin suffisamment spacieuse, même au beau milieu du magasin si cela vous chante ! Ah ah ah ! Marie vous prendrez la caméra et vous filmerez Marc se déshabiller entièrement. Marc, si la situation ne suffit pas à vous exciter, vous vous branlerez jusqu’à avoir une érection solide, mais je doute que vous ayez besoin de le faire ; et attention pas d’éjaculation. Une fois le sexe de Marc dressé, Marie, sans couper le film, vous donnerez le caméscope à Marc et vous lui offrirez un petit strip-tease. Oh inutile de danser ou vous trémousser, vous vous déshabillerez comme vous en avez envie et une fois nue, vous me ferez pointer ses petits seins charmants en vous caressant ; encore une fois si la situation ne les a pas fait se dresser tout seuls, et pour finir, après avoir fait un ou deux tours pour nous exposer votre sublime postérieur, vous montrerez à la caméra votre petite chatte humide en écartant vos petites lèvres charmantes. Pour finir, je veux un dernier plan sur la bite de Marc, peu importe son état mais je suis certain qu’elle sera fièrement dressée.
Chaque matin et chaque soir. Et les jours où vous ne travaillez pas, ou pas ensemble, vous vous retrouverez où vous voulez pour faire exactement la même chose. Je veux donc douze petits films dans cette caméra la semaine prochaine.
Et n’oubliez pas, pas d’orgasme. Oh si vous voulez vous pouvez vous caresser, vous pénétrer de tout ce qui vous passe par la tête mais si vos montres m’indiquent un orgasme, la punition pourrait être douloureuse la semaine prochaine. »
Marie se doutait bien que l’imagination du Directeur était tordue mais pas à ce point. Et en même temps, se montrer nue devant Marc ne devrait pas vraiment lui poser de problème à présent. Il n’est finalement peut-être pas si sadique que ça le Directeur.
« Bien, je pense que vous allez pouvoir vous rhabiller. Oh vous me laissez juste vos dessous tous les deux. Marc, je ne crois pas qu’une érection subite se voit sous votre pantalon ! Ah ah ah ! Et Marie, je ne pense pas que vous l’ayez déjà fait, mais vous allez voir, marcher votre petite chatte à l’air dans la rue va vous préparer un bel orgasme pour ce soir, j’en suis sûr … Le dernier avant la semaine prochaine ! Ah ah ah ! »
Marc et Marie prennent leurs affaires que le Directeur vient de poser sur le bureau et se rhabillent en se tournant le dos. Marie se sent aussi nue que quand elle était habillée, et la sensation de sa chatte à l’air sous sa jupe, la caresse de sa chemise sur ses tétons encore excités et sensibles lui font réaliser qu’elle ne va pas pouvoir marcher dans la rue naturellement pour rentrer. Elle s’est déjà promenée sans culotte, pour faire plaisir à Antoine, et elle sait que la sensation est des plus agréable et peut devenir extrêmement excitante aussi.
Le Directeur range le caméscope et un papier dans le sac à dos et le tend à Marc.
« Je vous laisse partir. Marie, j’aurai bien demandé à Marc de vous filmer ce soir en train de vous donner un orgasme qui sera fantastique, je le sais, mais je vais vous laisser tranquille pour aujourd’hui. Et n’oubliez pas vos montres, ce soir, minuit au plus tard.
Allez ! A jeudi prochain. »
Le Directeur fait le tour de son bureau, ouvre la porte et les invite à passer. Le bureau de Coralie est vide, il est 21h00 mais il fait encore jour. Le Directeur ouvre la porte donnant sur le hall d’entrée de l’étage et à nouveau les laisse passer, et enfin, après avoir traversé cette dernière pièce, le Directeur ouvre la porte, leur cède le passage une dernière fois, et la referme derrière eux après un dernier :
« Amusez-vous bien ! Mais pas trop !!! Ah ah ah ! »
Marc et Marie se retrouvent sur la palier de ce troisième étage, seuls, enfin ; incrédules et ne sachant ni quoi faire, ni quoi dire. Le bruit du verrou que vient de fermer le Directeur les tire de leur immobilisme et Marc rompt le silence :
« Je crois qu’on va y aller. »
Et ils descendent tous les deux en silence le grand escalier et les trois étages, traversent l’immense hall d’entrée et sortent, enfin libres.
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Et voila, fin de la première partie.
La suite sans doute un peu plus tard, elle n’est pas écrite ; et j’ai une autre histoire en tête qui me taquine un peu ;).
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