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Histoire de slips.7

Histoire de slips.7



Trio de slips

Le temps passe, nous sommes en été et Guy mon ami, qui je pense est un célibataire endurci ne connaissant pas toute sa vie, m’invite à passer une soirée chez lui. Guy habite le village à côté, ce n’est donc pas un problème. Il possède une très belle maison dans une grande propriété hérité de ses parents. Elle est entourée d’une magnifique haie qui réduit la vue dans la propriété. De plus ma femme se rendant pour deux semaines en famille, cela me fera une soirée entre copains.
Comme j’arrive à son domicile. Je sonne à la grille. La grille s’ouvre, j’entre et je vois qu’une autre voiture qui m’est inconnue est déjà présente.
Guy vient m’accueillir sur le perron de sa demeure. Entrant dans le living, je vois un homme du même âge que Guy qui se lève du fauteuil ou il était installé. Guy me présente son copain Stéphane et me glisse « C’est lui le copain dont je t’ai parlé lorsque je t’ai raconté l’histoire de mes débuts sexuels ». Il n’y a pas longtemps à l’occasion d’un achat en ville, ils se sont rencontrés et retrouvés. Guy l’a invité ce soir afin que je puisse faire sa connaissance.
La soirée démarrait bien d’après ce que je pouvais en espérer. Guy nous invita en premier à visiter sa maison. Immense maison pour un gars tout seul. Plusieurs chambres, une piscine intérieure avec de grandes fenêtres s’ouvrant sur le jardin sous une terrasse immense. Un vrai château. Guy nous expliqua que ses parents étaient de gros commerçants et s’étaient construit cet écrin où il avait grandi dans un climat de confort et ou rien ne manquait. A leur décès, il avait hérité de ce domaine, ainsi que des moyens de l’entretenir.
Il nous invita à prendre place près de la piscine qui avec les fenêtres ouvertes sur une petite terrasse extérieure bordant le bâtiment. Il faisait doux et nous étions tout trois en short, tenue dite décontractée. Guy avait fait bien les choses, un petit buffet de sandwichs de toutes sortes, des boissons alcoolisées ou non étaient présentes. Nous passâmes donc à l’apéritif. Nous en profitions pour nous remémorer des souvenirs.
Stéphane, nous raconta un peu le déroulement de la période entre le temps ou il était au collège avec Guy et maintenant. De son côté Guy fit de même en m’y incluant pour la partie rencontre au boulot et la suite tout en ne parlant pas de nos expériences sexuelles.
Tout en racontant notre vie nous faisions honneur au petit buffet et aux boissons pour ma part sans alcool. Guy ne pris qu’un verre et Stéphane deux. Au plus la soirée avançait au plus les anecdotes devenaient plus croustillantes. Finalement Guy arriva à l’anecdote de la poche trouée lui permettant de se branler sans que personne ne s’en aperçoive. Stéphane confirma que cela venait bien de lui et d’autres avant lui qui lui avait montré la manière de faire.
Stéphane va plus loin en disant que de temps en temps, il se branle encore ainsi car il a toujours une poche tout à fait décousue. Et pour nous montrer que c’est vrai, il se met debout, met sa main dans sa poche et la fait dépasser par la jambe de son short assez court. Nous nous mettons à rire mais Guy lui répond que lui aussi à toujours une poche décousue, fait de même pour nous le prouver et principalement à Stéphane. Les souvenirs font leurs effets sur les deux compères. L’excitation commence à monter car je peux voir que le short de Stéphane arbore déjà une certaine bosse du côté ou il avait sorti sa main de la jambe. Je ne peux nier que même chez moi je sens que ma bite se gonfle doucement dans mon mini-slip.
Stéphane s’adressant à moi « Et toi tu ne te branle pas dans ton slip, tu n’as jamais fait cela ».
– « Oui bien sur, mais moi je me branlais soit sur ma braguette ou alors je l’ouvrai et me branlais ainsi sur mon slip ».
– « Maintenant tu n’as pas besoin de te branler ? ».
– « Tu sais, je suis marié mais quand c’est nécessaire je vais dans un lieu discret et je me branle ».
– « Rien qu’à t’entendre je bande » Déclare Stéphane en enfournant sa main dans sa poche sans fond. On peut nettement voir que sa main s’active doucement sur son slip. Guy a parfaitement suivi le cheminement de ma pensée et en rajoute une couche « Je crois que je bande aussi, si on faisait comme quand on était ado ».
– « Si tu veux » fut la réponse de Stéphane « Et si cela ne gène pas Jean.
– « Absolument pas » fut ma réponse et j’ajoute « Je voudrai bien voir cela ».
Guy se lève et va se mettre à côté de Stéphane et l’un et l’autre s’enfile la main dans les poches sans fond.
Stéphane – « Il me semble que ta bite à grandi depuis nos quinze ans ».
Guy – « La tienne aussi il me semble et même beaucoup, tu dois avoir une fameuse queue à ce que je sens ».
Stéphane – « Tu mouille encore toujours autant, à sentir la poche de ton slip. Attend je vais te mettre à l’aise ». Je vois la main de Stéphane qui trifouille sous le short et puis elle se met à faire des mouvements de haut en bas. « Voilà tu sera plus à l’aise et comme cela je peux tâter la grandeur de ta tige ».
De mon côté à la vue des deux compères en train de caresser sous le short je me mets à bander ferme et pour être plus à l’aise sans aucune gène pour les deux autres, je fais effectuer à ma bite un demi tour afin de la mettre tête vers le haut dans mon mini-slip ceci bien en vue.
Guy – « Ne te gène pas, on est entre nous. Si tu veux on peut entrer cela sera plus discret ». Nous entrons alors dans le local de la piscine. Guy fait descendre les volets nous sommes ainsi totalement à l’abri des regards indiscrets. Les deux compères se remettent l’un contre l’autre et replonge leur mains dans les shorts. Ils se remettent à se branler.
Stéphane – « Tu te rappelle comme parfois on essayaient de faire durer le plus longtemps le plaisir de se branler ».
Guy – « Oh oui, surtout que c’était souvent toi qui gagnait et moi qui arrosait mon slip le premier. Tu suivais très vite quand tu sentais la chaleur de mon jus dans mon slip ».
De mon côté sans rien dire, j’avais défais la ceinture de mon short et ouvert la braguette. Ma main introduite de cette façon dans mon short me permettait de me branler au même rythme que les deux amis à voir leur main sous leur short. Le fait d’avoir ouvert mon short n’étais passé inaperçu pour Guy. L’air de rien la main libre se rapprocha de la ceinture de Stéphane et doucement défit le premier cran de celle-ci. Poursuivant son mouvement la ceinture finit par s’ouvrir, le bouton suivit. Il retira sa main de la poche du short de Stéphane, fit un petit mouvement de la main sur la ceinture et le short glissa de lui-même jusqu’au niveau de ses genoux. Stéphane apparu ainsi le premier en slip kangourou taille basse. Le slip était de couleur orange pastel et détaillait bien la forme de la bite. Par jeu Stéphane fit de même sur le short de Guy apparaissant également en slip blanc kangourou taille basse très basse même. Les deux compères étaient maintenant debout devant moi le short sur les genoux. Le slip de Stéphane arbore un vrai chapiteau dans le bonnet du sous vêtement. Il me semble que Stéphane à une très grande bite car une bosse énorme déforme le sous-vêtement et la pointe de son vit de forme ovale veux percer le tissu.
Guy – « Il est temps que tu baisse ton short, ainsi nous serons à égalité ». Deux secondes plus tard je suis debout et baisse mon short, je l’enlève directement ce sera plus facile.
Stéphane – « Sportif on dirait, très beau mini-slip, mais tu ne cache plus rien. Il me semble que notre petit show t’as passablement excité à voir l’auréole au bord de l’élastique ».
Moi – « Merci, mais je vois que c’est réciproque. Les souvenirs cela laissent des traces même dans le slip. Je crois que Guy va de découverte en découverte, lui qui n’avait que branlé ta bite. Elle doit lui paraître énorme aujourd’hui ».
Stéphane -« Cela doit être le fait que je me suis branlé en tirant fort dessus ou alors je dois tenir cela de famille car mon père avait également une grande bite. Je l’ai vu une fois alors qu’il se branlait dans la salle de bain, c’était vraiment un grand engin ».
Guy – « Laisse moi te tâter la bite, je n’ai jamais pu voir ta queue quand je te branlais car c’était toujours dans ton froc ». Et de joindre le geste à la parole. Sa main atterri sur l’avant de l’énorme bosse du slip. « Mince alors quelle queue. Jean tu as vu ». De son côté Stéphane s’est également mis à tâter le slip de Guy. Les deux copains se branlent vraiment sur le slip à ce train ils vont juter dans leur slip. De mon côté mon gland viens juste sur la lisière du mini-slip écartant légèrement le sous-vêtement. Stéphane à remarqué la chose et s’approche de moi. Il s’arrête de se branler, tends sa main et se met à caresser ma tige provoquant un afflux d’humidité sur le bord de l’élastique mon gland sortant légèrement.
Stéphane – « Tu m’as l’air en forme, tu mouille bien ».
Guy – « Il mouille toujours autant ».
Stéphane – « Petit cachotier, tu as déjà vu sa bite alors. Tu t’es peut-être même branlé avec lui. Sa jute à bon goût? ».
Guy – « Oh oui, je peux te dire qu’elle à bon goût. Je l’ai branlé et même sucé ». Et de raconter en détail notre rencontre à Stéphane.
Stéphane – « Je vois que tu t’es nettement dévergondé, alors qu’avec moi tu ne voulait même pas goûter ton propre jus ».
Guy – « Avec le temps on change et puis il m’a permis de découvrir certaine chose telle que la bite d’autres hommes ».
Stéphane – « Tu n’aurais pas enculé Jean par hasard ? ».
Guy – « Non pas lui car il n’aime pas être enculé. Par contre j’ai enculé un bel homme ».
Stéphane – « Tu t’es vraiment dévergondé, tout cela avec Jean ».
Guy – « Ben oui, lors d’une mission à l’étranger nous avons du partager la chambre. Cela m’a permis de me découvrir principalement car c’est un gars avec un esprit ouvert et respectueux de l’autre comme il y en peu à l’heure actuelle ».
Stéphane – « Magnifique, moi je n’ai pas eu cette chance et j’ai du continuer à me branler tout seul ».
Guy – « Tu auras peut-être la chance aujourd’hui, nous sommes en bonne compagnie, tu peux poser toutes les questions que tu veux et faire ce que tu veux à condition de respecter l’autre. Nous sommes très ouvert ».
Stéphane – « Je crois que je m’en suis déjà aperçu autrement on ne serait pas ici en slip tous les trois, excité comme pas deux. A voir ton slip tu bande comme un fou et Jean lui il mouille le bord de son mini-slip et il bande tellement que l’on voit déjà un rien de sa bite ».
Guy – « Je vois que toi aussi tu bande dur, et ta queue à fameusement grandie depuis nos quinze ans ».
Stéphane – « Tu ne dois pas te plaindre non plus. Je vois que ton slip est bien rempli ». Il s’approche à nouveau de Guy et lui tâte nettement l’avant du slip tout en mettant la tige bien en évidence vers le haut la prenant entre deux doigt « Tu vois tu ne dois pas te plaindre, tu as une belle queue bien dure. Je te branlerai bien comme çà entre deux doigts ».
Guy – « Jean, tu as vu, il me branle la queue dans le slip comme il faisait dans mon short mais au moins maintenant je peux voir sa main et sa bite qui se dresse dans son slip. Tu as vu, il doit avoir une très grande bite à voir la déformation de son slip. Vas-y Stéphane continue ainsi tu me fais du bien. Tu ne veux pas mettre ta main dans mon slip, cela serait plus facile ».
Stéphane – « je mettrais bien ma main dans vos slips à voir comment vous bandez tous les deux. Et toi Guy qu’est ce que tu mouilles, cela transperce ton slip ».
Guy – « Ne tiens qu’a toi que de mettre ta main dans mon slip ».
Moi – « Si tu veux mettre la main dans mon slip tu peux bien y aller ». Et de me mettre debout devant Stéphane en poussant mon ventre vers l’avant pour mettre ma bite en avant.
Stéphane – « Hummmm, je vais me régaler et découvrir une nouvelle bite ». Et il tend la main vers mon slip délaissant le branle de la queue de Guy. Le premier contact provoque un léger frémissement dans ma queue. Il tâte doucement la forme de ma bite pour en estimer convenablement sa grandeur. De deux il entreprend de caresser d’un mouvement de haut en bas ma bite. Ce faisant le tissu du mini-slip glisse doucement vers le bas de ma bite et mon gland apparait complètement. Evaluant toujours ma bite, il continue son jeu sur le tissu découvrant ainsi peu à peu le reste de l’engin. De son côté Guy n’est pas resté inactif, sa main est passée l’élastique du slip kangourou de Stéphane et sa main à pris possession du chibre.
Guy – « Mince alors, je ne m’attendais pas à trouver un morceau pareil dans ton slip. Qu’est ce que tu as fait à ta bite pour qu’elle soit aussi grande et grosse ».
Nous sommes maintenant tous trois debout l’une face de l’autre. Mon mini-slip se trouve à hauteur de ma bourse suite aux mouvements de la main de Stéphane, ma tige est totalement sortie. Stéphane ne masse plus sur le tissu mais bien sur le corps de ma queue. Comme nous sommes tous trois l’un près de l’autre, j’en profite pour plonger ma main dans le slip de Guy en écartant totalement le tissus. Ma manœuvre fait que le slip descend comme le mien à hauteur de sa bourse et laisse sa queue se déployer totalement vers l’avant. Ne reste plus que Stéphane habillé avec la main de Guy dans son slip. Pour être plus à l’aise j’enlève totalement mon slip. Guy fait de même. Stéphane att**** les bords de son slip et l’abaisse devant nous exhibant fièrement une queue comme je n’en ai jamais vue au paravent, elle a bien dix huit à dix neuf centimètres et un diamètre conséquent de plus ou moins cinq centimètre. Elle n’est pas totalement décalottée mais le méat distille une grosse goutte de liquide transparent. Je vois que Guy ouvre des yeux grands comme une soucoupe devant la vue de cet engin. Nous nous regardons l’un l’autre examinant surtout le mandrin de Stéphane tendu comme une perche sur l’avant de son pubis.
Guy – « Ben, mon gars t’en a une de quille, j’en avais encore jamais vu de pareille. Qu’est ce que tu as fait pour en avoir une aussi grande et grosse ».
Stéphane – « Rien, elle devenue comme cela sans rien faire. Ce doit être de famille. Mon père devait être monté comme cela car j’entendais souvent ma mère dire « Avec une bite pareille, tu va me défoncer la matrice ». Et mon père d’ajouter « Je ni peux rien, c’est de famille. Mon père en avait encore une plus grosse et un peu plus grande » et quant il s’envoyait ma mère on les entendait gueuler dans leur chambre tellement ils y mettaient de l’entrain. Ca doit être de la que je tiens ma bite ».
Guy – « Cela devait être comique chez toi, ton père qui voulait baiser et ta mère ne voulait pas ».
Stéphane – « Je ne crois pas qu’elle ne voulait pas baiser mais, je crois qu’elle en profitait largement de sa bite, mais mon père voulait certainement l’enculer et là naturellement cela devient plus difficile avec une grosse bite. De plus je crois qu’il vaut mieux avoir une bonne bite avec lequel on jouis qu’avec spécialement une grosse que tu ne sait pas utiliser »
Guy – « Là tu as parfaitement raison. C’est d’ailleurs pour cela que je vais la prendre dans ma main car elle me plait ». Guy se rapproche un peu plus de Stéphane, prend doucement entre le pouce et l’index le prépuce.
Stéphane – « Vas-y décalotte-là, tu vas voir j’ai un beau gland et j’en meurs d’envie que tu me prennes la queue en main ». Les deux doigts de Guy font un petit mouvement vers le bas et le gland se décalotte totalement apparaissant dans toute sa splendeur en dégorgeant une nouvelle goutte de liquide séminal par le méat. De mon côté, je vois que la bite de Guy fait des soubresauts tellement il est excité par ce qu’il vient de découvrir. Il commence tout de même à faire un léger mouvement de va et vient sur le chibre qui se met à tressaillir et éjacule en se mettant à gicler arrosant le ventre de Guy totalement surpris par la décharge. Je n’avais pas encore vus un gars juter de cette façon, sept à huit énormes jets de jus épais et gluants. De voir cela, je vois la bite de Guy qui entame le même mouvement et gicle à son tour cette fois sur le bas ventre de Stéphane arrosant même la bite de celui-ci. Nous sommes tellement excités que chez moi aussi je sens ma bite effectuer des soubresauts et je lâche toute la sauce arrosant mes deux voisins.
Il n’a pas fallu un très long moment pour que nous jouissions tous trois sans avoir même du nous masturber. La pression était tellement forte de la découverte que les vannes se sont ouvertes. Nous éclatons d’un grand rire collectif et Guy nous invite ensuite à nous doucher afin de nous rafraîchir le service trois pièces.
La soirée ne fait que débuter.
Après notre rafraichissement, nous décidons de rester tout nu. Nous retournons dans la piscine véranda pour y déguster quelques sandwichs que Guy à fait préparé en notre honneur comme un petit buffet froid, nous buvons aussi un coup de la boisson que chacun préfère ceci afin de reprendre des forces. Pour ma part ce fut un bon verre d’eau pétillante suivi d’un bon café.
La soirée se poursuit avec nombres d’anecdotes et d’histoires vécues par l’un ou l’autre de nous trois.
A peine Stéphane avait finis de manger, qu’il se mit à raconter des anecdotes le concernant et Guy. A voir son sexe, les souvenirs avaient un effet aphrodisiaque sur lui. Sa bite se mit à gonfler doucement tout en se redressant. Je voyais que Guy fixait l’organe qui petit à petit reprenait sa taille telle que nous l’avions vu durant sa première prestation. Le gland sortait légèrement du prépuce laissant voir son méat. De mon côté, je sentais des sensations à hauteur de mon bas-ventre qui m’indiquait que ma bite se remettait à se déployer. Du côté de Guy, c’était même bien plus, sa queue était aussi raide qu’un morceau de bois. Le prépuce formant un col à son gland qui distillait goutte après goutte sa liqueur transparente.
Guy raconta alors l’expérience de notre rencontre et ma grande ouverture d’esprit qui lui a permis de voir tout ce qui concerne le sexe et particulièrement la bite sous un angle neuf, lui évitant ainsi de devoir se branler tout seul dans son coin. Bien que comme il disait, il adorait se branler en douceur et arroser son slip de sperme bien chaud. Au fur et à mesure que le récit allait plus loin, la bite Stéphane et la mienne devenaient plus raide surtout que Guy avait le plaisir de faire durer les choses. Stéphane avait déjà sa main sur sa bite et branlait lentement en décalottant totalement son gland preuve de son excitation. Chez moi ma bite décalottée émettait des gouttes qui s’écoulait sur ma cuisse tellement il y en avait. La main libre de Stéphane se déplaça et vint se poser sur ma tige raide et commença un mouvement de va et vient me branlant ainsi tout doucement. Guy se leva et vint se mettre devant Stéphane la bite devant le visage de celui-ci. Puis il s’agenouilla devant son copain, tandis la langue et lui effleura le bout du gland juste sur le méat enlevant la goutte de liqueur.
Stéphane – « Ben mon vieux t’as drôlement évolué, toi qui ne voulait même goûter à ton propre jus. Voilà que maintenant tu te délecte de ma liqueur. Est-ce que l’aime au moins ? ».
Guy – « Comme tu vois, j’ai évolué grâce à Jean et maintenant je n’ai plu qu’une envie c’est de te sucer la pine qui sera ainsi la plus grande et grosse que je n’ai jamais eu en bouche ».
Stéphane – « Vas-y ne te gêne pas, elle est à ta disposition » et d’avancer un peu plus son ventre pour permettre à Guy d’avoir plus facilement accès à l’objet de ses désirs.
Guy – « Ne te gêne pas, j’aime de plus en plus te sucer, je vais te prendre le gland que tu ne sauras pas me résister et tout me lâcher dans la bouche. Huuummmmm. Je voudrais bien goûter ton jus ». Et d’englober le gland de Stéphane de ses lèvres. Celui-ci ne sait pas réprimer un « Oooooh » de plaisir. Se tournant vers moi Guy lâche « Tu ne veux pas goûter à sa bite Jean; Elle a un goût formidable et sa liqueur est délicieuse.
Moi – « Elle doit être merveilleuse, ce sera aussi ma première aussi grosse et grande bite ». Je me rapproche de Guy me met à genoux comme Guy et je viens lécher la bourse de Stéphane lui arrachant un nouveau « Oooooh ». Guy retire sa bouche de la bite et je l’embouche immédiatement. Soupirs tellement Stéphane est au sommet de l’extase. Je sens tout à coup que la bite commence à tressauter, signe avant coureur de l’éjaculation. Je retire ma bouche Guy ratt**** l’instrument et suce à fond dessus. « Oooouuuaaaaah » et Stéphane se laisse aller dans la bouche de Guy, premier, deuxième jets, Guy ouvre la bouche et me passe la bite je reçois le troisième jet et les suivants. Je repasse la bite à Guy qui se met à sucer de plus belle afin d’en extraire la dernière goutte. Stéphane est effondré dans le fauteuil la bouche ouverte. Guy se lève et lui introduit sa bite dans la bouche, je vois sa bourse se contracte et Guy se vide dans la bouche de Stéphane à grand jets. Stéphane avale avec plaisir. Guy me fait signe, je me relève à mon tour, ma bite est prête à éclater, je fais comme Guy, j’introduis ma queue dans sa bouche et me vide à mon tour. Stéphane avale sans rechigner ma décharge très abondante.
Après quelques instants de récupérations.
Stéphane – « Eh bien, tu a fait de fameux progrès depuis nos quinze ans. Tu suce comme un dieu. Et quand tu te vides tu y met tout ton cœur ».
Guy – « Oui, j’ai été à très bonne école et j’y ai pris goût. Pas tout les jours, mais quand l’occasion se présente j’en profite ».
Stéphane – « J’espère que tu en profite bien et que tu ne m’oublieras pas pour en profiter. Je suis toujours partant. Pour vous deux d’ailleurs. Vous me semblez bien aller ensemble du point de vue ‘profiter’ du sexe ».
Moi – « Grand merci, mais c’est à chacun de sentir ce qui lui convient et à l’autre de le respecter ».
Stéphane – « Nous devrions nous réunir plus souvent afin de nous découvrir complètement. Il y a encore des tas de choses à faire. De plus je devrais vous présenté mon ami Luc. Il est vicaire et il a une belle queue. Il des slips kangourou taille basse un peu spéciaux. Ils ont une très grande poche, cela permet d’être très à l’aise dedans et pour des gars comme moi qui aime toujours encore bien se branler dans mon slip, ils sont formidables. Tu peux juter tant que tu veux dedans, cela ne transperce pas car ils sont doublés aussi. Et quand on jute à deux dedans c’est encore plus agréable ».
Guy – « Tu jute dans ton slip et un autre gars aussi ? ».
Stéphane – « Oui et tu sais c’est un plaisir de sentir le jus de l’autre sur ta bite ou sur ta bourse. Tu devrais essayer ».
Guy – « Tu as un copain Luc ? ».
Stéphane – « Luc est le vicaire et l’aumônier des scouts s’est ainsi que je l’ai connu. On se voit de temps en temps principalement pour jouer avec nos jouets ».
Guy – « Intéressant, et il a une belle bite ? ».
Stéphane – « Comme ta queue et celle de Jean. Je crois qu’on pourrait bien s’amuser. Je vais vous raconter comment je l’ai rencontré », et Stéphane nous narre cette relation. Après cette histoire véridique, il se fait bien tard et nous nous mettons d’accord de nous rencontrer bien rapidement si possible en amenant Luc parmi nous.

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