Le lendemain, je me réveille vers 6h30. Après quelques secondes d’interrogations, je comprends rapidement où je suis, me rappelant ce qu’il s’est passé la veille. Je sors du lit et je me rends dans la salle de bains pour prendre une bonne douche et me préparer. Au passage, dans le couloir, sans distinguer la conversation, j’entends au loin Bruno, mon amant, discuter avec sa femme, dans la cuisine certainement.
– Sympa ton collègue mais on n’a pas vraiment eu l’occasion de faire connaissance. Il faudra que tu l’invites à venir dîner un soir.
– Bonne idée, je lui en parlerai.
Quelques minutes sous la douche, puis je sors de la cabine pour m’essuyer lorsque la porte, que j’avais oublié de verrouiller, s’ouvre d’un coup brusque. Bruno tombe alors sur moi, son regard glisse rapidement sur mon corps encore mouillé.
– Oh! Bonjour Chris. Excuse moi. Je vais préparer le p’tit déj et je me doucherai après.
– Non vas-y j’ai fini, ça ne me gêne pas du tout.
– Non, non finis tranquillement, je te jures en plus faut que j’aille ouvrir le portail, femme va partir au boulot.
Je termine de me sécher, j’enfile un boxer blanc en lycra (qui me moule avantageusement le cul!) et je retourne dans la chambre d’amis pour rassembler mes affaires. Pris dans mes pensées, je n’entends pas Bruno arriver derrière moi et s’approcher…
D’un coup il m’enserre avec ses bras et me fait un bisou dans le cou.
– Ça y est! Ma femme est partie en voiture. Je suis tout à toi.
– On n’a pas le temps Bruno, j’ai cours ce matin moi!
– Tu commences à 9h, tu crois que je connais pas ton emploi du temps.
– J’ai un tas de trucs à faire. Non, stop Bruno! Je vais être en retard.
– Je te ferai un mot d’absence.
– Arrêtes tes conneries. Plus tard peut être…
Mais Bruno se fout de ce que je peux dire, il n’a qu’une envie c’est de me baiser maintenant. Avec un sourire carnassier, il augmente la pression qu’il exerce sur moi, m’empêchant de bouger et de me débattre. J’essaie pourtant de m’extraire de son emprise mais il m’écrase avec ses bras puissants, son bassin se presse contre mes fesses, son visage s’enfouie dans mon cou. J’entends et je sens sa respiration saccadée : Bruno est complètement excité, un vrai mâle en rut! Sans aucun ménagement il me retourne, me jette violemment en arrière sur le lit puis il me saute dessus. Mon amant s’allonge ensuite sur moi et sa langue force mes lèvres me fouillant la bouche avec fougue. Finalement, résigné, je cède à ses pulsions : ma langue s’anime et répond à son baiser, mes mains courent sur son corps chaud et viril qui sent le mâle. Après cette longue étreinte, Bruno s’arrache de ma bouche et descend vers mon ventre jusqu’à trouver mon sexe tendu, l’engloutissant avec vigueur, ce qui déclenche des gémissements
de ma part.
– Alain, oh oui! Mmm c’est trop bon.
– Oui, c’est ça mais tu vas te faire le plaisir de t’occuper aussi de la mienne…
Bruno se relève, se met à califourchon au-dessus de ma poitrine et il me présente ton engin. J’ouvre immédiatement ma bouche dans laquelle il enfonce son énorme gland. Je salive au maximum et fais tourner ma langue autour de sa bite tendue tandis qu’il commence de doux va et viens entre mes lèvres.
– T’aimes ça te faire piner la bouche! Elle te plait ma grosse queue, tiens prend ça et ça encore…
– Mmmoui. Mmm. Mmm.
Les coups de reins de mon amant deviennent plus brutaux, celui-ci devient même carrément bestial, ne pensant qu’à atteindre son propre plaisir qui ne tarde pas à arriver. Sa respiration se fait plus rapide et saccadée.
– Oh putain, ça vient, ouais ah, oh oui !
De longs cris rauques s’échappent de la gorge de Bruno tandis qu’il décharge dans ma bouche cinq ou six jets de foutre que j’avale complètement tant la sauce est bonne. Il se dégage ensuite de ma bouche et vient s’allonger le long de moi. Au passage, il lèche un peu de son foutre qui a coulé sur mon menton, puis il le recrache dans ma bouche en me roulant une pelle.
– Tu vas me faire goûter le tien maintenant petit salopard!
Et là mon amant entreprend une pipe comme j’en ai rarement subie. Tantôt il me suce doucement, tantôt sauvagement… Puis il me masturbe en prenant mon prépuce entre les dents, ce qui m’arrachant des cris de plaisir. Mon supplice dure environ cinq minutes au bout desquelles je me vide dans sa bouche virile en criant, totalement arc bouté enfonçant mes ongles dans son cuir chevelu. Bruno me suce encore quelques instants puis il se redresse.
– Allez un petit 69 maintenant, je vais m’occuper de ta petite chatte pendant que tu me rallumes la chaudière.
Ça n’est donc pas terminé!!!
– Non Bruno! Arrête s’il te plais. Tu as eu ce que tu voulais.
– C’est qu’un début! Je te dis que tu vas me la chauffer dans ta jolie petite bouche de salope et que pendant ce temps je vais te préparer la chatte.
J’essaie de me dégager, mais Bruno me plaque sur le lit, m’écrasant de tout son poids.
– Tu vas faire ce que j’ai dit, petite salope!
Bruno me fixe avec un regard noir, il est envoûtant et une fois de plus, j’obéis. Je suis totalement sous son emprise, charmé… Nous nous retrouvons tête bêche, lui allongé sur le dos, moi à genoux au-dessus de son corps. Les grosses mains caleuses de mon amant me pétrissent les fesses, les écartant au maximum. Sa langue chaude est à l’œuvre et s’active vigoureusement sur mon anus cherchant à le pénétrer en me procurant du plaisir. En fait j’adore me faire violer par ce mâle viril qui à présent me fouille le cul de ses doigts en grognant, déclenchant mes gémissements d’approbation. Je regarde sa grosse pine tendue vers moi, je la décalotte d’un coup. Quelques gouttes de sperme jaillissent, m’invitant à la dégustation. Je me jette alors sur son pénis et entreprends une pipe carabinée. Je bave de plaisir, léchant, suçant, mordillant son gland, l’engloutissant au plus profond de ma gorge.
– T’as l’air d’en vouloir, elle est bonne ma grosse queue hein ? Tu es bien dilaté maintenant… Allez à quatre pattes mon joli j’en peux plus là, donnes-moi ton petit cul, allez!
Je fais ce que Bruno me demande : la tête dans l’oreiller je lui offre mon cul sans le moindre remord, je veux désormais sentir sa grosse pine en feu dans mon cul, j’ai envie de me faire limer sauvagement, j’aime me faire dominer. Mon amant me prend ensuite par les hanches pour me positionner comme il le veut. Il crache sur mon trou et sur son sexe… puis je sens son gland se frotter contre ma raie. Bruno souffle fort, crachant de nouveau sur sa bite… avant de me pénétrer… je gémis de douleur, ça me fait un peu mal. Il s’enfonces encore un peu plus… je crie. Je sens ses ongles s’enfoncer dans mes hanches et avec un » han de bûcheron » il s’introduit en moi jusqu’à la garde… des larmes jaillissent de mes yeux, je mords l’oreiller. Bruno reste fiché en moi quelques instants pour que je m’habitue à son calibre. Je le sens remuer dans mon orifice… la douleur s’atténue et le plaisir commence à venir. Bruno accélère alors ses mouvements de bassin… je crie à nouveau mais de bonheur cette fois-ci. Sans ralentir la cadence, il va et vient dans mon cul de toute sa longueur, ressortant et me reprenant doucement… je râle et gémis d’extase.
Je tourne la tête pour regarder mon bel étalon me baiser.
– Tu veux me voir mon ange, allez on change j’te prends par devant!
Je me retourne sur le dos et Bruno me soulève les jambes à la verticale avant de m’empaler d’un coup avec son énorme pieu. Je n’éprouve aucune douleur lors de cette intromission, d’autant que Bruno s’active tout de suite avec douceur dans mon rectum, permettant au plaisir de m’envahir sans tarder.
– Oh oui Bruno! Vas y pilonne moi sauvagement, prend moi à fond, possède moi je suis à toi, oui, c’est ça plus fort, viole moi, j’ai envie de me faire baiser!
Mon amant ne se fait pas prier, il me baise maintenant comme un sauvage à grands coups de boutoir, la bouche entre ouverte sur ses mâchoires serrées, le regard fixe, concentré sur sa besogne. Son gland dur et chaud me heurte la prostate, m’envoyant dans la queue des ondes de plaisir qui me rapproche de l’orgasme. Sa pine me brûle comme un fer rouge, ça me chauffe le cul, j’aime me faire piner ainsi par un mâle en rut! Bruno accélère ses coups de queue, de plus en plus vite et de plus en plus fort… jusqu’à la jouissance. Sa queue se durcit et c’est l’orgasme, il est violent, 5 à 6 jets bouillants m’inondent le fond du cul et je sens à mon tour mon plaisir monter, mes doigts se referment autour de ma queue me masturbant sauvagement et je crie en même temps que Bruno, mon foutre jaillit sur son ventre, s’accrochant dans ses poils noirs. Il s’affaisse ensuite sur moi, le corps trempé de sueur, la respiration encore haletante.
– Putain ce que c’était bon, houa, et toi t’as aimé Chris ?
– Ouais j’ai vraiment pris mon pied. Merci de m’avoir forcé… mais je suis quitte pour retourner sous la douche, je pue la sueur et le foutre.
– Vas y, je te prépare ton p’tit déj. Thé ou café?
– Un café noir bien long s’il te plaît.
Je me douche rapidement et m’habille. Ensuite je rejoins Bruno dans la cuisine pour prendre un bon petit déjeuner. Je m’approche de lui et l’embrasse.
– Encore merci Bruno.
– C’est rien mon ange. Et tu n’as encore rien vu…
– Toi, tu me caches quelque chose.
– T’inquiète Chris, tu le sauras bien assez vite…
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