L’été tirait à sa fin. Les nuits longues et douces se firent de plus en plus rares et les chandails ont commencé à faire leur apparition sur le dos des jeunes. Judy, assise seule au sommet d’une petite colline, admirant le coucher du soleil attendait son copain, Michel. Une par une les étoiles commencèrent à scintiller dans le ciel, embellissant la vue de Judy de constellations qu’elle ne comprenait pas, mais qu’elle aimait bien quand même. Judy et Michel s’étaient rencontrés il y a trois mois. Ils s’entendaient très bien. Judy adorait Michel, sa stature, sa grande taille, et ses mains soignées, bien qu’il y avait quelque chose dans son caractère qui la chagrinait, quelque chose qui pouvait être dangereux et imprévisible. Mais cela s’ajoutait au plaisir d’être en sa compagnie, d’être sa meuf, son amante. A 19 ans, Judy avait déjà eu des petits amis. Michel était plus âgé, il avait 23 ans et il n’était pas intéressé par toutes ces choses qui obsédaient les autres copains de Judy. Michel ne s’occupait pas de tout ce qui était « cool », c’était une créature tout à fait différente.
Il passait beaucoup de temps à regarder Judy, qui la mettait mal à l’aise et il la touchait gentiment et le personne aurait osé le faire comme lui, même Judy elle même. Un jour, il lui avait demandé de se branler, et qu’il la regarderait. Judy avait hésité, jusqu’à ce que Michel tire les couvertures sur elle, sur lesquelles ils étaient allongés et lui avait suggéré de commencer sans qu’il puisse la voir. Puis petit à petit, Michel tout en se branlant avait tiré la couverture jusqu’à ce que ses yeux soient attirés par son con et ses jambes écartées devant lui, elle le regarda comme lui la regardait se frotter et se chatouiller pour atteindre un délicieux orgasme.
Il avait une façon de lui faire faire toutes ces choses : Le laisser la toucher sous la table d’un bar, le laisser baisser sa tête entre ses jambes et la lécher, jusqu’à ce que son con explose d’excitation, le laisser lui parler grossièrement, en disant des mots comme « baiser », « enculer », « engrosser ». Michel était une aventure, une aventure que Judy aimait, bien qu’il la surprenait souvent.
Tous ces souvenirs lui revinrent à l’esprit maintenant, qu’elle attendait Michel pour aller avec lui, car c’était leur dernière nuit ensemble jusqu’aux vacances de Noël. Judy allait au collège et Michel avait commencé ses études dans un grande école de commerce. C’était une occasion douce amère, mais ils s’étaient promis de passer des moments inoubliables et de ne pas penser à leur séparation.
Des bruits de pas résonnèrent dans l’herbe molle derrière elle. Judy sourit, mais ne se retourna pas. « Bonjour, étranger. », murmura-t-elle. Elle le sentit l’embrasser sur la tête et ensuite la frôler, lorsqu’il s’assit. Il répondit « Belle nuit, n’est-ce pas ? Je regardais les étoiles en pensant à toi. »
« Oui », dit-elle avec en souriant, se retournant pour l’embrasser. Il répondit à son baiser en passant doucement sa langue sur ses lèvres, avant de mordre sa lèvre inférieure. « Oh… Tu sais », prenant sa main dans la sienne.
– Non sérieusement, je veux savoir, dis moi.
– Eh bien c’était ce moment là. Quand tu…
Elle s’interrompit et rougit, incapable d’expliquer que c’était honteux et dégueulasse et bon aussi ce qu’elle a ressenti lorsqu’il l’observait.
« Le moment où je regardais ton doigt ? » demanda t-il curieux, Judy acquiesça et eut un rire étouffé. « C’était génial, putain ! Ta bite est devenue si dure. », Judy frissonnait en y repensant, l’attira vers lui et passa ses bras autour de lui. « Tu sais », chuchota-t-il, il y a d’autres endroits que je pourrais toucher, pendant que tu te touches aussi ! Judy médita un instant, mais fut incapable de comprendre ce qu’il voulait dire. « Comme quoi ? », demanda-t-elle.
– Comme ton cul.
– Vas t’en, dit-elle en riant.
– Sérieusement il y a beaucoup de filles qui aiment ça.
– Je ne te crois pas, dit Judy, nerveusement, mais déjà excitée.
– Aimer comment ?
– Eh bien, dit Michel avec un sourire désarmant. Tu es certaine de vouloir des explications ?
– Oui.
– Vraiment, je pourrais te le faire essayer.
– J’en doute.
– Tu penses que c’est trop dégueulasse? Que c’est pour les filles de mauvaise vie ?
Judy haussa les épaules et dirigea son regard sur le sol, ne sachant comment lui répondre.
– Tu vois, dit Michel couché sur le sol, la regardant lorsqu’il parlait. Je ne voudrais pas commencer ici tout de suite.
Je te doigte d’abord, jusqu’à ce que tu mouilles.
– Michel! Dit Judy, elle ne savait pas si elle voulait protester ou pas.
– Ecoute, dit Michel en riant et en tendant sa main pour toucher sa cuisse et la caresser pour la rassurer et puis : Lorsque tu seras mouillée et excitée, je passerais mon doigt pour caresser ton cul. Je n’essaierais pas de l’introduire dans le trou de ton cul ou faire autre chose, mais je ne ferai que le caresser ton cul. Tu sais ce que c’est le « rimming » ?
– Non, répondit Judy, calmement.
– C’est quand tu le fais avec ta langue, simplement lécher le cul en faisant des petit ronds autour du petit trou.
– Je ne te laisserais jamais faire ça.
– Oui, Eh bien en fait, je te toucherais et je caresserais ton cul avec mon doigt mouillé, et tu toucherais ton con. Je pense que je pourrais même utiliser mon autre main pour faire rentrer quelques doigts dans ton cul…
Judy le regarda profondément choquée et chercha à cacher son excitation. Michel se penchant en avant et embrassa ses lèvres brièvement avant de murmurer à son oreille. Tu l’aimerais, Judy, laisse moi te montrer.
– Je ne sais pas… Murmura-t’elle, sa respiration était saccadée.
– Si tu n’aimes pas, j’arrêterais, je te le promets.
Judy se déplaça un peu pour lui faire face, ses yeux étaient grand ouverts d’excitation. La main qu’il avait posée sur sa cuisse la caressait jusqu’à la jambe, ses doigts se dirigeaient vers son entrejambe avant de descendre vers son genou. Elle sentait soudainement son soutien gorge en dentelle blanche frotter doucement contre ses mamelons, gouttait aussi à la douce brise qui soufflait la bas sur la colline, à l’humidité de sa culotte blanche en coton, et vit les yeux de Michel qui la regardait.
– C’est dégueulasse, Michel, dit elle, sa voix n’était plus qu’un murmure.
La main de Michel caressait sa jambe de nouveau, sous la jupe bleue claire et jusqu’à l’élastique de sa petite culotte. Cette fois-ci, il ne redescendit pas jusqu’à sa jambe, mais il restait où il était, ses doigts bougeant doucement sur le mont de vénus, la taquinant en lui faisant comprendre qu’il désirait caresser son minou, mais il ne le fit pas vraiment. Il ne dit rien, il regardait ses yeux observant sa réaction, quand ses doigts menacèrent de s’introduire sous le coton sur sa culotte entre les lèvres de son con. Elle ferma les yeux et poussa un petit soupir qui signifiait qu’il était assez excité de le sentir la toucher. Elle bougea ses jambes un peu plus et s’appuya sur ses coudes dans l’herbe, sa tête renversée en arrière, ses nichons dans tout leur fière beauté de dressaient sous le T-shirt bleu qu’elle portait. Ses mamelons étaient dressés et pointaient à travers son maillot.
« Ouvre davantage. », murmura Michel, se penchant en avant pour prendre un des mamelons de Judy dans sa bouche à travers sa chemise, la faisant se pencher en arrière qui la fit gémir légèrement. Il glissa sa main vers son entre-jambes et au dessus de sa cuisse, tirant doucement sur sa jambe à l’arrière du genou pour le passage dans l’herbe. Judy suivit la direction et ouvrit ses jambes. Michel était une fois de plus reconnaissant pour ces leçons de danse qu’elle avait pris depuis son enfance. Il se déplaça pour s’asseoir entre ses jambes et du retenir sa respiration, lorsqu’il la regarda, les jambes écartées, la tête inclinée en arrière, les nichons dressés. C’était Aphrodite et elle était sa meuf.
Il releva sa jupe et la replia sur son ventre, ses yeux tombant sur la petite culotte blanche. Ses mains tremblaient légèrement quand il bougea doucement l’entre-jambes, ses yeux fixaient les lèvres poilues qui se séparaient légèrement pour révéler la pointe du clitoris rose et une peu enflé. Elle haletait lorsqu’il l’exposa à l’air frais et la laissa s’allonger entièrement dans l’herbe. Ses mains se posèrent sur ses hanches quand elle descendit sa culotte.
Michel la regardait fasciné, lorsqu’elle leva son bassin et fit glisser ses sous vêtements jusqu’à ses jambes. « Retire ta chemise, chérie », murmura Michel sèchement. Judy haletait, sachant qu’elle montrait son corps à celui qui passerait dans les parages, mais elle fut incapable de résister. L’air frais fit du bien à son con et elle savait qu’elle ressentirait la même sensation sur ses nichons, dont les mamelons se durcissaient. Respirant plus fort, elle retira son T-shirt, pendant que Michel regardait sans la toucher et commença à s’occuper de son soutien gorge.
« Comme ça, chérie. », murmura Michel quand il glissa les bretelles de son soutien gorge sur ses épaules et baissa les bonnets sous ses doudounes. Le résultat fut époustouflant. Poussant ses gros nichons vers le haut et les pressant l’un contre l’autre, ses mamelons durcirent lorsqu’ils furent en contact avec l’air. Michel prit une des mains de Judy et la posa sur ses broîtes à lolo. Elle commença à jouir délicieusement avec son mamelon, le pinçant, le torsadant, et le frottant avec la paume de sa main.
Michel baissa ses yeux sur sa chatte, maintenant nue dans l’air de la nuit. Il écarta les lèvres de son con avec les doigts d’une main et caressa doucement et lentement entre les lèvres avec l’autre main. Judy gémit, arqua son dos, pliant ses hanches pour l’inviter à répéter le passage de son doigt.
Il la caressa de nouveau en appuyant davantage cette fois-ci, s’attardant sur son clitoris bien formé pour le frotter sur le côté. Judy poussa un gémissement et tira sur son mamelon et Michel caressa de nouveau son clito. Il pouvait voir son jus de chatte briller dans les poils pubiens autour de son orifice et bouger aussi son doigt pour le toucher. Elle était trempée. Elle était mouillée, putain. Il regarda lorsqu’elle glissa son majeur dans son con, comment sa chatte était secouée de haut en bas, quand il la pénétrait, comment son doigt rentrait facilement et glissait lorsqu’il le sortait de nouveau.
Il commença à la baiser avec son doigt lentement, regardant comment Judy bougeait son corps au rythme de chaque caresse que son doigt lui prodiguait dans cet exquis trou d’amour et puis essaya de glisser son doigt contre la paroi de son con, avant qu’il ait pu le ressortir. Judy gémissait fortement. Michel renouvela son doigtage, introduisant son doigt dans ce con adorable avec un peu plus de force. La chatte de Judy était suffisamment enflée pour qu’il n’ait pas à avoir besoin d’utiliser son autre main, pour maintenir les lèvres de sa chatoune ouverte, aussi il l’utilisait pour frotter son clito, pendant qu’il la baisa avec un doigt de son autre main. Chaque souffle de Judy devenait un gémissement, et elle avait bougé ses deux mains pour couvrir ses nichons qu’elle serrait, et pétrissait au rythme des caresses que Michel lui prodiguait avec sa main.
« Judy », dit Michel avec une voix rauque, mets tes pieds à plat sur le sol, plie tes genoux, chérie. Judy fit ce qu’il lui demandait. Il fallait qu’elle relève un peu son bassin pour que Michel puisse voir sa fente jusqu’à son cul. Il continua à caresser son clito en dessinant des petits cercles rapides, pendant qu’il ressortait son doigt de son con et le dirigeait vers son cul. Judy gémissait et leva sa tête un peu, ne sachant pas clairement si elle devait l’encourager ou l’arrêter.
« J’arrêterais, si tu n’aimes pas, chérie. », promit Michel de nouveau, son doigt effleurant son petit trou du cul étroit et le toucha à peine. Les gémissements de Judy s’intensifièrent et Michel ralentit le mouvement de son doigt sur son clito, il ne voulait pas qu’elle jouisse déjà. Il mit sa main sur son trou du cul de nouveau sentant la fine peau froissée comme du papier et clos étroitement. Sa bite le brûlait dans son pantalon et il se demanda si elle le laisserait la baiser dans ce trou…
– Tu aimes ça chérie ? Demanda-t-il la regardant. Elle acquiesça en mordant sa lèvre inférieure.
– Oui, je savais que tu aimerais. Est-ce que je peux te toucher un peu plus ? Judy lui fit signe qu’il pouvait y aller.
– Puis-je presser à l’intérieur, dans ton cul ? Simplement pour voir, si tu aimes ?
Elle acquiesça et elle gémit plus longuement et plus profondément comme il n’avait jamais encore entendu de sa part auparavant. Il mit son doigt sur son con et le glissa à l’intérieur de nouveau, le rentrant et le sortant pendant quelque temps, jusqu’à ce qu’il soit imprégné de son jus. Puis il le mit sur son trou du cul et appuya contre l’orifice. Il dessina des petits cercles pour étaler son jus sur son cul et puis pressa fermement contre le centre de son trou du cul. Il était serré, si serré que le doigt de Michel glissa dans le trou étroit, mais juste le bout et Judy gémit longuement et profondément de nouveau. Michel voulait l’enculer violemment. Les copains qu’ils connaissaient l’avaient fait et disaient que c’était la meilleur façon de baiser quand il s’agissait de pénétrer un trou aussi étroit. Sa respiration s’accéléra quand il regarda son doigt s’introduire un petit peu dans le trou du cul de Judy.
– Je vais l’enfoncer plus profondément.
Judy arqua son dos et pressa ses hanches soudainement contre lui. Le mouvement poussa son trou du cul contre son doigt si bien qu’il s’enfonça de deux centimètres encore. « Jésus » murmura Michel, « Judy, tu aimes la baise dégueulasse! ».
En réponse elle posa sa main sur un sein le pinçant et serrant le mamelon, toucha et caressa son clito immédiatement. Michel ne pouvait en prendre plus. Sa main libre alla à la fermeture éclair de son jean, qu’il ouvrit rapidement pour libérer sa bite toute raide. Il saisit sa pine et commença à à bouger sa main rapidement, pendant que ses yeux hésitaient à regarder Judy à toucher son trou du cul avec son doigt enfoncé à moitié dans ce trou du cul. Il commença à bouger la main d’avant en arrière, son doigt entrait et ressortait de son cul. C’était facile, car du jus de sa chatte avait dégouliné de sa chatte jusqu’à son cul, et s’était collé » autour de son doigt, le lubrifiant quand il le retirait et « graissait » l’intérieur de son sphincter toutes les fois qu’il le poussait dedans.
« Oh! Mon Dieu », dit-il. Je t’encule avec mon doigt…!!! Sa bite était maintenant très dure et on voyait des veines le long de la hampe. Il passa sa main rapidement le long de cette gigantesque colonne, bougeant ses hanches de façon à toucher presque le con de Judy. Il commença à bouger ses hanches au rythme de son doigt qui entrait et sortait du trou du cul de Judy et elle levait et baissait ses hanches.
– Je veux t’enculer, Judy, dis moi…
Elle hocha la tête en guise d’approbation et lentement elle cessa de toucher à son clitoris, et finit par s’asseoir pour le regarder.
– Dois-je prendre la position de levrette ? Demanda-t-elle.
– En position de levrette répéta-t-il bêtement ?
Ses mains étaient encore occupées avec sa bite et son trou du cul.
– Baise moi à l’endroit où se trouve ton doigt, oui encule moi, encule moi, encule moi, disait-elle avant de bouger sur ses mains et ses genoux.
Michel haletait et se plaça pour être derrière elle. Il retira son doigt du cul de Judy, pendant qu’il trouvait rapidement son con et la baisa là pendant quelques secondes, le temps de mouiller sa pine suffisamment avec son jus. Sa main libre atteint ses hanches et il commença à frotter maladroitement son clito.
Il ne put résister davantage. Utilisant son doigt comme guide, il mit sa bite près de son trou du cul et appuya doucement contre l’orifice. Judy resta calme et elle ne savait pas quoi faire. Il s’arrêta de doigter son clito et mit sa main sur le creux de son dos pour se stabiliser, et il appuya sa bite plus violemment contre le trou de son cul.
Comme il menaçait de la défoncer, il retira son doigt à temps pour que le cul de Judy se referme autour de la pointe de sa bite. Il gémissait et il donna volontairement une secousse avec ses hanches enfonçant sa bite dans le fond se son cul. Judy gémissait mais ne chercha pas à se dégager. Il attendit un instant et puis lentement il commença à l’enculer. Elle se sentait serrée avec tout la longueur se sa bite dans son cul, beaucoup plus serrée que dans son con, quand on l’enconnait et c’était plus chaud aussi. Sa bite mouillée avait aucun mal à rentrer et à sortir de son cul, quand il bougeait ses hanches derrière elle. Il l’avait déjà baisée par derrière, mais pas comme ça. Il sentait ses couilles se balancer un peu dans l’air frais et frapper doucement son con. Elle avait un peu froid où ses couilles avaient frotté contre le jus de son con et fut rafraîchi par l’air. Il posa ses mains sur ses hanches, enfonçant ses doigts un peu pour se maintenir et commença à tirer son dos en arrière quand il s’enfonça vers l’avant. Son cul restait serré et cependant elle lui donnait son cul….
Judy commença à gémir de nouveau. Ses nichons se balançaient à chaque poussée firent que ses mamelons touchaient l’herbe au dessous d’eux. Elle atteint maladroitement son ventre et commença à caresser son clito de nouveau, gémissant d’excitation chaque fois que ses couilles battaient contre ses doigts. Il fourra sa bite dans son cul, il l’enculait pendant qu’elle se doigtait… et n’importe qui pouvait venir et regarder. Une petite partie de Judy ressentait un frisson d’anxiété. Le reste de son être était excité. Elle sentait l’orgasme qu’elle commençait à sentir au fond de son estomac, son con et son cul serrant au fur et à mesure que son orgasme s’approchait. Elle gémissait sans espoir, lorsque son trou du cul était pénétré et pénétré et pénétré, il l’enculait, l’enculait, l’enculait, et il aurait pu l’enculer toute la nuit…
Michel sentit le cul de Judy se resserrer un peu et libéra une main pour toucher son ventre. Elle caressait son clito pendant qu’il l’enculait, il aimait suffisamment pour être presque sur le point de jouir. Michel l’enculait de plus en plus sauvagement, le bruit de leur corps se faisait de plus en plus entendre, quand il bourrait son cul. Dans son esprit Michel appelait Judy des noms, incapable de croire que cette folle du cul qui était sous lui maintenant était la même fille qui avait refusé se faire enculer. Ses couilles le serraient il poussa un long cri et ressentit ses hanches se plier sous lui.
Judy entendait le cri de Michel et sentant ses hanches se propulser en avant et tomba dans l’herbe. Sa chatte et son cul furent pris de spasmes et la bite de Michel commença à lancer des jets de foutre dans le fond de son cul. Michel criait son plaisir et poussa ses hanches fortement contre son cul, lorsque son orgasme arriva, fut à son apogée puis s’arrêta. « Baise », disait-il à en perdre haleine finalement, il retira sa bite devenu molle du cul de sa petite amie, laissant une bonne quantité de foutre dans son sillage. Il traça une ligne avec son doigt, glissant la première phalange de son doigt dans le cul de Judy, avant de se pencher en avant pour embrasser sa joue, couvrant son dos de son corps.
Judy haletait sur l’herbe, une main posée sur son ventre et sur le sol. Michel se pencha sur elle et caressa ses cheveux. Il l’embrassa pendant quelque temps. Puis il écouta sa respiration, il ria et murmura : « Alors qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ce soir ? »
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