Quelques jours passèrent après ce magnifique moment canapé sans que Julie, Maëlle et moi ne puissions nous retrouver à nouveau seuls et avec suffisamment de temps pour nos ébats. Je les avais vues séparément, le temps de quelques caresses. Elles s’étaient vues de leur côté, rien de plus que deux cousines qui passent du temps ensemble. Du moins aux yeux de tous. Pour ma part je savais bien que, vu ce qu’elles partageaient maintenant il était fort probable qu’elles s’amusent également entre elles, même sans moi. Idée qui ne manquait d’ailleurs pas de m’émoustiller au plus haut point. Il faut admettre cependant qu’il y avait une forte frustration présente. Avoir été interrompu de la sorte, les avoirs toutes deux à proximité, vraiment proches, sans pouvoir poursuivre ce que nous avions commencé. C’était bien là le plus compliqué. Devoir rester discrets, agir comme si nous n’avions aucune attirance les uns pour les autres et devoir jouer les stratèges pour pouvoir se retrouver sans être interrompus. C’est alors que s’est présentée d’elle-même la situation idéale. Fêtes de fin d’année disions-nous ? Oui. Réunion de famille ? Oui. Voilà qui implique donc des cadeaux, un endroit pour les stocker et des petites mains pour les emballer. Le réveillon de noël étant prévu chez ma sœur, l’idéal était que les cadeaux ne soient pas très loin. Mais comme elle hébergeait déjà une partie des enfants de la famille pour l’occasion, dur de dire qu’ils ne fouinent pas. Il a donc été convenu que le stockage aurait lieu chez moi. Ne restait plus à trouver que la main d’œuvre pour m’aider à emballer sans que les marmots ne puissent voir. C’est donc tout naturellement que Julie et Maëlle furent désignées pour la tâche. De plus nous convenions qu’il était plus pratique qu’elles se partagent ma chambre d’ami pour les quelques jours restants avant le réveillon pour que toute la famille soit hébergée au plus proche sans que personne n’ait à faire de route après le réveillon. Enfin si moi qui habitait à tout juste quelques kilomètres de là. Quelques kilomètres… juste ce qu’il fallait pour nous isoler tous les trois.
Maëlle arriva la première. En début d’après-midi, Julie elle devait arriver un peu plus tard, déposée par sa mère. J’aidais donc Maëlle à porter ses quelques affaire jusqu’à la chambre d’ami. Elle portait une tenue simple qui la couvrait tout en laissant bien deviner ses formes généreuses. Comme sa cousine, brune mais la peau beaucoup plus claire. Une poitrine volumineuse et ferme qui remplissait son petit haut au travers duquel on pouvait deviner la dentelle du soutien-gorge. Un pantalon assez fin et moulant pour laisser voir de magnifiques fesses rondes bien présentes et qu’elle portait un petit string dessous.
-« Bon ! On dirait qu’on va avoir tout le temps qu’on veut pour s’amuser ! » Dit-elle en se débarrassant de son sac. Et en venant se coller à moi :
-« Mais j’ai pas envie d’attendre, ça me travaille trop depuis la dernière fois ! » ajoutât-elle avant de m’embrasser à pleine bouche.
Je n’avais pas envie de répondre, les mots ne servaient à rien. J’étais tout aussi impatient qu’elle et me contentais de lui rendre son baiser l’enlaçant, lui caressant le dos, les hanches. Goûtant ses lèvres, sa langue. Lui embrassant le cou, les épaules. Elle se retrouva dos au mur, je ne me souviens pas de comment nous avons traversé la pièce et ce n’était pas non plus un détail qui m’intéressait. Juste que le temps d’une brève pose je la contemplais, là, plaquée au mur, les yeux pétillants de désir sa poitrine se gonflant au rythme de sa respiration. Sa poitrine… une intense envie de la caresser non de la dévorer. Sans plus attendre je relevais son haut et me retrouvais avec ses seins en mains, le soutien-gorge étant le dernier rempart. Je pouvais sentir ses tétons se durcir au travers du matériau, ma bouche cherchait son chemin jusqu’à eux. Ce qu’elle semblait vouloir également puisqu’elle défit l’attache me donnant de suite un meilleur accès. Mais il était encore là, ce fichu soutien-gorge qui bien qu’il ne tenait plus rien, était encore sur ma route et me gênait. Pris dans mon désir ardant je ne pensais pas à tout simplement le lui enlever. Non, j’étais déjà ailleurs. Ma bouche couvrait son ventre de baisers, mes mains la caressaient jusqu’à venir se fixer sur ses hanches. Sur l’élastique du pantalon, les doigts fouillant, cherchant le contact de la chair sous le tissu, ou plutôt cherchant prise pour se débarrasser de cet autre obstacle. Pendant ce temps ma bouche était rendue sur son pubis toujours au travers du tissu, j’engouffrais mon visage entre ses cuisses son parfum m’enivrait. Je m’interrompis un instant cherchant son regard, lequel était fixé sur moi agrémenté d’un large sourire que je lui rendis. Mes mains se saisir du pantalon, le firent glisser le long de ses jambe le laissant tomber à ses chevilles. Ne restait pour couvrir son entre jambe que le minuscule string. Un peu de dentelle sur le devant une petite partie unie qui couvrait juste sa vulve et… l’arrière ? Je ne voyais pas l’arrière. Il fallait que je sache. J’aime les jolies fesses ornées d’un joli petit string. Sans plus attendre je faisais pression sur ses hanches la guidant pour qu’elle se tourne. Eloignant un peu son bassin du mur poussant un peu dans son dos pour qu’elle y plaque sa poitrine. Le spectacle était à ravir. Cela m’excitait d’avantage, son entrejambe m’attirait d’avantage. Je lui attrapais donc les fesses, utilisant mes pouces pour les écarter et exposer son sillon. Son œillet semblait vouloir s’ouvrir, la ficelle du string ne le dissimulait plus assez. De toute façon c’était un obstacle il me fallait l’écarter de mon chemin. Aussitôt fait, ma bouche s’invitait entre les cuisses de Maëlle qui, naturellement comme pour me faciliter l’accès à son trésor se cambrait, se mettait presque sur la pointe des pieds. Ma langue goûtait sa vulve, se faufilant entre ses lèvres allant chercher son clitoris, revenait lui titiller l’œillet. Ma bouche remuait entre ses cuisses ne sachant plus où aller tellement tout ce qu’elle trouvait était délectable. Très vite mes doigts se mirent également à parcourir l’intimité de la demoiselle la titillant, la pénétrant. Le string étant toujours de la partie, il fallait régulièrement l’écarter du chemin. Cette fois pas question de passer à autre chose à cause d’un petit morceau de tissu. Certes mon cerveau n’était plus très fonctionnel mais un petit reste me fit me rappeler qu’il suffisait de faire glisser le string comme le pantalon… tout simplement. Une fois cela fait et alors que je redirigeais mes mains vers mon butin, Maëlle une main entre les cuisses et l’autre qui écartait ses fesses me dît :
-« Maintenant ! J’en peux plus d’attendre ! Prends-moi ! Prends-moi maintenant s’il te plait tonton !! » D’une voix chaude sensuelle et tremblotante.
-« Prends-moi ! »
-« Avec grand plaisir ! » lui répondis-je.
Je ne me laissais pas prier d’avantage me relevant au plus vite pour me débarrasser de mon pantalon et caleçon et me saisir de mon sexe déjà tout dur et luisant de pré-sperme. Je me positionnais derrière elle mon gland contre sa vulve, je le remuais là un peu, pour m’assurer qu’elle était assez humide. Maëlle faisait remuer ses doigts sur son clitoris lentement, des petits cercles. Son autre main toujours sur une fesse pour m’ouvrir le passage. Une fois assuré que nos sexes étaient assez lubrifiés je poussais lentement mon gland en elle. Je me sentais la pénétrer. Elle m’aspirait en elle comme si nous étions aimantés et calibrés l’un pour l’autre. Mon sexe avançait enserré dans son vagin, il me fallait me retenir de ne pas y entrer comme un barbare. J’y étais enfin mon sexe entièrement fourré en elle. En Maëlle. Je pouvais sentir ses fesses pousser légèrement sur mon bassin comme pour ne pas que je m’échappe. Je restais là un petit moment planté en elle qui commençait à jouer avec sa poitrine d’une main.
-« C’est bon ? Ça va aller ? » Lui demandais je en commençant un va et vient lent tout du long de mon sexe.
-« Oui !! Oui !! Prends-moi ! je suis pas en sucre, je casse pas ! » Répondit elle
A cette annonce mon sang ne fit qu’un tour. J’accélérais mes coups de de reins, m’accrochant à ses hanches. Je sentant bien qu’elle remuait également son bassin, qu’elle accompagnait mes mouvements nous nous faisions mutuellement l’amour. Non, vu l’acharnement que nous y mettions nous nous baisions l’un l’autre. Après un moment d’aller retours fougueux je me retirais pour reprendre mon souffle le temps de la retourner, de la retrouvée dos au mur. Je me suis approché, nos lèvres se sont trouvées. Je lui ai attrapé une jambe l’ai soulevée. Elle a guidé mon sexe en elle, je l’ai à nouveau pénétrée. Je lui ai attrapé l’autre jambe, elle s’est enroulée autour de mes hanches, ses bras autour de mon cou. Nos langues se sont séparées, nous nous somme regardés. Il n’y avait pas là de mots pouvant exprimer l’instant pas pour ma part en tout cas. Je reprenais me coups de reins en elle
-« Plus vite ! » quémanda-t-elle entre deux gémissements.
Je ne voulais pas exécuter je ralentissais le mouvement pour qu’elle redemande plus gentiment. Lui lançant au passage un grand sourire.
-« non non non !!! T’arrêtes pas !!! Recommence plus vite c’était bon là !! »
-« C’est comme ça qu’on demande ? » répliquais je toujours en arborant un grand sourire et ne remuant en elle que très lentement.
Je pus voir un éclair d’étonnement sur son visage comme si elle se demandait si je lui faisais réellement un cours de politesses malgré les circonstances puis, très vite un large sourire et des yeux malicieux apparurent. Délicatement elle plaça sa bouche sur mon torse y posa un petit baiser et me mordit. Suffisamment fort pour me faire sursauter et m’empaler d’un coup profond en elle au passage. Elle poussa un cri mais pas de douleur, me fixa de nouveau droit dans les yeux pour formuler un malicieux et très coquin :
-« S’il te plait ?? »
Je ne savais pas comment le prendre cette petite peste me provoquait elle ? _ (Une peste ? mais cette petite voix si agréable et ses yeux brillants ? Mais elle m’a mordu ? Qu’importe, en fait j’ai aimé ça elle en veut ? Elle va en avoir !)
Sans plus dire mot je recommençais mes coups de boutoirs m’appliquant à bien faire coulisser mon sexe en elle que mon gland titille bien la paroi de son vagin et replaçant bien mes mains sous ses fesses qu’elle ne tombe pas. Mais surtout pour que l’un de mes index soit au plus près de son œillet pour le ti… _ (oh ! il est entré tout seul). Je maintenais le rythme autant que possible j’étais à bout de souffle je sentais mon cœur battre dans mon pénis comme s’il doublait de volume par intermittence, à moins que c’eut été son vagin qui se contractait ? Possiblement les deux dirais-je.
Maëlle elle, ne gémissait plus. Elle râlait, vocalisait, criait. Du moins il me semble puisque j’étais dans un état second, un état de profonde excitation, une transe de plaisir. Les bruits alentours semblaient étouffés, mon nez ne semblait capter que l’odeur enivrante de Maëlle, le touché de sa peau semblait sublimé, nos sexes l’un dans l’autre semblaient irradié une intense sensation tout semblait filer au ralentit quand je senti les dents de Maëlle se resserrer sur mon épaule. Une sensation éclaire parcourue mon corps me faisant contracter mes hanches, me faisant me planter au plus profond en Maëlle et jouir intensément en elle. Je restais là plaqué contre elle, nous nous embrassions passionnément. Après quelques secondes passées comme ça, je me retirais d’elle et relâchais ses jambes qu’elle puisse de nouveaux se tenir debout et que je puisse récupérer. Nous nous sommes enlacés là debout dans la chambre tout en la câlinant je rompis le silence :
-« Je ne m’attendais pas à ça. Je te pensais plus sage, plus timide. »
-« Ah ! C’est grave ? »
-« Non ! Pas du tout c’était très bon ! »
-« d’habitude je suis plus calme. Là je sais pas je me suis laissée aller c’était différent de ce que j’ai connu avant j’avais trop envie de ça, de toi. »
-« Tant mieux. Moi aussi j’avais vraiment très envie de toi. T’as pris du plaisir au moins ? »
-« Oh oui ! Oui oui oui ! Vraiment ! Mais… j’en veux encore !!! On recommence ? »…
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