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A la merci de mon beau-frère – Chapitre 5

A la merci de mon beau-frère – Chapitre 5



Inévitablement un soir Jean dut travailler tard.

J’étais assis sur le sofa, les nerfs tendus guettant l’arrivée de Yan.

Il était évident lorsqu’il entra dans le salon qu’il était de mauvais poil, il se laissa tomber dans son fauteuil et ferma les yeux.

J’attendais me demandant dans quel sens son humeur allait influer sur le traitement qu’il me ménageait, il ouvrit les yeux et me regarda fixement.

– « J’ai passé une horrible journée, je ne tolérerais aucune résistance de ta part…… fous-toi à poil et viens me tailler une pipe….. J’ai besoin de faire chuter ma tension! …… »

J’obéis à contrecœur.

Il avait respecté notre marché jusqu’ici et je ne voulais pas envenimer nos rapports.

Il avait informé John qu’il cherchait un appartement et avait reçu un tas de propositions.

Jean avait été surpris de le voir manifester son envie de nous quitter si vite, j’essayais d’apaiser son désappointement.

Il m’avait confié, dans la douce chaleur de notre lit, qu’il serait heureux de retrouver une certaine intimité, mais que son frère lui manquerait beaucoup.

Je fis chaleureusement écho à ses sentiments, Yan me manquerait aussi beaucoup, mais pas pour les mêmes raisons.

Aussi devais-je tout faire pour que cela cesse dans 3 semaines.

Ces pensées roulant dans ma tête je me foutais à poil et rampais sur les genoux face à Yan.

J’embouchais sa grosse queue et commençait à aller et venir sur sa hampe déployée, le suçant aussi habilement que je le pouvais.

– « Utilise un peu ton imagination! …. » grogna-t-il soudain.

– « Lèche et suce la hampe, utilise ta langue pour titiller le méat! …. Et fais attention à tes dents! ….. »

Je comptais jusqu’à dix me retenant de l’engueuler.

Je tentais de suivre ses directives, je voulais qu’il se réjouisse de ma façon de faire.

Je pouvais sentir à ses réactions s’il était satisfait de ma prestation.

Je n’avais pas encore réalisé qu’il y avait bien des moyens de donner des plaisirs à un homme avec sa bouche.

Je pris note de ses remarques et décidais que la prochaine fois que je me retrouverai en tête-à-tête avec Jean j’expérimenterai quelques nouvelles techniques pour voir ce qui lui plaisait particulièrement.

Le goût de son pré sperme était toujours aussi déplaisant mais je pouvais en faire abstraction lorsque je titillais son méat de la pointe de la langue.

Yan ne disait rien, ne me touchait pas et je ne pouvais oublier que c’était à mois de lui donner du plaisir.

J’entendis sa respiration s’accélérer, je sentais qu’il était tout prêt de jouir.

Me souvenant de la dernière fois et des ses reproches, je l’enfournais aussi profondément que je pouvais au fin fond de ma gorge et faisais des efforts pour avaler sa semence salée.

Ma bouche était pleine de foutre chaud, qui débordait de ma bouche s’étalant sur mon menton.

Le goût était toujours aussi dégueulasse, je luttais pour ne pas montrer à quel point il me révulsait.

Yan se réinstalla dans son fauteuil le regard satisfait, sa bite s’amollissait rapidement.

– « Je vais chercher une serviette… » lui proposais-je, il n’éleva aucune objection, je me ruais dans la cuisine et me rinçais la bouche aussi discrètement que possible.

Lorsque je revins dans le salon, Yan avait allumé la télé, je nettoyais les traces grasses autour de lui faisant aussi vite que possible avant de m’installer sur le sofa.

Il semblait suivre avec passion un épisode de Star Strek, je n’en croyais pas ma chance.

Une seule pipe semblait le satisfaire, peut-être bien qu’il en avait marre d’abuser de mes charmes, juste à l’instant où je commençais vraiment à me relaxer, il ouvrit la bouche.

Je n’en ai pas fini avec tes services ma chérie, allonge-toi devant la télé et branle toi, ma mâchoire en tombait d’incrédulité.

Cet ordre donné, il avait repris l’observation attentive des événements se déroulant sur l’Enterprise.

A contrecœur je rampais devant la télé, je glissais ma main entre mes cuisses et entreprit de me branler la chatte.

– « Je veux te voir! … » intervint Yan sèchement.

– « Allez, écarte tes cuisses en grand! … Je veux voir tes doigts plonger dans ta foufoune et ta langue titiller tes nibards… »

Je savais qu’il n’était pas de mon intérêt d’argumenter.

J’écartais les cuisses en grand et plongeais un doigt dans mon fourreau, je n’étais pas une excellente branleuse mais je faisais de mon mieux.

J’avais la vague idée de feindre un orgasme espérant que cela le satisferait.

Je tirais un de mes nibards vers mon visage et me penchais en avant de façon à pouvoir titiller mon téton de la pointe de la langue.

L’air frais les avait fait s’ériger, mais ils n’étaient guère sensibles à mes caresses.

De toute manière devoir faire ça sur la moquette de mon salon en pleine lumière me gênait atrocement.

Lorsque je me masturbais, c’était toujours dans le noir et à l’abri dans mon lit.

Même le fait que Yan me regardait faire ne m’excitait pas le moins du monde, j’en aurai presque souhaité qu’il me saute.

– « Ce n’est qu’ une grosse perte de temps! … » s’impatienta-t-il soudain

– « T’es bien trop velue, je ne te vois pas faire! … Va chercher de l’eau du savon à raser et un rasoir et rase-moi tout ça! … »

– « Qu… Quoi… » couinais-je affolée.

Je vis tout de suite son regard s’assombrir, je me résignais rapidement à lui obéir.

J’avais eu mal aux fesses plusieurs jours la dernière qu’il m’avait punie et je ne voulais pas répéter cette expérience tant que je pouvais l’éviter.

J’allais chercher un bol d’eau du savon çà raser, un rasoir et une serviette et je repris ma place sur la moquette.

Ce n’était pas la tâche la plus facile dont je devais m’acquitter.

J’en avais mal au cou et au dos de me courber pour observer attentivement mon entrejambe. Ma fourrure n’était pas très épaisse, mais les poils étaient longs et bouclés et cela me demanda quelques passages avant même de tailler une toute petite clairière dans ma toison.

Je prenais mon temps, maniant avec circonspection la dangereuse lame à proximité de mon intimité.

J’espérais par ailleurs que cela prendrait suffisamment de temps, pour empêcher Yan de m’humilier à nouveau avant le retour de Jean.

Lorsque je levais les yeux, je vis qu’il m’observait attentivement se branlant d’une main. Mon cœur s’affola mais cela ne m’empêcha pas d’en terminer. Yan se laissa tomber sur ses genoux à mon coté sur la moquette.

– « Voyons ça de plus près! … » dit-il m’écartant les cuisses en grand.

Je sentais l’air caresser ma petite chatte dénuée de l’abri habituel de sa fourrure.

Yan promena ses doigts de mon estomac à cette surface nouvellement rasée, puis le long de mes babines dégagées.

Ma peau me semblait bien plus réceptive qu’auparavant et je ne pus contrôler le frisson de plaisir qui parcourut mon ventre.

– « C’est drôlement lisse! .. » s’émerveilla mon tourmenteur explorant toujours des doigts ma chatte dénudée.

Il écarta mes grandes lèvres détaillant mes chairs exposées à sa convoitise.

Il s’approcha encore plus près et me titilla le clito de la pointe de la langue.

Je me mordais les lèvres fortement pour ne pas répondre à ses caresses qui contournaient suavement ma chatte.

Mes terminaisons nerveuses étaient maintenant totalement livrées aux caresses de sa langue. Je sentais le sang battre dans mes oreilles alors que montait ma jouissance.

Il plongea sa langue au cœur de ma féminité et j’exultais, me tordant de plaisir sur la moquette.

Il enleva sa langue qu’il remplaça prestement par sa grosse queue qu’il enfonça dans ma chatte secouée de spasmes convulsifs.

Il chaloupait des hanches s’efforçant de frotter son pubis contre chaque parcelle de mon mont de vénus imberbe.

L’orgasme qui me terrassait était tellement puissant que je me tordais sur la moquette sous ses coups de boutoir, heureusement il jouit rapidement et se retira me laissant pantelante sur la moquette.

Quand j’eus recouvré la force de bouger, je rassemblais le matériel de rasage et boitillait en remettant à l’étage.

Yan était de nouveau absorbé par Star Strek à la télé il me laissa partir sans dire un mot.

Je pris une douche pour me débarrasser autant que je le pus des souillures qui me salissaient.

Le contact inhabituel de l’eau percutant mon mont chauve était extrêmement excitant.

Mes doigts glissèrent dans mon entrejambe.

Je me dis à moi-même, que c’était pour vérifier si je n’avais pas oublié de poils, mais très vite je me branlais allégrement.

Mon clito était bien plus accessible et sensible que jamais auparavant et bientôt un nouvel orgasme me terrassait, me surprenant moi-même, espérant que Yan ne m’avait pas entendue jouir, je m’essuyais rapidement et redescendit préparer le thé.

Je passais la journée à me demander comment réagirait Jean à la vue de mon mont chauve, et comment je pourrais bien lui expliquer cette nouveauté.

Je me sentis tendue toute la soirée et frissonnas lorsqu’il voulut monter se coucher tôt dans la soirée.

Je lambinais, perdant du temps pour me déshabiller qu’une fois qu’il serait couché.

– « J’ai fait quelque chose ce matin, mais je ne suis pas sure que tu aimeras cela! … » avançais-je nerveusement.

– « Qu’est ce que c’est ma chérie? … » m’interrogea-t-il gentiment.

– « Viens, ne me fais pas plus attendre! … »

Je me retournais timidement lui exposant mon ventre imberbe.

Ses yeux se levèrent puis un léger sourire naquit sur son visage, il s’assit et m’attira contre lui un bras me ceinturant la taille.

– « Est ce doux? … » s’enquit-il d’une voix sourde.

Je hochais la tête silencieusement

– « Pourquoi as-tu fait cela? … »

– « Je ne sais pas… Un coup de tête! … »

– «J’aime ça… Il faut que j’explore encore pour en être sur bien en-tendu… » me taquina-t-il m’attirant contre lui dans le lit.

Les caresse amoureuses de ses mains et de sa langue me procurèrent mon quatrième orgasme de la journée, et je jouis encore lorsqu’il me pénétra la foufoune.

Éreintée mais comblée, je m’endormis dans les bras de mon gentil mari me disant que je devrais en être reconnaissante à Yan.

Ma reconnaissance envers Yan ne dura pas bien longtemps, quelques jours plus tard, Jean du à nouveau s’absenter tard dans la soirée.

Yan se précipita à la maison dès qu’il le put et m’entraîna à l’étage.

– « Je sors ce soir, on m’attend pour regarder le match de foot retransmis au troquet… » m’expliqua-t-il rapidement en se changeant de tenue.

– « Mes amis s’impatientent aussi n’ai-je que peu de temps à t’accorder! …. Dépêche-toi de virer ta culotte et écarte les cuisses! … »

Je lui obéis avec résignation, mais pas assez vite à son goût.

Il m’arracha ma jupe et la jeta au sol et me poussa visage en avant sur le lit.

Il écarta mes babines de ses doigts fureteurs et m’embrocha de suite.

Je criais alors qu’il enfouissait sa grosse bite dans ma chatte sèche. Il ne le remarqua même pas et tourna des hanches s’enfonçant de plus en plus profondément en moi.

Il tâtonna à la recherche de mes nibards, il m’agrippa les cheveux et me releva la tête s’offrant un meilleur accès à mes charmes.

Il grogna de satisfaction et entreprit de pétrir mes nichons avec vigueur. Je n’en croyais pas mes sens, et pourtant, mon corps répondait à ce farouche assaut.

Un flot de cyprine m’inonda la foufoune alors que mes tétons s’érigeaient sous ses rudes caresses. Mon clito frottait sur le jeté de lit à chaque coup de boutoir, mes plaintes douloureuses se changèrent en soupirs exaltés alors que ma jouissance grandissait.

Juste à l’instant où j’allais succomber à un orgasme inattendu, j’entendis frapper à la porte.

Alors que je me tordais d’extase hurlant ma jouissance à pleins poumons, une part de mon esprit paniquée se demandait qui cela pouvait bien être.

Yan se retira de mon ventre et se pencha par la fenêtre.

Je l’entendais clairement discuter avec l’intrus, sans comprendre leur échange, puis j’entendis la porte s’ouvrir et se refermer, je me relevais, Yan m’attrapa et me repoussa sur le lit, mais cette fois je dus m’allonger sur le dos.

– « J’en ai pas encore fini avec toi petite chienne! …. » gronda-t-il s’engouffrant sans plus attendre dans ma chatte engorgée de cyprine.

Il mordillait mes tétons et je m’ arcboutais sur les talons répondant avec plaisir à ses assauts jouissifs.

Après seulement quelques coups de bite un nouvel orgasme m’emportait

Je criais mon plaisir et me tordais sous lui lorsque j’entendis quelqu’un monter les escaliers.

J’ouvris les yeux et vis des inconnus qui pénétraient dans la chambre, Yan n’avait pas arrêté pour autant de me labourer me lançant un regard méprisant.

– « Excusez mon léger retard… » dit-il aux nouveaux arrivants.

– « Cette petite salope m’ a supplié de la sauter et je ne pouvais tout de même pas refuser! … »

Je rougissais d’humiliation alors que ces étrangers reluquaient mes charmes, il avaient l’air d’apprécier ce qu’ils voyaient.

Yan me força à me redresser leur offrant une vue dégagée sur mes appâts et se mit à triturer mon clito. L’excitation fleurit dans mes reins, je cherchais à fuir ses caresses.

Cela me semblait excessivement embarrassant de jouir sous les yeux de ces étrangers.

– « Elle a de beaux gros nibards, n’est ce pas? …. » demanda Yan à ses potes

Ils s’approchèrent du lit pour mieux voir mes charmes.

– « Pincez lui les tétons, rendez la folle! … » leur suggéra Yan.

Je retenais mon souffle pour protester, mais Yan me tordit cruellement le clito.

Je gémissais de douleur et le regardais dans les yeux, son message était clair, si je ne coopérais pas j’allais souffrir.

Il glissa son bras sous les genoux pour m’écarter les cuisses en grand et accroître la profondeur de ses coups de boutoir.

Ses amis s’étaient assis de chaque coté de ma tête, ils malaxaient avidement mes nibards.

Je fermais les yeux et cherchais à me vider l’esprit, c’était une erreur, privé de la pensée la sensibilité de mes autres sens s’accrut.

Deux paires de mains pétrissaient mes nichons, deux bouches s’emparèrent gloutonnement de mes mamelons.

Yan coulissait toujours avec une belle constance dans ma foufoune embrasée, mes jambes étaient grandes écartées que qui accroissait le contact de son pubis sur mon mont chauve.

Ne pouvant me défendre, je défaillais encore et encore.

A chaque orgasme leur attention grandissait.

Perdue dans mon extase je réalisais à peine lorsqu’ils saisirent mes mains pour les poser sur leurs bites déployées.

Yan jouit enfin et je repris graduellement mes esprits.

J’avais les mains et mes nibards étaient couverts du sperme de ces étrangers alors que le foutre de Yan s’écoulait lentement de ma chatoune béante.

Yan disparut dans la salle de bain me laissant en tête-à-tête avec ses deux amis concupiscents.

Ils nettoyaient méticuleusement leurs queues avec un bout de tissu avant de les ranger dans leurs caleçons.

Yan réapparut et me roula une pelle, sa langue explorant ma bouche.

Je pouvais voir sa satisfaction de m’avoir ainsi humiliée

– « Nettoie-moi tes saloperies, tu seras une bonne fille ma chérie….. Ne te tracasse pas, tu reverras mes copains ce week-end! …. »

– « Je crois qu’ils seront très heureux de te rencontrer à nouveau! … » minauda-t-il ironiquement avant de disposer suivi de ses deux amis.

Je restais étendue, sanglotant couverte de foutre, me demandant ce que Yan me réservait.

J’avais totalement oublié que Jean était parti pour un séminaire, mais, de toute évidence Yan s’en rappelait parfaitement.

Je craignais le pire.

A suivre…..

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