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Mon rêve dans un métro !

Mon rêve dans un métro !



Je suis assis dans une rame de métro plongé dans mon blackberry : comme à l’accoutumée,mon voyage se déroule le plus tristement du monde.
Soudain, vous vous asseyez en face de moi. Enfin pas exactement en face mais plutôt en « diagonale », ce qui nous donne à chacun une vue de 3/4 sur l’autre. Comme nous sommes du coup à la même hauteur, nos regards se croisent, suivi d’un sourire furtif mais réciproque, avant de retourner à nos occupations : moi mes méls du taff et vous, un magazine de mode.

Tout ceci aurait pu en rester là, si mon attention n’avait pas été absorbée par la beauté de votre personne : un visage fin et discrètement maquillé, une veste tailleur cachant faussement un décolleté a peine dissimulé par une fine étole, une robe a peine serrée et suffisamment longue pour s’échapper de cette veste assortie mais suffisamment courte (mi cuisse) pour laisser tous mouvement a vos longues et magnifiques jambes. Parlons-en de ces jambes ! Gainées par des collants (ou des bas) de couleur noir avec de fines et discrètes résilles , la pureté de leurs formes se confirme au fur et à mesure du reflet de la lumière ambiante sur leur fines silhouette ! Le parcours le long de ses longues et fines gambettes s’achève par des escarpins des plus classiques mais terriblement beau : noirs et vernies chez chaussure affinent encore votre silhouette (était-ce d’ailleurs bien nécessaire ?) en se terminant pas en bout ronds laissant le fin talon (presque aiguille) sur le perdre sur la touche comme pour mieux renforcer la courbure naturelle du pied ! Le bouquet final reste la fine boucle au niveau de la cheville afin que l’accessoire ne se sauva point.

Comment dire ? A cet instant précis, je me trouve en face de la femme de mes rêves, magnifique, inaccessible. De ces personnes qui nous laissent bouche bée de leur beauté. Inaccessible disais-je mais tellement proche, à a peine un mètre de moi !
Evidemment, inutile de préciser que mes mains, toujours en mouvement sur ce téléphone, s’étaient totalement déconnectées de cette réalité qui s »offrait à moi. Que dois-je faire ? Savourer ou ignorer ? Me noyer dans mes méls ou provoquer la discussion ?

J’en étais à ces hésitations lorsque, las de la journée vous avez croisé vos jambes ! Aussi tôt mon regard parti à l’afut du spectacle qui je dois dire fut largement à la hauteur : un escarpin des plus beau pointait désormais dans ma direction comme pour m’inviter à mieux le contempler. J’acceptais ainsi l’invitation et sorti mes lunettes comme pour mieux inspecter le chef-d »oeuvre d’un artiste. En partant de ce magnifique pied, je remontais telle une caresse, lentement, sûrement et principalement intensément. C’était sans compter que la fin du parcours allait m’offrir deux cadeaux supplémentaires : quelques centimètres avant la couture de la robe, aparraîssait la fine lisière de bas ainsi que d’une minuscule étoffe qui devait être celle d’un porte-jartelle. Je continuai mon mouvement ascendant de la tête, lorsque je croisa un regard scrutateur. Vous n’aviez rien perdu de mes observations et de mes découvertes. Ce regard sembla me figer pendant une éternité ! Je fini par répondre par un sourire en guise de remerciement pour le spectacle qui s’était déroulé sous mes yeux. Quelle ne fut pas ma surprise quand votre regard se transforma en sourire connivence ! L’audace alla même jusqu’à retirer votre sac à mai de vos genoux et le mettre à terre de coté pour qu’il n’occulte en rien ce délicieux paysage.

Ce fut alors un bien trop court où chaque mouvement du métro était un prétexte à mieux me montrer vos atouts ! Le point d’orgue fut l’instant où par maladresse (ou non), vous aviez fait tomber quelques uns de vos papiers et que vous aviez pris une savante et délicate position qui m’en dévoilait davantage encore.

Malheureusement, ce qui devait arriver arriva : mon arrêt.
Le fait de me voir rassembler mes affaires voila votre sourire et votre en-train. Je me levai et, sans vous quitter du regard, exprimât un simple mais véridique Merci. La porte s’ouvrit et je (re) basculait dans mon quotidien trop terne a présent. Alors que j’arrivais à la surface, je senti une légère tape sur mon épaule. Surpris, je me retourna et trouva à nouveau ces magnifiques yeux !

A suivre …

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