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Black connection

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J’adore faire marner mon copain. Celui-ci est le beauf incarné. Je
l’adore. Il trompette alentour qu’il est inspecteur de police m’offrant
au quotidien un spectacle savoureux. Réactionnaire et raciste il assume
sa déformation professionnelle. Il est bon coup au lit ce qui pour moi
absout tout. N’empêche je ne me refuse pas des fois des extras. Ce fut
le cas au début d’août. L’un l’autre nous avions sacrifié respectivement
un séjour en notre famille. Il dut passer dix jours avec ses gamins
perpétrés avec une ex. Ceci avait le don de m’agacer. Je voulus m’en
venger un peu.

A cinquante balais je pouvais faire bander nombre de mecs. Les esprits
chagrins me rangeraient sûrement dans la catégorie fausse blonde fripée
accusant ses heures de vol. Je n’en affectais pas moins des tenues
légères mettant en relief mes longues jambes et mon trop joli cul. Pour
peu que cet aspect soit éloquent les mâles ne regardent pas au reste. Je
pense qu’en mon regard le baiseur était à mon égard édifié. Le soleil
m’excitait. Je soupirais à l’heure du midi de n’avoir pas assez de temps
pour m’amuser. Tout au plus hasardais-je de sucer un mec dans sa bagnole
après un verre.

Je m’étais jurée de mettre à contribution ces jours pour être sautée
autant de fois que je le pouvais. Je me savais irrésistible à l’égard
des mâles de couleur. Je le sais trop mais une blonde a pour eux quelque
chose d’irrésistible. J’étais avec eux en un terrain conquis. Pas besoin
de minauder. D’un seul regard et d’un croisement de cuisse je savais que
mon nègre en face bandait. Je jouissais doublement d’imaginer la tête de
mon mec s’il avait put me surprendre en telle compagnie. Il n’avait pas
de mots assez durs pour ces femmes aliénées à la queue de blacks qu’il
fantasmait comme grosse.

Pour ouvrir mon bal je crus devoir faire au plus simple. Dans le bar où
je prenais le café avant d’aller au bureau, un mignon camerounais
œuvrait aux cuisines s’échinant à une drague gentille à mon égard.
N’était-il était-il point temps de l’en récompenser ? Ses yeux
s’écarquillèrent lorsque subrepticement lui fut glissé un bout de papier
où était inscrit mon numéro. J’étais un peu inconsciente de me livrer à
ce relatif inconnu. Celui-ci pouvait être un un pervers ou un invétéré
emmerdeur. Je devais à cette époque avoir le feu au cul pour faire
montre d’une telle inconséquence.

En fin d’après-midi je reconnus sa voix et son accent au téléphone. Il
me proposait un verre sur St Michel une heure après son service.
Affublée de lunettes noires pour n’être reconnue je l’attendrais à la
terrasse d’un café inondée de soleil et passablement excitée. Je pense
que tout mâle faisant l’affaire eût obtenu ce jour-là de m’emmener dans
un coin pour me sauter. Salif, c’était son nom me rassura. Il avait eût
temps de se changer, parfumé et rasé. Je goûtais à travers la chemise
son torse noir et musclé. Je ne dissimulais pas mes intentions. Il
m’importait d’aller au pieu.

Je trouvais idiot de payer un hôtel. Mon lit ferait l’affaire. Je
trouvais amusant de substituer à mon mec cette sorte d’amant noir. Il
était trop dommage que mon mec ignora qu’une magnifique peau d’ébène
avait souillé son drap blanc et virginal. Je racontais à Salif que
j’étais seule et en manque. Il me révéla sans ostentation qu’il
soulageait souvent des clientes, femmes mûres et davantage. Il ne lui
déplaisait pas de faire le gigolo et d’être entretenu par quelqu’une. Il
était bien monté. La réputation de sa race n’était pas usurpée. Je tins
à lui prouver mes talents de suceuse. Cette banane dans ma bouche
rafraîchissait. Je l’accueillis dans ma chatte et dans mon cul. Nous
baisâmes toute la nuit.

Je crus devoir récompenser ce valeureux par une autre séance le
lendemain. Je prenais goût désormais à ce type de mâle entre mes bras et
mes cuisses. Le vendredi soir peu après je me hasardais dans une
discothèque proche de chez moi. Musique métis et afro j’avais entendu
que de beaux blacks sévissaient là et y lever des garces dans mon genre.
Vêtue court et moulant je fus d’emblée visée comme une proie à l’entrée.
Le videur se fut je crois volontiers occupé de moi. Je me postais près
du bar cuisses ostensiblement croisées. Tels des mouches les mâles
déferlèrent.

Je chargeais un peu sur le Whisky pour me donner du cœur à l’ouvrage. Je
dansais plusieurs fois collée serrée. Je ne m’offusquais pas que des
mains me pétrissassent le cul au su de tous. Un antillais parvint à
m’entraîner dans les toilettes où après que je suças, il m’enfourna. Du
sperme maculait encore ma cuisse tandis que je retournais au bar. Il
faisait tard. Je titubais un peu, boxeur groggy. Un gros noir s’était
enquis à m’assiéger jusqu’au bout de la nuit. Il était du genre moche
s’affublant du titre d’ambassadeur. De guerre lasse je le suivis n’ayant
cure de son physique d’avorton.

Cet idiot était venu en métro. Je trouvais curieux qu’un ambassadeur
n’eût pas à ses basques un chauffeur ou un garde du corps. Je proposais
de le reconduire. Il m’avoua qu’il n’était pas ambassadeur et vivait en
banlieue. Nous éclatâmes de rire. Sa main investissait mon entrecuisse.
Je m’exécutais à lui pomper le nœud dans la voiture. Je trouvais bon
qu’il découvrit aussi mon lit. Mon pseudo ambassadeur n’en baisait pas
moins bien. Il m’importait peu qu’il ne fut pas si beau gosse que Salif.
Jusqu’au matin il me lamina par ses coups de boutoir.

Il y eût d’autres jeunes hommes blacks. Je fis en sorte de les choisir
pour la suite beaux et bien membrés. Sur la fin je m’avisais que
j’aurais maintenant assez de mal à me passer de ce genre de personnes.
Mon appréhension se trouva justifiée. Mon mec revint d’humeur toute
chagrine. J’en pâtis. Mes derniers scrupules s’envolèrent. J’étais
résolue à poursuivre maintenant ma quête de bites noires. Il était seul
nécessaire d’être discret et de ne pas copuler dans mon lit conjugal.
Ainsi indifféremment fis-je cela chez l’amant, dans la voiture, au bois
ou plus rarement à l’hôtel.

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