Durant les jours qui suivirent , l’humeur de ma femme s’améliora effectivement.
Tout allait bien ? Non, tout allait mieux.
Elle retrouvait sa joie de vivre, elle était souriante, attentive à ses enfants mais moins présente avec moi.
Je le comprenais, je savais que je n’étais plus l’homme de sa vie en j’en étais malheureux.
J’acceptais la situation , bon gré, mal gré.
Nous avions tout de même retrouvé des relations intimes mais , tant de son coté que du mien les choses n’étaient plus ce quelles avaient pu être.
J’avais en tête la vision de ma femme suçant et se donnant à ses amants et elle de son coté, devait trouver bien fade nos étreintes.
Son bas ventre était maintenant bien lisse. Quand je lui en avais fait la remarque, elle m’avait répondu en riant
– c’est pour te faire plaisir mon chéri, depuis le temps que tu le voulais…
Cette réponse avait eu du mal à passer.
J’avais avalé la couleuvre.
Ses absences plus ou moins mal justifiées se faisaient plus fréquentes.
Elle rentrait de ces rendez vous fatiguée. Je faisais semblant de ne rien voir.
De mon coté, j’avais de plus en plus de mal à poursuivre ma relation avec Maitre Alain.
Je n’avais plus le coeur à subir ses assauts et je voyais bien que , lui aussi, changeait à mon égard.
Quelques semaines plus tard survint un événement qui allait changer le cours de notre vie.
J’avais annoncé à Alain qu’il m’était difficile de continuer notre relation compte tenu de ce qu’il vivait avec ma femme.
Il m’avait répondu qu’il comprenait, acceptait ma requête mais qu’il désirait une dernière séance en guise d’adieux.
J’en étais d’accord et rendez vous fut fixé pour le vendredi suivant.
J’ignorai tout de ses intentions et pensai naïvement que nous aurions un dernier rendez vous à 2 uniquement.
J’entrai donc dans son appartement confiant.
Il me fit me déshabiller , m’attacha les mains dans le dos et couvrit ma tête d’une cagoule noire qui laissait juste apparaitre mes yeux et ma bouche .
– ma soumise va arriver.
– mais non, je ne veux pas, elle va me reconnaître, s’il vous plait pas ça…
– ferme la.. C’est moi qui quitte mes soumis, c’est pas une lope cocue comme toi qui va dicter ma conduite..
Je te laisse te barrer mais tu vas me le payer aujourd’hui.
Et puis , ta salope de femme aura les yeux bandés… T’inquiètes, je suis pas un salaud.
Mi rassuré, mi inquiet, je laissai les choses se produire, impuissant à contrôler la situation.
Quand ma femme sonna, il lui ouvrit et lui posa aussitôt et comme promis un bandeau sur les yeux..
– bonjour ma soumise adorée , lui dit il se sa voix chaude
– bonjour mon maitre adoré lui répondit elle
– je t’ai préparé quelque chose de spécial aujourd’hui. Je sens que ça va être chaud .. Donc si j’aime ?
– j’aimerai aussi Maitre
– viens approche toi. Je t’ai déja parlé de la lopette cocue que je dresse ?
– oui Maitre vous m’en avez parlé.
Mon coeur battait la chamade, j’étais on ne peut plus mal à l’aise.
– t’ai je dit que je le sodomisais? L’exhibais? le prêtais?
– oui Maitre vous me l’avez dit
– t’ai je dit que je l’avais prostitué ?
– oui Maitre
-qu’en penses tu ?
– eh bien en tant que soumise je peux comprendre, en tant que femme j’ai plus de mal à accepter qu’un mec puisse etre aussi soumis. Mais bon, tous les goûts sont dans la nature.
Bien sur, en entendant ce échange , j’étais tres mal. Pourvu que ma femme ne s’aperçoive de rien..
– tu as entendu lopette ce qu’elle pense de toi ?
Je restais coi.
– tu réponds salope cocue ?
– oui Maitre , balbutiai je en essayant de modifier ma voix ce qui fit rire Maitre Alain
– pardon, je ne savais pas que vous étiez la , dit Hélène
Tiens pensai je, il lui reste un fond d’éducation.
– ne t’excuses pas, il aime ça être humilié. N’est pas ?
– oui Maitre
– bien, maintenant tu vas la déshabiller .
Pendant que je déboutonnai le chemisier de ma femme, lui dégrafai le soutien gorge, je la voyai trembler d’excitation je suppose.
Au fur et à mesure de l’effeuillage , Maitre Alain passait le bout de sa cravache sur la peau dénudée.
Cette sensation fit dresser les poils d’Hélène et ériger ses mamelons.
– tu vois comme elle aime ça… Tu vois comme cette esclave est mienne…
– oh oui Maitre, je vous appartiens..
Et mon coeur de se serrer davantage..
– j’ai oublié de te demander des nouvelles de ton cocu de mari. Comment vas t il ?
– il va bien Maitre
– il se doute de quelque chose
– oh non Maitre , il croit que je suis sa chaste et fidèle épouse..
– alors que tu es ?
– votre esclave Maitre
– mais encore ?
– votre salope Maitre
– et qu’est ce que je peux faire de toi ?
– tout ce que vous voudrez Maitre
– tu entends ça la Lopette ? Cette femme est à moi. Son mari ne compte plus. N’est çe pas Hélène ?
– oui Maitre
Je me mis à pleurer. Je l’avais définitivement perdue..
Il la fit s’allonger et m’ordonna de lui lécher la chatte
– tu vas la préparer comme il faut
Ce n’était pas utile. Son sexe dégoulinait, je le fis tout de meme.
– maintenant tu me suces et tu introduiras ma bite dans le trou de ma femelle.
Humilié, je lechais le chibre et l’introduisis dans la fente de ma femme qui soupira de contentement quand elle sentit la barre d’ébene la pénétrer.
Il la besogna longtemps et Hélène eut orgasme sur orgasme..
Quand il jouit enfin ce fut en me regardant fixement.
– maintenant nettoies son sexe.
Je cherchai une serviette pour m’exécuter..
– non, avec ta langue..
Et c’est ainsi que je dus lecher le sperme abondant de l’amant de ma femme, directement sorti de son vagin.
– maintenant tu te casses, tu retournes à ta petite vie misérable, je ne veux plus te voir.
Et c’est ainsi que mon aventure avec Maitre Alain se termina.
Je n’avais pourtant pas fini d’entendre parler de lui…
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