La résidence de La Fourmillière se constitue en un ensemble d’une dizaine d’immeubles encerclant un vaste jardin intérieur. L’ensemble a été construit voilà une dizaine d’années et pour le plus grand bonheur des habitants un bois se trouve à proximité. C’est dans ce cadre agréable que vit Julien, un ami dont j’ai fais la connaissance sur Internet. 32 ans ,travaillant dans une agence de voyage, célibataire. L’un de ses passe-temps favoris consiste à fréquenter les salles de sport afin d’entretenir un corps sec, longiligne mais musclé. Presque tous les jours il transpire sur des machines que je vois personnellement comme des instruments de torture mais il faut reconnaitre que le résultat est là.
La semaine dernière il m’a invité à prendre un verre chez lui. Son appartement est un superbe deux pièces situé au deuxième étage avec un balcon donnant sur le jardin intérieur. Les arbres jaunis en ce mois de novembre offrent une vue magnifique. Julien me sert un Martini blanc, lui s’ouvre un Coca Light.
-Je suis content de te rencontrer, depuis le temps que l’on chatte sur le site.
-oui j’aurais voulu que ça se fasse plus tôt mais tu sais… beaucoup de boulot ces derniers temps.
-Alors cette fameuse concierge dont je ne connais pas le nom, tu l’as rencontré içi ?.
-Cet été. Au départ je ne l’ai même pas calculé… puis il y a eu le petit incident dont je t’ai raconté.
-L’incident du god. Le commencement de ton calvaire…
Julien rit ,ce qui a pour effet de plisser son crâne rasée.
-C’est sûr j’ai morflé au début mais c’est quelque chose de… comment raconter?… c’est un tel bonheur cette situation !!!.
Je bois mon Martini et je commençe à me sentir chaud. La description qu’il m’en avait faite de cette concierge m’avait emballé, il me faut en savoir davantage.
Julien ne se fait pas prier:
-Elle s’appelle Lopes. Francesca di Lula de Lopes. Petite femme mais des nibards et un cul… A plusieurs reprises elle m’a autorisé à la baiser et crois moi elle est chaud bouillante!. Elle m’a raconté qu’à l’époque du vivant de son mari, elle se débrouillait pour avoir toujours au moins un amant tout du long de son mariage. Du reste c’est l’un d’eux que l’on va rencontrer tout à l’heure. Le malheureux mari était vraiment pas dégourdi de ce côté là, au moins il lui a fait deux enfants…
Je bois ces paroles en même que mon Martini. Ma tête commence à bourdonner et mes oreilles sifflent.
Julien a visiblement comprit mon état. Il vient s’asseoir à côté de moi puis caresse ma jambe. Il me fixe de ses beaux yeux bleus gris. L’on a tôt fait de s’embrasser langue contre langue. Ma bite commence à durcir et devient à l’étroit dans mon pantalon. Heureusement Julien s’empresse de la sortir et il la caresse longuement tout en me tâtant les couilles. L’avantage de l’amour entre personnes de même sexe c’est de posséder naturellement une bonne connaissance du corps de l’autre et donc de ses zones érogènes.
Sa main me caresse les fesses pendant qu’il titille de sa langue mon gland. Je ne connais rien de meilleur que cette sensation. Il enlève son marcel. C’est vrai qu’il a un joli corps fin et musculeux, ses doigts longs et noueux caressent le mien qui n’est pas aussi bien entretenu.
Après cette gâterie Julien me demande de lui prendre les fesses.
Ca tombe bien j’avais pris capote et lubrifiant. Une fois le petit trou de mon partenaire lubrifié je me surprends à rentrer en lui avec facilité. J’y vais doucement, son petit cul est chaud et doux. Il se met à gémir et s’agiter de spasmes. Progressivement j’accélère la cadence. De bons coups de queue qui lui arrachent des râles de jouissance. A ce rythme sa bite toute dressée et dure finit par cracher une bonne quantité de foutre ,telle une fontaine. Moi aussi je finis par venir en jouissant dans la chaleur de son fondement.
En sueur je finis par m’allonger le long du canapé au côté de Julien qui me souffle à l’oreille.
-Quand on la verra ce soir, ne lui dis pas qu’on a commencé sans elle. D’accord?.
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