J’ai connu P* lorsque j’étais très jeune. c’était un garçon bien mignon avec qui je m’amusais après l’école avec d’autres copains du primaire. Après un temps, la vie nous a séparé : j’ai changé de quartier, il a déménagé loin, nous ne nous sommes plus revus malgré que j’entendais parlé de lui par des anciens amis en commun pendant mon adolescence.
Grâce à Facebook, nous nous sommes retrouvés il y a quelques années. Pendant longtemps, nous sommes restés amis virtuels et aussi des confidents : il me parlait de ses jobs, ses copines, ses joies et ses peines. Il était devenu un charmant jeune homme très hétérosexuel, aimant flirter ici et là avec des filles, buvant des bières entre amis dans des tavernes de région, profitant de sa jeunesse dans des concerts rock. Moi, j’étais du type gay plus discret, introvertie, artiste…
Après un temps, nous sommes devenus à l’aise de discuter sexualité. Et puis tout a changé. Il m’a dit, un soir de saoulerie, qu’il aimerait bien essayer avec moi habillé en fille. Incertain, je ne savais pas du tout comment réagir, s’il me faisait une blague…Il a fini par venir me voir un jour, dans ce but précis. Il m’avait demandé d’être déjà prête pour lui, bien habillée, toute maquillée, sexy…
Tout de suite en me voyant, il ne s’est pas gêné. Il m’a embrassé avec un goût de bière en bouche, presque en grognant. J’ai mis mes mains sur son entre-jambe et j’ai détaché son pantalon pour rapidement me mettre à genoux et lui sucer la queue. Je faisais de mon mieux pour lui donner des gorges profondes et ensuite je le branlait avec la salive visqueuse sur son membre. Au moment de jouir, il m’a arrêté, m’a levé debout en serant ma gorge d’une de ses mains de façon dominante, en me regardant droit dans les yeux et il m’a ainsi emmené vers le lit pour m’y placer à quatre pattes.
Il a levé ma petite jupe, a déchiré mes collants noirs au niveau des fesses et a craché sur mon trou déjà préparé avant de se mettre à me baiser comme un a****l. Il y allait doucement, mais plus je gémissais, plus il augmentait le rythme. Il me tenait par la taille, par les pognets derrière le dos ou par la gorge, me tirait les cheveux par en arrière et arquait mon dos en me traitant de pute, en mettant ses mains sur ma bouche pour ne pas que mes voisins entendent.
Je me sentais comme une poupée sexuelle malmenée, trouée par un mâle en chaleur. C’est étrange, mais c’est ainsi que je me sentais aimée… Utilisée et soumise à un Homme et ses désirs.
Perdu dans mes jouissances, dans mon monde, je l’ai entendu crier et jouir en moi avant qu’il ne se laisse carrément tomber sur moi, de tout son corps. J’étais écrasée sous lui, mais bien. De ses mains, il venait toucher ma poitrine à plat comme s’il tâtait de la viande et m’a demandé si j’avais songé à changer de sexe, à prendre des hormones. J’ai répondu avec honnêteté que je n’étais pas certaine mais que j’y pensais souvent. Que je craignais le changement au niveau social.
Il m’a laissé pour retourner chez lui, dans sa ville, me promettant de revenir, ce qu’il a fait à quelques reprises pour se vider en moi. Puis, un jour, la vie nous a lié de façon plus proche lorsqu’il a perdu son emploi et sa copine, et qu’il est venu vivre en colocation chez moi. Je suis alors devenu sa pute personnelle, il me baisait à tous les jours, dès que c’était possible. Il s’est trouvé un emploi qui rapportait beaucoup d’argent et m’a demandé de laisser mon propre travail pour devenir sa petite femelle à la maison, ce que j’ai accepté. Les seules personnes qu’il me permettait de voir à la maison, à ce stade, car je ne voyais déjà plus ma famille, était ses amis de bureau à qui il me donnait de temps en temps sexuellement, exhibant fièrement sa petite poupée.
Et lorsque j’ai commencé à voir des seins se développer sur mon corps après quelques mois, et d’autres changements jamais ressentis avant, que j’ai découvert qu’il cachait des pillules d’hormones en secret dans son bureau pour les mettre dans ma nourriture tous les jours, j’ai compris à quel point il était pervers… et j’ai su que j’en étais folle amoureuse car j’allais jouer son jeu jusqu’au bout.
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