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Le gamin du pensionnat

Le gamin du pensionnat



Chapitre 5 : Après le vinaigre de ses parents, le gamin en veut plus

Et le car klaxonne quand il entame le dernier kilomètre qui le sépare du pensionnat. Dernier vrai baiser dans la cour et elle me quitte. Dites, comme ça, juste au passage, avez-vous déjà entendu le klaxon particulier d’un car postal Suisse ? Non, alors filez sur internet pour l’écouter. Je ne crois pas avoir jamais entendu ça ailleurs qu’en Suisse. C’est d’ailleurs tiré d’un extrait de l’ouverture de Guillaume Tell de Rossini. Non, pas le tournedos, mais le grand compositeur, bande d’inculte. Non, là, je rigole, mais pas pour le klaxon. Bon, me voilà encore bien esseulé. Les mains dans les poches, je shoote une pierre en regagnant ma chambre.

Ce soir, j’ai un peu le cafard. Sans même en connaitre la raison qui me plonge dans cet état. Quand ma porte s’ouvre sur sœur Gisèle de la Compassion nue, le corps encore zébré d’une fraiche punition. À quatre pattes, elle s’avance vers moi, tenant une missive entre ses lèvres. Une missive qui me dit que cette nonne sera mon esclave jusqu’à mon départ pour mes prochaines vacances. Un rapide regard sur le planning du pensionnat, c’est noël que débute mes prochaines vacances. Y a de quoi bander. Très vite, je l’encule brutalement en triturant son cilice qui griffe la chair de ses seins laiteux. Plus elle gémit, plus elle souffre, plus elle aime mes pratiques immorales sur son corps. Et puis, dans mon esprit plus que tordu, une idée le traverse : Et si je mettais une nonne enceinte. Ben oui, on n’est jamais à l’abri de l’accident. Alors que j’encule cette nonne au gout si sale, si dépravé, cette nonne sans aucun tabou, une main se glisse sur ma nuque, une langue lèche mon oreille. Cette novice au cul si rond, la future Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope, laisse une main caresser, titiller mes couilles et mon cul. Je l’attire près de mon visage, l’embrasse à pleine bouche.

– La mère supérieure m’envoie afin que vous puissiez jouir de nous. Toute la congrégation du Saint-Supplice a reçu ordre de ne jamais plus rien vous refuser, mon bel étalon.

– Si tu léchais mon cul, futur nonne esclave de cette congrégation.

– Je ne suis ici que pour vous satisfaire, comme toutes mes consœurs.

– Alors exécution, ma belle.

Si j’encule cette sœur Gisèle de la Compassion, la future sœur Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope m’encule de sa langue.

– Tu vois, ma chérie, j’ai beaucoup pensé à toi. Tu te le partageras avec sœur Gisèle quand j’en aurais terminé avec vous deux.

Oui enfin, c’est ce que je croyais. L’une après l’autre, la trentaine de nonnes entre dans ma chambre. On est un peu serré, mais que faire contre l’appel de la chair, l’appel du vice. Autour de moi, ça baise à qui mieux-mieux. On me baise, on m’encule, j’encule, je baise et je me soulage entre deux bouches gourmandes de mes selles. Je me délecte de ce que je vis à chaque éjaculation.

En cette fin de matinée de dimanche, les premiers arrivent. Je suis dehors, dans la cour des garçons, ne dérogeant pas aux règles établies. J’accueille mes copains, bien que nous ne sommes plus tous de la première volée, on est plus que trois sur les dix premiers garçons. Bref, pas grave, je me suis fait d’autre pote depuis.

Et puis, le lundi matin, c’est l’heure, on se met en rang, on rejoint nos classes respectives et je rencontre la nouvelle. Ma foi, à la voir, elle ne se prend pas pour la queue de la poire. C’est même à croire qu’on devrait tous s’incliner devant elle. Je sens déjà que ça va être chaud bouillant. À peine à ma place, juste devant le pupitre de notre sœur Marie-Madeleine de Jérusalem, la nouvelle veut… non, elle exige ma place. Me levant, une bonne tête de plus qu’elle, je prends ma voix la plus grave.

– Tu as un problème, gamine ?

– Seule être masculin, tu te dois de me céder ta place en tant que garçon. Le problème, c’est toi, en aucun cas moi, princesse de sang.

– Ah non, s’écrie Mylène, le problème, c’est toi. En tant que nouvelle et dernière arrivée, ici, tu fais comme on te dit de faire et tu te la coince. Depuis l’âge de six ans, Christian occupe cette place et c’est le règlement qui l’exige. Alors, tu vas attendre bien gentiment que sœur Marie-Madeleine de Jérusalem te dise où poser ton sale cul de princesse, c’est clair !

– C’est que tu vois, je ne suis pas n’importe qui, je suis princesse de naissance.

– Et alors, tu pourrais même être la reine d’Angleterre qu’ici tu n’as pas plus de droit que Christian ou nous autre. La voilà, tous debout.

D’un seul homme, nous nous levons. Devant la nouvelle, sœur Marie-Madeleine nous jette un bref coup d’œil. Nos regards doivent certainement lui faire comprendre que la nouvelle est déjà impossible à vivre.

– Bien, je vous présente celle qui, en dehors de nos murs, est réellement une princesse de sang. Mais cela dit, ici, elle n’est qu’une élève. Ma fille, ici, il n’y qu’un chose à comprendre avant les cours, c’est le règlement valable pour toutes et tous. Même avec le sang bleu qui coulait en ses veines, la princesse de Galle n’était rien de plus qu’un élève quand elle étudiait en nos murs.

– Cette vieille bique, elle est complètement gâteuse.

Oups, mauvaise remarque. La paire de gifle qui s’en suit l’envoie valser sur le plancher des vaches.

– Je ne supporte pas la moindre remarque désobligeante. Un jour, toi aussi, tu seras vieille, toute décrépie, bonne pour la casse. Ne l’oublie jamais, tu es née poussière et que tu retourneras à la poussière. Bon, va t’assoir à l’unique place qui reste, celle du fond. Et puis, dès demain, je ne veux plus voir de maquillage sur ton visage, on est bien d’accord. Sidonie, donne nous lecture du règlement concernant la tenue en classe. Il te concerne directement, ma fille.

Pendant la lecture du règlement, on nous distribue un nouveau livre d’instruction civique. Mais à la fin de la lecture, cette nouvelle, Ambroisine, nous fait une méchante remarque quant à ma place dans cette classe. Appelée devant le pupitre, cette gerce me crache dessus. Ouille, là, sérieusement, je commence déjà à la plaindre. La pauvre, elle va cruellement morfler dès sa première heure.

– Christian, rejoins-moi, je te prie.

– Bien ma sœur.

– Ah oui, elle ne t’a pas loupée. Va te laver pendant que je décide de la punition. Ma chère princesse de… pardon, Ambroisine, si ton comportement déplait à tes parents, c’est la raison principale de ta présence en ces murs. Aussi, je ne vais pas te faire de cadeau vu ce que tu viens de faire et de dire. Le règlement est très précis, en cas d’attaque verbal ou physique, c’est dix coups sur chacune des fesses, et vingt sur ton sillon intime et nue, tournée le cul face à la classe. Le règlement dit aussi que cette punition doit être impérativement exécutée par le ou la lésée. Dans ce cas, c’est Christian.

– Moi, me faire punir et par ce connard, il ferait beau voir.

– Sidonie, Mylène, Isabelle et Clarisse, approchez. Prenez cette sale gamine et mettez-là en position. Christian, le règlement est très précis, même si je le regrette, mais je n’ai pas d’autre choix que de te laisser punir cette gourgandine. Tu parles qu’elle regrette, son sourire me dit tout le contraire

– Je sais que cela vous est pénible, ma sœur. Sachez seulement que je n’en éprouverai aucun plaisir.

– Je le sais, mon fils. C’est bien ça qui me désole. Enfin, fais.

La jupe de sa majesté retirée, sa culotte coupée et arrachée, pendouille lamentablement sur ses chevilles, on serre encore ses genoux. Ma foi, le cul est sublime, la chatte exquise ainsi épilée. Oh la vache, elle se rase la motte. WAOW, je sens qu’elle va me plaire au moment d’en faire une femme, cette garce. Sœur Marie-Madeleine pose une main sur mon épaule, me susurre que tout ce qu’elle a dit n’était que pour donner le change, je lui souris. Hé j’avais bien compris. Sidonie va compter à la place de la princesse de mes deux.

Le premier coup s’abat sur la fesse gauche. La demoiselle hurle, crie au scandale, manifeste sa haine envers moi.

– Continue à insulter de la sorte, c’est déjà dix coups de plus sur tes fesses, ma fille.

Sœur Marie-Madeleine me fait signe de continuer. Pan, fesse droite, pan, au milieu et je m’arrête un instant. La belle hurle, pleure, n’insulte déjà plus, dommage. Les filles de ma classe ont toutes les pouces levés. La punition suit son cours, plus je la frappe, plus son cul passe du rouge au bleu, par endroit au noir et plus je bande. En plus, je vois son sexe devenir enfle, son anus est déjà bleu. En fait, son cul est imbaisable pour bien une bonne semaine. Et vu qu’elle doit subir dix coups de plus sur son sexe, je ne me prive pas pour ajouter une bonne semaine de douleur. Enfin, comme avec ma Martine, je l’emporte à l’infirmerie. Là, je me la joue douceur aimante. La belle reprend conscience. Ses yeux larmoyants me fixent.

– T’inquiète, ma jolie, tu souffres déjà suffisamment sans que je n’en rajoute. Mais il ne fallait pas énerver notre professeure. Si je peux te donner, ne serait-ce qu’un conseil, c’est de vite te fondre dans le moule ou tu n’as pas fini d’avoir mal. Je parie même que tes parents ont coché la version sévère du contrat. Tu sais, ici, princesse, ouvrier, fils ou fille de, ça n’existe plus, tout comme pour la couleur de ta peau. Alors fais là à la cool et tu t’en tireras. On est tous dans le même bain. Ça va, ça se calme ?

– Oui, snif, pardon.

– Ok, c’est bon. Maintenant, je dois te mettre de cette pommade sur ton sexe. Désolé, mais c’est un ordre de notre sœur Marie-Madeleine. Il faut que je relève ton postérieur. Je vaste glisser un gros coussin sous ton ventre.

– Fais seulement, là, je suis juste crevée et j’ai trop mal pour te disputer.

Ma main sur sa chatte douloureuse, j’étale tendrement cet onguent. Parfois, ma bouche se pose sur ses fesses, son anus au gout parfumé de lavande. Très vite, malgré une douleur encore intense, son sexe sécrète ce désir de plaisir inavouable. Aussi délicatement que possible, je pousse mon majeur dans son minou, le meus dans son sexe, tout en douceur. Très vite aussi, elle me supplie de ne pas m’arrêter en redemandant pardon pour ses insultes, son crachat. Je l’amène à jouir quand ma bouche se dépose sur la sienne, la rendant muette. Son merci soufflé à mon oreille vaut toutes les excuses au monde. La main de ma nonne préférée se pose sur mon cul. L’autre se pose sur les reins d’Ambroisine. Cette dernière me fixe, hébétée.

– Ne t’inquiète de rien, encore une ou deux punitions du genre et tu seras entièrement des nôtres. Ma belle, sois-en et tu vivras des orgasmes encore plus démoniaques, n’est-ce pas ma douce nonne.

– Ô que oui, mon cher fils. Tu vois, jeune écervelée, ici, quand on te punit pour la toute première fois, Christian te soigne, te fait jouir et après seulement il te demande si femme tu veux être par lui. Il est le plus doux et attentionné des hommes si on ne le provoque pas. Du reste, en accord avec la mère supérieure, Christian, te voilà promu au rang de garde de cette demoiselle. Quoiqu’elle veuille entreprendre, elle doit obligatoirement t’en faire la demande. Tu es libre d’accepter ou de refuser, tu es aussi libre de la punir si elle se montre encore détestable. Il semble que leurs majestés, ses parents, ne la pas si digne que ça de régner un jour sur son royaume. On la trouve quelque peu hautaine, se prenant pour le nombril du monde.

– Ma sœur, voilà un rare honneur qui m’est fait.

– Il me faut te dire, pour ta gouverne, que si celle qui est ta génitrice n’était pas en nos murs, dans le rôle qu’elle affectionne tant, il se pourrait que cela soit différent. Et puis, ton père, il est loin de l’image qu’il veut donner, il me semble

– Ma mère est une femme à qui il manque des années d’affection, d’amour par la faute de mon père. Celui-ci dort désormais en prison, grand bien lui fasse et qu’il y crève. Je hais cet homme et tout ce qu’il représente. Si je pouvais, je le suspendrais par ses couilles pour le torturer pour tout ce qu’il a fait à ces enfants, des enfants qui n’avaient pas dix ans, je vous le rappelle. Ne bouge pas, Ambroisine, s’il faut dire la vérité, alors, allons-y et jusqu’au bout. M’attaquer sur ma mère c’est comme s’attaquer à toi, sœur Marie-Madeleine, ou à toutes sœurs de cette congrégation, cela me met hors de moi. Alors, si tu ne veux pas me subir comme cette princesse de mes deux, continue et tu ne pourras t’assoir que dans un mois et plus suivant mon humeur. On est bien d’accord ! Alors laisse ma mère dans ses fantasmes, mon père se morfondre dans sa cellule et ne t’attaque plus jamais à ceux que j’aime. Si je suis ainsi, en ce jour, à qui la faute, ma chère nonne. Aller, et puis merde, penche- toi sur elle et livre-moi mon ton cul que je le rougisse de ces mains. Toi, ne t’avise même pas de remuer ne serait-ce que d’un cil ou je t’encule à sec et ça, crois-moi, ça fait très mal.

– Bien dit, mon fils ! Mince, la mère sup ! Sœur Marie-Madeleine de Jérusalem, ce que vous venez de dire est une injure que je ne serais admettre. Christian, même punition que pour cette demoiselle et tu y ajoutes encore dix coups par fesse et dix de plus sur son sillon. Et puis non, ajoutes-en dix de plus sur sa poitrine. Surtout, mon cher fils, vise bien et frappe aussi fort que tu le peux.

– Ma mère, il ne serait en être autrement. Si j’osais, voudriez-vous avoir le doux plaisir de m’enculer mon cul comme vous savez si bien le faire.

– Mon fils, que voilà une douce requête auquel il m’est difficile de refuser. Ambroisine, pour ta seconde leçon, retire le braille de notre ami et son slip pendant que tu y es. Ensuite, lubrifie son anus de ta salive, mon enfant. Il est temps que tu apprennes comment une princesse de sang doit se comporter en ces murs.

– Mais je ne peux dévêtir un homme, je suis…

– Rien du tout en nos murs. Fais ou Christian devra encore te punir. Mais cette fois, vu ton joli cul, ce sont tes seins qui subiront la punition et c’est dix coups de martinet à nœud par sein et devant l’ensemble de l’école et sans oublier nos pinces munies de jolies dents. Fais ton choix, ma belle.

– Je te l’avais dit, ici, on ne discute jamais un ordre.

– Pardon, ma mère. Je le fais.

– C’est bien, tu comprends vite quand tu veux.

Avec le bas de mon corps nu, ma queue tendue d’excitation de me savoir sous peu enculé, je commence la punition de ma nonne préférée. Je sais qu’elle m’a volontairement cherché. Elle la veut sa punition et de ma main, elle adore que je sévisse sur elle. Dans mon fion, la bite de mon amour d’hermaphrodite s’enfonce sous le regard étonné d’Ambroisine dont je baise la joue. Les frappes pleuvent les unes après les autres, visant bien et juste, je ne me lasse pas d’être sodomisé, laissant toujours un temps entre chaque coup. Pendant une courte pause, j’att**** la tignace d’Ambroisine, pose ma bouche sur le sienne et ses bras m’enlace, sa bouche se fait mielleuse à souhait. Cette fois, ma main libre sur sa croupe, elle sait qu’elle n’a plus intérêt à me chercher. Qui plus est, elle est désormais sous mes ordres. Je me fais donc enculer, je meurtris le cul de ma belle Marie-Madeleine de Jérusalem et j’embrasse la nouvelle à pleine bouche. Enfin, je la pousse sur ma queue et là, sans perde une seconde, Ambroisine se met à me la pomper comme une pro. Cette garce sait sucer donc, je ne suis pas son premier.

– Sois des nôtres, ma chérie et je te promets de te rendre heureuse en tant que femme. Nous serons même deux à le faire si tu en émets le désir, ma belle Ambroisine. Sois bonne princesse avec nous et nous rendrons la politesse.

– Je ne peux te faire cette promesse. Je suis comme je suis et c’est difficile de changer.

– Dans la douleur de ce martinet, tout devient possible, crois-moi. Regarde, jusqu’à l’aube de mes 16 ans, je n’étais que le souffre-douleur, la petit, le gros, le gras du bide de service. J’ai subi toutes les humiliations possibles et regarde, en ce moment, je me fais magnifiquement sodomiser et je fouette notre professeur. Tiens, remplace ma main pour le dernier coup. Prends ça pour un gage de confiance.

Pour frapper, elle a bel et bien frappé, mais sans aucune force. Quand elle me rend ma ceinture, j’embarque sa robe sous le bras, sa main. Je bande ses yeux et l’entraine, avec la bénédiction de la mère sup, dans ma chambre. En y pénétrant, je ferme tout à double tour.

– Ici, tu es dans ma chambre. En ce qui te concerne, la mère sup va dire que tu es au cachot. Alors, n’oublie pas ce que la mère sup va proclamer, je suis et reste ton seul référant, tout de toi doit obligatoirement passer par moi. Accepte-tu mon autorité sur toi ou pas. Si tu refuses, tu ne me laisse qu’un choix, te conduire au cachot pour de vrai. Et, entre nous, c’est loin d’être confortable

– J’accepte et même pas à contre cœur.

– Bien, enlève ton bandeau. Tu ne peux t’échapper de ma chambre. Les portes sont verrouillées et les fenêtres munies de barreaux bien solides. Couche-toi sur le ventre en mettant ce coussin sous ton ventre. Il faut que j’inspecte ton cul. Oui, ça commence à faire effet. Je vais t’en remettre encore. Ça joue ?

– Tu peux, je n’ai rien à perdre, j’ai déjà perdu ma dignité.

– Non, aucunement, c’est juste ta fierté qui en a pris un sérieux coup, ma jolie. Ça fait maintenant un peu plus de dix ans que je vis ici. Tu crois quoi, que je suis devenu un as de martinet depuis ? Non, je l’ai subi plus que tout autre parce mon père l’avait expressément exigé avant même mon arrivée. Elles m’ont tout fait subir et pourtant, je les aime. Je les aime d’autant plus que je me donne à elles et qu’elles se donnent à moi. Avant toi, il y a eu une autre fille, elle avait mon âge. Elle est aujourd’hui l’épouse d’un homme et elle a disparu on ne sait où. Là, pas trop mal ?

– Non, ça va, c’est même bon, continue.

– Avec plaisir, ma belle. Cela dit, dans mon territoire, tu vas devoir me remercier. J’accepte, vu ton cul, que tu me suce.

– Ok, si tu veux. Ça, je sais faire.

– Je l’ai déjà remarqué. Est-ce à dire que je ne suis pas le premier ?

– C’est vrai, avant toi, il a y eu mes godes. Mais je suis vierge de la chatte, mais plus du cul.

– Voilà qui promet, ma jolie princesse.

Je l’ai faite jouir une ou deux fois avant que je ne la laisse me sucer. Non, elle se débrouille très bien. Après avoir été soupé, sans même l’exiger, elle me suit dans ce couloir obscur. Dans ma chambre, le la couche, la lèche, elle se tourne, me suce, me lèche sans que je ne le lui demande. Même mon anus à droit à la visite de sa langue appliquée et princière. Ma foi, une bonne raclée peut engendrer bien des changements. Je me laisse laver mon fion.

– Tu aimes le sale ?

– Je me suis goutée une fois ou deux. Je ne peux pas dire que je déteste.

– À la bonne heure, il y a une qui risque même d’être jalouse si je te lâche une belle dans ta bouche.

– Ça non, lécher, je veux bien, mais pas plus loin.

– Oulala, tu y viendras, ma belle, de gré ou de force. Entre nous, de force, ça ne me dérange plus du tout.

– Sadique !

– Et je le revendique après tout ce que j’ai subi, princesse. Vas-y plus en profondeur, ma belle, ta récompense est là, juste au milieu. Ouiii, comme ça, j’adore… t’es excellente quand tu le veux. Dommage que je ne puisse de mettre en laisse. Une gourmande comme toi, aussi chienne, ça mérite un collier et une bonne chaine en guise de laisse.

– En gros, tu me vois en nonne esclave.

– Ma foi, ce ne serait pas pour me déplaire. Et puis, mes nonnes seraient tellement heureuses en te sachant leur jouet, un de plus dans votre collection.

Au matin, je la sodomise mais tout en douceur. Son cul largement recouvert de cet onguent, la douleur est plus qu’acceptable. Quand elle jouit, elle n’en finit pas de me demander pardon. Quand je l’embrasse, je lui rétorque que si elle s’excuse encore une fois, peu m’importe l’état de son cul, je le fesse si fort qu’elle ne pourra s’assoir un mois de plus sans ne pas penser à moi.

– Alors, s’il me faut en passer par là, j’ai tout intérêt à continuer de m’excuser si c’est pour ne plus jamais t’oublier. Ta queue, je l’attends dans ma chatte, mon doux sujet.

– Pas ce mot avec moi, je ne suis le sujet de personne. Si, de moi et c’est déjà de trop.

– Alors, ce sera mon bel enculeur.

– Là, oui, ma belle Ambroisine. Tu sais, je l’aime bien ton prénom, ma toute belle.

– Et moi, je le déteste parce que c’est un vieux prénom.

– Viens me laver, demain, j’ai classe et après, je vais devoir t’apporter tes cours et te faire la classe.

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