La forêt secrète
(Deuxième partie)
La serre
Au bout d’un moment, la serre apparue presque a l’extrémité de la forêt. En fait, il y en avait deux, deux serres rondes relier par un court passage, celle de droite légèrement plus grande que l’autre. Un assemblage magnifique et complexe de carreau en verre et de montant de métal forgé ressemblant étrangement a deux énormes seins un peut aplatit sur un torse, comme les miens lorsque que je suis sur le dos. Un ouvrage magnifique et très ancien et qui semblait toujours abandonné, presque enseveli sous les branches des grands chênes et des saules appuyés dessus. Mais je l’avais fait restaurer et c’était devenue mon endroit préférer du château, mon refuge quand je souhaitais être seul ou avec quelqu’un en toute intimité, et ce, depuis de nombreuses années. Plus aucun moustique ne nous tournait autour comme d’habitude.
J’ouvris l’une des deux portes en arche et on entra dans celle de droite, la serre principal. Une chaleur humide et étouffante nous frappa de plein fouet ainsi que l’odeur forte des plantes en pot. De grands rayons de soleil perçaient les branches des arbres et faisaient que les serres baignaient dans une douce lumière verte très apaisante. La sorcière s’exclama en regardant la multitude d’étagères en cercles et de tables regorgeant de peau en grès remplie de plantes luxuriante de toute sorte en humant fortement ; lavande, citronnelle, aurore, pas étonnant qu’il y ait peu de moustiques dans les environs, elle les éloigne. Tu devrais en planter tout autour du bassin. Quand on repartira, l’on se frottera le corps avec de la citronnelle, mélanger a la boue, on aura la paix.
-C’est bon a savoir. Je te frotte, tu me frottes ? C’est un jeux qui me plaît ça.
-Oh, la dame a des envies ?
-Oui, envie de fraîcheur et de me laver, pour commencer. Pas besoin d’attendre d’être revenue à l’étang.
-C’est toi qui fait pousser tout ça, qui s’en occupes ?
-Moi et Marie, l’une de mes demoiselles de compagnie. Elle a un don pour les plantes, plus que moi.
-De compagnie au lit la demoiselle ?
-Oui, ma préférer.
-Comme ces difficile d’être reine, fit-elle moqueuse en examinant les plantes, les humant, les touchant. C’était trop drôle de la voir couverte de boue passée d’une étagère à l’autre en se pâmant sur les plantes. Elle me faisait penser à une gamine dans une boutique de confiserie.
-J’ai une serre aussi, mais pas si… magnifique.
La chaleur et l’humidité étaient tel que mon corps ruisselait déjà de sueur se mélangeant à la boue. Ça me chatouillait en coulant entre les seins jusqu’à mon nombril, dans le dos et sur les hanches. Je pris un long bâton avec un crochet a l’extrémité et ouvrit toutes les fenêtres du toi. Une légère brise rafraîchissante entra aussitôt. Je pris le tunnel menant à l’autre serre, qui servait à ranger du matériel. C’est la que j’avais fait installé un lit de camp, une petit poêle au charbon pour l’automne et le printemps et une bassine en fer blanc. Je fis de même pour les fenêtres du toit. Une fois celle-ci ouvertes je poser le bâton pour prendre un lourd tuyau de métal suspendu a un crochet, relier par un tuyau de cuivre a une grosse citerne en bois installé sur un échafaudage derrière la serre. La citerne servait à recueillir de l’eau de pluie pour pouvoir remplir des seaux et arroser les plantes. Elle en contenait suffisamment pour pouvoir fournir de l’eau pendant presque deux semaines en cas de sécheresses. Je tins le tuyau en l’air en grimpant dans la bassine et en criant à la sorcière, toujours dans l’autre serre occupée à admirer les plantes, d’approcher. Elle vin me rejoindre en traversant le petit couloir avec une démarche royale. Elle aussi ruisselait de sueur à présent qui se mélangeait à la boue qui s’écoulait le long de ses longues jambes que j’avais si hâte de caresser. Elle stoppa devant moi en fixant le tuyau que je tenais à bout de bras comme un bourreau tient sa hache avant de décapiter un malheureux. A cause de la boue recouvrant son visage, ses yeux si bleus semblaient plus brillants, plus éclatants et hypnotiques. Mais, étrangement, son sourire s’évanouit et elle parut apeurée.
-C’est pour m’assommer ?
Je ne pus m’empêcher de rire avant de répondre :
-Oh oui, une petite vengeance pour mon sexe endolori. Grimpe avec moi sorcière, ça ne fera pas trop mal.
Elle rit de bon cœur à son tour comme soulager en me montrant ses dents si blanches. Une fois face a moi dans la bassine, seins contre seins, comme nous étions très a l’étroit elle dut m’enlacer en souriant et me fixant dans les yeux. Elle était grande et moi petite, alors elle me dépassait d’une bonne tête et ses seins reposait presque sur les miens, mais ses mains, elles, au bout de ses longs bras, me pressait les fesses. A la voir, les yeux petits et luisants, je vis bien qu’elle appréciait autant que moi cette accolade.
-Tu a de long bras toi Mara, prend le tuyau et baisse le.
-J’aime mieux tenir se joli cul de reine bien rebondit. Dit-elle en me tapotant les fesses tout en ondulant des épaules pour que nos poitrines bien glissantes de boue se frottent.
-Comme tout le monde, mais prend le tuyau, c’est un ordre.
-Oui ma reine, dit-elle malicieuse en agrippant le tuyau.
Je la pris aussitôt dans mes bras avec grand plaisir en la serrant fort, posant mon menton sur son épaule en caressant ses fesses à mon tour. Mais a la voir comme ça, tenant ce gros tuyau a bout de bras je comprit pourquoi tout à l’heure elle avait paru quelque peut effrayer. J’eus moi aussi l’impression qu’elle allait me fendre le crâne. Ça me donna de délicieux frissons.
-Et maintenant ma reine ?
-Abaisse le.
Dès qu’elle le fit, un gros jet d’eau fraîche nous tomba dessus, nous donnant l’impression de nous retrouver sous une cascade. Quel bonheur ! Elle le dirigea sur ma tête, puis la sienne et entre nous et en moins de deux nous étions propres et la bassine débordait évacuant l’eau sale pour se remplir d’eau claire. C’était si agréable après la chaleur étouffante de la serre que je la laisser faire un instant avant de dire :
-Ça suffit Mara, donne le tuyau et reste-la.
Elle obéit, sans dire un mot en ramenant ses longs cheveux blancs derrière sa tête. Je le remis sur son crochet en sortant de la bassine pour ensuite prendre un savon parfumer au pétale de rose et une grosse éponge sur une tablette. Je tremper l’éponge dans la bassine en admirant ses longues jambes superbes redevenues blanche comme du marbre, appliquer du savon sur l’éponge et entreprit de lui laver les épaules, la gorge puis les seins avec vigueur. Ses petits mamelons aux grosses tétines doublèrent de volume, voir ça me donna l’eau a la bouche et je ne pus m’empêcher de lui téter un moment tout en lui lavant le pubis puis le sexe jusqu’a la raie et le haut des cuisses. Elle soupira en posant ses mains sur ma tête tandis que je suçais et mordillais ses mamelons qui enflèrent encore plus tout en les agaçant du bout de la langue. Puis je me redresser en souriant, pour rincer l’éponge et recommencer a la savonner tout partout. Elle fut apparemment ravie de ce traitement royal, car j’y mettais du cœur à frotter son grand corps maigre et magnifique qui ruisselait maintenant d’eau savonneuse.
-Encore une chose que je n’aurais pu imaginer en venant ici, dit-elle alanguie en remontant sa chevelure pour l’attacher en chignon, me faire laver par la belle reine Margo en personne. Que c’est agréable prend ton temps !
-Je te gâte peut être un peut trop jolie sorcière, dis-je en passant derrière elle pour laver sa nuque gracile, son long dos osseux puis ses fesses avec vigueur en les écartant pour bien lui frotter l’anus ce qui lui arracha de petits soupirs avant de lui glisser l’éponge savonneuse entre les cuisses qu’elle écarta.
-Trop me gâter ? Non, pas du tout. Bon Dieu que c’est bon !
-Tu ma jeter un mauvais sort je te rappelle. Dis-je en frottant vigoureusement son sexe.
-Je… je le retire, ouf…
Elle ne put s’empêcher de se masturber de la main droite en se caressant les seins de la gauche. Je cesser de lui frotter le sexe pour remettre du savon sur l’éponge en revenant devant elle. Elle se titillait le mamelon droit en faisant des ronds sur son pubis recouvert d’une belle toison grisonnante en me fixant, les yeux vitreux. Visiblement, elle salivait juste à l’idée de caresser mes rondeurs tout autant que moi je rêvais de poser les mains sur elle. Mais on aime bien se laisser désirer nous les femmes, alors… je prenais mon temps avant de l’amener sur la couchette étroite.
-Et si je voulais que tu me redonnes mes 20 ans, je devrais faire quoi Mara ? Pose le pied sur le rebord que je lave cette trop longue jambe gauche, vicieuse.
Elle le fit en écartant les cuisses sans cesser de se branler lentement en répondant :
-Tes 20 ans, hum. Attends que je réfléchisse.
-Prend ton temps, on a toute la journée.
Le sourire aux lèvres je laver pour commencer sa grande cuisse muscler en insistant bien a l’intérieur en effleurant son sexe juste pour l’agacer. Je savonnais, puis rinçait l’éponge et continuait lavant le genou, le mollet et son grand pied. Elle faisait des pressions et des cercles sur son pubis de plus en plus rapidement, ou se passait les doigts sur la fente se contentant d’effleurer son mignon clitoris rose durci, ce qui me mit l’eau à la bouche. Ses grandes lèvres brunes étaient ouvertes maintenant, Mara était prête à se faire pénétrer, mais il n’y avait pas de mâles ici pour accomplir cette tâche, juste des doigts et une langue. A voir l’expression de son visage déjà rougie, je compris qu’elle s’amenait au plaisir tout doucement et, sous l’éclairage verdâtre de la serre, c’était beau à voir, surtout a son âge.
-Bien, dit-elle la voix un peut plus rauque, pour ravoir tes 20 ans, attend que je me souvienne. Ah oui !
-L’autre pied sur le rebord. T’as pas honte de te masturber ainsi devant moi sorcière ?
Elle ne fit que sourire en admirant ma poitrine qui ballottait et se frappait mollement on posant son pied droit sur le rebord de la bassine. Cela sembla l’exciter encore plus, car elle alla même jusqu’à entrer un doigt dans le vagin pour le faire aller et venir. La voir faire me fit mouiller moi aussi, je sentais ma vulve gonflée et toujours sensible à cause du coup de pied. Je résister a l’envie de me masturber également et entreprit de laver son autre jambe en disant :
-Tu me regardes comme si tu me désirais. J’espère que tu n’es pas ce genre de femme très vicieuse qui aime lécher la noune des autres, sorcière ?
-Moi, pas du tout, fit-elle en jouant le jeu.
-J’espère bien, sinon, c’est le bûcher qui t’attend.
-Par cette chaleur ? Ce serait terrible reine Margo.
Je ne pus m’empêcher de rire en fixant son doigt toujours dans son vagin, me voyant y glisser la langue et goûter son sexe, ce qui me fit saliver. Je me redresser en me frottant les reins un peut douloureux.
-Bon, et alors, mes 20 ans Mara ?
-Bien, tu sais, dit-elle les yeux luisant, nous les sorcières on est comme ces lampes magiques des pays d’orient, on doit nous frotter très fort en faisant un veut.
Je ne pus m’empêcher de rire à nouveau avec elle et je dis :
-Tien don ! Et frotter ou, n’importe ou ?
-Oh non, ici.
Elle lâcha ses seins pour montrer son sexe tandis qu’elle en extirpait son doigt pour se le sucer un moment. Je la toiser en me mordillant une lèvre, résistant de plus en plus difficilement a l’envie de l’amener sur la couchette pour le baiser avec fougue. J’en avais des bouffées de chaleur.
-Ah bon, et ça fonctionne vraiment ?
-Si tu frottes assez fort pour que je soupire, que je révulse les yeux, que je vienne la face toute rouge et que mes rougeurs s’étendent jusqu’à mes seins et que mon corps soit pris de spasme, alors, ça veut dire que oui, que ton veux seras exaucer.
-Hum, hum ! Les hommes doivent souvent te demander d’exaucer leur veux. Dis-je amuser en savonnant bien l’éponge.
Elle se contenta de sourire a nouveau, en remettant le pied dans la bassine jambe écarter en recommençant a se masturber. Je me placer devant elle, lui prit le sein gauche comme point d’appui et entreprit de lui frotter le sexe avec force. Elle ouvrit la bouche pour aspirer fortement pour ensuite gémir.
-Comme ça ?
-Plus doucement pour commencer, dit-elle en s’appuyant sur mon épaule en grimaçant déjà beaucoup plus.
Je ralentis mon mouvement de vas et vient en sentant mon propre sexe dégoûter, glissant l’éponge jusqu’entre ses fesses pour la ramener sur son vagin et recommencer.
-Et la ?
-Hum ! Oui, c’est beaucoup mieux. Oh, oui !
Je pris soin en frottant de laisser mon pouce agacer son clitoris au passage. La pauvre, elle en grimaça de plus belle en gémissant beaucoup plus fort.
-Ce ne serait pas plutôt juste un truc de vilaine sorcière ça, pour avoir un orgasme par hasard ?
-Pas du tout et… oh… ouf…
-D’accord, répondis-je amuser en frottant plus fort et juste un peut plus vite en sachant très bien ce qu’elle ressentait en ce moment, mais si je ne me réveille pas jeune et belle au matin, la reine risque de se fâcher et de demander a la cuisinière du ragoût de sorcière aux fines herbes.
-Ou…. je…. je prends le risque… Ahhh… oh oui… Ça y est presque Margo. Fit-elle plaignarde semblant souffrir le martyre.
La v’là a rougir jusqu’au sein en s’agrippant le pubis pour se masturber plus violemment pencher vers moi, ses longs doigts s’agrippant a mon épaule comme des serres de corbeau. Voir une aussi belle femme, surtout de son âge, le visage déformer par le plaisir, devenue presque laid, c’était très excitant, magnifique. Je stopper mon mouvement de vas et vient avec l’éponge pour lui rentrer carrément le pouce dans le vagin, mais tout doucement, la trouvant très mouiller et dilater, pour la pénétrer d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement. Le bruit de ma main frappant son sexe se répercutait dans la serre se mélangeant à ses gémissements de plaisir. Sa jolie bouche s’arrondit, puis elle se mordilla les lèvres et ses yeux se révulsèrent. Elle était si mouillée maintenant qu’elle en dégoûtait tout autant que moi. Ça me coulait le long des cuisses en me chatouillant.
Entre femmes, on sait très bien se qui nous fait plaisir et sans sortir mon pouce du vagin, je glisser mon majeur sur son anus glissant de savon et le pousser tout doucement a l’intérieur sentant son petit trou bien serrer se dilater. Mon doigt entra complètement et elle se raidit puis sembla manquer de souffle, surtout quand je presser mon pouce contre mon majeur dans le rectum, le sentant très bien. Tout en la pénétrant de la sorte je me demandais si elle s’était déjà fait prendre par deux hommes à la fois ; cul et con. C’était incroyable comme sensation, sentir deux belle bite dure aller et venir en se frôlant, ouf ! Cela me faisait jouir presque a chaque fois et les hommes eux, rien ne leurs faisait plus plaisir de prendre une femme a deux, couilles contre couilles.
Soudain, elle lâcha un long soupir en refermant ses cuisses sur ma main comme un piège à loups. Elle était en plein orgasme, genoux fléchit, le corps parcouru de spasme. Elle rougit jusqu’au sein en se plaignant faiblement, cherchant son air. Je sentais son vagin et son anus comprimer mon pouce et mon majeur que je ne pouvais plus remuer tellement ses cuisses puissantes enserraient ma main et l’éponge. Je rester comme ça à attendre qu’elle finisse de jouir tandis qu’une nuée de corbeaux survolait la forêt. Puis, elle se détendit peut a peut et écarta les cuisses pour me regarder les yeux vitreux.
-Bon Dieu de merde Margo, tu sais faire jouir une femme.
-J’ai un peut d’expérience en la matière, je l’avoue.
-Oufffff…. le doigt dans le cul, c’est… fort agréable.
-Ne vient pas me dire que c’était une première, a t’ont âge ?
-Non, mais il y avait si longtemps.
Je lui souris en retirant mes doigts lentement, ce qui lui arracha encore quelques soupirs pour lui repasser un coup d’éponge sur le sexe tout en disant :
-Bon, a mon tour de jouer a la lampe magique. Tu feras un vœu, qui sait ? Tu as dit que j’étais également une sorcière et….
Oups ! La v’là qui se masturbe encore très fort en refermant les cuisses pour jouir à nouveau en un temps record. Cette fois ce fut si violent que sont cul en sursauta tandis qu’elle criait presque de plaisir plier en deux en se pinçant un mamelon. En attendant patiemment que la tempête se calme, la main encore coincer, j’approchai ma bouche de son oreille pour dire :
-Si j’ai bien compris le principe de la lampe orientale, j’ai donc droit a deux vœux maintenant.
J’eus droit à une jolie grimace de sorcière.
Elle était trop mignonne à voir se trémousser comme ça en plein orgasme comme si elle n’avait qu’une forte envie de pisser. Au bout d’un long moment, elle se reprit à nouveau, essoufflée. Je pus enfin retirer ma main encore une fois. Elle se redressa en expirant fortement puis descendit de la bassine encore sous le choc de ses deux orgasmes consécutif.
Je lui prit la main droite et y poser l’éponge puis le savon dans la gauche et je grimper dans la bassine en disant :
-N’oublie pas le remède pour ma noune, guérisseuse.
-Alors on va commencer par là. Tourne-toi et penche-toi, vicieuse.
Je le fis en écartant les pieds tout en posant les mains sur mes genoux tandis que mes gros seins claquaient contre mes cuisses. Ses toujours très excitant d’offrir son cul et son con a quelqu’un. Quelle femme n’aime pas un bon coup de langue, surtout dans cette position ? Elle me lava les fesses et le sexe ce qui me procura déjà de bonnes sensations et rinça à l’eau claire. Elle laissa l’éponge dans la bassine et le savon puis me tapa les fesses avant de me les peloter en disant :
-C’est donc a ça que ça ressemble des fesses de reine.
-Comme si tu ne les avais pas encore vues ! Répondis-je en agitant le cul tellement ses caresses me plaisaient.
-Hum ! Elles sont douces et fort jolies et se sexe, déjà gonfler et luisant. Il te fait encore mal ?
Elle l’effleurait du bout du doigt m’arrachant de petites plaintes.
-Oh oui ! Terriblement !
-Hum, hum ! Bon, je vais devoir m’en occuper.
Soudain, je sentis le bout humide de sa langue pointue me glisser dans la raie tandis que ses mains m’écartaient les fesses. Un long frisson me parcourut l’échine en devinant ce qui allait suivre. Et comme prévu, elle s’arrêta sur mon petit trou qu’elle agaça, ouf ! Ça, c’était bon, vraiment trop délicieux. J’adore me faire lécher et pénétrer cet endroit si intime par une langue ou un doigt bien glissant. Ma sœur aussi d’ailleurs, elle et moi on pouvait se faire cela à nous rendre folles toutes les deux depuis l’enfance. Sa langue se raidit et me pénétra le plus possible et s’agita. Doux Seigneur, me v’là à me tortiller de plaisir en entendant mes gémissements se répercuter dans les deux serres. Je sentais le bout de son nez et ses lèvres me chatouiller la craque de fesses. C’était délicieusement cochon. Mais malheureusement rien n’est éternel, et la langue se retira au bout d’un moment. Je lâcher un long souffle en sentant mon anus pulser tout seul.
Mara souffla dessus, j’en frémis des pieds à la tête, puis elle me mordilla et me croqua les fesses en glissant tout doucement un doigt dans le cul jusque dans mon rectum. Je me raidis en soupirant de plaisir, c’est si sensible dans ce coin-là. Elle le fit aller et venir lentement en le tournant, en me léchant la vulve de bas en haut en évitant mon clitoris ou me mordillant et me suçant les grandes lèvres. Bon Dieu que c’était bon, j’en manquais d’air. Je ne pus m’empêcher de glisser une main entre mes gros seins pour me masturber doucement et agacer mon petit bouton bander dur. Ça langue se faufila le plus loin possible dans mon vagin et elle l’agita, ça aussi ça me coupa le souffle, je faillis crier de plaisir en me masturbant de plus en plus violemment jusqu’à ce qu’un orgasme puissant me traverse le bas ventre. Mes orteils se recroquevillèrent sous l’eau, mes genoux fléchirent, je me mis à me lamenter de plaisir en me caressant les mamelons de l’autre main. Sa langue toujours en moi et son doigt dans mon cul me rendait presque folle. L’orgasme s’évanouit trop vite, me laissant essouffler, le cœur battant. Je recommencer a me masturber désireuse de jouir une deuxième fois moi aussi.
-Continu Mara. Ton remède est fantastique.
Elle se remit à me manger le sexe avec fougue, mais en y glissant un doigt en plus, puis deux. Une bouffée de chaleur me monta au visage. C’était trop bon, et déjà, je sentis poindre un autre orgasme. J’accentuai les pressions sur mon pubis en effleurant mon clitoris et ce fut à nouveau l’explosion. Elle me pénétrait avec force tandis que je criais mon plaisir en jouissant le corps parcouru de spasme et de délicieux frissons.
Quand je finis par me calmer, elle retira sa langue et ses doigts et me lava le con et le cul en disant :
-Te voilà guérit on dirait bien ?
-Déjà ?
-Mais je te conseille un autre traitement, ce soir peut être.
-Oui, je crois que j’en aurais bien besoin Mara. On organise toujours une fête pour la visite annuelle de ma sœur dans le grand salon, viens y faire un tour, tu ne t’ennuieras pas. Ouf…. ça fait du bien.
-Je suis bien d’accord, reine Margo. Mais pour la fête, je n’ai pas de belle robe à porter.
-Tant mieux, personne n’en portera.
Elle rit et me tapa les fesses en rajoutant :
-Bon, dans ce cas, je serai heureuse d’y participer. C’est entre filles ou il y aura des hommes aussi ?
-Des hommes aussi, mais c’est les filles qui mène la danse habituellement, alors tu auras le choix. Mais c’est ma bonne, Marie, qui organise les fêtes et elle nous réserve toujours d’agréables surprises.
-C’est toujours meilleur quand c’est les femmes qui dirige. Bon, si on allait visiter ta cité reine Margo.
-Pas tout de suite, séchons-nous et étendons-nous sur la couchette avant de repartir. Histoire de se reposer, un peut. Il y a des serviettes là-bas sur une tablette.
Se reposer mon œil ! A peine étions-nous étendus l’une contre l’autre, qu’on perdit la tête. Elle me désirait tout autant que je la désirais. Nous v’là donc à s’embrasser à grand coup de langue en se frottant et se caressant tout partout comme si le temps nous manquait, comme s’il fallait faire vite.
L’on se retrouva rapidement en 69 a gémir toutes les deux, moi en dessous genoux en l’air a lécher son sexe le nez dans sa raie. Côté langue elle savait y faire et moi aussi, et je ne parle pas de nos doigts, alors ce fut fantastique jusqu’à ce que le vieux lit de camp ne rendre l’âme. Les montants de bois cassèrent net et on se ramassa brutalement par terre en criant pour ensuite rire comme des folles.
Épuisé par nos ébats et surtout le combat dans la boue, on finit par s’endormir à même le sol, sur la toile, dans les bras l’une de l’autre dans la chaleur moite de la serre.
Quand j’entrouvris les yeux, sortant difficilement d’un sommeil sans rêves, je vis qu’elle me regardait étrangement avec ses yeux si clairs à quelques pouces des miens. En fait, elle semblait furieuse, son visage était déformé par un rictus de haine. Je me rendis compte qu’elle murmurait quelque chose d’incompréhensible. Puis, elle sourit tout à coup en disant :
-Enfin, tu te réveilles paresseuse.
-J’ai dormi longtemps ?
-Très longtemps en me serrant comme un enfant s’accroche a ça mère et je ne vais pas m’en plaindre.
-Tu me jetais un sort ?
-Un envoûtement pour que tu tombes amoureuse de moi. Mais, je crois que ton cœur bat trop fort pour ton beau chevalier.
-Et pas le tient ?
-Non, moi je préfère les femmes, ne t’inquiète pas. Dit-elle avant de me donner un long baiser puis de se lever.
-Et la citronnelle ? Demandai-je en me levant a mon tour pour ensuite frotter mes reins douloureux.
-Ah, la citronnelle.
Nous voilà de retour à l’entrée de la serre à nous frotter les mains avec des feuilles de citronnelle avant de nous en enduire le corps au grand complet. Quelle délicieuse corvée que de se caresser l’une et l’autre tout partout ! On me frottant les seins, des gouttes de lait perlèrent de mes mamelons droits.
-Avant de partir, dit Mara tout sourire, il me faudrait du lait royal, je me sent un peut faible.
-Le gauche ou le droit ? Demandai-je en bombant le torse. Les deux en son plein.
-Mon dieu, les deux, les deux, répondit-elle ravit en me prenant les seins pour me les téter goulûment l’un et l’autre un bon moment. Je lui caresser la tête en me demandant si elle était vraiment amoureuse de moi. Si oui, c’était flatteur, mais pour moi, elle n’était qu’une amante de plus.
Une fois rassasier, elle s’essuya la bouche avec le bras avant de me remercier et on reprit la route avec mes seins dégouttant toujours de laits, mais cette fois on contourna l’étang pour retourner au banc et se rhabiller sans avoir été importuné par les moustiques, enfin, beaucoup moins. Puis on descendit à la ville.
En marchant sous le soleil écrasant, toujours pieds nus sur l’étroit chemin de terre qui menait aux portes de la citée, elle me prit par le bras en disant :
-Ton corsage est tout mouillé par tes montés de lait, désoler, je me sens coupable.
-Et depuis quand une vilaine sorcière se sentirait-elle coupable de quoi que ce soit ?
Je n’eut droit qu’a un magnifique sourire énigmatique.
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