Je me présente, Laure, j’ai quarante-trois ans et je vis heureuse depuis quinze ans avec mon mari et mon chien.
Pourtant, ça n’a pas été tout le temps comme ça et je vais vous expliquer ma famille un peu complexe, pour bien comprendre l’histoire qui suit, vielle de quinze ans.
En 1957 ma mère, Lucienne, se marie à Paul. En 1959 ils ont une fille, ma sœur Elisa. Quand Elisa a eu deux ans, ses parents ont divorcés. Un an après, ma mère a rencontré un autre Paul, veuf, de dix-huit ans son ainé avec qui elle s’est remariée dix mois plus tard. Celui-ci avait déjà trois enfants Geneviève, neuf ans, Louis, sept ans et Jacques cinq ans. Huit ans plus tard, mi 1971 ma mère apprend à toute la famille qu’elle est enceinte de deux mois et que c’est pour début 1972. C’est une bonne nouvelle pour tout le monde. A peine une semaine plus tard, on diagnostique à Elisa une maladie pulmonaire. Elle doit partir en Suisse accompagnée de ma mère dans un établissement spécialisé. A l’époque, il n’y avait que les sanatoriums d’altitude pour bien se soigner. J’arrive dans la famille en suisse début février 1972. Nous rentrons à la maison un an et demi plus tard, je suis évidemment la chouchoute de tout le monde dans la famille, la poupée vivante que tout le monde s’arrache et je fais un peu ce que je veux, je suis la reine. En définitive, je suis le trait d’union pour tous, je suis la demi-sœur de tout le monde. J’ai quand même un rapport tout particulier avec Elisa qui s’occupe beaucoup de moi, il faut dire que je la connais depuis que je suis nais. Elle me répète souvent qu’elle était là à ma naissance et que c’est elle qui m’a vu vivante la première. Geneviève se marie avec Laurent en 1976 en même temps que Louis avec Nathalie, se fut un double mariage très animé. Tous les deux quittent la région et vont s’installer à dans la région parisienne. Jacques se mari en 1979 avec Anne, ils s’installent dans un très bel appartement qui possède un petit studio en duplex avec entrée indépendante à Toulouse. Ils ont une fille six mois plus tard, Julie, ils ont fêté pacques avant les rameaux. L’année de mes huit ans, Elisa se marie avec Henri qu’elle connait depuis très longtemps, ils se sont connus en sixième. C’est l’héritier d’un immense domaine agricole à une dizaine de kilomètre de la ville. Ils ont un enfant un an plus tard, Michel, Paule et Aline, les jumelles, suivront deux ans après. Juste après leur naissance, mon père, Paul, meurt d’un cancer me laissant seule avec ma mère. La vie devient un peu plus difficile, mais il y a Henri et Elisa qui sont toujours là pour nous. Je passe énormément de temps chez eux dès que je peux. Elisa s’occupe beaucoup de moi, c’est ma seconde mère, Henri devient mon second père. Les enfants m’adorent, surtout Michel qui est un enfant espiègle et très attachant, toujours prêt à faire des farces et d’une tonicité un peu épuisante. Je l’adore comme il m’adore. Le seul point noir, c’est qu’il m’appelle toujours tata, ce qui m’énerve un peu, au contraire des filles qui m’appellent par mon prénom.
Je ne suis pas une surdouée, mais je réussi très bien mes études, sixième à 9 ans et bac avec mention « très bien » à 15 ans. Math sup, math spé en deux demis et je présente les concours des grandes écoles. Je suis parmi les premiers, je peux donc choisir mon école, passionnée d’aéronautique, je passe trois ans à « Supaéro » à Toulouse, pas très loin de chez moi. Je suis logée par Jacques et Anne. C’est assez cool car autant Anne que Jacques ont des métiers qui leur demandent d’être souvent en déplacement. Je suis donc souvent qu’avec l’un ou l’autre voire de temps en temps seule avec Julie avec qui je m’entends très bien, c’est une préado pas trop emmerdante. Six mois après mon arrivée chez eux, Jacques et Anne divorcent, elle a rencontré un autre homme. Jacques est un peu déprimé, mais il obtient tout de même la garde de Julie, ce qui le réconforte un peu. Mes études me passionnent, en plus, je gagne pas mal d’argent en faisant la baby-sitting dans l’immeuble, il est rempli de couples d’à peu près la trentaine qui ont des enfants encore petits et sortent souvent. Je mène la grande vie pour une étudiante, mais j’ai un manque, je n’ai pas de petit copain, et je suis un peu frustrée de devoir me masturber pour avoir un peu de plaisir. Aucun des hommes que je rencontre ne déclenche quoi que ce soit en moi, aucuns déclics, aucunes émotions, aucunes envies, mon cœur reste de marbre. Je suis un peu déprimée, ne voyant aucunes solutions à l’horizon. Je suis encore vierge à plus de dix-neuf ans. Je suis une oie blanche, je n’ai aucune expérience sexuelle.
Un soir, début juillet 1991, Julie est partie passer une semaine chez ses cousins pour le début des vacances, je suis seule à la maison à attendre Jacques. Il arrive vers vingt et une heures.
–Bonsoir Laure, Julie est partie ?
–Oui, Henri est passé la chercher, j’ai tout préparé, on peut manger quand tu veux.
–Je n’ai pas très faim, plutôt soif, tu peux nous servir un petit whisky pendant que je me rafraîchi un peu, je vais prendre une douche, il fait une chaleur épouvantable, je ne comprends pas que tu puisses supporter encore ton jean avec cette température.
–Ok, je prépare tout, et tu as raison, je vais moi aussi prendre une douche et me changer, je crève de chaud.
–Prends ton temps, je dois trier des dossiers, j’en ai pour un bon quart d’heure.
Jacques se dirige vers la salle de bain pendant que j’installe les bouteilles et les verres pour l’apéritif. Je vais prendre une douche dans mon studio et redescends habillée d’une jupe ample courte et d’un corsage léger. Une petite culotte, mais pas de soutif. Je suis dans un drôle d’état, tous mes sens sont en éveil, mon cœur bat plus vite que d’habitude, j’ai les mains un peu moites, mais je mets ça sur le compte de la chaleur écrasante. J’ai servi les verres et je suis assise dans le sofa quand il revient. A ma grande surprise, il est en short et tee-shirt, ce qu’il ne fait jamais.
–Ca alors, c’est la première fois que je te vois en short.
–Oui, mais il fait trop chaud pour s’habiller autrement.
–Tu as raison, on va boire un coup, ça va nous rafraîchir.
Nous buvons doucement notre verre en discutant de nos journées respectives, mais je remarque que Jacques a son regard qui se dirige très souvent en direction de mes cuisses qui sont légèrement découvertes. Au début, je n’y prête pas trop attention, mais à force, j’ai une légère crispation de mon bas ventre, jamais je n’avais ressenti une telle chose. C’est la première fois que j’éprouve cette drôle de sensation, cette envie que quelque chose se passe. Jacques nous ressert un verre, mais les glaçons ont fondu, je vais donc en chercher d’autres, et quand je reviens m’assoir, je m’arrange pour découvrir un petit peu plus mes jambes, juste pour voir. Là, je vois le regard de Jacques de plus en plus inquisiteur, j’ai l’impression qu’il aimerait bien en voir plus. Je sers les glaçons en me penchant en avant ce qui me fais écarter un peu les cuisses. Je suis dans un état second, je sens que ma culotte devient de plus en plus humide. Je remarque que Jacques peut maintenant voir jusqu’en haut de mes cuisses et qu’il ne s’en prive pas, il doit bien s’être aperçu que ma culotte était mouillée. Son ton change, sa voix est moins assurée, d’autant que je change de position sur le sofa, il peut maintenant avoir une vue complètement dégagée sur mes cuisses. Je ne sais ce qui m’arrive, j’ai tout à coup envie qu’on me prenne dans des bras, qu’on me serre, qu’on me cajole. Je suis comme une folle, je ne tiens pas sur place, je ne cesse de bouger. N’y tenant plus, je me lève pour aller chercher à manger. Jacques me suit dans la cuisine, je reste immobile devant la table quand je sens ses bras faire le tour de ma taille et me plaquer contre lui.
–Tu es magnifique ma petite sœur chérie.
–Jacques, je ne suis pas dans mon assiette, j’ai une drôle d’impression.
–Comment ça ?
–Je ne sais pas, je réagis bizarrement.
–Comme mouiller ta petite culotte ?
–Oui, mais il n’y a pas que ça, je me sens bizarre, j’ai une impression de vide.
–Tu sais ce que ça veut dire ?
–Non, mais je suis troublée.
–Ca veut dire que tu as envie qu’on s’occupe de toi, plutôt de ton corps, tu as mouillé ta culotte n’est-ce pas ?
–Oui, et elle me gêne maintenant, ce n’est pas agréable cette sensation d’humidité, je ne suis pas à l’aise.
–Tu n’as qu’à l’enlever.
–L’enlever, mais je ne vais pas me balader cul nu tout de même ?
–Pourquoi pas, tu auras moins chaud comme ça et tu seras plus à l’aise.
–Tu plaisante, et tu auras une magnifique vue sur mes fesses.
–Ca d’accord, mais je ne pense pas que ça me dérangerait.
Je réussi à me tourner, je suis toujours dans ses bras, mais maintenant j’ai ma poitrine plaquée contre son torse, nous sommes face à face.
–Tu n’es pas bien là ?
Je ne sais quoi répondre, d’autant que je sens que son sexe gonfle dans son short et qu’il commence à être un peu à l’étroit. De sentir son sexe durcir contre mon pubis me fait perdre la raison. Je prends la tête de Jacques dans mes mains et pose mes lèvres sur les siennes une seconde.
–Oui, je suis très bien, mais je pense que je pourrais encore être mieux.
–Comment ça ?
–J’ai encore trop chaud, il fait une chaleur à crever aujourd’hui.
–Alors, enlève tes vêtements, tu seras plus à l’aise.
–Tu plaisante.
–Non, c’est ce que nous faisions avec Anne avant que tu n’arrives, dès qu’il faisait un peu chaud, nous étions à poil.
–Devant Julie ?
–Oui, elle aussi aime bien être nue quand il fait chaud. Allez, mets-toi à l’aise.
–Si je comprends bien, tu veux voir ta petite sœur à poil.
–Exactement, je te trouve très jolie et je voudrais m’assurer que le reste est à l’avenant.
–D’accord, mais à condition que tu fasses la même chose, je ne veux pas être la seule à poil.
–Ok, ensemble, moi aussi j’ai trop chaud avec ces fringues.
Il me libère, fait deux pas en arrière.
–Le haut.
Il enlève son tee-shirt et moi mon corsage. Nous sommes tous les deux torses nus. Il regarde ma poitrine et semble la jauger.
–Superbes, maintenant ta Jupe et mon short.
Il fait glisser son short le long de ses jambes pendant que je descends la fermeture de ma jupe pour la laisser choir par terre. Nous sommes en slip et culotte. Je vois qu’il bande très fort, son gland dépasse de la ceinture de son slip.
–Slips.
Nous faisons tous les deux glisser nos sous-vêtements en même temps, ils arrivent au même moment à terre. Je suis nue devant lui, il est nu devant moi. C’est la première fois que je le vois nu, comme il me voit nue pour la première fois lui aussi. Son sexe est dressé vers le ciel, tandis que je sens quelque chose couler sur mes cuisses. Je le trouve impressionnant, c’est la première fois que je vois un sexe d’homme en érection. Il s’approche de moi, me prend la main et m’entraine vers ma chambre.
–Tu es magnifique chérie, je ne pensais pas que tu sois aussi belle, ton corps est parfait, j’ai envie de le caresser.
–Jacques, j’ai moi aussi envie qu’une main glisse sur mon corps, j’ai envie de me faire choyer, j’ai envie de faire l’amour avec un homme, je suis toujours vierge, mais je ne pensais pas que ce puisse être avec mon frère.
–Holà, tu es vierge ?
–Oui, ça te pose un problème ?
–Non, simplement il va falloir que je sois très doux avec toi.
–J’y compte bien.
–Laure, si tu veux, on arrête tout, je ne veux en aucun cas te forcer, mais moi aussi j’ai envie de ton magnifique corps, même si tu es ma sœur, tu es si belle.
–Tu irais jusqu’à me faire l’amour ?
–Bien sûr, je dois dire que tu occupes mes pensées depuis que tu es venu t’installer en haut, mais jamais je n’aurais imaginé en arriver là. Ceci dit, je ne ferais que ce que tu désires.
–Mais j’ai envie de faire l’amour, j’en ai marre de me caresser seule dans mon lit, je veux connaitre l’amour physique, sentir un sexe dans mon sexe, et me débarrasser de ma virginité.
–Et tu veux faire ça avec moi ?
–Oui, parce que je sais que comme tu es mon frère, tu le feras avec tendresse et tu prendras toutes les précautions nécessaires.
–Mais surtout il va falloir faire très attention, je vais devoir me retirer au dernier moment, je ne voudrais pas te mettre enceinte.
–Ne t’en fais pas, tu pourras aller jusqu’au bout et jouir en moi, maman me fait prendre la pilule depuis plus d’un an, au cas où.
–Ouah super, j’espère que toi aussi tu pourras prendre ton pied.
–Je sais que c’est rare de prendre son pied la première fois, mais j’aurais d’autres occasions.
–Avec moi ?
–Pourquoi pas.
Nous arrivons dans ma chambre, le lit est ouvert et un peu explosé, je ne le fais jamais. Il l’ouvre entièrement, retend le drap housse, me prend dans ses bras, me soulève comme un fétu de paille et me dépose délicatement sur le lit. Il étale mes cheveux sur l’oreiller, s’assure que je suis bien installé et vient se coucher à côté de moi. Il est vingt-deux heures, mais la chaleur est toujours écrasante, ma peau est moite, comme la sienne. Je ne bouge pas, je lui laisse l’initiative. Jacques se tourne vers moi et pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un baiser chaste, je n’ai jamais échangé de baiser avec quiconque. Tout à coup, je sens sa langue venir sur mes lèvres. Je réalise qu’il a la bouche ouverte, j’ouvre légèrement ma bouche pour lui laisser le passage. Sa langue vient caresser la mienne, la titiller ce qui me stimule jusqu’à l’imiter. Nous finissons par une bataille de langue tandis qu’une main se pose sur mon ventre et remonte doucement vers mon sein gauche. Mon corps commence à réagir, une onde le parcoure, je passe mon bras autour de son cou et l’attire encore plus contre moi. Son corps vient au contact du mien, sa verge bien raide se plaque sur ma cuisse, une jambe passe par-dessus les miennes. Je le fais basculer sur moi. Mon sexe est en feu, il ruissèle de cyprine, mon corps n’est plus qu’une attente du moment suprême ou je vais devenir une femme.
–Oui mon chéri, maintenant.
Son sexe glisse entre mes cuisses que j’ouvre au maximum, Jacques remonte un peu sur mon corps jusqu’à ce que son gland vienne au contact de ma vulve. Il s’immobilise un instant.
–Non, maintenant, viens, je suis prête.
Jacques se redresse sur ses coudes, il me regarde droit dans les yeux, d’un regard plein de tendresse. Il pousse un peu, son gland ouvre mes lèvres et s’enfonce doucement en moi. Je sens une légère résistance, mais la progression continue lentement.
–Ca va ?
–Oui, continu.
Soudain je ressens une légère douleur, je me raidi un peu ce que sent Jacques.
–Tout va bien ?
–Je crois que l’hymen vient de céder, maintenant tu peux y aller jusqu’au fond.
Il continu sa poussée jusqu’à ce que je sente son pubis contre le mien. Je le serre de toutes mes forces, je suis au comble du bonheur, je ressens une légère douleur, mais le fait d’être devenu femme me fait tout supporter. Jacques s’est immobilisé, il me regarde tendrement.
–Tu n’as pas trop mal ?
–Non, tu peux y aller, mais doucement.
Jacques commence des va et vient lents et profonds, j’ai un peu mal, mais je sens en même temps que mon corps réagit, je sens qu’à chaque fois qu’il s’enfonce en moi son pubis vient frotter sur mon clitoris, ce qui fait monter la pression. Mû par une force inconnue de moi, mon corps s’anime, mon bassin bouge, je vais de plus en plus à la rencontre de ce sexe qui me perfore. C’est une sensation inconnue pour moi jusqu’à maintenant, mais j’aime ça et j’en redemande. Le souffle de Jacques s’accélère comme son rythme, je l’accompagne, mon ventre se crispe, une onde se réveil en moi, je n’ai plus mal, du moins, je ne sens plus la douleur, je suis en transe, je veux jouir avec mon frère, l’accompagner dans son bonheur. Mais la nature en décide autrement et Jacques se vide en moi avant que je n’atteigne moi aussi le septième ciel. C’est la première fois que je sens un sexe se vider en moi, et je dois dire que ça me donne une impression d’un immense sentiment de béatitude. Jacques s’arrête et se laisse descendre sur moi. Nos corps sont peau à peau dans cette chaleur moite.
–Tu n’as pas joui chérie.
–Non, mais je m’y attendais, j’ai tout de même eu un immense sentiment de bonheur.
Jacques se dégage, il bande toujours, mais j’ai peur d’avoir souillé le drap, je sors du lit immédiatement, heureusement, je ne l’ai pas taché.
–Je vais prendre une douche.
–Je t’accompagne.
Nous allons dans ma salle de bain. Jacques me savonne, je le savonne en m’attardant beaucoup sur son sexe que je maintiens en forme, mais rien de plus. Nous nous séchons et retournons dans ma chambre.
–Tu restes un peu avec moi ?
–Bien sûr, tu ne crois pas que je vais te laisser sur ta faim, je veux te voir exploser de plaisir.
–Oui, mais ce n’est pas un peu tôt pour remettre ça ?
–Qui te dis de remettre ça, il n’y a pas que ce moyen de faire jouir une femme.
–Je suis à toi.
–Allonge toi sur le dos et ouvre un peu tes jambes.
Je m’allonge sur le dos en écartant les jambes, Jacques vient se mettre à quatre pattes entre mes jambes. Il avance sa tête vers mon pubis et plaque sa bouche contre mon mont de Vénus. J’ai une décharge dans tout le corps. Sa langue vient titiller mon clitoris, ses lèvres me le sucent, ses dents me le mordillent, mon bassin s’anime et commence à onduler, Jacques suit mes mouvements, sa bouche reste collée à mes petites lèvres. Une onde nait dans mon bas ventre, elle grossi petit à petit, se répand dans le bas de mon corps, remonte vers mon cerveau, je ne sais plus où je suis, je n’écoute que mon corps qui ne m’envoi que des sensations agréables. Et puis, je ne peux plus me maîtriser, mon corps explose, je me raidi, je tremble, je suis parcouru de spasmes qui me font vibrer. Un feu d’artifice éclate dans mon cerveau, mon corps n’est que plaisir, jouissance, orgasme. C’est la première fois que j’éprouve un tel bonheur, que mon corps me fait perdre la tête, que je suis prête à aller en enfer pour que ça ne s’arrête pas. Doucement, je reviens à moi, la bouche de Jacques est toujours sur mon sexe, mais juste pour l’embrasser. Il finit par se redresser.
–Tu es bien ?
–Merveilleusement bien, c’est le plus beau jour de ma vie, je suis devenu femme et j’ai eu mon premier vrai orgasme. J’ai pris un pied fabuleux.
–Ca, j’avais remarqué.
–Vient m’embrasser.
Il se pose sur moi et remonte le long de mon corps pour m’embrasser, nos peaux glissent l’une sur l’autre, mais quand il arrive à hauteur de ma bouche, sa bite, toujours raide, arrive au niveau de mon sexe. Sa bouche se pose sur la mienne, elle a un drôle de goût, je réalise que c’est le goût de ma cyprine, mais j’adore. Nous échangeons un long baiser. Je bouge légèrement, ce qui a pour effet d’engager un peu sa bite entre mes lèvres. Je n’en peux plus, je veux jouir avec une bite, sa bite, je donne un coup de rein pour qu’elle s’enfonce un peu plus, je suis tellement lubrifiée qu’elle n’a aucun mal à avancer dans mon nid d’amour.
–Tu veux encore faire l’amour ?
–Oui, vas-y, fais-moi l’amour encore une fois.
Jacques donne un coup de rein et sa bite s’enfonce d’un seul coup jusqu’au fond, je ressens une légère gêne, mais ce n’est pas très douloureux. Il se laisse aller et commence des va et vient rapides qui me font très vite monter dans les tours. Une nouvelle fois, mon corps s’empare de mon être, je subis sa loi, je me laisse envahir par ces ondes de plaisir qui me font oublier tout le reste. Je ne suis qu’un sexe qui veux jouir, qui veut exploser dans un feu d’artifice de sensations. Nos regards se croisent, nos sexes sont unis, nos pubis s’entrechoquent, nos mains parcourent le corps de l’autre, nous sommes à l’unisson de la recherche de l’extase. Je suis au bord de l’orgasme, mais je veux jouir avec mon frère, le sentir se vider en moi quand je perds la tête.
–Viens chéri, je vais jouir, viens avec moi.
Je sens Jacques se raidir un peu, il va jouir, je me laisse aller est mon corps se transforme en une multitude de pétards qui explose un peu partout. Je sens Jacques se vider en moi, ce qui décuple mon plaisir. Je suis anéantie, je n’en peux plus, je me laisse aller sur le lit en attirant Jacques contre moi, je veux sentir le poids de son corps sur mon corps. Nous restons quelques minutes sans rien dire, juste à apprécier les dernières ondes de plaisir qui se diffusent dans nos corps. Jacques finit par se redresser et descendre du lit.
–C’est bien beau tout ça, mais nous n’avons pas mangé, tu as faim ?
–Je meurs de faim.
–Ok, tout le monde en bas.
–Juste après une petite douche.
–Ok.
Nous nous douchons rapidement et descendons pour manger. La soirée s’est terminée calmement, nous sommes allés tous les deux dans notre propre chambre. Nous avons refait l’amour plusieurs fois jusqu’à la fin de mes études. J’y ai pris goût très vite et j’ai multiplié les expériences avec d’autres partenaires
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