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ma première sodomie

ma première sodomie



J’allais au lycée à paris dans le 12 ème. L’établissement était prés du bois de vincennes, je pense qu’il s’y trouve encore.
Dans ma classe il y avait plus de filles que de garçons, j’avais 17 ans, je pratiquais beaucoup la branlette et les attouchements et les frottement rien de plus je ne suçais par encore. Nous étions 6 garçons le reste que des filles elles ne m’intèressaient pas je faisais semblant. Je mattais toujours les renflements des braguettes de mes copains de classe.
Il y en avait un qui était bien développé par rapport à nous autres, il avait un sacré paquet entre les jambes, je me suis souvent branlé en pensant à sa grosse queue. Il était plutôt intéressé par les filles.
Je me suis plutôt rapproché d’un élève pas très beau efféminé, il était fan de Patrick Juvet s’habillait pareil mais il était moins beau mais trés sympa.
Nous avons sympatisé et sommes devenus amis, nous prenions le métro ensemble il habitait dans le 17 ème moi dans le 4 ème, chez ma grand mère.
Quand nous n’avions pas cours j’allais chez lui écouter de la musique, discuter. Sa mère était toujours là.
Dans le courant de l’année nous nous fréquentions toujours il venait chez moi j’allais plus souvent chez lui.
Dans l’appartement de ses parents il n’avait pas de chambre il dormait sur un canapé le soir, en journée il écoutait de la musique dans la chambre de ses parents.
Un jour nous écoutions de la musique de Patrick Juvet et de David Bowie nous étions assis sur le bord du lit je faisais semblant de m’intéresser à la musique. Sa mère était partie faire des courses nous étions donc seuls.
Je m’allongeais sur le lit et je fermais les yeux, il était assis près de moi, j’ai senti une main caresser au dessus de ma braguette, je sursautais pas par peur mais par surprise, je m’y attendais vraiment pas. Il est vrai que physiquement il ne me plaisait pas. je me laissais faire.
IL appuyait fortement sur ma queue en pressant bien, ma bite commença a bander, je vis se former un gros gourdin je bandais dur.
Il descendit ma braguette et dégagea ma queue serrée dans mon slip. Quand il eu vu l’engin il n’a pas s’empécher de faire  » ho elle grosse, j’adore ».
Il défit ma ceinture dégrafa mon pantalon le fit glisser jusqu’aux chevilles, me baissa le slip aussi sur les chevilles.
Ma s’érigea dans toute sa plendeur je bandais à fond elle formait une banane sur mon ventre.
Je lui dis  » si ta mère vient » il me dit  » t’inquètes pas le temps qu’elle fasse ses courses et qu’elle aille voir une voisine on va être tranquille.
Je me laissais faire. il entoura sa main sur mon chibre et fit des vas et viens il me branlait, on voyait qu’il avait l’habitude. D’un coup il se pencha et vint me gober le gland il me suçait qu’elle délicieuse sensation j’en ne revennais pas il suçait merveillesement il me bouffait la queue. il introduisait sa langue dans mon trou de bite et buvait la liqueur qui s’en échappait.C’était vraiment trop bon je m’occupais pas de lui, je me laissais faire.
Il s’arreta se leva du lit fit descendre son pantalon son slip, je voyais sa queue elle était petite et mal faite pas appetissante mais son cul était bien rond et bombé.
Je le branlais un peu mais sans intéret.
Il me dit  » j’ai envie que tu me prennes je veux ta queue dans mon cul ». j’en revennais pas. Je lui répondit  » je l’ai jamais fait je vais te faire mal ».
Non mets la moi je veux ta queue.
Sans attendre ma réponse il se coucha sur le bord du lit le ventre sur le matelas le cul bien en arrière, il mouilla ses doigts de salive et s’en enduit la rondelle.
Viens vas y entre, je fus surpris par toute cette facilité moi qui ne suçait pas à l’époque. Ma queue à la main je me dirigeait vers son cul, il se cambra mon gland vint taper sa rondelle j’appuyais mon gland passa je sentis une résistance, je sortis ma queue je mis de la salive sur mon gland et pointa son anus, le trou s’écarta, je forçais un peu plus, son cul se dilata et je le pénétrais d’un coup jusqu’aux couilles.
Quelles merveilleuses sensations que je ressentais, c’était chaud doux et serré, j’allais et venais dans son couloir à plaisirs.
Il prit ses deux mains afin d’écarter son cul au maximum.Je limais son fondement
IL me dit  » vas y plus fort casses moi le cul j’adore ta grosse bite, défonces moi la rondelle.
Il prit mes couilles par une main et me les malaxaient et en tirant dessus.
Je n’en pouvais plus. Il haletait comme un chien, de l’eau s’échappait de son cul. Il jouissait comme une pute. Je sortis de son cul, le retourna, je le mis sur le dos je lui enlevais son pantalon lui écarta les jambes et je l’enfournais en position du missionnaire. Je lui bourrais le cul avec une vivacité, je n’avais jamais enculé.
N’y pouvant plus je fus pris de spasmes, ma bite gonfla je sentais mon gland devenir plus gros ma bite plus dure, mes couilles se coincèrent dans l’aine, et j’ai sentis mon sperme arriver, je luis déchargeait des litres de foutre dans son fondement. Je resortis de cul j’étais épuisé. Ma queue était toujours raide, ma semence coulait de son cul et sur ses cuisses d’une main il en récupéra et il en mit dans la bouche. Me voyant toujours en érection il se pencha et me suça la queue en la léchant me gobant les couilles dont du sperme s’était répandu. J’étais toujours excité il me suçait tellement bien qu’une autre salve de semence vint innonder sa bouche il avala tout.
Il se branla et comme un égoiste je ne l’aidais pas a jouir.
Enfin nous nous rhabillâmes il remis de l’ordre dans la chambre nettoya le sperme qui formait une flaque sur le parquet.
Nous primes une boisson j’étais rouge comme une pivoine je n’en revennais pas toute cette expérience il avait 17 ans comme moi.
Enfin il m’avoua qu’il se faisait baiser régulièrement par un ami de son père un mec d’une quarantaine d’année il avait aimé ça et avait aussi baisé avec un cousin d’une vingtaine d’année qui l’enculait régulièrement.
Son jeune cul était expérimenté.
Je vous dis pas combien de fois j’ai pu l’enculé je l’ai pris par tous les trous, je le touchais pas j’aimais pas sa queue, s’était une véritable pute.
Dès qu’on pouvait il me suçait et je l’enculais.
Voila comment j’ai connu la sodomie et par la suite j’enculais à couilles rabattues.

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