Partie 1 :
Partie 2 :
Suite à cette séance, un rituel s’installa. Tous les mercredis, à chaque nouvelle séance de TD, le même déroulement… Pendant le cours, Marie m’envoie des emails avec des photos d’elle, soit de son cul, en string, soit de son soutif, soit topless. Les photos type « snapchat » sont souvent accompagnées d’une légende pour bien me montrer qu’elle les a prises en prévoyant de me les envoyer personnellement durant ce cours. Systématiquement, pendant 1h30 je lutte pour ne pas regarder toutes les 5 minutes mes mails et donner mon cours de manière correcte. Mais dés que les étudiants sont occupés, je ne peux pas m’en empêcher, je regarde… et découvre 1, 2, 3 parfois jusque 7 ou 8 photos envoyées systématiquement une par une au fur à mesure du cours.
Au bout d’1h45 de cours, je suis à chaque fois au summum de l’excitation, et nous nous retrouvons dans les toilettes. Parfois, un étudiant vient me voir en fin d’heure pour me poser des questions. Je le maudis alors car je n’ai qu’une envie, sortir et rejoindre Marie aux toilettes. Une fois aux toilettes, c’est la délivrance : je lui att**** les seins, je lui remonte sa robe pour peloter son cul bien galbé, mais surtout… je sors mon sexe déjà tout gonflé et je laisse Marie me soulager… enfin. Généralement, au bout d’1h45 d’érection, mon gland est luisant de « pré-cum » et Marie semble adorer ça. Elle me dit : « hmmm t’as bien bander visiblement, laisse moi te nettoyer ça », et me suce en passant sa langue sur mon gland gonflé de plaisir.
Les premières fois, au bout de quelques minutes de fellation, j’ai tenté de faire évoluer les choses pour la sauter. Sa bouche était bandante, mais j’aurais aimé plus… Je lui fis comprendre mais elle refusa. Elle acceptait que je la doigte, mais rien de plus. Semaine après semaine, elle me suça donc dans ces toilettes jusqu’à me faire jouir. J’éjaculais parfois sur ses seins, mais la plupart du temps dans sa bouche. J’avais toujours connu des filles qui étaient plutôt dégoutées à la vue du sperme. Elle, on aurait plutôt dit le contraire. Lorsque j’éjaculais sur ses seins, elle touchait ensuite le sperme, le regardait et parfois suçait ses doigts en me regardant d’un air amusé.
Une domination s’installait petit à petit : je me permis de plus en plus de choses. On se devait d’être discret, ce qui ne rendait pas les choses faciles. Mais à son oreille je la traitais de « salope qui veut mon sperme », je lui tirais les cheveux… je pouvais percevoir dans ses yeux et dans son corps que cela l’excitait au plus haut point. Lors de la dernière séance de TD je me permis même de lui enfoncer mon majeur dans l’anus. J’avais pour habitude de la doigter, parfois je caressais son anus mais je n’avais jamais été plus loin. Cette dernière séance était l’occasion ou jamais d’aller un peu plus loin et je lui doigta énergiquement le cul pendant qu’elle me branla et me suça tout aussi énergiquement. Après avoir joui dans sa bouche, comme à son habitude, elle s’eclipsa rapidement en envoyant un petit « A » enjoué. Était-ce la dernière fois que je la voyais ? probablement… J’étais partagé entre 2 émotions : d’un coté, triste que ce soit fini, car ces mercredi étaient tellement excitants… d’un autre coté, soulagé, il fallait que ça se termine un jour, et si cela se faisait de manière légère et naturelle, c’était un point final parfait à cette histoire.
Mais… quelques semaines plus tard, je reçus un email de Marie : « Libre ce soir ? je rends mon appart dans quelques jours et je change de ville… ». Cet email était accompagné d’une photo d’elle : elle était placée à 4 pattes dos à un miroir de telle façon que ses jolies fesses en string soient bien visibles dans le miroir. De plus, on voyait simplement le bas de son visage et elle suçotait son index.
Pour tout vous avouer, je n’étais pas libre, mais je fis tout pour me libérer : malgré tout, cette histoire avait un tout petit goût d’inachevé, c’était l’occasion d’écrire ce fameux point final.
Je me rendis chez elle, et j’avoue qu’en arrivant dans son appart, je ne savais pas trop quoi dire/faire. On avait toujours juste « baisé », je ne savais pas si cette fois dans ce cadre plus intimiste il fallait un peu plus discuter ou pas… Ne sachant pas trop quoi dire, je lança directement les hostilités et visiblement ça lui convenait. on se retrouva rapidement sur son lit, et ses mains ainsi que sa bouche experte me firent rapidement éjaculer. Je fus presque déçu, car finalement, dans ce petit cadre intimiste il y avait moins l’adrénaline et l’interdit de la fellation dans les toilettes du lycée. Après ce premier orgasme, on discuta un peu, et forcément, la conversation s’est rapidement tournée vers le sexe. Elle m’expliqua qu’elle adorait sucer, et qu’elle aimait le sentiment de soumission que cela lui procurait. Qu’elle prenait son plaisir comme ça plus que par de la pénétration vaginale même si elle pouvait également l’apprécier. On se raconta quelques une de nos aventures sexuelles. Elle me confia qu’elle avait déjà plusieurs fois sucé des mecs dans des boîtes de nuit, une fois même 2 mecs différents dans la même soirée à quelques heures d’intervalle.
En se racontant ces histoires, l’excitation monta et je me remis rapidement à bander. Les caresses mutuelles se transformèrent rapidement en préliminaires. Elle me raconta alors que cet été, elle était partie avec des amies en camping au bord de la mer. Elles y ont rencontré un groupe de jeunes allemands. Le dernier soir, tout le monde était très alcoolisé et elle a fini dans la tente de l’un deux. Elle l’a sucé puis l’allemand l’a sodomisée. Cette histoire m’amena rapidement au summum de l’excitation. Mes doigts qui jouaient avec son clitoris depuis plusieurs minutes glissèrent rapidement vers son cul et je commença à la doigter avec un doigt… puis 2 doigts. Elle continuait à me branler et me sucer pendant que je l’insultais allègrement. Puis je lui dis : « j’ai trop envie de t’enculer » et elle me répondit « vasy ». Avec le recul, je regrette presque d’avoir demandé la permission. Cela semblait plutôt évident, et si elle n’avait pas voulu elle me l’aurait fait savoir. Elle se plaça alors à 4 pattes par terre, le ventre sur son lit et je l’encula. C’était une sorte d’apothéose, après toutes ces semaines, tous ces mails. Après de nombreuses insultes et des vas et viens, je jouis tout au fond de son cul. Quel point final magnifique !
On discuta un peu, puis on pris une douche dans laquelle elle me fit jouir une dernière fois avec sa bouche.
Je n’ai jamais revu Marie après cette dernière soirée. Cela fait plusieurs années maintenant : de temps en temps j’essaye de chercher sur facebook, par curiosité et pour me rappeler de cette aventure sexuelle qui fut la plus folle et et la plus excitante de ma vie, mais je ne l’ai jamais trouvée. Et tant mieux dans un sens… C’est peut-être idiot, mais j’espère sincèrement ne jamais la revoir. Ainsi, elle restera à jamais un fantasme, un souvenir que j’aime me remémorer de temps en temps. Marie… l’étudiante salope.
FIN
Ajouter un commentaire