Le week-end se termine sans plus d’ébats et le lundi voit revenir le train-train quotidien. Le soir, de retour d’un bon après-midi de travail, Anne retrouve Maxime dans le salon. Comme elle s’y attendait, son fils a préparé un apéritif et l’accueille avec un grand sourire. Elle se penche vers lui pour l’embrasser sur la joue mais ce dernier passe sa main derrière sa nuque et l’embrasse à pleine bouche. D’abord surprise, Anne lui rend son baiser et se laisse aller au bonheur d’être désirée par son fils. Max cesse de l’embrasser et lui dit en posant une main sur l’un de ses seins :
– A compter d’aujourd’hui ce sera la seule façon pour toi de me dire bonjour.
– Très bien, maître, votre petite pute sera obéissante ! dit-elle avec une pointe d’ironie.
– Tu devrais faire attention à ta façon de me parler ! Maintenant, papa sait ce qu’il y a entre nous mais il ne sait pas encore que tu te fais sauter par Pierre.
– Très bien, mon maître ! dit Anne en baissant la tête.
– A partir de ce jour, je veux aussi que tu te promènes exclusivement en sous-vêtement dans la maison avec des talons hauts.
– Mais, je ne vais pas être à l’aise, j’aurai peur que l’on me voit ainsi et je risque d’avoir froid !
– C’est très excitant de penser que des hommes et des femmes puissent te voir depuis la rue. Et puis, la saison n’est pas assez avancée pour que tu aies froid mais je peux t’autoriser éventuellement à porter un déshabillé que tu devras garder ouvert.
– J’ai un peu peur mais je le ferai, dit-elle avec soumission.
– Très bien ! Alors on commence maintenant ! Je veux te voir en sous-vêtement et je souhaite que tu te déshabilles devant la fenêtre.
Sans dire un mot, Anne se place devant la fenêtre du salon et retire sa veste de tailleur puis son chemisier dévoilant ainsi son demi soutien-gorge en dentelle blanche et rose qui laisse dépasser la pointe de ses seins. L’excitation qu’elle éprouve à se dévêtir ainsi devant son fils est trahie par l’érection de ses petits tétons. Au moment de retirer sa jupe, Anne a une hésitation et voyant le regard insistant de son fils, elle se décide à faire glisser le tissu de sa jupe le long de ses cuisses. A sa grande surprise, Max découvre sa mère en bas et porte-jarretelles sans string ni culotte pour dissimuler son sexe. Il pose un sifflement admiratif et dit à sa mère :
– Et bien, ma petite salope, maintenant tu pars au travail les fesses à l’air !
– Ce qui s’est passé ce week-end m’a tellement rendue folle que j’ai eu envie de me promener ainsi !
– Tu aurais bien aimé que quelqu’un s’occupe de ton petit cul !
– Oui et je ne te cache pas qu’en cachette au magasin mes doigts sont souvent passés sous ma jupe pour caresser mon petit bouton.
– Tu es vraiment une assoiffée du sexe !
– J’ai toujours aimé ça mais les évènements de ces derniers jours m’ont transformé en véritable salope.
– Viens t’asseoir près de moi et branle-toi !
Anne qui a rêvé d’une bonne queue toute la journée ne se fait pas prier et vient se coller à son fils sur le canapé. Elle ouvre largement ses jambes, pose une cuisse sur celles de Max avant de poser une main sur sa fente déjà toute humide. Ses doigts se posent sur son clitoris et elle entame une lente masturbation. Maxime, en posant une main sur l’un de ses seins lui demande :
– Comment as-tu amené papa à te baiser avec moi ?
– L’autre soir, je lui ai bandé les yeux en lui demandant qu’il imagine faire l’amour à une autre femme que moi. Après ton départ, je lui ai demandé à qui il pensait en me baisant. En le voyant hésiter, je lui ai dit que s’il me le révélait, je lui dirai qui j’imaginais sucer.
Très excité par les propos de sa mère, Max a baissé son pantalon pour mettre sa queue à l’air et, d’une main, il soulève la jambe de sa mère pour présenter son gland à l’entrée de la chatte maternelle. Tout en continuant à se caresser le clitoris, Anne dit à son fils :
– Oh, oui mon chéri ! prends-moi, j’en ai envie depuis ce matin.
– Oui, mais avant tu me dis à qui pensait papa !
– Il rêvait qu’il baisait avec…… Julie !
Cette révélation excite Max au plus haut point et il enfonce d’un seul coup son membre dans la chatte de sa mère. Cette dernière soupire en sentant la queue bien chaude de son fils entrer en elle et elle poursuit son récit :
– Ensuite j’ai du lui dire….. oh, oui prends-moi bien… Mmmh….. que j’imaginais sucer ta grosse bite !
– Et il l’a pris comme ça ?
– Mmmh, non. Mais il y a pensé toute la journée de samedi en me regardant essayer mes tenues sexy. Il m’a avoué après que vous m’ayez prise tous les deux qu’il avait vraiment envie de me voir te sucer.
Maxime glisse deux doigts dans la bouche de sa mère et la lime frénétiquement lui arrachant des gémissements de plus en plus forts. Elle se met à jouir et son fils se retire de sa chatte pour envoyer de longs jets de sperme sur son ventre. Ils restent un moment enlacées puis Max tend un verre à sa mère en disant :
– A nous et à la surprise que je te réserve pour mercredi !
– Ah bon, parce que je vais avoir droit à une surprise !
– Oui, et pour cette soirée je te demande de porter la jolie robe que papa t’a offert samedi ainsi que le porte-jarretelles et les bas assortis. Comme tu seras habillée et pour compenser ce que je t’ai demandé tout à l’heure, tu ne porteras pas de sous-vêtement.
– Je ferai ce que tu me demandes mon chéri !
Le lendemain soir, Max rentre relativement tard à la maison. Sa mère l’accueille simplement vêtue d’un string et d’un soutien-gorge en fine dentelle rose. Le galbe de ses jambes est parfaitement mis en valeur par ses escarpins dotés de talons d’une dizaine de centimètres. Maxime constate avec plaisir que sa mère a suivi ses ordres et il n’est pas surpris quand elle se jette à son coup pour l’embrasser langoureusement en écrasant ses seins sur sa poitrine. Dans cette étreinte, il laisse descendre ses mains sur les fesses de sa mère et les presse fermement.
– Je vois que tu as bien suivi mes conseils !
– Ne suis-je pas ta petite pute obéissante ?
– Si ! Tiens prends ça, c’est pour toi ! Ca pourrait bien te servir un jour !
Maxime tend un paquet à sa mère que celle-ci ouvre avec impatience. A l’intérieur elle découvre un gode-ceinture qui présente une taille inférieure aux belles dimensions de son fils. Il lui demande de le garder à portée de main, au cas où… Maxime passe le reste de la soirée sans toucher sa mère et monte se coucher après l’avoir embrassé sur la joue. Frustrée par le comportement de son fils, Anne décide de passer la nuit sur le canapé en compagnie du cadeau de son fils. Après tout, il lui a demandé de le garder à portée de main et où pourrait-il être plus prêt que planté entre ses cuisses. Elle se fait jouir en fantasmant sur la surprise que lui prépare Max pour le lendemain.
Anne a pensé toute la journée à ce que Max a bien pu lui préparer pour le soir et, n’y tenant plus, elle demande à son ami de quitter la boutique une heure plus tôt. Il est 18H00 lorsqu’elle rentre à la maison. Elle se dirige rapidement vers la salle de bain pour y prendre un bain puis elle passe dans sa chambre pour enfiler les vêtements que son fils lui a demandé de porter avant de chausser ses escarpins noirs vernis aux talons vertigineux. Elle revient dans la salle de bain pour se parfumer et appliquer sur son visage un maquillage plus appuyé qu’à l’ordinaire. Elle s’admire ensuite dans le grand miroir pour voir l’effet que produit son image. Elle a plus l’air d’une escort-girl que d’une mère de famille sans histoire. Le fait d’être nue sous sa robe et la vision de la fente de sa robe qui s’arrête juste en dessous de la lisière de ses bas et de son porte-jarretelles fait monter une vague de chaleur dans son ventre. Satisfaite de l’image qu’elle donne, Anne redescend dans le salon et va se poser sur son fauteuil favori en attendant le retour de son fils. Près d’un quart d’heure passe avant que Max fasse son apparition dans la maison. Anne se lève en le voyant approcher d’elle et plaque ses lèvre sur les siennes pour lui dire bonjour. Maxime lui rend son baiser en glissant sa langue entre les lèvres de sa mère pour lui rouler une pelle fougueuse. Il profite de cette étreinte pour glisser une main entre les cuisses de sa génitrice et vérifier ainsi qu’elle a bien suivi ses ordres. Satisfait, il met fin à leur baiser en disant à sa mère qu’il file prendre une douche avant que sa surprise n’arrive.
Au volant de sa voiture, Julie se dirige vers la maison de Max. Il lui a demandé de porter la même robe que samedi soir ainsi que ses bas et son porte-jarretelles en lui laissant entendre qu’elle allait vivre une nouvelle soirée inoubliable. Il lui a aussi demandé de prévoir de quoi passer la nuit chez lui en avançant qu’il ne serait pas prudent de prendre le volant après la soirée. C’est la première fois qu’elle va passer une nuit chez Max et elle a été très surprise lorsqu’elle a demandé l’autorisation à sa mère et que celle-ci a donné son accord sans discuter. En roulant, elle repense à la séance de cinéma et sa main glisse entre les pans de sa robe pour venir caresser sa petite chatte qui commence à s’humidifier. Elle n’a pas jugé utile de porter des sous-vêtements sachant que la dernière fois Maxime lui a demandé de les retirer. Elle n’aurait jamais cru qu’elle pourrait en arriver là mais il fallait bien se l’avouer, elle était désormais assoiffée de sexe comme une petite chienne en chaleur. Elle arrive enfin à destination et gare sa voiture devant la maison avant de sonner à la porte. C’est Max qui vient lui ouvrir et ce dernier l’embrasse avec fougue pour l’accueillir. Il la prend par la main et l’entraîne vers le salon où les attend Anne. Cette dernière se lève de son fauteuil et, comprenant que sa surprise vient d’arriver, l’embrasse en osant poser ses lèvres pour la première fois à la commissure de ses lèvres, juste au bord des siennes. Un seau à champagne et trois coupes sont posés sur la table du salon et Max propose à Julie de prendre place sur le canapé avant qu’il fasse le service. Anne s’est assise dans son fauteuil et prend volontiers la coupe que lui tend son fils. Max présente une coupe à Julie avant de prendre place près d’elle un verre à la main. Ils discutent de choses et d’autres et après le deuxième verre les idées de Julie ne sont plus tout à fait claires. La discussion est de plus en plus grivoise et Julie se laisse griser par cette ambiance particulière. Max ressert un autre verre et en s’asseyant près de Julie, il demande à sa mère de venir près d’eux prétextant que ce serait plus convivial. Anne se déplace et vient s’asseoir près de la petite amie de son fils en collant sa cuisse à la sienne. La conversation se poursuit et les allusions au sexe se font de plus en plus fréquentes. Julie croise et décroise les jambes en sirotant son champagne sans s’apercevoir que ses mouvements ont eu pour effet d’écarter les pans de sa robe découvrant ainsi le haut de ses cuisses. De son coté, Max l’a remarqué et pose une main sur la chair ainsi, dénudée. Sentant cette main chaude sur sa peau, Julie tourne son beau visage Max se penche vers elle pour l’embrasser tendrement sans lui laisser le temps de réfléchir. Détendue par l’ambiance, elle lui rend son baiser avec passion lorsqu’elle a un mouvement de recul en sentant une main se poser sur son autre cuisse. Max la regarde droit dans les yeux en lui disant :
– Embrasses-la, elle en meurt d’envie !
– Je ne peux pas faire ça !
– Rappelles-toi, tu m’as promis !
Repensant à leur conversation au sujet de son père, Julie tourne son visage vers Anne et la laisse poser ses lèvres sur les siennes. La jeune femme n’oppose aucune résistance lorsqu’elle sent la langue de sa partenaire franchir la barrière de ses lèvres et va même à sa rencontre pour unir leurs langues dans un baiser langoureux. Max, en les regardant, a écarté les cuisses de Julie et guidé la main de sa mère vers la chatte dépourvue de culotte de sa petite amie. A ce contact, la jeune femme soupire dans la bouche de sa future belle-mère alors que celle-ci lui caresse le clitoris d’un doigt. Max saisit alors la main de Julie et la pose sur le genou de sa mère pour la guider le long de la fente de sa robe avant de la lâcher. Pour son grand plaisir, il voit la main de sa petite salope de copine disparaître sous la robe de sa mère et devine qu’elle a trouvé son objectif en les voyant s’embrasser fougueusement, poussant de profonds soupirs. Il glisse une main dans le décolleté de Julie et lui caresse les seins, constatant qu’elle est nue sous sa robe. Max approche son visage de la bouche des deux femmes. Sentant sa présence, elles cessent de s’embrasser et Anne tend ses lèvres vers les siennes. Subjuguée, Julie les regarde s’embrasser tout en caressant la chatte d’Anne mais elle a maintenant très envie de ces deux bouches. Elle tend sa langue vers leurs lèvres jointes et Max qui la regardait du coin de l’œil écarte légèrement son visage pour qu’ils puissent mêler leurs trois langues dans un baiser pervers. Décidant de laisser les deux femmes se découvrir Max s’écarte d’elles et se contente de caresser les seins de Julie. Elles se reprennent la bouche alors qu’Anne vient de glisser un doigt dans le con trempé de Julie qui exprime son approbation en soupirant dans la bouche de la mère de son mec. Encouragée par la réaction de Julie, Anne enfonce un deuxième doigt dans sa petite chatte et commence à la pistonner lentement. Sous la caresse, la jeune femme rejette la tête en arrière et dit dans un soupire :
– Oh, oui ! c’est bon ce que vous me faites, madame …. ouiiiiii !!!
– Tu peux me tutoyer maintenant que nous sommes ses deux petites putes soumises !
– Mmmh, oui…. Ses deux putes ! Et moi, je serai ta petite salope… Mmmh, tu me plais trop, Anne !!
– Oui, c’est ça ma petite salope ! Pénètres-moi bien dit Anne en sentant deux doigts entrer en elle.
Maxime qui n’en espérait pas tant a très envie de les voir se manger la chatte. Il se lève du canapé et demande aux deux femmes de retirer leur robe. Obéissantes, elles se lèvent et laissent tomber leur robe à leurs pieds. Elles sont maintenant face à face à un mètre l’une de l’autre dans la même tenue : bas et porte-jarretelles juchées sur des escarpins à talons haut. Max se régalant de se tableau dit :
– Approchez-vous et caressez-vous le corps !
C’est Anne qui fait le premier pas et Julie tend les bras pour l’attirer à elle. Maintenant leurs corps se touchent et, comme attirées, leurs bouchent partent à la rencontre l’une de l’autre avant un rappel à l’ordre :
– Non ! Ne vous embrassez pas ! Maman, pose tes mains sur ses fesses et caresses les !
– Julie, caresses les seins de maman !
Les deux femmes s’exécutent et suivent scrupuleusement les ordres de Max.
– Maman, écartes les cuisses !
– Et, toi ! sa petite salope tu vas passer la tienne entre ses jambes et lui frotter la chatte avec ta cuisse dit Max en s’approchant de Julie.
Julie se colle à Anne et ne voulant pas être en reste elle ouvre ses cuisses. A présent, les deux femmes ont chacune une cuisse posée sur la chatte de l’autre et elles se contorsionnent pour se caresser en poussant des soupirs.
– Maman, approches tes lèvres des siennes !
– Doucement, pas trop près ! Écartes légèrement tes lèvres !
– Julie, sors ta langue et lèches lui les lèvres !
Très excitées par le petit jeu de Max, les deux femmes s’exécutent docilement en continuant à se frotter mutuellement la chatte.
– Maman, ta petite salope va maintenant entrer sa langue dans ta bouche et t’embrasser comme une petite pute et tu vas te laisser faire car toi, tu es ma petite pute !
Elles s’embrassent à pleine bouche cherchant à ratt****r le retard engendré par le précédent refus de Max. Ce petit jeu les excite tellement qu’elles soupirent de bonheur en se frottant mutuellement la chatte de leurs cuisses. Max les regarde se faire du bien et leur demande après quelques instants :
– Mettez-vous à genoux et venez me sucer !
– Oui, maître ! répondent-elles en cœur.
Anne saisit la queue de son fils et dépose un baiser sur le bout de son gland. Elle prend la main de Julie et la pose sur la bite de Max et s’écarte pour la laisser prendre le beau membre en bouche. Julie fait aller et venir ses lèvres sur la queue toute raide alors que la mère de Max lui malaxe doucement les couilles. Anne pose sa langue sur la tige de son fils et la rapproche des lèvres de Julie. Elles mêlent leurs langues sur le gland de leur amant avant qu’Anne le prenne à son tour en bouche. Elle lui avale littéralement la queue en l’enfonçant au plus loin dans sa gorge. Sa main glisse entre les cuisses de son fils et d’un doigt elle vient caresser son anus. Max semble apprécier cette caresse car il gémit en descendant ses fesses vers le doigt inquisiteur. Anne cède sa place et laisse Julie reprendre en bouche la queue de son fils tout en appuyant la caresse entre les fesses de Max. Elle prend la main de Julie et porte son majeur à sa bouche pour le sucer et l’enduire de salive. Elle retire sa main de l’entrecuisse de son fils pour saisir celle de Julie et l’amener au même endroit. De ses doigts elle guide le majeur de Julie vers l’anus de son fils et le pousse doucement pour qu’il pénètre en lui. La jeune femme qui n’a jamais imaginé ce genre de caresse regarde Anne d’un air interrogatif tout en suçant son petit ami. Anne l’encourage du regard en lui glissant un doigt dans la chatte et Julie poursuit sa pénétration jusqu’à faire disparaître complètement son majeur dans l’anus de Max qui gémit en regardant sa petite amie. Anne s’allonge sur le tapis, place sa tête entre les cuisses de Julie et attire sa chatte sur sa bouche. Elle pose sa langue sur le petit clitoris bien tendu et le titille avant de parcourir toute la fente bien lubrifiée. Cette caresse affole les sens de Julie et elle frotte sa vulve sur le visage de sa future belle-mère en activant sa bouche de plus en plus vite sur la queue de Max. La langue d’Anne s’est déplacée vers son petit trou et ses assauts tendent à dilater l’anus de la petite chienne en chaleur. Julie fait coulisser son majeur entre les fesses de son homme et, très excitée par ses gémissements, écarte ses fesses de sa main libre pour faciliter la pénétration d’Anne qui vient de poser un doigt sur sa rosette. Julie qui a toujours refusé cette caresse se laisse aller et va même au devant de ce doigt en poussant ses fesses en arrière. Le doigt entre lentement dans le petit anus bien serré et au bout de quelques instants il coulisse librement dans l’orifice bien dilaté. Julie stoppe sa fellation pour crier à Anne :
– Aaah, oui, mmmh c’est trop bon. Tu lui fais du bien à ta petite salope……. !!!!
– Fais-moi confiance, je vais te faire aimer ça ! Tu vas devenir sa vraie petite pute, comme moi !
– J’ai trop envie de vous mes deux petites chiennes, dit Max en regardant leurs ébats. Maman, vas chercher le jouet que je t’ai offert, je pense qu’il va servir !
Anne retire son doigt à regret de l’orifice de sa future belle-fille et se lève pour prendre le god-ceinture ainsi qu’un tube de lubrifiant qu’elle avait dissimulé derrière le coussin de son fauteuil. Max a entrainé Julie vers le tapis du salon et après s’être allongé sur le dos, il attire sa belle à lui. Elle pose un genou de chaque coté de son bassin et descend lentement ses hanches pour s’empaler sur la queue épaisse de Max qui lui prend les épaules pour qu’elle vienne poser ses seins sur son torse. Ainsi, les fesses de la jeune femme sont bien offertes à Anne qui se présente derrière elle équipée du cadeau de son fils. D’un doigt elle enduit de lubrifiant le petit trou bien offert et le fait coulisser lentement arrachant un profond soupir à Julie. Max pose ses mains sur les fesses de la belle et les écarte pour faciliter le travail de sa mère. Anne place son gode sur la petite rosette offerte et pousse lentement. L’anus bien préparé se dilate sous la poussée et laisse entrer le gland du gode sans difficulté. Electrisée par cette pénétration, Julie supplie sa belle mère de la prendre bien à fond. Anne agite doucement ses hanches d’avant en arrière et fait pénétrer de plus en plus profond le gode jusqu’à le faire entrer complètement. Julie sent maintenant les deux queues en elle et se pâme :
– Oh oui, c’est bon ! Oui prenez la bien, votre petite chienne….. !
– C’est bon de te prendre comme une pute, dit Anne dans un souffle.
– Tu aimes te faire défoncer les deux trous, petite cochonne, dit Max.
– Oooh oui, vous me défoncez comme une petite pute !
– Tu sais que ton père baise maman ? dit Max sachant que cela va déclencher une réaction chez Julie.
– Pourquoi tu lui as dit, proteste Anne.
– Parce que ta petite salope a envie de se faire prendre par Pierre !
Julie se redresse sur la queue de Max et tourne la tête vers Anne pour prendre sa bouche de ses lèvres et lui enfoncer sa langue au fond de la gorge. Les deux femmes échangent un baiser passionné.
– Aaah oui, prenez-moi, défoncez-moi ! Je suis à vous ! faites de moi votre jouet sexuel !
– Oui et bientôt tu seras aussi celui de ton père, dit Anne en l’enculant à fond.
Les deux bites s’agitent dans les entrailles de Julie et elle part dans une jouissance qu’elle n’a jamais connu jusqu’alors alors qu’Anne lui malaxe les seins en lui pinçant les tétons. N’y tenant plus, Max se vide les couilles au fond du vagin de celle qui est devenue leur jouet sexuel. Julie s’effondre sur Max les deux queues toujours en elle. Au bout de quelques minutes, Maxime rompt le silence :
– Ce soir nous passons notre première nuit ensemble. Maman, montez dans ta chambre et je vous rejoins.
– Très bien maitre, dit Anne en prenant Julie par la main pour l’entrainer vers l’étage.
Quelques instants plus tard, Maxime les rejoint dans la chambre et, comme il l’espérait, il retrouve les deux femmes occupées à se lécher la chatte dans un 69 très érotique. Il les observe un petit moment avant de se placer près d’elle pour les caresser. Le cul de sa mère qui est placé dessus l’attire, il vient se placer derrière elle et plonge sa queue dans sa chatte toute trempée. Après quelques va-et-vient, il sort sa bite de la chatte maternelle et pose son gland sur sa rosette. Anne qui en a très envie pousse ses fesses en arrière et s’empale littéralement sur la queue de son fils. Elle pousse de profonds râles en léchant la chatte trempée de Julie. Cette dernière veut aussi sentir cette bonne bite en elle et se dégage de l’étreinte d’Anne pour venir se placer en levrette près d’elle. Max se retire du cul de sa mère pour se placer derrière Julie et l’enculer à fond. Après une brève douleur, elle se laisse maintenant pistonner par la grosse bite de Max en embrassant Anne à pleine bouche, cherchant à leur donner un maximum de plaisir. Max les encule à tour de rôle les faisant jouir du cul en quelques instants. Sentant sa propre jouissance venir, il présente sa queue devant la bouche de sa mère qui ouvre ses lèvres pour recevoir son sperme. Anne se tourne alors vers la jeune femme et l’embrasse pour partager avec elle la semence de son fils. Pour la première fois de sa vie, Julie goutte au sperme d’un homme et trouve ce goût plutôt agréable sur la langue de sa future belle-mère.
A suivre
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