Jeune étudiant en littérature de 23 ans. J’arrondissais depuis quelques temps mes fins de mois en livrant une soixante de journaux à domicile. Celui du samedi de la ville de Québec envers une soixantaine de personnes d’un âge avancé. Offrant aussi mes services pour tondre la pelouse, peinturer l’été puis pelleter l’hiver. J’aidais quelques vieilles dames seules depuis que la saison hivernale était apparue. En m’efforçant aussi de discuter avec elles si elles en ressentaient le besoin…
Andrée – Salut…Moi c’est Andrée…
Moi – Salut Andrée…
Andrée – Belle journée pour prendre une marche…
Moi – Oui…Très belle journée…
Andrée était une vieille dame célibataire de 63 ans plutôt bien conservée. Châtaine aux yeux bleus portant des lunettes. Un peu plus petite que moi mesurant 5 pieds 3 pouces. De silhouette normale avec une poitrine ronde de grosseur moyenne. Mère divorcée ayant deux enfants d’âge adulte. Fort sympathique elle vivait seule dans sa maison avec ses deux vieilles chattes. L’une grise s’appelant Grisaille et l’autre noire s’appelant Germaine…
Andrée – Alors…Il paraît que tu peltes les entrées en hiver…
Moi – Exact…
Andrée – À la première occasion…Sois pas surpris de recevoir un appel de ma part…Tes tarifs sont de combien en passant…
Moi – 10 dollars l’heure…
Andrée – Ah…Très bien…Il y a une jeune demoiselle qui partage ta vie…Sans être trop indiscrète…
Moi – Non…Pas pour le moment…
Andrée – Ah…Dommage…Alors à la prochaine…Et lorsque que tu viens cogner à ma porte et que je ne réponds pas… Entre quand même si celle ci est débarrée…Laisse le journal sur la table de cuisine…Ton argent et ton pourboire y sera au même endroit…
Revenant chez elle le samedi suivant vers 9 heures du matin comme à mon habitude. Je discutais brièvement avec la madame à l’entrée. Elle qui buvait son café et ne portait qu’une robe de chambre de couleur blanche. L’ouverture de celle ci me dévoilant en partie la rondeur et la blancheur de ses seins tombants. Elle semblait vouloir me séduire sans trop m’en faire d’illusions. Remarquant par contre qu’elle avait une odeur de chatte émoustillée. Ma présence la faisant fort probablement mouiller. Pour revenir le samedi suivant et cogner à nouveau à sa porte cette fois ci sans réponse. Ouvrant celle ci qui n’était pas barrée comme elle me l’avait demandée auparavant. Je remarque alors des souliers sur le tapis et une veste inconnus sur un crochet de nature masculine à l’entrée. Déposant son journal sur sa table de cuisine et y récolter mon payement. Des sons indiscrets provenant alors de sa chambre tout près attirèrent alors mon attention…
Jean – Aaaahhh…Aaaaahhhh…Andrée…Aaaaaahhhh…(Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…Slop…)…
Andrée – Aaaaaaahhhhh…Ouiiiiiiiiiii…Continuuuuueeeeeee…
Avec sa porte entrouverte je pouvais entrevoir les deux individus s’accoupler. Je connaissais déjà de vu le vieux monsieur qui était un homme toujours marié vivant dans le même quartier qu’Andrée. Positionné en levrette il pénétrait la vulve baveuse de la madame d’une cadence soutenue. Avec son fessier cambré dans les airs et de la cyprine qui lui coulait vers l’intérieur de ses cuisses…
Moi – (Je crois que je vais y aller)…Tout en marchant sur la pointe des pieds pour ne pas les déranger…
Au troisième samedi revenant chez elle la madame ne donnant une nouvelle fois aucun signe de vie. Entrant espérant ne pas revoir la scène ce que j’avais vu la dernière fois. Même si ma tige fut dressée en un instant en les voyant faire l’amour. Je pouvais entendre cette fois ci l’eau de la douche couler au loin avec la voix d’Andrée qui chantait. Elle semblait être seule cette fois ci. Avec la porte de sa salle de bain entrouverte. Ce qui semblait être devenu une mauvaise habitude chez elle…
Andrée – Sous les feuilles d’un chêne je me suis fais sécher…Sur la plus haute branche le rossignol chantait…
La madame qui revenait avec une serviette à la taille puis les cheveux mouillés…
Andrée – Ah…Salut jeune homme…Tu reviens toujours vers cette même heure à chaque fois je crois…
Moi – Oui…
Andrée – Et samedi passé…Tu es entré de cette même façon à cette exacte même heure…
Moi – Hummm…Oui…À cette même heure…
Andrée – Ah…Bon…Alors…Rien de nouveau…
Moi – Non…Rien de nouveau…
Andrée – Toujours pas de petite copine…
Moi – Non…Toujours pas…
Andrée – Un si beau jeune homme…Tu préfères être seul…Ou bien…
Moi – Je préfère être seul…Pour l’instant…
Andrée – Ah…Alors…Çà fait longtemps…
Moi – Quand même assez…
Andrée – Ah…Alors…On se revois samedi prochain…Sans vouloir trop te faire attendre…
Trouvant cette fin de conversation particulière car il était évident qu’elle savait que je l’avais entendu forniquer avec son voisin de quartier. Revenant au samedi suivant. La madame toujours aussi avare de mouvement à mon arrivé entrant. J’étais à sa table de cuisine une nouvelle fois pour à nouveau entendre des gémissements provenir de sa chambre. Cette fois ci fort probablement seule. Suspectant la dame de se masturber ou bien d’y regarder un film érotique. Il y avait un message inscrit sur la lettre qui contenait mon argent…
Viens me voir à ma chambre…Je ne mords pas…Selon certaines conditions…Si mon âge avancé ne te dérange pas trop… Je pourrais peut-être même étaler 100 dollars de plus à ton égard…
Avec mon coeur qui battait la chamade et mon instinct qui me disait…La madame avait visiblement envie de se faire sauter…Andrée qui était quand même devenue une belle inspiration envers mes nombreuses masturbations nocturnes. N’ayant fait l’amour que deux fois avec une fille assez rapidement. J’étais quand même assez nerveux mais ultra intéressé à venir l’entreprendre. Cognant à sa porte entrouverte pour ainsi voir la madame complètement nue. Avec son fessier cambré dans les airs entrain de se masturber à l’aide d’un petit vibrateur blanc. Elle mouillait comme une chienne et n’attendait que ma tige dressée pour venir l’assouvir…
Andrée – Allez…Viens fourrer ta vieille…
Un peu hésitant au début. Andrée qui ajoute un Aller viens…N’es pas peur…Approche…Pour me forcer un peu la main. J’enlève alors mes vêtements à la hâte pour venir enfourner ma tige dans son antre chaud. La madame qui avait une grosse vulve poilue ruisselante de mouille. Super chaude introduisant ma hampe entre ses lèvres vaginales rosées mouillées. Comme dans une tarte au pomme qui venait juste de sortir du four. Caressant sa peau laiteuse et blanche d’une température corporelle élevée. La madame avait une paire de seins mous tout à fait spectaculaire. Aux aréoles pâles avec de grosses pointes dressées. Naturellement qu’avec mon inexpérience et après une vingtaine de coup de queue j’étais déjà venu. Andrée me disant que ce n’était pas grave et que j’avais juste à recommencer. Essuyant sa fente d’un mouchoir pour l’entreprendre de nouveau en missionnaire. Offerte avec ses cuisses grandes ouvertes. Passant de une à plusieurs minutes cette fois ci. Ne récoltant que quelques gémissements de sa part sans trop de conviction. Andrée ajoutant de ne pas trop m’en faire avec celà. Que j’allais pouvoir l’entreprendre autant de fois que je le veux au courant des semaines à venir. Et qu’elle allait parfaire mon éducation sexuelle à sa façon…
Andrée – Je suis ta première…Ou bien…
Moi – Non…Ma deuxième…
Andrée – Avec une fille de ton âge…
Moi – Oui…Une de mon âge…
Andrée – Pas souvent…
Moi – Pas souvent…
Andrée – J’avais perçu ton manque d’expérience…Sois pas inquiet…Si on le fais souvent ensemble…Tu risques d’en apprendre bien des choses…Crois moi…Tu m’as vu avec le vieux monsieur Jean…
Moi – Oui…Malheureusement…
Andrée – Sois pas inquiet…C’était voulu…Il vient me voir trois fois par année à peu près…Pour se changer les idées…
Moi – Ah…Bon…Sa femme le sait…
Andrée – Non…Mais il ne font plus l’amour…Alors je me sens moins coupable…T’aimerais connaître mes amies…En passant…Une fois bien éduqué…
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