Je décrirais ainsi Aurélie, âgée de 20 ans : environ 1,65 m, avec quelques rondeurs très acceptables, cheveux mi-long châtain, yeux verts, poitrine un peu plus importante que l’aurait voulu sa stature, fesses visiblement bien rondes et serrées l’une contre l’autre. Elle habitait en province, chez ses parents qui étaient de nos amis. Pour la rentrée scolaire, elle avait dû monter à la capitale pour continuer ses études.
Elle louait donc une de nos chambres laissées libres par nos enfants déjà grands. Elle ne retournait pas très souvent chez elle les week-ends, et appréciait notre compagnie. Pourquoi, me direz-vous, se plaisait-elle en compagnie d’un couple dans la cinquantaine naissante dont les enfants étaient désormais partis de chez eux ?
Je vous répondrais que c’est parce que nous sommes agréables et sympas mais vous ne me croiriez pas. En fait, ses parents avaient élevé leurs cinq enfants selon des pratiques religieuses strictes qui ne laissaient que peu de place à la liberté d’exister lorsque l’on est une jeune adulte.
Aurélie trouvait donc sous notre toit un peu de compréhension et d’attention car nous n’étions pas constamment sur son dos en train de vérifier ce qu’elle faisait ou non, et elle ne réclamait rien de ce que n’importe quel jeune de son âge était en droit d’exiger.
Vous aurez compris que c’est donc une jeune fille très agréable, sans volonté de sortir faire la fête, habillée strictement – chemisier fermé jusqu’au moindre bouton et jupe au niveau du genou – qui partageait souvent notre vie. Ce qui n’était pas vraiment le cas de notre couple qui, lui, est plutôt libertin, et sur lequel, bien sûr, elle ne savait rien. En compensation de son séjour, elle participait aux corvées de la famille : ménage, lessive, repassage, vaisselle sans même que nous ayons à lui demander.
Un samedi de pluie du mois de juin – eh oui, cela arrive – nous nous apprêtions à sortir lorsque Pauline (ma femme) dit à Aurélie, qui était restée pour le week-end :
— Aurélie, on va faire des courses, tu veux venir avec nous ?
— Non, ça me dit rien de sortir par ce temps-là, je vais regarder un DVD.
Nous sommes donc partis pour la corvée que chacun connaît bien et qui nous fait perdre en général la quasi-totalité du samedi après-midi. Je ne vous ferai pas l’affront de vous raconter ce qui nous occupa pendant deux bonnes heures et qui n’a présentement aucun intérêt. Car le plus intéressant fut notre retour chez nous.
Aurélie ne nous entendit pas rentrer, trop captivée par le DVD qu’elle regardait. Installée sur le canapé qui tournait le dos à la porte du salon, je la trouvai la jupe relevée sur le ventre et une main dans sa culotte blanche et petites fleurs roses en coton. À la télé, elle regardait Pauline me faire une fellation avec beaucoup de plaisir.
Je vous avais prévenus que nous n’étions pas très sages. Mais je vous le demande : que faisait ce DVD de nous en plein jeux sexuels, dans le salon ? Aurais-je oublié de le ranger avec les autres, une fois regardé avec Pauline ? Vraisemblablement.
Qu’avait-elle vu de nos ébats et différentes pratiques, ensemble ou avec un autre couple comme cela nous arrivait ? Sur le coup, je n’en avais aucune idée mais il fallait réagir vite. Car je devais forcément lui dire quelque chose… Mais quoi ?
— Le film te plaît, Aurélie, qu’en dis-tu ?
Question stupide s’il en est, je vous l’accorde. Aurélie surprise dans son activité, rougit immédiatement et remit sa jupe en place après avoir vivement refermé ses cuisses l’une contre l’autre. Dommage, car j’avais bien apprécié le spectacle de cette jeune fille les cuisses écartées, et de voir ses doigts remuer sous sa culotte m’avait quelque peu excité. Elle fut si gênée qu’elle me répondit :
— Oh, je suis désolée, j’aurais pas dû. Je suis tombée dessus par hasard.
Pauline arriva sur ces entrefaites et, voyant les images qui défilaient toujours à la TV, comprit immédiatement. Et Aurélie toujours rouge comme une pivoine et gênée de la situation où elle se trouvait, de nous dire :
— S’il vous plait, ne dites rien à mes parents. Punissez-moi si vous voulez, je ferai tout ce que vous voudrez.
Sûr que, si ses parents apprenaient l’incident, elle passerait pour une salope et nous pour des pervers. Mais que n’avait-elle pas dit là ? J’échangeai avec mon épouse, amusée par la situation, un regard entendu.
D’ailleurs, que pouvait-on lui reprocher ? Ce n’était pas sa faute si elle était tombée sur ce DVD intime et encore moins de se toucher en regardant des images excitantes qu’elle n’avait sûrement jamais vues ailleurs. Pauline prit l’initiative :
— Nous ne dirons rien, rassure-toi ; ce n’est pas ta faute. Mais es-tu vraiment prête à faire tout ce que nous voudrons ?
Timidement, elle répondit à Pauline.
— Oui, je vous le jure.
— Comme tu as pris du plaisir en nous regardant nous caresser. Je souhaite maintenant, moi aussi, que tu te caresses devant nous. Continue de regarder le DVD, je suis certaine que tu vas apprécier à sa juste valeur.
Aurélie ne savait plus où se mettre. On pouvait facilement imaginer qu’elle était prise entre le soulagement de savoir que nous ne dirions rien de l’histoire et une certaine excitation que lui procurait la discussion et ce qu’elle s’apprêtait à faire sous nos yeux.
Pauline savait que tout cela nous exciterait nous aussi car nous sommes quelque peu voyeurs. Elle choisissait ses mots avec précaution pour ne pas heurter cette jeune fille qui sûrement ne devait pas avoir une grande expérience sexuelle. Le ton était ferme et Aurélie n’eut pas l’envie de contester la demande de mon épouse. Pour ma part, je me contentais de regarder et d’écouter ce qui, j’avoue, ne me laissait pas de marbre.
Aurélie s’allongea sur le canapé de nouveau, releva sa jupe sur son ventre, écarta ses cuisses tout en commençant à regarder la suite du film, mais cette fois elle ne passa pas sa main dans sa culotte, sûrement par pudeur. Celle-ci présentait maintenant une tache humide, bien visible, à l’endroit de son intimité, elle y posa trois de ses doigts fins et décrivit des petits cercles dessus. Elle me vit à la TV en train de lécher le minou de Pauline qui gémissait légèrement sous mes coups de langue.
Pour sa part, Pauline était installée à côté de ses pieds et regardait elle aussi la TV, tout en se caressant sous sa jupe courte. Elle jetait des regards discrets vers Aurélie.
Quant à moi, j’étais derrière le canapé, debout, les regardant faire, suffisamment en retrait pour ne pas mettre mal à l’aise Aurélie.
Mais, visiblement, celle-ci ne trouva pas le plaisir qu’elle avait atteint précédemment et dit :
— Je n’y arrive pas, vous me déconcentrez. Je n’ai pas l’habitude qu’on me regarde comme ça.
Pauline lui sourit doucement et s’approcha d’elle.
— On va arranger ça, laisse-moi faire…
Elle commença par lui enlever sa culotte, qu’elle me lança comme un trophée. Je n’eus pas besoin de l’approcher de mon visage pour sentir l’odeur de jouissance qui la parfumait.
— Gérard, viens-là.
Assise sur le canapé, Pauline m’indiqua l’endroit devant elle. Elle baissa mon pantalon et mon caleçon laissant apparaître mon sexe déjà bien tendu. Mon épouse prit en bouche mon sexe tout en regardant si Aurélie pouvait bien voir ce qu’elle faisait de celui-ci. Aurélie avait maintenant délaissé le téléviseur pour regarder Pauline avec intérêt.
Celle-ci, de sa langue, lécha ma queue sur toute sa longueur, du prépuce qui chez moi est assez proéminent jusqu’à mes testicules. Elle joua un moment avec du bout de sa langue, suça avidement mon sexe jusqu’à l’engouffrer presque totalement dans sa bouche, pour finir par me décalotter en serrant ses lèvres autour de celui-ci. Mon gland fit son apparition lentement, au fur et à mesure que mon plaisir montait par cette succion ferme et délicieuse. Elle le taquina du bout de sa langue agile et lécha précautionneusement le rebord de celui-ci.
Pauline sait ce qui me procure le plus de plaisir et elle aime me faire bander grâce à ses caresses buccales. Elle aime encore plus lorsque j’éjacule dans sa bouche et se délecte de mon sperme. J’adore la sentir me sucer avec une telle envie de me faire jouir.
Je regardais maintenant sans aucune restriction Aurélie qui n’en perdait pas une miette et, à sentir la façon dont son corps bougeait, il ne faisait plus l’ombre d’un doute que le spectacle de mon épouse en train de me sucer l’avait finalement excitée au point de ne plus se préoccuper de notre regard.
Pauline lui tendit mon sexe décalotté, l’invitant à partager mon sexe.
— Tu as déjà sucé un garçon ?
Aurélie lui fit non d’un signe de tête.
— Je t’ai montré. Vas-y, à toi maintenant.
La jeune fille approcha sa bouche du sexe qu’on lui tendait. Elle n’avait plus aucune retenue et suivait les directives de mon épouse sans que visiblement cela ne la gêne. Le plaisir avait pris possession de son corps et dépossédé son esprit de toute limitation aux demandes faites. Aurélie passa avec douceur sa langue sur mon gland, puis le prit en bouche pour le sucer doucement. Hésitante au début, elle prenait de l’assurance en sentant mon sexe réagir dans sa bouche. Elle joua du bout de sa langue sur mon gland, rouge du plaisir ressenti, lécha mon membre avec application. Un filet de bave reliait mon sexe à ses lèvres. Elle regarda mon épouse qui l’encouragea en lui passant la main dans les cheveux en lui disant :
— Continue comme ça, ma chérie. Tu le fais bander dur, regarde-moi cette queue.
Je prenais beaucoup de plaisir à voir cette jeune femme s’emparer de mon membre. Je lui caressais les seins qui apparaissaient légèrement entre les pans de son chemisier que j’avais déboutonné. Aurélie suçait de plus en plus rapidement mon sexe et semblait absorbée par la mission qui lui était confiée, délaissant son propre corps.
Mon épouse sentant que je ne tarderai pas à éjaculer la laissa continuer seule, et se plaça de façon à pouvoir s’occuper de l’intimité de la jeune fille.
Pauline passa son doigt dans sa fente, provoquant une légère réaction d’Aurélie qui se laissa finalement faire, allant même jusqu’à écarter un peu plus ses cuisses. Passant un doigt dans la fente offerte, elle constata qu’elle était très humide. Elle se demanda si elle avait déjà perdu sa virginité, ce dont elle douta, mais entra son doigt doucement pour ne pas la déflorer. Elle s’aperçut qu’elle mouillait beaucoup, au fur et à mesure qu’elle agitait son doigt dans son minou. Pauline faisait exactement le même mouvement en elle, mais son plaisir monta d’un coup lorsque le corps d’Aurélie se convulsa sous ses doigts experts. Celle-ci arriva à l’orgasme la première. La sentant partir, je sortis mon sexe de sa bouche, pris par le plaisir qui m’envahissait et lui éjaculai sur le visage, ce qui la surprit. Pauline, quant à elle, entra deux doigts en elle et se fit jouir rapidement.
Chacun reprit ses esprits. Ma femme vint lécher le sperme sur son visage. Elle se laissa faire, trop fatiguée pour réagir. Je m’approchai doucement du visage d’Aurélie et l’embrassai d’un baiser tendre. Je la regardai et lui dit :
— Je crois que cette fois nous sommes à égalité. Ta punition n’a pas été désagréable ?
— Non, même plutôt agréable. Je n’imaginais pas que c’était aussi bon. Mais surtout ne dites rien à mes parents de tout cela.
Avec mon épouse, nous avions souvent imaginé soumettre une jeune femme qui saurait se donner, mais cela restait un fantasme. Cette première expérience soft avec Aurélie n’était qu’une première approche, pour ne pas déstabiliser la jeune fille. Je n’hésitai qu’un instant pour lui suggérer :
— Continueras-tu à faire tout ce que nous voudrons ?
Aurélie arbora un sourire fin et déjà plein d’envie, rien que d’imaginer les ordres auxquels elle devra se soumettre et le plaisir qui l’envahira encore.
— Demandez et je ferai.
— D’accord, mais sache que c’est nous qui déciderons du moment et de l’endroit. Ne pose pas de question.
Pauline enchaîna pour en savoir plus sur son passé sexuel qui la taquinait depuis qu’elle avait exploré son intimité.
— Dis-moi, tu n’as visiblement jamais couché avec un garçon ?
— Non, jamais, dit-elle en rougissant de nouveau.
— C’est bien ce qu’il me semblait. Par contre, j’ai l’impression que tu dois bien aimer te caresser, vu la façon dont tu réagis rapidement.
— Oui, j’avoue que j’adore ça.
— Tellement, que tu mouilles beaucoup, chérie.
— J’ai honte de couler autant… J’ai l’impression d’être une sal…
Elle ne termina pas sa phrase.
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