Je viens partager mon histoire aujourd’hui, elle n’est pas fictive mais bien réelle. Pardonnez mon style d’écriture, je ne suis pas écrivain, encore moins lisse et Corporate.. Il n’y a rien de mieux que de partager le réel, sans filtre, sans tabou.
Je m’appelle david, j’ai 30 ans, je suis en couple depuis 5 ans et pleinement heureux. Avant elle, j’ai eu mille histoires, façon de parler, souvent éphémères et pleines de luxure. Cependant j’ai toujours eu ce besoin de cultiver une forme de jardin secret. Non pas de double vie, car mes compagnes étaient toujours au courant de ma conception des choses. Je ne suis pas dragueur, à la recherche de conquêtes perpétuelles, au mieux charmeur, plutôt dans le besoin pimenter secrètement ma vie de façon ponctuelle.
Si je croise la route d’une femme célibataire, pleine d’envie pour un 5 à 7, je tourne les talons. Ce n’est pas ce que je recherche. Il me faut une part de risque, d’interdit, d’atypique. Une émulation des sens où je flirte, voire surfe sur la ligne rouge… Jusqu’au jour où je l’ai dépassé … Jusqu’au jour où belle maman est passée de mère parfaite et épouse bien rangée à petite chienne soumise sans limite et i****tueuse.
Je me demande en vous racontant cette histoire, qui la lira… Des jeunes hommes comme moi qui ont tous connu ce fantasme de la femme mûre ou au contraire aux femmes biens rangées qui n’osent pas sauter le pas vers cet inconnu, jeune ou moins jeune à cause de la morale et de la bienséance…?
Elle s’appelle Florence, (j’ai évidemment changé son prénom, comme tous les autres ici, sauf le mien), elle approche de la soixantaine. Je dois avouer qu’elle est pleine de charme, brune chatain, 1m60 environ, quelques kilos en trop, mais ce sont ces formes qui ne m’ont jamais laissé insensible.
Je la connais depuis le début de mon histoire avec sa fille. Dès le premier rendez-vous, je l’ai trouvé belle, féminine, souriante, un brin taquin… Enfin bref, une mère dont tous les enfants rêvent, et que tous maris désirent…
Nous allons assez régulièrement chez mes beaux parents, un dîner, un café, parfois même le week-end pour profiter de la campagne et de la piscine pendant l’été. Le père de ma copine voyage beaucoup, l’argent se trouve aussi au delà des frontières dit il souvent…
Comme à chaque fois, son regard pétille quand nous passons le seuil de sa porte, heureuse de nous voir à la maison. Elle est très complice avec sa fille.
Au fil du temps, elle est devenu une amie, qui se confie des tensions avec beau papa, sans plus de détails, et des banalités du quotidien… Elle est consciente de mon statut de gendre mais oublié parfois qu’on ne raconte pas que son mari la touche de moins en moins, pourtant j’aime ces conversations à cœur ouvert… Elle est très à l’aise, tout comme sa fille avec les mots et son corps. Il est commun de la voir en robe de chambre légère au petit déjeuner ou sans soutien gorge sous son chemisier lors de nos déjeuners en terrasse dans le jardin.
Elle n’est pourtant pas exhibitionniste, encore moins aguicheuse, simplement son curseur de pudeur est plus poussé que la plupart des gens de notre société.
Cette femme me plaît, malgré son statut de belle mère, elle m’attire vraiment. Il y un an, quoiqu’il en coûte, je commence à jouer, nous verrons où cela nous mène… Nous nous écrivons régulièrement par SMS, rien de secret, rien d’interdit, pour venir aux nouvelles ou confirmer un rendez-vous. Je commence à remplacer, le classique » bonne soirée » à la fin de mes SMS par » bisous » puis » je vous embrasse »… Ça n’a l’air de rien, mais elle prie rapidement l’habitude de me répondre avec ces mêmes termes.
Ma copine est partie en vacances une semaine avec des amies, je pense à belle maman et me risque à lui envoyer un message :
– Que faites-vous cet après-midi ?
Elle me répond par une photo de ses jambes face à la piscine :
– Avec cette chaleur, je prélasse, la piscine est délicieuse…
Mon esprit est-il définitivement pervers ou jouait-elle avec l’image et le double sens des mots ?
– Viens si tu veux, nous irons à l’aéroport chercher Émilie (ma copine) ensemble ?
C’est la première fois qu’elle m’invite en l’absence de ma copine.
Une trentaine de minutes me sépare de la ville vers cette piscine que je désire autant que belle maman.
– C’est sympa que tu sois venu, je m’ennuie un peu à la maison.
– Philippe n’est pas là ?
– Non il rentre ce soir.
A défaut de jouer carte sur table, je dois profiter de cet instant, entrevoir si le désir est réciproque même si je joue avec le feu.
– Pour être honnête belle maman, j’ai pensé à vous cette semaine mais je n’osais pas vous solliciter pour venir seul profiter de la piscine.
– Tu aurais dû, c’est agréable de passer un moment ensemble, c’est rare !
Je compris donc que ces moments privilégiés non pas interdits mais critiquables pour certains, ne la laissent pas insensibles.
– Je monte mettre un maillot et reviens !
– Oui, et j’ai un rosé au frais, si tu veux bien me servir un verre sur le retour…
Je monte en vitesse, passe devant la chambre parentale et aperçois négligemment posé sur la table de nuit un gel lubrifiant. Je me fige. Tant de fois je l’ai imaginé s’adonner à un plaisir solitaire, ou dans une baise intense. Que faire ?
Ma curiosité m’empêche de passer ce détail. J’entre, et ouvre le tiroir de sa table basse. Un petit vibro rouge à lèvres. Et s’il s’agissait là de la face émergée de l’iceberg ? Ce gel ne pouvait avoir servi à cela.
La salle de bain privée n’est qu’à quelques pas, aucun risque d’être pris, j’y vais. A peine après avoir poussé la porte, je vois sur le rebord du lavabo un gode aux dimensions qui donnerait presque un complexe à la plupart des acteurs pornos ! Il vient d’être lavé, des gouttes d’eau sont encore dessus.. Incroyable ! Belle maman que je sais joueuse s’adonnait à un plaisir solitaire juste avant mon arrivée. Rien d’anormal me direz vous, mais vous auriez vu la taille de l’engin !
Je redescends et lui serre un verre, allonger sur son transat, mon regard plonge sur son entrejambe, imaginant ce gode gigantesque la pénétrer de toute sa longueur.
Il faut que j’aille à l’eau, un début d’érection se fait sentir… Elle pense être à l’abri des regards derrière ses lunettes de soleil mais je vois bien ses yeux, elle me passe en revue de haut en bas et remonte sur mon short de bain. Pas de doute je suis pris en flagrant délit. Elle ne dit rien.
Je sors de l’eau, immédiatement je vois son regard de nouveau sur mon caleçon mouillé me collant à la peau. Je m’allonge sur mon transat, nous trinquons à l’été enfin présent.
Quelques verres après, elle part se préparer. Son téléphone vibre, un message entrant. Nous attendions la confirmation que ma copine soit bien arrivée à l’aéroport pour son vol. Je jette un œil et tombe sur l’aperçu du message :
« ton gendre fait chier, te baiser en vitesse c’est si frustrant. »
Je tiens enfin un gros, un terrible secret qui, s’il était avoué, pourrait faire des ravages…
Je prends le temps de finir mon rosé, la voit revenir, att****r son téléphone :
– Vous avez reçu un message, c’est Émilie ?
– Heu… Non non un SMS pub.
– OK, je vais me doucher on se rejoint dans 15 minutes à la voiture ?
– Oh prend ton temps, je dois ranger un peu avant.
Finis la retenue, j’attaque. Le premier missile ne tarda pas à être lancé :
– C’est vrai qu’une douche en vitesse, c’est si frustrant… » lui dis-je en souriant avant de partir vers la salle de bain.
Elle resta figée. Je la rejoignis dans la voiture garée au sous-sol de la maison. Très silencieuse et mal à l’aise, elle me dit simplement :
– Ne dis rien s’il te plaît. C’est une bêtise, je n’aurai pas dû. Ne dis rien…
– Vous le voyez depuis longtemps ?
– Non, c’était notre deuxième rendez-vous.
– Et ?
– Et quoi ? Je regrette évidemment.
Puis me lance vraiment, dans tous les cas, j’aurai son silence réciproque en cas d’échec.
– En vaut-il la peine ? Philippe ne vous touche plus ?
– Ce n’est pas dingue, mais au moins quelqu’un s’occupe de moi. J’ai bientôt soixante ans mais je ne suis pas éteinte… J’ai toujours des envies et des besoins, Philippe est très traditionnel, et cet homme… pas bien vigoureux, me dit-elle en rigolant.
– Qui est-il ?
– Alain, notre notaire, un ami de Philippe. J’ai honte…
Je la sens retenir un sanglot…
– Vous avez besoin d’un homme qui prenne les choses en main ?
– Certainement, mais changeons de sujet, ça devient gênant..
– Non. Voilà le deal, vous voulez mon silence ? Je veux votre plaisir. Je vous fantasme depuis le premier jour.
Elle s’arrête à un feu rouge, me regarde, les joues rouges, choquée ou intimidée :
– Mais enfin David, qu’est ce qu’il te prend, je suis ta belle mère !
– Je vous ai vu regarder ma queue à la piscine, ne faites pas l’innocente. Je ne dirai rien pour cet écart, mais vous ne pouvez plus le voir. Dorénavant, c’est moi et moi seul qui dirige votre plaisir. Il y a deux règles à respecter à compter d’aujourd’hui. Vous n’avez pas le droit de dire non à mes ordres, mais vous pouvez dire stop. Parce que vous n’imaginez pas jusqu’où je vais vous emmener. Et cela commence dès ce soir, d’accord ?
– Mais David…
– Écoutez Florence, je ne vais pas vous faire du chantage psychologique indéfiniment, si je parle vous perdez tout, si vous me suivez dans ce jardin secret, vous allez enfin vous devenir la vraie salope qui sommeille en vous.
Le dépose minute de l’aéroport est en vue, je décide de commencer le jeu maintenant.
– Salope ? David vraiment, c’est humiliant…
– Florence, retirez votre culotte, donnez-la moi. Vous pouvez encore dire stop… Mais je vous le déconseille. Au fait, je vous laisse le choix. Florence la petite chienne ou Florence la petite soumise …?
Elle détache sa ceinture, relève légèrement sa robe, me donne sa culotte, terriblement gênée et me répond :
– Florence la petite soumise.
– Parfait. N’en parlez à personne et attendez mes instructions ce soir…
Emilie arrive au loin. C’est le moment où j’ai eu le plus peur. Va t elle tout avouer face à sa fille ? Me trahir ? Il n’en est rien, elle l’embrasse comme si de rien n’était, ravie de revoir sa fille. J’embrasse Émilie, la serre contre moi, je sens dans ma poche la culotte de sa mère qui vient d’accepter de m’être soumise.
– Ça va maman ? Tu as l’air d’avoir chaud !
– Oui oui, j’ai chaud, rendrons à la maison l’air y est plus respirable !
Le trajet retour se passe sans encombre, pleins de banalités. Il est 19h, nous arrivons à la maison, Émilie monte immédiatement dans sa chambre défaire sa valise. Je me retrouve seul dans la cuisine avec Florence et lui dit à voix basse.
– Quand Philippe arrive t il ?
– Pas avant 21h je pense.
A cet instant, mon excitation est au summum, mes pensées sont confuses et je ne sais par où commencer, il faut que je donne du rythme à la soumission, sans quoi elle pourrait s’en échapper, sans quoi elle pourrait déchanter en voyant Philippe. Il faut que je tape fort, savoir si elle a vraiment accepté son rôle de soumise sans concession. Je sors sa culotte en dentelle noire de ma poche.
– Je vais monter voir Émilie. Dans le bordel de sa valise défaite, j’en profiterai pour y glisser votre culotte. Pendant que je la baiserai, pour étouffer ses gémissements je lui dirai de mettre cette culotte dans la bouche. Pendant tout ce temps, vous m’attendez au pas de la porte, d’accord ?
Je la sens troublée, dans un soupir entre excitation et résignation, elle me dit oui.
Je prends sa main, montons ensemble l’escalier. J’entre dans la chambre en laissant Florence à l’entrée. Émilie ne la voit pas. Elle aussi à son côté soumise, elle est entrain de trier ses vêtements. J’arrive dans son dos, caresse ses fesses. Je l’incline sur le lit et lui donne une fessée. Elle claque fort, je sais que Florence a entendu, cela m’excite. Je guide Émilie juste derrière la porte, aperçoit l’ombre de Florence au pied de celle ci de l’autre côté.
– Mets toi à genoux, sors ma queue.
Émilie s’exécute immédiatement. Je plaque sa tête contre la porte et commence à baiser sa bouche doucement. La porte claque à chaque aller-retour.
– Arrête ma mère va nous entendre.
– Mets-toi à 4 pattes.
Émilie baisse son short et sa culotte jusqu’aux chevilles. Je fais mine de chercher dans sa valise, att**** la culotte et la plonge dans sa bouche.
– Avec ça, ta mère ne t’entendra pas.
Je commence à la prendre profondément. La tête d’Émilie est à quelques centimètres de la porte, Florence entend ses râles. Je décide de jouir rapidement. Elle sort la culotte de sa bouche, se relève et laisse couler mon sperme dans cette dentelle noire sans imaginer, sans savoir, que ce n’est pas la sienne.
Florence entend sa fille plonger sur le lit, elle me donne la culotte.
– C’est bon de se faire baiser comme ça…
– Donne-moi la culotte je vais la mettre dans la panier à linge sale.
J’ouvre la porte de la chambre, Florence est là au pied des escaliers, les joues rouges, semble timide. Je me demandais si elle allait rester ou pas. Je referme la porte et lui dit à voix basse.
– Florence, vous n’allez pas rester sans culotte toute la soirée. Remettez-la et garder la jusqu’au coucher.
Elle regarda la culotte, souiller par sa fille qui vient de laisser couler mon sperme dessus et s’essuyer avec… Florence ne perdit pas une seconde, me fixa dans les yeux comme un signe de défiance, enfila la culotte et redescendit sans un mot, malgré un léger sourire qui trahit son plaisir de soumission et immoral…
Voici la première étape de soumission de Florence, ma belle mère. Ce n’était que le début… Si cette histoire vous a plu, j’attends vos commentaires, et vous raconterai la suite avec grand plaisir sur ce même site.
David.
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