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la pause de midi au boulot

la pause de midi au boulot



La pause, au bord du canal

* * *
C’est l’été et, bien entendu, il fait très chaud, malgré la clim dans les bureaux. Vêtue seulement d’une robe légère et décolletée, enfilée par-dessus un ensemble lingerie de dentelle et nylon fin, petite culotte beige et soutien-gorge balconnet assortis, dont on devine les limites sous le fin tissu de la robe et qui dévoile le haut de mes seins, le midi, je prends l’habitude d’aller au bord du canal du midi me reposer en grignotant un morceau.
Assise sur le talus, je lis un roman à l’ombre. L’endroit est désert, excepté un jogger qui court en bas le long du canal. En passant, je remarque qu’il jette un petit coup d’œil dans ma direction.
Intriguée, j’attends son prochain passage car il a fait demi-tour. Lorsqu’il approche, je remonte mes jambes en pliant mes genoux sur lesquels je pose mon livre, dans lequel je feins d’être plongée. Du coup, j’écarte un peu mes pieds pour tenir le livre bien calé et cela a pour effet de dévoiler l’intérieur de mes cuisses en totalité, jusqu’au fin tissu de ma culotte tendue, moulant ma chatte. Derrière mes lunettes de soleil, je guette son arrivée.
Arrivé en contre-bas de moi, il s’arrête et fait des mouvements d’assouplissement, bien évidemment destinés à être un alibi pour reluquer mes cuisses. Je fais semblant de ne pas l’avoir vu et, restant cuisses généreusement dévoilées, je continue à lire. Le gars tire la tête et se rince l’œil à sept ou huit mètres en-dessous de moi. Il doit voir mes cuisses encore blanches et le bombé de ma chatte emprisonnée dans le nylon de ma culotte beige. Je commence à mouiller car cela m’excite beaucoup de me sentir observée par ce « jogger », qui mate intensément mais ne semble pas vouloir s’enhardir.
D’ailleurs, il s’éloigne me laissant seule aux prises avec mon excitation pendant cette pause, que je sais courte -et il me faut agir vite. Alors qu’il est loin, une idée coquine me traverse l’esprit. Seule, je me soulève un peu, j’étends mes jambes et je fais glisser ma culotte que j’enlève, puis range dans mon sac à main. Je reprends la même position, mais chatte à nu maintenant, tout en reprenant ma lecture. Le « jogger » ne tarde pas à repasser dans l’autre sens et, je tremble légèrement d’émotion en le voyant arriver mais je garde la position.

Comme tout à l’heure, il s’arrête en bas et reluque dans ma direction. Cette fois, il reste un bon moment à mater intensément entre mes cuisses, esquissant trois ou quatre mouvements alibis inutiles vite oubliés. Je ne bouge toujours pas; il doit avoir une belle vue offerte par le spectacle de mon intimité.
Il se met à grimper le talus vers moi. Au fur et à mesure où il approche j’écarte un peu plus mes genoux et mes cuisses. Derrière mes lunettes, je vois qu’il est ému et qu’il déglutit fortement. Arrivé pratiquement à ma hauteur, il se met à genoux face à moi. Alors, j’étends une de mes jambes vers lui et, ayant déchaussé mon pied de ma ballerine dorée, je le pose sur la bosse formée par sa tige raide dans son pantalon de jogging. Avec la plante de mon pied, je masse cette turgescence, que je sens palpiter.

L’homme est excité et apprécie; il pose une main sur ma cuisse et la fait remonter doucement à l’intérieur de ma chair, sans m’empêcher de poursuivre ma caresse du pied. D’ailleurs, je me cambre et tends mes reins vers cette main, bombant le torse, ce qui fait durcir le bout de mes tétons sous le fin tissu de la robe.
La main glisse un peu plus loin entre mes cuisses et je sens un doigt arriver vers ma chatte chaude, brûlante. Là, le doigt s’immisce parmi les poils de ma toison puis dans le doux sillon séparant la vulve de la cuisse, qu’il caresse doucement. La paume de sa main est toujours appliquée contre ma cuisse et j’accentue la pression de mon pied sur son sexe comme pour l’encourager. Alors, il glisse un doigt entre mes lèvres humides, il ramasse la cyprine à l’entrée de ma grotte intime et l’étale sur toute la chatte, puis remonte le sillon et cherche mon clito.
Subjuguée par cette douce caresse, je me penche en arrière bien appuyée sur mes bras tendus, bombe le torse encore plus, ma robe moulant bien mes seins aux bouts dardés et, fermant les yeux, je me laisse faire.
La caresse se fait de plus en plus précise et je commence à haleter lorsque le doigt pénètre plus avant dans mon conduit intime. Je serre les cuisses comme pour empêcher ce doigt de ressortir, je contracte mon ventre et je suis « à deux doigts » de jouir lorsqu’il titille mon clito avec son pouce.
Affolée par ma propre indécence en public, je me dis que je ne vais pas aller plus loin ici à deux pas de mon bureau et je rassemble mes affaires comme pour partir, non sans fixer intensément l’homme au niveau de son sexe raide et vertical dans son jogging.

Forcément un peu déçu, il me regarde avec des yeux avides et suppliants, tout en se léchant les doigts imprégnés de mon liquide.

D’une voix douce, il me dit « que c’est bon! » et propose de me raccompagner. Moi, coquine, j’accepte volontiers et le suis jusqu’à sa voiture. L’homme m’ouvre la portière et, en m’asseyant, je relève ma robe en écartant mes cuisses plus que nécessaire; restant là un moment, je le laisse son regard baveux violer mon intimité. Je m’installe dans la voiture tout en laissant ma robe remontée en haut des cuisses.
Durant le trajet, je me laisse admirer, parfois je lève ma jambe droite pour croiser mes jambes et, dans ce mouvement, je laisse ma robe remonter encore plus et subrepticement mon entrecuisses dévoilé, pour laisser deviner ma toison. En même temps, je contemple l’entrejambes du conducteur: cela m’excite de voir cette excroissance raide moulée par le jogging, qui est un véritable hommage à ma féminité.
Le trajet est assez court et, arrivé à destination, l’homme gare sa voiture au parking en marche arrière contre le mur aveugle du bâtiment. A cette heure là et en été, il n’y a personne.
Je ne descends pas et j’attends qu’il vienne m’ouvrir la portière. Ayant jeté un rapide regard alentour, je me tourne vers lui dans un geste ample et, ma jambe droite posée sur le sol alors que la gauche est encore sur le plancher de la voiture, je lui exhibe ma toison et ma chatte totalement offerte à vingt centimètres de lui.

Silencieux, le mec se régale de me mater ainsi. Alors, avant de me lever, je me tourne vers lui, je baisse prestement son pantalon de jogging, dénudant son sexe raide et dur, qui se dresse fièrement devant moi. Son gland décalotté exposé est beau et luisant, je contemple ce membre qui palpite devant mes yeux, ce dard que j’ai imaginé pendant le court trajet. Rapidement, je me penche et je pose mes lèvres sur cette queue et je l’avale, je l’aspire à fond. Je savoure ce moment fugace où je sens le membre palpiter dans ma bouche, excitée par cette situation où l’homme est à ma merci tétanisé par la crainte de se faire découvrir dans cette position; d’ailleurs, il n’ose pas faire le moindre mouvement.
Coquine, j’en profite et je fais tournoyer ma langue sur le gland doux avant de rejeter la tige, de me redresser comme si de rien n’était, laissant l’homme ainsi, la tige dure à lui faire mal, raide dans son jogging.

Je me dirige vers la porte arrière du bâtiment et entre, laissant la porte ouverte. Evidemment, l’homme me suit et referme la porte derrière lui. Dans la semi-pénombre de ce couloir désert, je l’attends debout contre le mur, robe retroussée, ma main droite plaquée contre ma chatte, les doigts farfouillant ma moule, et je me masturbe en me balançant d’avant en arrière. L’homme sort sa bitte, dégage ses couilles et se masturbe à vingt centimètres de moi. Je regarde sa main enserrant cette bitte raide, qui peu à peu approche de moi.
Quand il est tout près, je me retourne vivement, je soulève ma robe jusqu’à mes reins cambrés et, me penchant un peu en avant, j’écarte mes cuisses et, entre leur compas écartelé, sous les globes blancs de mes fesses offertes, je lui offre la vision de ma vulve ouverte et humide. L’homme la contemple un moment en caressant mes fesses du replat d’une de ses mains.
Il s’approche, bitte à la main, un engin superbe que je lorgne avec gourmandise; il la dirige vers ma chatte et je sens le gland venir tutoyer mes lèvres trempées. Lentement, longuement comme pour me faire regretter de l’avoir laissé tout à l’heure avec sa bandaison, il badigeonne ma vulve de haut en bas avec son gland turgescent. Il va et vient ainsi une bonne vingtaine de fois, tout en paluchant mes fesses offertes, que j’agite de plus en plus.

D’un seul coup, il m’enfile et je manque de tomber en avant. Reins cambrés, je me redresse un peu et je passe mes mains derrière moi et m’accroche à la taille de l’homme, qui, pour me retenir, plaque ses mains sur mes seins excités à moitié sortis de mon décolleté.
Ainsi comprimée, ma poitrine me fait un peu mal mais ses pognes me font du plaisir et je gémis. L’homme donne de grands coups de reins et m’empale encore plus en me soulevant presque du sol. Sexes imbriqués, par petits bonds, nous avançons ainsi soudés dans ce couloir. A chaque coup de boutoir, je sens le sexe de l’homme buter contre ma matrice, j’ai l’impression que cette queue gonfle encore plus dans mon ventre, poussant et comprimant mes chairs intimes. Sa tige me bourre profondément et rapant ma paroi agace mon point sensible.

Mais cette position est très inconfortable pour moi et probablement fatigante pour lui car progressivement il me laisse reprendre contact avec le sol : alors, je sens moins sa bitte au fond de moi et je la laisse même sortir. Délicatement, il me fait me retourner et lui faire face. Dans la pénombre nous nous regardons en silence.

Il ne fait plus mine de m’enfiler et semble prendre un peu de répit. Alors, il s’approche de moi et commence à m’embrasser. Sa langue se darde au fond de ma bouche, pendant que ses pognes parcourent mon corps. Je sens sa pine tendue frotter mon bas-ventre et s’aplatir contre ma chair. Lâchant mes lèvres, sa bouche descend doucement et il commence à me sucer le bout d’un de mes seins, tout en caressant l’autre. Les yeux fermés, appuyée dos au mur, je me laisse faire.
Prestement, il s’agenouille et sa bouche vient se plaquer sur ma chatte : d’abord il embrasse mes poils et lèche ma mouille étalée; puis doucement il vient embrasser mes lèvres humides. Je sens par moments sa langue s’immiscer dans ma vulve et remonter agacer mon clitoris dégagé par ses baisers.
Je caresse sa tête et je sens la jouissance commencer à monter. Lui aussi, certainement, car sa langue entreprend de tournoyer de plus en plus vite sur mon clitounet. Je serre les cuisses contre ses joues. Il empoigne mes fesses par en-dessous et appuie son baiser profond à ma chatte. Parfois, sa langue s’enfonce loin dans mon vagin, alors que c’est son nez qui continue d’affoler mon clito. Sa bouche suce et aspire mes lèvres. Brusquement sa langue revient au clitoris, alors que mes lèvres sont presque en totalité dans sa bouche qui m’aspire. J’explose. Je lui enserre la tête de mes deux mains. Ma cyprine ruisselle dans sa bouche et il me boit. Je tressaille de tout mon corps et je jouis comme une folle presque en silence.

Quand je me détends enfin, il me relâche, se relève et me regarde fier de lui : il peut l’être. Baissant les yeux, je vois sa pine tendue vers le haut et, voulant laisser ma chatte en repos, je m’accroupis à mon tour pour sucer ce bel engin. Avec douceur, j’arrondis mes lèvres et je commence à gober lentement le gland. Puis je le ressors de ma bouche, l’embrasse délicatement et darde le bout de ma langue dans son méat entrouvert. Je le sens se cambrer en arrière et pousser légèrement. Je l’enfourne alors en totalité. Il gémit et se trémousse. Je pompe ce dard avidement. Ma bouche va et vient le long de cette colonne de chair hyper durcie. De temps en temps, le gland vient buter au fond de ma gorge et je sens le doux contact de ses grosses couilles poilues contre mon menton.
Le mec s’affole et baise ma bouche. Coquine, je fais ressortir la tige bien épaisse maintenant, lui donne des petits baisers tout le long par en-dessous, tout en la maintenant tendue au-dessus de mon visage avec ma menotte douce. Et, je viens lui lécher les bourses gonflées.
Ceci nous donne un peu de répit à tous les deux.

Alors, il me relève. Nous nous embrassons d’un baiser appuyé où les goûts de sa bitte et de ma chatte se mélangent. Je tiens toujours sa pine dure dans ma main et je l’approche de ma chatte.

Appuyée dos au mur, j’écarte à peine mes cuisses. Lui, il fléchit légèrement les siennes pour mieux m’approcher.
Son dard est face à ma foufoune humide et dilatée. Il m’embroche sans coup férir en me faisant remonter un peu contre le mur. Trois ou quatre coups de reins bien appuyés lui permettent de me pénétrer plus avant. Il me fixe dans les yeux, se mordant la lèvre, il donne des coups de boutoirs profonds et espacés. Je me régale, la queue me fouille bien.

Je sens alors ma folie me gagner. Mon bas-ventre se tend vers lui simultanément à ses coups de treuil et je gémis haletante. Il me tient par les hanches et sa pine me cloue au mur, alors que éloignant un peu son buste il contemple cette pénétration. Je regarde aussi et je vois cette longue et grosse queue disparaître au fond de ma chatte puis ressortir presqu’en totalité. Cela m’affole, j’ai envie de jouir à nouveau mais le gars n’accélère pas.

Prestement, j’enserre son cou avec mes bras et je viens nouer mes deux pieds autour de sa taille. Alors, il m’empoigne par le dessous de mes cuisses et me bourre encore plus profondément et surtout plus vite. Sa pine accélère et tape de plus en plus fort au fond de mon vagin, alors que son souffle se fait de plus en plus bestial.
Des petits grognements accompagnent ses coups de bitte. Moi, je gémis, secoue la tête, laisse chavirer mes yeux et commence à haleter. Le type me tient toujours et me pine carrément violemment en me clouant au mur. L’extase approche car à chaque passage son gland chatouille mon point sensible. Il le sent car il ramone en remontant son dard. Je serre les pieds comme une folle et dans un profond et long gémissement je jouis à nouveau.

Haletante et pantelante, je laisse retomber mes jambes et mes pieds touchent à nouveau le sol. Hagarde, je sens encore sa queue aller et venir en moi mais avec un rythme différent plus désordonné. Il va jouir aussi certainement. J’ai du mal à lui répondre et à accompagner sa bourrée car je n’en peux plus.

Il se retire alors et me fait face. Sa tige est droite et tendue au maximum, son gland me paraît encore plus gros. J’écarquille les yeux car cet engin est encore plus démesuré.
Le mec me regarde avec un petit sourire béat. Il empoigne sa queue avec sa main droite, se masturbe trois ou quatre allers-retours en suffoquant frénétiquement, la tige tendue à dix centimètres de ma chatte et, d’un seul coup, il commence à décharger en gémissant comme un forcené. La première giclée m’éclabousse et inonde les lèvres qui ruissellent de son foutre blanc et crémeux, une seconde un peu moins précise s’étale parmi mes poils blonds. Mais il continue à tirer sur son engin en le relevant vers mes seins et mon visage. Subjuguée, je le regarde faire : sa main serre fort la tige, comprime le gland deux ou trois fois puis le libère en même temps qu’une bordée de sperme supplémentaire, tout aussi abondante que la première et qui m’atteint au visage. Je suis tellement surprise que je le laisse continuer et sa pine continue à cracher maculant mes seins.
Dans un râle profond il essaie de faire dégorger ses dernières gouttes qu’il aurait probablement basardées sur ma robe si je ne m’étais précipitée accroupie pour les recueillir dans ma bouche.

Un petit « oh! » accompagne ma dernière sucée de son sperme.

Toujours sans un mot, nous nous rajustons tous deux. Il quitte le couloir après un dernier baiser et un petit signe d’au revoir et je me dirige vers l’ascenceur pour regagner mon bureau.

Quelle pause déjeuner! C’était si bon tout ce sperme! Je me lèche les doigts englués de celui recueilli sur mes joues.

Coquine, j’en garde un peu pour que mon patron et mes collègues hommes le voient en buvant le café! Je n’éluderai pas les questions. Sûr que mon patron, ce vicieux, va encore vouloir que je lui raconte.

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