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Le beau-frère

Le beau-frère



Hier soir, j’ai vécu quelque chose de bizarre mais tout de même fantastique.

Il y avait bien presqu’une semaine que je chattais avec un mec sur le net et hier, il s’est enfin décidé à m’inviter chez lui. Bien entendu, sachant que je baiserais, j’ai aussitôt accepté. Je montai donc dans ma voiture et me rendis à l’adresse qu’il m’avait donnée. Il demeurait dans le vieux Montréal, dans un superbe condo de luxe. Lorsqu’il ouvrit la porte, je fus satisfait de ce que je voyais; il avait autour de 40 ans, grand, découpé mais pas musclé. Il avait ce que j’appelle un corps de nageur. Le haut du corps dénudé, il portait un de ces pantalons de soie qui montrait parfaitement qu’il ne portait aucun sous-vêtement. Je pouvais entrevoir la forme de sa queue.

Il m’invita donc à entrer, ce que je fis sur le champ.

– Excuse-moi si je ne t’ai pas invité avant mais je donne asile à mon beau-frère qui vient de se faire larguer par ma soeur. Je sais, ça fait bizarre dit comme cela mais ma soeur est une salope et marc ne mérite pas ce qui lui arrive. Il n’avait nulle part où aller alors…

– Tu as un grand coeur, dis-je en me débarrassant de mon manteau.

– On peut dire ça mais je dois avouer que je ne suis pas habitué à avoir quelqu’un chez moi à plein temps. Ce soir, il a un souper de bureau alors, j’en profite.

Il m’offrit un verre que je refusai. Je n’étais pas là pour socialiser mais pour baiser et tout ce dont j’avais envie, c’était de lui baisser son pantalon pour voir ce qu’il cachait. Je lui demandai donc où était sa chambre et il me répondit d’être patient et de prendre place sur le canapé. Je soupirai discrètement et m’exécutai pendant qu’il se versait un verre. Je le regardais, ou plutôt j’observais son cul qui me semblait assez invitant. Il s’approcha et, une fois devant moi, demeura debout. Mon regard pointait son pantalon et je voyais sa queue qui grossissait lentement, comme si le fait que je fixe son sexe l’excitait. Il s’approcha encore plus près jusqu’à ce que mes lèvres frôlent la soie. Je vins pour libérer sa queue mais il m’en empêcha, me disant qu’il aimait sentir la chaleur de ma bouche à travers la soie. Je me mis donc à lui manger la bite par dessus son pantalon et je dois avouer que la grosseur qui se trouvait entre mes lèvres m’épatait; il possédait une de ces queues rarement vues dans ma vie et je remerciais le ciel qu’il m’ait dit qu’il était top et qu’il adorait fourrer un bon cul sans condom. La seule pensée de l’imaginer en train de me labourer me rendait fou d’excitation. Il me prit la main et me demanda de le suivre dans sa chambre. Il se coucha sur le lit et, ayant allumé la radio, il me demanda de me déshabiller en lui faisant un strip tease. Il m’avoua qu’il capotait sur moi et qu’il voulait découvrir mon corps petit à petit. Je fis donc ce qu’il me demandait car, en fin de compte, étant assez exhibitionniste, l’idée me plaisait bien. Lentement, j’enlevai mon t-shirt, lui laissant voir ma poitrine musclées. Lorsque je commençai à déboutonner mon jeans, il me demanda de m’approcher, m’avouant qu’il capotait sur les mecs en jeans, sans sous-vêtement.
Je me retournai et doucement, je baissai mon jeans pour lui laisser voir mon cul qu’il caressa légèrement.

Soudain, je sentis la chaleur de sa langue qui se glissait entre mes fesses et qui tentait de me percer la rosette. J’étais bandé au max et tout ce que je voulais, c’était de me retrouver avec sa queue dans le cul. Je terminai de me déshabiller et, nu comme un ver, je le rejoignis sur le lit et nous nous embrassâmes tendrement pendant qu’il se débarrassait de son pantalon de soie. Je changeai de position, m’agenouillant de sorte à pouvoir le sucer pendant qu’il me mangeait le cul. C’était bon et déjà, je sentais que ma rondelle s’humidifiait amplement pour recevoir sa bite et il le comprit facilement.

– Tu as un cul superbe. Je sais que tu veux que je te fourre et je vais te donner ce que tu veux, dit-il en s’agenouillant derrière moi. Aussitôt, je sentis la pression de sa queue entre mes fesses et quand il poussa, elle entra au grand complet et je laissai entendre un de ces gémissements qui le fit rire. Je capotais d’avoir cette énorme queue dans le cul et lui se plaisait à me l’enfoncer à grands coups, sachant qu’il me procurait du plaisir.

Il y allait avec entrain et moi, je criais tellement c’était jouissif. Et soudain, je le vis.

Il était là, appuyé contre le cadre de porte et il nous regardait. Il ne bougeait pas, se contentant de nous examiner. Au fond de moi, je trouvais ça bizarre, sachant bien que c’était le beau-frère, l’hétérosexuel qui habitait là temporairement. Mais pourquoi nous regardait-il? Et l’autre derrière moi qui ne disait rien et qui poursuivait son labourage. Et soudain, il se mit à se caresser la queue par dessus son jeans pendant que je le regardais. Il était super sexy ce mec, plus que celui qui me fourrait. Il avait de larges épaules, une barbe de quelques jours; il faisait très mâle, comme je les aime. Il avait l’allure d’un bûcheron. Lentement, il ouvrit son jeans et en sortit sa queue pour se masturber, tout en poursuivant de nous examiner. Ça semblait l’exciter de nous voir ainsi. Après tout, peut-être n’était-il pas si hétéro que cela? C’est alors que je le fixai et que je me lichai les lèvres pour lui faire comprendre que sa queue serait la bienvenue dans ma bouche. Il ne bougea pas, ne répondant pas à mon invitation. Je le voulais ce mec et de savoir qu’il était hétéro m’excitait encore plus. Et c’est là qu’il s’approcha et m’offrit sa belle queue dure à sucer.

– C’est tout ce que tu auras, me dit-il. Et toi, poursuivit-il en regardant son beau-frère, tu ne parle jamais de cela à personne.

J’étais aux anges. Il glissait sa bite entre mes lèvres tandis que l’autre me fourrait toujours à grands coups. Tout à coup, il a la sortit complètement et me dit de me tourner de sorte à présenter mon cul à celui qui semblait devenu mal à l’aise.

– Essaie-le, tu verras, c’est meilleur qu’un vagin. Je me tournai donc pour lui donner la chance de me sodomiser mais il ne fit rien. Il restait là, sans bouger, en fixant son beau-frère. Ne te fais pas prier, tu vois bien qu’il veut que tu lui rentres ta queue dans le cul. Tu aimeras, tu verras.

Et je me retrouvai donc avec la bite du bûcheron qui me ramonait le derrière. Au début, il y alla doucement mais il accentua assez vite ses mouvements, me prouvant qu’il ne détestait pas cela. L’autre, lui, nous regardait en se caressant. Sans doute était-il excité de voir le mari de sa soeur en train de fourrer un mec. Ça ne prit pas très longtemps que je sentis les soubresauts de la queue qui crachait son sperme en moi et les cris de jouissance du mec se firent aussi entendre. Il se retira et sans rien dire, il quitta la chambre. Aussitôt, l’autre reprit sa place et recommença à me fourrer avant de, lui aussi, me gicler son foutre au fond du cul pendant que, de mon côté, je venais sur les draps.

– Jamais je n’aurais cru voir ça de mes propres yeux, dit-il en se laissant tomber sur le lit. Marco, le macho des machos, en train de fourrer un cul de mec. Et tu as aimé ça je suppose qu’un straight te remplisse?

– Je dois avouer qu’il est tout de même bandant ton beau-frère. J’imagine que maintenant tu vas trouver ça moins dur de l’avoir toujours chez toi.

– Pourquoi?

– Bien, tu vas maintenant pouvoir le baiser.

– Il ne voudra jamais faire cela avec moi. Tu vas devoir revenir, dit-il en me souriant.

– Seulement si vous acceptez de me fourrer en même temps. J’aimerais bien vous avoir tous les deux dans le cul en même temps.

– Je lui en parlerai.

Je me rhabillai et quittai le condo sans revoir le beau-frère qui s’était enfermé dans sa chambre. Sans doute avait-il honte ou je ne sais quoi mais moi, j’espère juste pouvoir retourner là alors qu’il sera au rendez-vous pour une double pénétration.

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