Mensonge honteux à ma belle mère
J’étais fou de rage ce samedi, en reconduisant, en voiture, la belle-mère chez elle : Mon épouse et moi formions un couple très libre depuis que nos enfants volaient de leurs propres ailes mais, la veille, ma femme préfère, avait, en partie, fait capoter une soirée coquine que j’avais préparé avec deux amis. Nos trois épouses étaient plus ou moins consentantes une petite soirée érotique sauf qu’on ne les avait pas informes que leurs maris espéraient, le champagne aidant, que cela se termine en partouze…Tout avait bien commencé ; Lors du premier jeu, les poux avaient su reconnaitre sans problème, les yeux bandes mais avec les mains, la poitrine de leur compagne, dans de lentes caresses curieuses. Trois soutiens-gorge étaient maintenant accrochés au lustre mais ces dames avaient quand même conservé leur chemisier pour garder un peu de décence dans la série de slows baveux qu’on avait programmé. Un copain, dans la première danse, avait dj introduit ses mains sous la ceinture de la jupe longue de mon épouse et lui caressait les fesses que je savais seulement recouvertes d’un collant sex-shop grand ouvert par-devant et par derrière. Mon épouse me fit un clin d’œil polisson alors qu’elle voyait une de mes mains peloter, sous le débardeur, les gros nichons de ma partenaire qui visitait discrètement ma braguette. Le troisième couple était plus hot car, le male avait relevé la jupe de la copine, baissé le string jaune canari et sa main droite visitait la raie de madame qui lui mordillait l’oreille. On devait passer progressivement, d’après nos plans masculins, de l’érotisme au sexe et les hommes avaient réussi convaincre (après une semaine de négociations !) leurs épouses de présenter chacune un petit spectacle : Mon épouse, assez exhibitionniste de nature, présenta avec ma complicité active, un sketch ou elle jouait l’épouse d’un mari licencié venu convaincre, par tous les moyens, le patron de le reprendre.
A la fin du sketch, il y eut des applaudissements car mon épouse, sur mes conseils, finissait quatre pattes sur la table du salon, seulement revêtue de ses collants ouverts et la croupe ouverte expose l’assistance publique ! Sa copine devait nous présenter un strip-tease hard, mise en scène par son mari également, dans lequel sa vulve rose et son anus ridé nous furent présents abondamment et dans des positions très cochonnes. La soirée devenait chaude… L’amie un peu forte avait choisi une danse du ventre, complètement nue sous une courte nuisette rose transparente et elle terminait sa prestation en ondulant son derrière sur la virilité des spectateurs masculins. C’est ce moment que l’incident arriva : Le mari de la copine rondelette, un peu ivre, releva brusquement la nuisette de son pousse et nous fit admirer » la plus grosse raie poilue de la région. » Son pousse poussa un cri d’horreur en hurlant que personne n’aurait du voir publiquement ses grosses fesses et sa cellulite. Elle renfila sa jupe et se mit pleurer dans son coin alors que mon pousse, au lieu de calmer sa copine, insulta copieusement son goujat de mari !!! Et la soirée tourna en eau de boudin, le charme tait rompu…
Ma belle-mère, Agnès, avait passé quelques jours chez nous pour régler avec sa fille l’organisation de son anniversaire des 60 ans auquel elle avait convié une trentaine de personnes. Elle avait eu un gros revers de fortune depuis la mort accidentelle de son mari, il y a trente ans, mais elle tenait absolument prouver sa famille que sa fille et son fils avaient réussi leur vie professionnelle et sentimentale. Elle n’tait pas très intelligente mais très fière, voire orgueilleuse ! Agnès c’était l’ancienne école : Cheveux gris argent boucles, jupe plisse noire et chemisier blanc longueur d’années. C’tait dommage car, en s’habillant autrement, elle aurait pu mettre ses formes en valeur et retrouver un petit copain pour sa retraite. Ses formes, je les avais découvertes en réparant un spot d’un mur de la salle de bains : J’avais déposé le spot et dans le débarras voisin je le bricolais quand un rayon de lumière issu du trou de la fixation attira mon œil de voyeur. Ma belle mère enlevait sa chemise de nuit Damart et ses gros seins nus mais fermes s’agitaient dans tous les sens. Elle baissait maintenant sa culotte en coton fleuri sur ses longues cuisses imposantes pour m’apparaitre dans le plus simple appareil. C’tait encore une belle plante, très ronde et pulpeuse mais pas grosse. Se baissant pour ramasser sa culotte elle m’offrit sa croupe large en premier plan avec une moule charnue et poilue qui débordait de l’entre-fesse .Ce qui m’étonna le plus c’est que ma chère belle mère, si prude et réservé , se soit fait un long clin, entre les jambes, avec une main droite qui semblait connaître les lieux parfaitement…
La belle-mère remarqua de suite que son gendre qui la ramenait chez elle, en voiture, faisait la gueule (sa fille sortait l’opéra régional avec ses copines et n’avait pas pu la reconduire).Très curieuse, elle osa l’interroger en se foutant de lui …Elle aurait pas d !!!Je lui expliquais alors, en mentant effrontément, que sa fille devenait insupportable, qu’elle refusait de remplir son devoir conjugal depuis des mois, que j’tais déterminé la quitter au plus tout, qu’il y avait de fortes chances que la rupture soit consomme avant sa réception d’anniversaire. Agnès tait blanche. Elle essaya bien sr de négocier, de m’amadouer, de me la jouer au sentiment durant les trente kilomètres du parcours ; Je fis semblant de rester inflexible surtout, lui expliquais-je, que j’avais des envies érotiques et des besoins sexuels assouvir au plus tt et que je ne voulais pas avoir recours une prostitue ! Elle fit le silence radio pendant dix minutes, blanche comme un linge. En fait, part l’incident de la partouze rate, notre couple fonctionnait merveille dans une complicité sensuelle parfaite .Mon épouse avait des aventures avec toujours le même type d’amants : jeunes, timides, un peu hippie et assez efféminés. Un jour , on s’tait même crois dans un motel proche de notre sous-préfecture ; Elle prenait les clefs de sa chambre la réception accompagne d’un jeune éphèbe aux longs cheveux et moi je ramenais les clefs d’une chambre dans laquelle une petite représentante belge, mère de famille de quarante ans environ ,avec des nichons splendides et une bouche large et pulpeuse, m’avait entrainé pour me remercier royalement du contrat signé avec ma société.(Madame avait très très chaude, d’autant que son buveur de bière de mari avait eu un infarctus et la délaissait depuis des mois).On avait fait semblant de ne pas se connaître, ma femme et moi, mais elle m’avait fait un clin d’œil discret en quittant le hall du motel avec sa conquête.
La belle-mère sortit de son mutisme et, d’un ton hautain et méprisant, me demanda si une femme plus âgée pourrait quand même résoudre mes problèmes sordides …Bingo ! Bien sur, ma belle mère se sacrifiait seulement pour une fois, juste pour que son gendre au métier prestigieux d’ingénieur soit présent à la fête et, il n’était absolument pas question de fellation ni de sodomie !!!
On s’arrêta dans un hypermarché pour acheter les provisions hebdomadaires d’Agnès qui ne m’adressait plus un seul mot et j’en profitais pour acheter en cachette ,le bourbon dont Agnès raffolait et, un ensemble coquin, mini soutien-gorge et string ficelle rose, réglable avec des cordons et des nœuds car, je ne connaissais pas les tailles de ma future partenaire qui serait, pour le moins, très surprise du cadeau…Assise dans un fauteuil de son petit appartement, la belle mère me fixa et ordonna : » Allons-y et que ça finisse au plus tôt. » Je lui fis comprendre gentiment mais fermement que c’était moi qui allait décider de tout et que j’adorais les longs préliminaires sensuels et érotiques. Elle accepta un double bourbon » pour oublier dans l’alcool » et, de par derrière son fauteuil, mes mains descendirent sur ses seins lourds pour les masser profondément travers le tissu du chemisier. Agnès crispée ses mains sur le verre de bourbon déjà bien entamé alors que je m’agenouille devant son fauteuil. Quand je remonte lentement sa jupe plisse en cartant ses jambes, la belle-mère résiste. Un regard déterminé de son gendre lui confirme qu’elle devra subir quelques humiliations si elle veut sauver son anniversaire.
Troussée jusqu’à la ceinture, c’est un spectacle retro qui m’apparat : Une gaine culotte l’ancienne avec des jarretelles qui tendent des bas couleurs chair. En cartant, difficilement, un peu plus ses jambes, j’aperçois deux boutons pressions dans l’entrejambe pour les petits pipis. Je m’empresse de les dégrafer malgré une résistance certaine d’Agnès. Entre les deux languettes libres un morceau de vulve rose et charnue se libre de sa prison et de longs poils gris en profitent également. Mon index se permet une visite des lieux sans opposition aucune de la belle mère qui semble résigné .Je lui donne le sachet contenant mon petit cadeau surprise de lingerie et Agnès s’enferme dans la salle de bains pour se changer pendant que j’en profite pour me mettre en slip. A travers la porte de la salle de bains, la belle mère fulmine à haute voix : Ma lingerie est indécente, vulgaire, beaucoup trop petite…Je reste bien sr inflexible et la belle mère sort à contre cœur de la salle de bains du haut de son mètre soixante dix avec ses hauts talons noirs.
Le spectacle est grandiose : Les deux minuscules triangles de tissu rose du soutien gorge laissent déborder presque totalement, sur les cotés, deux seins lourds et laiteux qui semblent vouloir s’échapper, chaque pas d’Agnès, de leur minuscule crin. Le tissu est trop fin pour contenir les tétines paisses qui percent le nylon comme une mini rection au milieu d’une auréole sombre. Le string était aussi à la hauteur de l’événement, juste assez large pour cacher la chatte mais pas assez pour dissimuler la toison grise mais luxuriante de ma belle-mère. Comme Agnès se penche pour se resservir d’office un bourbon, une des grosses mamelles s’échappe et se met à balancer librement dans l’espace .Mes deux mains la saisissent alors pour caresser cette boule ferme et molle à la fois, ma bouche goûte la tétine, ma langue lèche l’auréole brune et je range le sein humide dans son petit nid rose longtemps après. La belle mère semble mue d’autant qu’une bosse conséquente gonfle maintenant mon slip .Elle regagne son fauteuil avec son bourbon ce qui me permet d’apprécier la ficelle du string enfonce dans sa raie qui ne cache pas du tout un petit trou ridé et sombre et deux fesses imposantes et mobiles qui ondulent au ralenti, vu l’inertie des masses, comme le ralenti d’un film sportif .En s’asseyant, Agnès croise les jambes pour cacher une petite tache humide qui venait de naitre entre ses cuisses.
Le traiteur de son anniversaire l’appela alors et, debout, elle eut beaucoup de mal a lui donner ses instructions car d’abord elle était pompette et bafouillait et qu’ensuite, son gendre l’avait déculotté et se régalait en dégustant, à genoux, sa large moule ouverte et humide, pendant que son index explorait, par derrière, l’entre d’un trou ridé et accueillant. Quand elle reposa le téléphone, sa chatte était inonde et je lui demandais poliment de pouvoir jouir entre ses nichons et d’en rester l. Elle s’indigna que j’ose la laisser dans cet état. Sans que je ne lui demande elle libera ses gros nichons, s’accroupit pour entamer une fellation courte mais intense, s’allongea à même la moquette, passa ses jambes au dessus de mes épaules et me demanda de la pénétrer séance tenante. La belle-mère, d’après ses râles, dignes d’un film X, prit un pied gigantesque ; Moi aussi.
Après une douche commune, une omelette au lard, un St Emilion, j’étais allongé nu sur le lit pendant qu’Agnès, nue aussi, redonnait vigueur à mon membre en balançant ses grosses mamelles sur ma verge. Elle s’allongea alors à mes cotés en continuant le redressement de ma virilité à la main et me proposa dans le creux de l’oreille, sur le bout des lèvres, comme honteusement, » par curiosité » dit-elle, de visiter en copain un petit trou vierge de son intimité postérieure …Jetais entrain de lubrifier avec de la crème de beauté le petit trou de ma belle- mère, à quatre pattes sur le bord du lit, la croupe ouverte qui voulait se faire enculer en douceur par son gendre quand mon portable sonna. Ma chère épouse m’annonçait, à l’entracte de l’opéra, pendant que mon sexe pénétrait le cul maternel, que pour se faire pardonner de la partouze ratée, elle ramènerait à la maison une copine mélomane qui aimait aussi les petites parties triangulaires vu qu’elle tait bisexuelle. La soirée s’annonçait difficile !!!
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