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JE SUIS UNE SALOPE

JE SUIS UNE SALOPE



FANTASME

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J’ai lu cette histoire sur un site et j’ai tellement adoré que j’ai voulu la partager avec vous. Bonne lecture!

Bonjour tout le monde, je m’appele Salomé, 24 ans, blonde, 1m62 pour 48 kilos, yeux bleus en amande, petite bouche mince que l’on dit sexy avec une frimousse que l’on qualifie d’angélique. Je seconde le directeur de ma boite depuis près d’un an. Physiquement, il est chatain, 1m78, assez carré yeux noisettes, et pas mal du tout dans son genre. J’arrivais au bureau toujours à 7h tapantes, habillée d’un ensemble tailleur beige que j’emprunte à ma sœur, comme toujours, financièrement plus aisée que moi, et comme d’habitude, un café m’attendait sur mon bureau. Je déteste cette mixture, mais bon, c’est gratuit, alors je suis un peu obligée de faire un effort, bien qu’un thé serait quand même préférable. Cependant, un matin, mon patron m’attendait dans mon bureau.

-Bonjour, Salomé, me dit il souriant. Toujours aussi belle, comme d’habitude.
-Bonjour Monsieur le Directeur.
-Je constate que vous êtes encore une fois non seulement au bureau avant tout le monde, et en plus toujours aussi ponctuelle, mes félicitations..
-Je prends toujours mon boulot au sérieux. Assurais je. Et si je veux prendre votre place, ce n’est pas en restant au fond de mon lit que j’y parviendrais, n’est ce pas ? Lancais je en levant un sourcil comme un défi.
-Je ne me laisserais pas faire, vous savez. Ria t il. Pouvez vous venir dans mon bureau ? J’ai quelque chose à vous demander.
-Si vous voulez me demander encore une fois si j’accepte de diner avec vous, j’ai bien peur de devoir vous répondre encore une fois que je ne suis pas libre ce soir. Dis je avec le sourire, m’amusant à le faire enrager.
-Qui vous a dit que cela devait être ce soir, forcément ? Il ne me semble pas vous avoir donné de date pour cette fois ci. Me répondait il comme par pure provocation.
-Touché ! Souriais je. Mais je crains que si vous continuez à me faire des propositions de la sorte, j’ai bien peur de devoir vous attaquer aux prud’hommes pour harcèllement sexuel. Continuais je toujours avec le même sourire.
-Une invitation à diner n’est pas une invitation sexuelle, d’autant plus que nous avons tous deux quelqu’un dans notre vie.

Là, je ne trouvais plus rien à dire. L’idée de diner en tête à tête avec mon patron n’était pas une mauvaise idée en soi. Bien qu’un jour, je serais un peu forcée d’accepter par courtoisie, mais j’ai un peu peur de ce qui pourrait se passer par la suite. J’ai déjà fait à plusieurs reprises des rêves érotiques dans lequel nous avions des rapports des plus passionnés, chose que je me refuse à produire d’une manière réelle, par respect pour mon fiancé. Célibataire, ça ne m’aurait nullement gênée, mais ma morale me l’interdisait tout simplement.

-Alors ? Enchaina t il. Ca me ferait vraiment plaisir, et je vous laisse choisir le resto que vous préferez, si jamais ca peut vous influencer.
-Et votre amie, qu’en dira t elle ? Soupirais je.
-Oh, elle a confiance en moi et sait pertinement que je ne suis pas du genre à draguer tout ce qui bouge, elle ne sera pas jalouse, Et surtout pas si c’est avec vous. Plaisanta t il.
-Et comment je dois la prendre, cette remarque ? Demandais je plutôt dubitative.
-La seule façon de le savoir sera d’accepter, non ?

Quelque part, mon orgueil en avait pris un coup. Mon visage amusé avait disparu, et sa phrase avait un peu l’apparence d’une pique comme pour me faire réagir. Il veut jouer ? Eh bien on va jouer.

-Ok, finalement, va pour ce soir. Dis je après avoir mal encaissé sa remarque.
-A la bonne heure ! Lanca t il d’un ton triomphant. 20 heures ce soir, et je passerais vous prendre chez vous, ça vous va ?
-Entendu, mais je vous jure que je vous ferais payer la remarque que vous m’avez faite en faisant fumer votre carte banquaire. Dis je en le regardant droit dans les yeux.
-Alors à ce soir. Dit il en sortant de mon bureau. Ah au fait, dit il en revenant à la charge, je plaisantais, je vous trouve un peu plus mignonne que ma copine actuelle.

Il alla dans son bureau, et je me rendis compte que j’étais tombée dans un piège des plus grossier. Qu’importe, même si il m’avait fait un compliment, ça n’allait pas se passer comme ça ! La journée se passa tranquillement, et une fois rentrée chez moi, je pris une douche, et enfilais les premières fringues qui me venaient. Après essayage, je me rendais compte que la robe avait un décolleté des plus provoquants, et je me décidais à la changer au plus vite pour un modèle certes moins beau, mais plus simple et confortable. Je ne prenais pas le soin de me maquiller, et mon portable sonna, c’était mon fiancé, et je décrochais toute joyeuse.

-Bonsoir mon coeur. Lançais je pleine de tendresse.
-Bonsoir ma puce, je te dérange ?
-Non, là, je me prépare pour sortir.
-Avec des copines ? Ta soeur ?
-Non, ecoute, ne te fache pas, mais ce soir, je dine avec mon patron.
-Quoi ? Aboya t il. Ce pervers ? Mais qu’est ce qui t’a pris d’accepter ?
-Je ne sais pas, mais disons qu’il m’a eu à l’usure. Et puis je ne pourrais pas refuser à chaque fois, tu sais, c’est quand même mon patron. Puis on sait jamais, une augmentation serait peut être à la clé.
-Oui, mais pour ça faudra que tu t’allonges ! Lança t il.
-Pardon ? Attends tu me prends pour une pute ? Lancais je hors de moi.
-Non, je dis simplement que…

Je n’entendais pas la fin de sa phrase car la sonnette retentit. Décidément, c’était pas ma journée.

-Bon, je te laisse ! Bonne soirée ! Dis je furieuse en raccrochant.

J’ouvris la porte et tomba sur mon patron habillé d’une chemise blanche, pantalon de ville noir qui me tendait une rose que je pris avec le sourire, mon état de colère s’envola instantanément à la vue de cette jolie fleur.

-Merci. Dis je avec le sourire.
-C’est pour vous avoir manqué de respect ce matin, alors je voulais me faire pardonner.
-Entrez, je suis presque prête.

Il entra, je finissais rapidement de me préparer. une fois prête, nous allions dans un beau resto de quartier, et durant la soirée, je découvrais un homme drôle, poli, chaleureux, courtois. Je ne voyais pas le patron un peu pousse au cul qu’il était toute la journée, je dois dire que cela me changeait énormément, je le trouvais transformé, je n’avais pas affaire à la même personne, c’était le jour et la nuit. La soirée se passait à merveille, j’apprenais qu’il s’appele Frantz, et au fur et à mesure du temps qui passait, la complicité était de mise, aidée par le champagne dégusté tout au long du diner. Quelque part, il me plaisait de plus en plus, il correspondait au type d’homme que je recherchais. Simple, protecteur, doux, charmant, une sorte de chimie opérait à ce moment, et je ne pouvais plus m’empêcher de le regarder avec une grande tendresse, me faisant oublier mes problèmes. Chaque sujet qu’il abordait se révelait instructif, interessant, j’avais l’impression de boire ses paroles. Est ce que je commençais à tomber amoureuse ? Hélas, la fin de la journée se faisait sentir, la fatigue aussi, et il était plus que temps de rentrer chez moi pour dormir. Après m’avoir raccompagné à la porte de chez moi, nous étions tous les deux assez gais, nous rigolions pour un rien, et je collais le dos à ma porte, lorsque nos regards se croisèrent, nous faisant arreter de rire comme des idiots.

Aucun de nous ne bougeait, le temps semblait suspendre sa course, nos yeux ne pouvaient plus se détacher, mon coeur commençait à battre la chamade, mes lèvres commençaient à s’entre-ouvrir. Une sensation étrange m’envahit à ce moment, comme si je me sentais fièvreuse.

-Je vais peut être y aller. Murmura t il brisant le silence sans détacher ses yeux des miens.
-Ouais ! Soufflais je d’une façon quasiment inaudible.

Je ne voulais pas qu’il s’en aille, alors instinctivement, doucement, je l’attrapais par le col de sa chemise, sa main saisit la mienne, sa bouche s’est entre-ouverte à son tour, se rapprochant dangereusement, mais tout doucement de la mienne. Mes yeux commencèrent à se fermer, et je sentis ses lèvres s’écraser contre les miennes dans un baiser timide de prime abord, comme si nous cherchions à donner notre meilleur baiser, puis, doucement, il devint tendre, doux, sensuel. Ma main chercha rapidement mes clés pour rentrer chez moi sans pour autant interrompre notre baiser, et à l’aveugle, je tentais de trouver la bonne clé pour rentrer, ce qui se révèla inutile, parce que j’étais obligée de regarder ce que je faisais. Notre baiser dût s’interrompre, et, la main tremblante, j’ouvris la porte de chez moi pour l’inviter à entrer en reprenant notre baiser devenu fougueux. Une fois rentrés, je ne pris même pas la peine d’allumer la lumière, j’étais emportée par la volupté et la sensation nouvelle qui m’envahissait, j’étais excitée comme jamais je ne l’avais été avec mon fiancé, quels que soient ses efforts pour y parvenir. J’étais sur le point d’enfreindre un de mes principes les plus importants, je commençais à tromper mon fiancé, mais aussi étrange que ça puisse paraitre, je m’en foutais. Mon corps ne pouvait pas éprouver un tel désir, aussi ardent soit il, mais c’était plus fort que moi, comme si les rêves que je faisais devenaient tout à coup réels.

Une suite ?

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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