Nous étions tous arrivés à bon port chez mes grands-parents et il nous fallut à Annie, Jean et moi perdre l’habitude de vivre nus, car, ni mes aïeux et mes parents étaient naturistes, ils avaient accepté que Jean et moi aménagions derrière la haie, un solarium. Des pares vents la rendaient hermétique aux regards de nos parents, également étaient disposées trois chaises longues et une grande couverture sur la pelouse pour éventuellement coquiner.
Mais voilà rien ne se passa comme imaginé, ma grand-mère, ma mère voulurent passées du temps avec Annie, elles investirent les lieux et acceptèrent qu’Annie offre son corps dénudé au soleil en leur présence.
Mon papi, mon père, mon oncle et moi, allions ces après -midi là à la pêche en rivière ou en mer selon les marées.
Deux ou trois fois nous avons pu, Annie et moi nous retrouver, après le dîner alors que les autres jouaient aux cartes, nous partions pour une ballade digestive, à vélo.
A quelques kilomètres de la maison au milieu d’un petit bois, nous retrouvions nos envies bestiales, Annie telle une chienne en chaleur réclamait mon sexe, pas de place pour les préliminaires ni pour les caresses, nos langues dansaient la sarabande, nos salives mêlées coulaient de nos bouches, en appui sur un tronc d’arbre, bras tendus, jambes écartées, cul tendu, offert, je la prenais sauvagement, sous mes assauts ses pieds décollaient du sol, elle était comme hystérique réclamant d’être encore plus sauvage, de la défoncer, de lui dire les mots qu’elle aimait et qui m’excitaient.
Sentant mon plaisir arrivé je me retirais, elle, prestement se penchait et prenait mon membre en bouche et récupérait sans en perdre une goute mon foutre, qu’elle nommait « mon nectar ».
Puis nous rentrions retrouver les autres toujours attablés.
Nous aurions aimé que cela se reproduise tous les jours mais il ne fallait pas éveiller les soupçons. C’est Jean qui profita le plus de ces ballades digestives.
Les sorties à la plage se faisaient en famille, impossible pour Annie de mettre son maillot de bronzette, il aurait été décadent pour mes grands-parents et parents. Sauf une fois…….
Un jour, ces derniers trouvant qu’il faisait vraiment trop chaud, restèrent au frais dans la maison, Annie en profita pour mettre son maillot sous une petite robe d’été. Le trajet fut très hot, prétextant d’avoir trop chaud, Annie fit glisser sa petite robe et se retrouva en soutient gorge, non en protège téton, est plus exact, vous imaginez aisément dans quel état Jean et moi nous étions.
La plage était séparée en deux, un côté textile et un côté naturiste, une barrière de rochers marquait la frontière. Nous trouvâmes une place près de cette barrière côté textile, à cet endroit pas de famille composée d’enfants, les parents ayant peur que leur progéniture deviennent aveugles en voyant des naturistes.
Jamais j’eus l’occasion de voir autant de têtes de tourner, de yeux exorbités, de cous déboités, d’hommes mais aussi de femmes.
Annie dans son maillot de bronzage, prenait, d’un air très naturel, des poses très aguichantes, provocatrices, elle était surexcitée de se montrer ainsi.
Assise, elle bombait le torse, projetait en avant ce petit morceau de tissu qui couvrait ses tétons, souvent jambes écartées elle montrait son intimité si peu couverte.
Sa façon de s’enduire les seins, le corps de crème protectrice était une invitation aux caresses surtout quand allongée, jambes écartées, elle tirait d’une main sur le cordon, le tissu couvrant sa chatte s’insinuait entre les lèvres et de son autre main massait ses grandes lèvres de crème. Heureux ceux et celles placés en face.
Sur le dos à tour de rôle ou ensemble nous lui enduisions le corps de crème, chacun un lobe charnu, nous écartions ses fesses, pour hydrater le petit trou, pas un centimètre nous échappait.
Jean et moi nous étions en érection sans cesse, nous n’étions pas les seuls je pense j’étais un peu gêné de cet état quand tout les trois nous passions entre les serviettes pour nous rafraichir.
Annie, revenant à nos serviettes, replaçait sur un téton voire les deux, le petit morceau d’étoffe. Une fois sèche l’opération hydratation reprenait.
Annie nous fît savoir qu’elle n’en pouvait plus, qu’elle voulait nos sexes, après vérifications, sa chatte, sans aucun doute possible, réclamait.
Nous franchîmes la barrière de rochers pour passer chez les naturistes en direction de la falaise, là dans la falaise un renfoncement comme une petite crique de sable protégée sur un des côté par des rochers, endroit parfait pour quelques coquineries.
Allongés, nus, sur nos serviettes, chacun notre tour Annie suça nos membre déjà dressés, elle nous chevaucha, commençant par Jean, activant son bassin avec frénésie d’avant en arrière, elle jouie rapidement en même temps que Jean qui en elle déversa sa liqueur.
Elle se leva, le sperme de Jean coulait de sa chatte quand elle me chevaucha, son bassin repris sa danse, elle se mordait la lèvre inférieure tant c’était bon, Jean la traitait de chienne, de pute, elle acquiesçait, réclamait que Jean lui mette deux dans son petit trou, un orgasme puissant la dévasta, la fit s’écrouler sur moi, sentant la pression des doigts de Jean sur ma queue, je me déversai en elle. Puis vint l’heure de rentrer, le trajet fut plus sage, Annie nous remercia pour cet après-midi d’excitation et de plaisir.
Le mois d’août s’écoula ainsi en de tendres moments passés avec mes grands-parents et de très excitants instants avec Annie et Jean.
Après les deux mois que je venais de passer, je savais ce que je voulais, que ce serait difficile mais je l’espérais, pas impossible.
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