Il y a quelques temps je m’étais retrouvé célibataire et je n’arrivais pas à trouver une femme avec qui baiser.
Au bout d’un mois j’avais de sérieux problèmes à penser à autre chose tellement j’avais envie de baiser.
C’est donc les couilles pleines à ras bord que je me suis tenu le raisonnement ultra classique. si tu ne trouves pas une femme pour de sucer trouver un homme devrait être vraiment plus facile.
Et c’est comme ça que je me suis trouvé un soir à sonner chez un parfait inconnu qui m’avait dit qu’il suçait comme un dieu et qu’il se ferait un plaisir de me vider complètement les couilles.
Quand la porte s’ouvre, je me trouve nez à nez avec un type d’une trentaine d’années au physique totalement quelconque.
Il me dit de le suivre dans son salon et de m’installer dans le fauteuil. J’enlève ma veste et m’assied pendant qu’il part dans la cuisine pour me servir un verre. Un peu timide je regarde la décoration tout en me demandant si je devrais me mettre à poil ou pas.
Quand je l’entends tout à côté de moi dire « Tiens c’est pour toi » je tourne la tête et me trouve nez à nez avec sa bite. Il est juste parti se déshabiller et a collé son gland sur mes lèvres par surprise. Sans me laisser le temps de réagir il prend ma tête à deux mains et me précipite sur son gland luisant. L’odeur du mec en rut envahissait mes narines et sa queue brûlante violait ma bouche indécise. Il donnait des petits coups de hanches qui lui permettaient de s’enfoncer plus loin dans ma bouche.
La tête me tournait, je ne savais plus si je voulais le sucer ou pas si ce qui se passait me convenait. Mais quand il m’a dit « Allez salope pompe mon dard comme une petite pute ! » quelque chose a basculé dans mon esprit et j’ai commencé à le sucer du mieux que je pouvais. J’ai mis toute l’expérience accumulé à mater des pornos à profit pour lui donner la meilleure pipe que je pouvais. Je faisais des cercles avec ma langue autour de son gland, léchait sa grosse queue de haut en bas et de bas en haut tout en jouant avec ses couilles bien gonflées. Je bandais comme un fou. Je ne me suis arrêté que pour me déshabiller et j’ai recommencer à pomper sa grosse queue comme la salope que j’étais devenu au contact de ce gland sur mes lèvres.
Il a fini par se retirer de ma bouche et s’est branlé deux ou trois fois avant de jouir sur mon visage et mon torse tout en me traitant de petite pute en chaleur.
Il s’est affalé dans le canapé en soufflant bruyamment et m’a dit « Rhabille toi vite et dégage, je passe pas la nuit avec les pétasses dans ton genre ».
J’étais dans un état second, nu comme un ver, la queue luisante bandée au maximum et je ne me suis pas posé la moindre question. Je me suis approché de lui d’un bond et je lui ai enfoncé ma queue dans la gorge d’un seul coup. Mes couilles frottaient son menton. J’ai pris sa tête à deux mains et j’ai commencé à lui baiser la bouche comme un dément. J’avais eu du mal à gérer ses 25 cm mais les 20cm de ma bite ne paraissaient pas lui poser de problème. Il a saisi mes fesses à deux mains et les a écartées brutalement pour enfoncer un de ses gros doigts au fond de mon cul sans le moindre ménagement. Malgré la douleur et la surprise cela m’a excité encore plus et quand il a commencé des va et vient de son doigt tout en me malaxant les couilles je me suis retrouvé au 7eme ciel. Et c’est quand il a pris toute ma queue dans sa bouche en essayant de glisser un second doigt j’ai perdu tout contrôle et me suis mis à jouir à longs traits dans sa bouche. Il a tout avalé et a continuer à me sucer et à me baiser avec ses doigts jusqu’à ce que je débande complètement.
Il s’est dégagé, mis debout et m’a donné une claque sur les fesses en disant « Maintenant je vais m’occuper de ton cul petite salope ».
Mais c’est une autre histoire.
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