Résumé de l’épisode précédent : Après avoir surpris Lila au lit avec un homme, j’ai voulu en voir davantage. J’ai donc usé des gadgets électroniques pour pouvoir espionner ma femme. J’ai appris que celui qui dévergondait ma femme se prénommait Carlo et qu’il vivait dans le XVI ème arrondissement à Paris. Utilisant un faux rendez-vous avec une amie, Lila était allé rejoindre son amant et elle avait joui intensément. A son retour chez nous, je lui élargissais encore plus son anus déjà bien dilaté.
Aujourd’hui, je décide de mettre fin à la relation qu’entretient Lila avec ce macho de Carlo. Arrivé au commissariat, je me dirige vers l’ordinateur et entre le numéro de la plaque d’immatriculation de Carlo dans le SIV (Système d’Immatriculation des Véhicules). J’obtiens le nom complet de cet homme prétentieux : Carlo Montana. J’avais vu juste, italien, tout comme moi. Je rentre alors ses noms et prénoms dans le STIC (Système de traitement des infractions constatées) et Bingo !!
Carlo Montana : Coups et blessures
Je fouine un peu dans le dossier et apprends que monsieur Montana est friand de Transsexuelle. C’est d’ailleurs après une relation avec une transsexuelle brésilienne que Carlo l’a agressé, elle lui aurait demandé trop chère par rapport à la prestation.
Ma journée de travail terminée, je me rends chez Carlo et attends en bas de l’immeuble le retour de la fameuse BMW. Je n’aurai pas à patienter longtemps, 10 minutes à peine après mon arrivée, j’entends le moteur du bolide ronronner et son propriétaire descendre. Je me porte alors à sa hauteur.
– Belle voiture, dis-je feignant l’admiration
– Merci, elle est toutes options, 203 chevaux. Dit-il flatté
– Ça doit être un vrai piège à femme cette merveille.
– Ne m’en parlé pas ! Hier encore une jolie demoiselle y embarquait.
– Une demoiselle ? Avec de longs cheveux, de longues jambes et un très long clitoris ? dis-je la voix plein de sous-entendus.
– Pardon ? M…Mais qu’…qu’est-ce que vous… dit-il bégayant
– Vous avez très bien compris monsieur Montana, vous n’avez quand même pas oubliez la jolie Camilia ?
– Qu’est-ce que vous voulez ? dit-il tremblant
– Lila, approchez-vous en ne serait-ce qu’une seule fois et votre réputation en prendra un sacré coup croyez-moi. Ah oui et il va de soi que cette discussion reste entre nous. Sinon il se pourrait qu’en plus de votre réputation, ce soit votre jolie voiture qui soit accidentellement rayée. Me suis-je bien fait comprendre ?
– Oui, oui, monsieur, totalement. Je ne lui parlerai plus jamais, je… je…
– Au revoir Carlo, enfin je ne l’espère pas pour toi. Dis-je avec un rictus sadique.
Une bonne chose de faite. En rentrant à la maison ce soir, j’entends du bruit dans le salon, encore un amant ? Non, cette fois-ci c’est Shaima, la sœur de Lila qui est venue rendre visite. Quand elle me voit, Shaima me lance un sourire radieux, elle se lève et m’embrasse tendrement sur les joues. Je remarque que Lila est assez jalouse, elle a du mal à le cacher.
Quelques mots sur Shaima, elle est plus âgée que Lila de 2 ans. Si Lila était jusqu’à aujourd’hui calme pudique et réservée, Shaima, elle, a toujours été une vraie tornade. Depuis adolescente elle multiplie les relations sans lendemain, elle aime le sexe et le fait savoir. Ses tenues suffisent à rendre fou d’excitation le plus frigide des hommes. Elle a toujours voulu explorer les choses taboues pour la plupart des gens, et a eu quelques expériences lesbiennes d’après ce que je sais.
Shaima passe la soirée avec nous, nous rigolons et buvons peut-être un peu plus que de raison. Ce n’est pas un problème pour moi et pour Shaima qui a l’habitude des soirées, mais Lila rencontre vite le tourbillon que procure l’alcool. Elle décide alors de prendre congé et part s’allonger dans notre chambre. Entre Shaima et moi, l’atmosphère s’est rapidement réchauffé, il est même brûlant. Elle n(arrête pas de croiser et décroiser ses jambes, sa jupe laisse découvrir la frontière de son sexe. J’ai cru que j’allais exploser dans mon pantalon quand j’aperçois les lèvres nues de son sexe. Cette coquine ne porte même pas de bas. J’ai dû rester focalisé sur son entre-jambe trop longtemps car Shaima me regarde en souriant et dit :
– Ben quoi ? Il fait vraiment chaud, je n’allais pas mettre de sous-vêtements par cette chaleur
– Pas de soucis, dis-je très nerveusement
– Détends-toi Max, c’est ma chatte qui te met dans cet état ?
Prenez un vase plein a raz-bord, une goutte d’eau, faite la tomber dans le vase et vous obtenez ce qui va suivre. N’en pouvant plus, je me jette sur Shaima et l’embrasse à pleine lèvres. Celle-ci gémit alors que je lui malaxe les seins. Je place alors un doigt à l’entrée de son vagin et là j’ai l’impression de passer mon doigt sous l’eau chaude, brûlante même. Les gémissements de Shaima se font entendre de plus en plus, de même que les clapotis émanant de sous sa jupe. De la mouille coule le long de ses cuisses et vient s’étaler sur le canapé. Mon sexe est tellement dur que j’en ai mal. Comme si elle l’avait deviné, Shaima s’empare de ma matraque et l’avale presque entièrement. Cette fois-ci c’est à mon tour de pousser des râles de plaisirs. Je m’allonge alors et viens positionner la chatte de ma partenaire au-dessus de ma tête. S’en suit une 69 de folie. Je dois me retenir pour ne pas éjaculer maintenant. Shaima se met alors à 4 pattes et me dit avec envie :
– Tu vas m’enculer maintenant, j’ai envie que tu me prennes par le cul …
– Ah oui ? Ok, mais quand tu vas jouir évite de crier trop fort, parce qu’une chose est sûre c’est que tu vas jouir ma belle.
Shaima écarte largement ses fesses pour découvrir un petit trou rose et lisse. Je me délecte de son anus parfait et le lubrifie avec ma langue. Dès les premiers coups de langues autour de se trou moelleux, les gémissements de Shaima se font entendre. Quand l’anus est assez lubrifié, je place alors mon gland à l’entrée. A peine commençais-je à pousser que mon sexe fut englouti dans se néant. Une chose est certaine, Shaima apprécie grandement la sodomie. Son anus est d’une douceur et d’une étroitesse jamais vues. La sensation est tellement agréable que je voudrais ne jamais en ressortir. Je sens que l’orgasme de Shaima est proche, j’accélère alors mes coups de reins, et tout en se masturbant le clitoris, Shaima se met à joui et à cracher de la cyprine sur le canapé.
L’orgasme est tellement violent qu’elle doit s’arrêter pour reprendre ses esprits.
Après quelques minutes de pauses et de caresses, Shaima se lève et prend une cigarette dans son sac. Elle l’allume et se met à fumer en me regardant comme une chienne. Sa façon de fumer est d’une sensualité énorme, la regarder fumer est presque un spectacle érotique. Sa manière de recracher la fumée qui forme des volutes blanches a le don de faire durcir encore plus mon sexe. Je la lève et la plaque contre le mur. Je la pénètre sèchement par derrière mais dans son vagin cette fois-ci.
– Tu aimes ça fumer et te faire baiser en même temps, n’est-ce pas ma petite salope ?
– Ohhh ouiiii c’est tellement bon !! Continue de me baiser je vais jouir !!
La vue de cette chienne en train de fumer me rend fou, je la pilonne sans ménagement et au bout de quelques minutes je me répands en elle dans de longues giclées chaudes. Nous nous embrassons tendrement et avant de partir, Shaima me demande si nous pourrons recommencer ce genre de rencontre
.
– Avec grand plaisir, et j’aurai bientôt besoin de toi, je t’expliquerai tout ça la prochaine fois. Bisous ma belle.
C’était la première fois que je trompais Lila, mais après tout, c’était bien légitime. J’avais découvert aujourd’hui de nouvelles sensations intenses. Faire l’amour à Shaima pendant qu’elle fumait m’avait vraiment excité au plus haut point et j’avais décidé de faire vivre à Lila ce qu’elle m’avait fait vivre. Il faudrait que je planifie tout cela pour ensuite avoir ma vengeance.
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