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[Lu sur le net] Les fantasmes de Caroline 4

[Lu sur le net] Les fantasmes de Caroline 4



Le lendemain nous rentrons en fin de matinée et Franck m’oblige à prendre mon après-midi pour me « détendre et me reposer ».
Malgré son petit sourire en coin, j’apprécie d’être tranquille et après une petite sieste, je vais faire un tour dans le jardin. Je suis en short et haut genre débardeur car il fait assez chaud. Tout en regardant mes fleurs, je repense à la journée d’hier et je me dis qu’il y a quand même quelque chose d’anormal en moi. Je me suis faite presque violée et finalement j’ai aimé çà ! Quand mon mari me soumet à sa volonté, j’adore ça et cela m’excite un max ! Quand il m’ordonne d’être soumise et dans l’attente de ses désirs pervers, je jouis presque sans qu’il me touche ! En fait, hier, Georges m’a prise de force et je me suis soumise comme avec mon mari. Et pour couronner le tout, je suis exhibitionniste car j’ai laissé mon patron me regarder pendant que j’obéissais aux ordres de mon mari au téléphone ! A son fantasme de me voir baisée par un autre homme ! Il s’en est fallu de peu pour que je laisse Franck me baiser !
Je devrais peut-être consulter un psy qui pourrait me conseiller…
En plein dans mes pensées je n’entends pas tout de suite quelqu’un qui crie Madame…Madame… Levant ma tête, j’aperçois de l’autre côté de la haie un homme qui me fais signe. Je m’approche et il me dit.
– Veuillez m’excusez, madame. J’espère ne pas vous déranger. Je me présente : Daniel Donzac, votre nouveau voisin.
Et il me tend sa main que je prends instinctivement pour la serrer. Il me la garde dans sa main quelque seconde pendant que nous nous détaillons mutuellement.
Probablement retraité, mais je ne peux définir précisément son âge, cheveux poivre et sel, très fins, yeux bleu. Un charme certain.
Il a emménagé hier car je n’ai pas vu de camion en arrivant ce matin.
– Bonjour monsieur Donzac, enchantée. Moi c’est Caroline Delatour. Comment allez-vous ? Dis-je par politesse.
– Bien…Bien. En plein aménagement et il fait très chaud ! N’auriez-vous pas un peu de glaçon à me donner car mon frigo commence tout juste à faire du froid.
– Pas de soucis ! Je vais vous en chercher.
Et je file dans la cuisine pour revenir avec un bol de glaçon.
– Merci, madame Delatour. En remerciement, oserais-je vous offrir une boisson maintenant que j’ai de quoi la rafraîchir ?
– Pourquoi pas.
– Je vais vous ouvrir le portail devant.
– Inutile, je vais passer par le trou dans la haie à son extrémité. C’était notre passage avec l’ancienne propriétaire.

Et je me retrouve chez Donzac, dans le salon encombré de cartons non déballés mais avec quand même deux fauteuils et une table basse.
Il revient avec ma citronnade que je lui ai demandée et nous commençons à faire connaissance.
Bla, Bla, Bla, et quand je lui demande ce qu’il faisait avant de prendre sa retraite, je sens qu’il hésite un peu.
– J’exerçais une profession un peu particulière…
Il me fixe de ses yeux étrangement perçant et ajoute.
– je travaillais avec un site internet de réseaux sociaux. J’étais conseiller.
– A oui…Et quels conseils donniez-vous ?
– Des conseils…hum…sexuels.
– OH ! En effet ce n’est pas banal ! Vous avez dû en voir de toutes les couleurs !
– En effet ! C’est incroyable le nombre de personnes qui ont des problèmes avec le sexe ! Alors j’essayais de leur faire avouer leurs problèmes, leurs inhibitions ou leurs fantasmes afin qu’il se libère un peu et qu’ils vivent une vie sexuelle épanouie en fonction de leurs besoins.
Impensable ! Il y a quelques minutes je me demandais si je ne devais pas aller voir un Psy et mon nouveau voisin est un conseiller sexuel !
Je dois être dans mes pensées depuis un moment car il me dit.
– Madame Delatour…ça va ? J’espère ne pas vous avoir choquée…
– Hein ! Non ! Intéressant…ça peut être utile…
Là, c’est lui qui reste sans rien dire et qui m’observe. J’ai même l’impression qu’il lit en moi. Dans mon côté sombre et pervers.
– Que voulez-vous dire…avez-vous un problème quelconque de ce côté-là…Mais une femme belle et sexy comme vous n’a sûrement pas des soucis de ce genre…c’est peut-être une amie ?
– Oui, c’est ça… ma meilleure amie m’a avoué récemment qu’elle aime être soumise et elle a fait des choses incroyable… coté sexe…et elle est un peu perturbée.
– Si je peux l’aider ce sera avec plaisir. Et comme un Psy, je suis tenu au secret professionnel.
Il me sourit et je me demande s’il croit mon mensonge en me tendant la perche avec une soi-disant amie.
-Je lui en parlerais. Bien, il est temps que je rentre chez moi. A plus !
– Je vous reverrais avec grand plaisir, madame Delatour. Vous êtes charmante ! Belle et séduisante !
– Charmeur !
Et je me sauve.
Il me plait bien mon nouveau voisin et il a un charme indéfinissable mais surtout un regard envoûtant qui me fait frissonner rien que d’y penser.
Je me demande si j’aurais le courage…ou la folie de me confier à lui, pour qu’il m’aide à refouler tous mes fantasmes ou plutôt… les assumer ! Et surtout pour en profiter sans remord !

Le soir, quand mon mari commence à me caresser, il est un peu surpris que je lui dise que je suis fatiguée. Mais il n’insiste pas trop et je m’endors en pensant à mon nouveau voisin qui m’attire étrangement.
Le lendemain mon patron n’évoque pas notre dernier rendez-vous professionnel et la journée s’écoule lentement sans anecdote particulière. Juste avant de partir Franck sort de son bureau et m’interpelle.
– Caroline ! Vous êtes encore là !
Et oui, d’ailleurs je suis la seule car les autres employées sont déjà parties. Franck le constate aussi en jetant un regard circulaire et il ajoute.
– Vous avez encore un peu de temps à me consacrer ? Georges vient de me téléphoner et j’aimerais en parler avec vous…
Je me demande ce qu’ils ont bien pu se dire et je lui réponds.
– Bien sûr, j’ai tout mon temps car mon mari rentrera assez tard ce soir.
– Parfait. Venez dans mon bureau, on prendra un verre en même temps.
Je le suis dans son bureau, il me laisse entrer avant lui et referme la porte derrière lui en la verrouillant.
– Franck ! Qu’est-ce que vous…
– Je ne veux pas qu’on nous dérange.
– Mais Franck…
– Tais-toi ! Salope !
– Franck ! Non ! Pas vous !
– Caroline, Georges reconnais qu’il vous a forcée…au début… mais qu’ensuite, d’après ses confidences, il me semble que vous avez apprécié son traitement et qu’il vous a fait bien jouir…Vous l’auriez même supplié de vous baiser !
– Franck ! Il m’a droguée !
– Caroline…juste un petit aphrodisiaque…
Je ne réponds pas… et il enchaîne.
– De plus avec votre comportement avec votre mari au téléphone… je suis quasiment sûre que vous aimez être soumise et vous comporter comme une gentille salope…
Je baisse la tête, ne sachant que faire ou que dire et il continue.
– N’est-ce pas, Caroline… Caroline ! Regardez-moi !
Sa voix qui claque me fait sursauter et je redresse mon torse pour le regarder.
– Enlevez votre chemisier, Caroline.
– Franck ! Non ! Ne faites pas ça !
– Madame Delatour ! Monsieur Vallorbe s’il vous plait! Je suis votre patron ! Et on ne discute pas les ordres de son patron si on veut garder sa place.
-Franck…. Heuuu, monsieur…S’il vous plait…
– Pose ton cul sur le bureau et enlève moi ce putain de chemisier ou je le fais moi-même !
Je m’assieds sur le bord du bureau et lentement, je retire mon chemisier. Franck ricane en voyant mon soutien-gorge blanc et transparent, et qu’il aperçoit, plus qu’il ne le devine, mes tétons, qui le déforme.
– Soutien-gorge !
Je m’exécute en le regardant dans les yeux.
– Whaou ! Caroline ! Quels seins tu as ! Superbes, gros et d’une forme parfaite ! Regardes tes tétons, Caro, Tu vois bien que ça t’excite !
« Biens sûr que ça m’excite, mais je ne te le dirais pas ! »
– Franck…je vous en prie… laissez-moi partir maintenant…
– Sûrement pas ! Ça fait des mois que tu m’excites avec tes tenues sexy BCBG et que je me retiens pour ne pas te sauter de dessus. Maintenant que je sais que tu aimes le sexe et de quoi tu es capable de faire quand on te force un peu, tu vas m’obéir ! Comme tu le fais avec ton mari ! Caresse tes seins !

Que faire d’autre ? Georges lui a raconté de quelle façon je me suis comportée après lui avoir cédé, attachée comme une vulgaire pute… et en plus, je l’ai laissé jouer avec mon corps sous les ordres de mon mari qui ne se doutait de rien. Et, le pire, je commence à avoir chaud entre mes cuisses.
Je gémis même doucement en caressant mes seins et le bout de mes tétons.
– Écarte tes cuisses ! Oui ! C’est bien ! Superbe ton collant…mais sans la jupe je m’en rendrais mieux compte. Exécution !
– NOON ! NON ! Et NON !
– Caro, je suis sûr que tu aimes ce genre de jeu érotique ou un homme te force à obéir. Mais il te faut peut-être une bonne fessée pour te rendre plus souple…
– Ah, NON ! J’ai horreur de çà !
– On va voir ça !
Il me retourne de force et me plaque sur le bureau en écrasant mes seins, soulève ma jupe et m’administre une fessée sur mon cul !
– Annnhhh… aiyyyyee… noonnn… nnaannnNNN ! Arrêtez ! Ouiiiillle !
Il retient un peu ses coups mais après plusieurs claques qui résonnent dans la pièce, je commence à ressentir une certaine douleur.
– Je continue…Caro… ou tu l’enlèves cette jupe !
Matée, je dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.
– Non de dieu ! Quel cul ! Et sans une marque de slip !
-Caro…Caro…tu as des jambes extraordinaires avec ce collant ! Écartes tes jambes salope !
J’obéis, je sens qu’il s’approche, et une de ses mains passe sur mes fesses, glisse entre mes cuisses et remonte devant.
-C’est bien ça ! Pas même un string, et… tu mouilles Caro ! Dis-moi c’est ton mari qui te demande de ne pas mettre de slip ou c’est toi qui préfère ne pas en mettre ?
– Au début c’est lui qui m’a obliger de ne pas en mettre, et puis maintenant je préfère et …
– Et quoi… dis-moi Caroline.
– Et bien… j’aime le contact du collant sur mon sexe tout lisse c’est une agréable sensation quand je marche et que le tissu frotte sur ma chatte et…
– Continue Caro ! Et quoi encore…
– Et quand un homme regarde mes fesses comprimées par ma jupe, je ne veux pas de marques de slip visibles pour qu’il se demande si j’en ai un ou non. Ça doit les excités !
-Tu es vraiment une belle salope ! Moi aussi tu m’as excité et je me demandais si tu ne mettais pas des strings.
Sa main et ses doigts caressent ma chatte
– Huuummm… ton cul est magnifique et ta chatte est très douce sous le collant et… tu mouilles sacrément. Tu vois que tu aimes ça ! Et moi je bande vachement ! Touche !
Dit-il en me tirant un bras en arrière, mais je lui résiste.
– Monsieur Vallorbe…Je vous en supplie…
« Un peu plus j’allais dire ‘baisez-moi’ car il m’excite vraiment maintenant »
Tout en tirant ma main dans mon dos, son autre main passe autour de mon corps, soulève un de mes seins et deux de ses doigts att**** un de mes tétons tout dur et le pince en le tirant.
– AAAAHHHH ! NNOOOONNNN !
Puis j’ai droit à une nouvelle fessée avant qu’il ne retire sa cravate et qu’il m’attache mes mains dans le dos et me tire en arrière.
-Tu vois ce que je suis obligé de faire ! A genoux maintenant !
Bien sûr, j’obéis et je me mets à genoux, juste en collant et mes seins nus en avant du fait de mes bras tirés derrière mon dos.

Franck déboucle sa ceinture, tire sur le zip et baisse son pantalon. Il bande mon patron ! Son boxer a une belle bosse qui attire mon regard et qui m’échauffe encore plus. Oui, j’aime ces petits jeux sexuels ou l’on se serre de moi comme une esclave, comme une pute !
-Regarde ma bite salope !
Sa belle queue apparaît à quelques cm de mes yeux. Fière, au garde à vous. Pas très grosse mais longue ! C’est bien la première fois que j’en vois une aussi longue. Pas loin des 20 cms !
-Alors, Caroline, elle te plait la bite de ton patron ?
Je ne réponds pas, un peu hypnotisée par cette taille inhabituelle.
– Caro ! Je t’ai posé une question…
Dit-il en caressant sa queue et en la remuant devant moi.
– Oui…Oui, monsieur…elle est belle !
– Tu n’as pas envie de la sucer…
En disant cela il me prend ma tête dans ses deux mains et me force pour approcher ma bouche de sa bite.
Sa main redescend lentement le long de sa bite pour découvrir son gland tout rose, ovale, en longueur, comme sa queue, avec une perle brillante qui suinte tout au bout. Ca l’excite aussi mon patron de s’amuser avec son attachée commerciale !
– Réponds Caro ! Ou je te fous une baffe !
– Si….
– Quoi ! Dis-le que tu veux me sucer, salope !
– Oh, ouiii, monsieur ! Mettez-la dans ma bouche ! Je la veux !
Ah… ce mot ‘salope !’ Il me fait frissonner à chaque fois. Ça m’excite sacrément quand on me traite de salope. Mon entre cuisse est trempé tellement je mouille.
Je relève ma tête et je fixe ses yeux brillant de désir. Il va me forcer à le sucer comme une pute de passage. J’aurai préféré qu’il me baise sauvagement car ma chatte réclame une bite bien dure, mais je suis à sa merci. Je suis en plein folie sexuelle, les sens à fleur de peau et c’est moi qui m’avance pour gober son gland !
En un éclair je pense à mon mari et une larme perle au coin de mon œil.
Pour la deuxième fois en quelques jours, un autre homme que mon mari profite de mon corps et j’en ai envie.
Franck remarque mes yeux humides et caresse ma joue de son autre main. J’essaye de sourire quand il recueille la gouttelette salée sur son doigt.
– Tu peux encore partir, Caro…Mais tu vas le regretter ! Assume ! Tu es une salope qui adore le sexe ! Fais-toi plaisir !
Je le sais bien que je suis devenue une salope folle de sexe et il m’excite comme jamais je ne l’ai été.
Je suis au pied du mur, je peux encore me sauver en courant, mais son gland m’hypnotise. Je respire un bon coup en le regardant sourire vicieusement et j’avance mes lèvres. Je frotte son gland sur mes lèvres, respire ce parfum qui m’enivre et j’ouvre ma bouche.

Depuis mon mariage, seule la bite de mon mari a pénétré dans ma bouche. Et pas souvent car ce n’est pas un adepte de la fellation. Ni du cunnilingus d’ailleurs. Pourtant quand j’étais à la Fac, j’en ai sucé des bites, de toutes les tailles et même des grosses noires. Mais à mon mariage, j’ai jurée d’être fidèle et j’ai enfoui mes désirs sexuels au fin fond de mon être. J’espère être encore à la hauteur de mon ancienne réputation.
Ma langue tourne autour de son gland avant qu’il appuie sur ma nuque pour enfoncer sa bite dans ma bouche. Tout mon corps frémit quand je referme mes lèvres et que je passe ma langue dessous sa bite pendant qu’elle glisse doucement jusqu’à sentir son gland dans ma gorge.
J’entends mon patron gémir.
– Aaahh, ouiiiiii, suce ma queue ! Ooohhh, putain ! Depuis le temps que j’en ai envie. Oui… t’es une bonne fille obéissante, Caro ! Je sens qu’on va bien s’entendre et que tu vas aimer. Tu vas découvrir des plaisirs inconnus, je vais t’initier Caro. Tu seras ma chose, mon esclave sexuelle.
Il force ma tête vers lui, enfonce sa bite plus loin et je manque de vomir quand elle entre dans ma gorge. J’ai vraiment perdu la main !
Il recule ma tête et commence à baiser ma bouche. Mon nez se retrouve dans ses poils quand sa longue bite glisse dans ma gorge. J’avale ma salive pour respirer et quand il recule ma tête je bloque son gland entre mes lèvres pour l’exciter de ma langue et recueillir le pré-sperme qui suinte de son méat. Je retrouve les saveurs passées et oubliées. Mon collant est complétement trempé par ma mouille et ma chatte me brûle et palpite d’envie.
Franck retire d’un seul coup sa bite de ma bouche et crie.
– Putain de salope ! Tu suces bien ! J’ai failli jouir ! T’as du talent, Caro ! Mais je veux plus de toi !
-Nooonnnn, Franck !
– Ferme-là ! Salope ! Mon souci c’est que je ne sais pas où je vais la mettre ! Dans ta chatte qui ne demande sûrement que çà ou…dans ton petit cul de chienne lubrique ! Il t’encule ton mari?
– Mais ça ne vas pas ! Ça ne te regarde pas ! Sale pervers.
– Je suis peut-être un pervers mais toi tu es une belle salope !

Il me relève en me disant ça et me pousse vers le bureau. Dans mon dos, mes mains attachées agrippent le bord du bureau et je le défi des yeux en arquant mon dos, ventre en avant. Il prend mes deux seins qui bougent au rythme de ma respiration haletante et il les caresse sensuellement, comme s’il voulait apprécier leur texture, leur volume et leur fermeté. Ses lèvres caressent le bout de mes tétons tous durs, puis, fléchissant sur ses jambes, ses mains glissent sur mes hanches et mes fesses qu’il pétrit assez durement pendant que sa bouche coure sur ma peau au-dessus de mon collant. Une main écarte mes cuisses et l’autre caresse ma chatte avec un de ses doigts qui part de mon anus pour remonter doucement, en frottant et en insérant le tissu soyeux de mon collant entre les lèvres de ma chatte.
– Huuuuuummmmm…
Ça m’a échappé ! Mais il m’excite tellement que j’ai du mal à me retenir de crier « Arrête et baise moi, salaud ! »
Mon corps se tend comme un arc quand sa bouche remonte sur mon ventre et glisse entre mes seins, avec sa langue tendue qui finit sur mes lèvres pour s’introduire dans ma bouche entrouverte. Mon patron m’embrasse pour la première fois et je goûte à sa langue chaude qui cherche la mienne. Ses lèvres écrasées sur les miennes, nos langues s’entremêlent dans un baiser voluptueux qui me fait trembler de plaisir. Quand je pense que ça fait plus de 15 ans que je n’ai pas été embrassé ainsi par un autre homme que mon mari, je mouille de plus bel lorsqu’une de ses mains descend dans mon dos et qu’un doigt s’insinue dans ma raie des fesses pour masser mon anus au travers mon collant!
Sa bouche quitte mes lèvres et glisse dans ma nuque pour ensuite me murmurer dans l’oreille.
– On dirait que tu aimes ça qu’on touche à ton petit trou…Caro…je continue…
– Ouiiiiiiiii…Ooooohhhhh, ouiiiiii…
Je ne peux m’empêcher de gémir et je détends mes fesses qui s’étaient contractées sous son doux massage pour lui laisser plus librement l’accès de mon trou du cul.
Il me mordille le lobe de mon oreille et quand son doigt s’enfonce dans mon anus et que je geins plus fort, il me susurre.
– Alors Caroline…il te sodomise bien ton mari… je le sens à ton trou du cul qui se crispe et tremble sur mon doigt à travers ton collant.
– AAAAAHHHHH, Ouuuuiiiiiiii ! Salaud ! Ouiiiiiiiii il m’encule ! Il me défonce le cul sauvagement ! Comme une bête !
– Salope ! Eh bien moi aussi… je vais te le défoncer ton petit cul !
Il m’att**** par la taille, me soulève et me pose sur le bureau pour ensuite me coucher sur mon dos. Il prend mes mollets et les soulève pour les lécher à travers mon collant puis il les repousse vers moi, les jambes en l’air et serrées. Il force sa bite en pleine érection entre mes cuisses gainées de noir, en frottant ma chatte à travers le tissu trempé.
– OOOOHHHHHHH….
Je mouille tellement que je sens ma cyprine coulée entre ma peau et mon collant !
Enfin, il tire mon collant sous mes fesses pour le rouler jusqu’à mi-cuisse, il s’agenouille et plaque sa bouche sur ma chatte découverte.

Sa langue est un vrai serpent qui ondule le long de ma chatte avant de s’insinuer entre mes lèvres intimes pour la fouiller en profondeur. Sa bouche se referme sur mes lèvres gonflées pour les sucer et les aspirer puis les mordre suffisamment fort pour me faire crier de douleur et de plaisir. Sa main, sous mes fesses, caresse mon anus et quand ses lèvres emprisonnent mon clito tout dur, un de ses doigts s’enfonce dans mon trou du cul !
Sous ce magistral cunnilingus, (je devrais plutôt dire bouffage de chatte), et avec son doigt qui s’agite dans mon anus….je craque…j’explose ! Mon corps se tend, mon cul se tortille pour mieux sentir son doigt dans mon trou du cul et ma chatte ruisselle sur sa bouche vorace.
– OUUUUIIIIIIII ! Putain ! BAISE-MOI ! Prends-moi comme une chienne ! Mets ta bite dans ma chatte ! Vite ! Défonce-moi comme une pute ! Vas-y ! Prends-moi !
Et il me baise ! Sa bite écarte mes lèvres et s’enfonce d’un seul coup au fin fond de ma chatte et son gland vient frapper mon utérus. Il m’a tellement excitée que je jouis tout de suite !
– OUIIIIIIIII, OUIIIIIIIII, AAAAAAAHHHHHHHHHHH…..
Et sous ses coups de queue, je continue de gueuler tellement mon orgasme est fort et bien entretenu par sa longue bite qui va et vient dans mon vagin en feu. Quand les spasmes de ma jouissance s’atténue un peu, je peux gémir.
– OOOOOHHHHH, Continue…encore….Ouiiiiiiii…
Mais il se retire !
– NOOOONNNNNNNN ! Baise-moi encore ! ENCU….
Je n’ai pas fini mon dernier mot que son gland force mon sphincter et qu’il m’encule sauvagement !
– OOOOHHHHHHH…OUIIIIIiiiiiiiiiiii…

Là, je sens que sa queue est longue et fine car c’est merveilleux de se faire prendre le cul avec une telle bite. Suffisamment grosse pour la sentir passer, mais sans douleur ! Que du plaisir de contracter mon cul sur une telle longueur qui va et vient dans mes entrailles. Avec une bite comme la sienne dans mon cul, c’est dommage que mon mari ne soit pas là pour me mettre la sienne dans ma chatte !
Malgré mes entraves, j’accompagne ses coups en poussant comme je peux mon cul vers lui. Mon patron tiens sacrément le coup et c’est un enculeur de première ! Il sait faire varier la vitesse de ses coups de bite tout en montant et descendant son bassin pour fouiller mon cul de différente façon et exciter toutes les parties internes de mon cul. Quand il me baise doucement je gueule.
– Plus fort ! Défonce-moi !
Et il me prend de nouveau comme une chienne lubrique et il me défonce carrément le cul en venant frapper mes fesses de ses couilles.
Je sens mes sens s’enflammer et je crois que je vais encore jouir. Et quand il fourre son pouce dans ma chatte en écrasant mon clito, je repars une nouvelle fois dans l’extase d’un autre orgasme aussi puissant que le précédent.
– OUIIIIIIIIIIII, JE JOUIIIIISSSSSSSS ! SALAUD ! Tu me fais encore jouir ! Et du CUL ! OOOOOHHHHHH… PUTAINNNNNN ! Je te sens bien ! Viens ! Crache ton foutre ! Remplis-moi !
Tous mon corps tremble sous cette fantastique jouissance et j’arrive tout juste à respirer tellement les spasmes de mon orgasme éclatent dans ma poitrine, ma chatte et mon cul.
– OUIIIIIIIII ! SALOPE ! TIENS ! AAAAHHHHHHHHHH ! NON DE DIEU !
Les mains sous mes fesses il m’écrase sur son pubis et, complétement enfoncé dans mes entrailles, je sens sa bite gonfler et il jouit sous les contractions désordonnées de mon cul et de mes fesses.
Sa tête tombe sur mes seins pendant qu’il se vide les couilles pour mon plus grand plaisir en relançant mon orgasme.
Je ne sais combien de temps nous restons collés ainsi, comme un chien dans sa chienne, mais ce n’est que pur bonheur.
Sa bouche embrasse mes seins, mon cou, mes lèvres, et un long baiser, presque tendre, complète l’union de nos deux corps.

Enfin, sa queue glisse lentement hors de mon cul, il se soulève sur ses deux mains, fixe mes yeux, et me dit.
– Caroline Delatour… vous êtes une superbe salope ! Je ne vais plus pouvoir me passer de ton cul ! Et de ta chatte ! Et toi ? Ça t’a plu aussi apparemment !
Je ne réponds pas, je passe juste ma langue sur mes lèvres et il s’empresse de la prendre entre les siennes. Puis il se recule et fixe mon entrecuisse.
– Putain de salope ! Si tu voyais ta chatte et ton trou du cul ! Ton jus coule vers ton cul grand ouvert et il se mélange avec mon sperme qui ressort de ton trou du cul ! Attends !
Il att**** son Smartphone sur son bureau et clac ! Il immortalise sa première baise avec son attachée commerciale.
– Sublime! Quand ma femme fera la gueule je pourrais me branler avec une vue si érotique! Je te l’envoie sur ton ordi. Ça te fera un souvenir. Mais crois-moi, ce n’est pas la dernière fois ! Je n’ai pas fini de m’amuser avec toi et ton corps de déesse ! Tu vas devenir mon objet sexuel, Caro ! Ok ?
– Je le regarde et je balbutie.
– Ouiiiii… Monsieur… A votre service Monsieur. Comme il vous plaira… je suis à vos ordres et à votre entière disposition… Maître !
Il a un sourire carnassier et recueillant entre mes cuisses nos jus mêlés, il enfonce ses doigts dans ma bouche et ordonne.
– Alors, suce salope !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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