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[vue sur le net] folle famille part.2

[vue sur le net] folle famille part.2



Soeur : Sophie
Copine de classe : Delphine moi : Yann
Mère de Delphine : Sandra
Père de Delphine : Franck
Mon père : Nicolas
Ma mère : Lina

– – – – – –

La fin de cette année scolaire approche. Enfin fini… Je n’aurai pas réussi à conclure avec Delphine, mais bon, au final rien de dramatique vu la petite affaire que j’entretiens avec ma soeur ces derniers mois…

Sophie et moi avons décidé de passer sous le radar de surveillance de nos parents. De mon côté je suis un peu plus appliqué à l’école, certes je ne suis pas devenu le premier de ma classe et ne le serai probablement jamais, mais mes notes me permettent de passer dans la classe suivante sans trop de problèmes et mes parents ne sont plus sur mon dos. Sophie quant à elle à toujours eu des bonnes notes, c’est plus sont comportement familial qui laissait à désirer… Elle a fini par avoir une chambre moins bordélique -ce qui évite à notre mère d’y mettre son nez- et s’est un peu calmée au niveau vestimentaire. Fini le gothique… J’ai quand même obtenu qu’elle se maquille encore pour moi… C’est évident, quand elle est maquillée outrageusement, avec du noir en quantité, et les paupières de couleurs fluo ça fait bien pute et j’admets que je suis bien stimulé. Cela me motive à la traiter mal pendant nos rapports, je peux l’insulter ou lui faire subir ce que je veux… Nos jeux nous ont permis de découvrir que malgré son côté chieuse très prononcé elle aime quand on la rabaisse. Quand on la maltraite. Elle n’est pas forcément fan de la v******e par contre elle mouille quand par exemple je la réveille en pleine nuit pour la sodomiser… De toute façon je la prends toujours par le cul. Pas de capotes, pas de problème, je peux me vider dans son ventre sans aucun risque… C’est elle qui voulait ça et au final cela me va plutôt bien !

« Yann. Sophie! Venez manger ! » Notre mère nous appelle pour venir à table, bien docile nous descendons tous les deux à la cuisine.
« Bon la fin de l’année est là et j’ai une bonne nouvelle, cette année vu que vous vous êtes bien comporté nous allons partir en vacances un mois à la mer. En plus j’ai une bonne nouvelle, nous partons avec les parents de Delphine. Nous louons une maison avec piscine, vous les enfants vous aurez votre propre accès pour pas que l’on vous embête. On vous fait une grande confiance, alors méritez-la… »

Je suis un peu sous le choc, je savais que mes parents fréquentaient ceux de Delphine, mais je n’ai pas vu ça venir! Voir Delphine en maillot de bain… Je sens une érection se dessiner. Sophie me regarde d’un regard noir, elle sait quels sentiments et envies j’ai à propos de ma camarade de classe… Sophie jalouse… Première nouvelle !

Pendant le reste du repas, nos parents nous décrivent en long et en large où nous allons, ce sera le Lavandou, une petite maison dans l’arrière-pays. Nous avons droit à la démonstration complète. Des vrais voyagistes. Mais mon cerveau focalise sur Delphine… Elle va être seule avec ma soeur et moi… Autant lâcher une chèvre dans un parc rempli de lions… Elle va se faire massacrer la pauvre… Dessert ingurgité ma soeur quitte la table rapidement, visiblement elle ne digère pas. Je n’en reviens pas !

Après avoir fait le fils modèle et débarrassé la table je rejoins Sophie qui est dans ma chambre et, à peine le pied posé sur ma moquette me saute à la gorge littéralement.
– Voilà tu veux en baiser une autre que moi maintenant ! Je ne te suffis plus ! Toutes tes perversités… Tu en veux toujours plus ! Tu es vraiment un connard !
Je n’ai pas le temps d’ouvrir la bouche face à ce déluge verbal qu’elle quitte ma chambre comme une furie pour se réfugier dans sa chambre qu’elle ferme à clef… Bon ce soir c’est ceinture visiblement pour moi.

Je me jette sur mon portable et décide de prendre en amie Delphine sur Facebook, j’ai toujours eu peur de me prendre un râteau virtuel, mais bon cette fois j’ai quand même une sacrée excuse pour passer à l’attaque… Quelques minutes passent et ma requête est acceptée… Elle est en ligne « J’ai appris pour les vacances » me lance-t-elle directement, et d’enchainer « ça me fait vraiment chier »
– Pourquoi ça va être heu… Cool le sud…?
– Arrêtes de rêver, je sais que tu rêves de sortir avec moi, mais bon tu es pas mon genre, je préfère les hommes plus murs et tu es surtout un gamin, un geek. Alors je vais devoir me coltiner toi le geek et ta gothique de soeur pendant un moins, coincée dans un bled paumé… Ça va foutre en l’air un mois de mes vacances.

Je reste scotché devant mon curseur clignotant. Je ne m’attendais vraiment pas à une telle charge. Entre ça et ma soeur qui fait la gueule, j’ai vraiment passé une soirée de merde ! Je jette vite fait un coup d’oeil sur Google Maps où ce que je pensais être les meilleures vacances de ma vie se verra être le théâtre d’un grand désastre estival. Alors que je surfe sur le web, à la recherche d’infos sur les choses qui pourraient occuper mon temps sur place, l’icône de mon application de messagerie instantanée se met à sauter sur un coin de mon écran. C’est ma soeur. Qu’est-ce qu’elle me veut ? Un clic rapide sur l’icône ne m’affiche pas de texte, juste un fichier joint. Un nouveau clic, c’est une photo d’elle, prise de sa Webcam, elle est à quatre pattes sur son lt, les fesses tournées vers la webcam, deux doigts plantés profondément dans son anus. Soudain une ligne de texte s’affiche dessous « Voilà ce que tu rates petit con, tu n’as qu’a te branler en pensant à Delphine, parce que tu n’es pas prêt de revoir mon cul ! »… Je sauvegarde l’image dans un coin de mon disque et coupe l’écran dépité.

Me voilà dans mon lit, écrasé par tout ce qui a été cassé ce soir. Triste. Fatigué je m’endors sans même me masturber… Et ce n’est que le début du cauchemar. À l’école, Delphine ne m’adresse ni la parole et ne me regarde même plus. Quant à ma soeur, elle m’a snobé ce matin et ne réponds pas à mes textos… Les jours et semaines qui nous séparent de la fin de l’année scolaire me semblent interminables et mes dernières notes sont catastrophiques. Parents et profs ne comprennent pas bien ce qui m’arrive. Finalement, mon passage est accepté et la veille des vacances est là. Je prépare mes affaires sans grande envie. Je remplis mon ebook à raz la gueule persuadé que je serai réduit à me faire chier tout l’été. Je remplis aussi mon iPod de toute la musique que je trouve…

Finalement me voilà assis à l’arrière de la voiture de mes parents, Sophie est assise de l’autre côté. Elle a prévu un coussin et dors ou fait semblant je ne sais pas vraiment. Mais bon je m’en fiche et finis par m’endormir également. À la faveur d’un arrêt sur la route, j’ouvre un oeil pour voir ma soeur qui dort, ses jambes se sont allongées vers les miennes, sa jupe plissée est remontée sur ses cuisses. Je devine le début de sa culotte. Un string jaune fluo. Sophie à toujours aimé les sous-vêtements bien flashy et moi aussi… Immédiatement tous ces jours de frustration canalisent une érection que mon pantalon de jogging n’arrive pas à contenir. Un sourire se dessine sur le visage de Sophie. Elle approche son visage de mon oreille et me murmure

-Tu parles en dormant. Je sais que tu fantasmes sur Delphine. Je suis contente que je te fasse toujours de l’effet… Elle s’allonge contre moi, ma main glisse le long de son dos et rejoint ses fesses, chaudes et laiteuses. Sophie a pris un peu de poids ces derniers temps et ce n’est pas pour me déplaire. Ses seins sont plus gros, et ses fesses blanches comme du lait sont devenues parfaitement rondes… Je suis apaisé et pressé d’arriver pour me vider les couilles qui débordent… La nuit tombe alors qu’il ne nous reste qu’une centaine de kilomètres à parcourir. Ma mère dort à l’avant et mon père concentré sur la route écoute de la musique au casque pour ne pas nous réveiller, persuadé que nous dormons à l’arrière. Je sens la main de Sophie qui se met à bouger et qui glisse le long de mon ventre… À la faveur des phares, je vois ses yeux se planter dans les miens alors qu’elle empoigne mon sexe gorgé de sang. Sa main se met à faire des va-et-vient le long tout en serrant fort sa paume. C’est aussi bon que douloureux… Finalement sa tête glisse pour rejoindre sa main. Sa bouche chaude et humide entoure mon gland qui ne demandait que sa. Sa langue glisse le long de mon sexe alors qu’il s’enfonce toujours plus profond dans sa gorge. J’empoigne fermement une touffe de ses cheveux la forçant à rester mon sexe enfoncé dans sa bouche. Elle se force à m’accueillir encore plus profond. Ses lèvres viennent caresser mon pubis et c’est ce moment que choisit mon corps affamé de sexe pour se libérer de cette frustration. Un énorme jet de sperme vient se déverser dans la bouche de Sophie qui s’étouffe et tousse de surprise. Puis un deuxième qui vient remplir sa bouche alors que troisième se termine en filet s’étale sur sa langue et ses lèvres. Je la vois déglutir alors tout ce sperme avec un immense sourire peint sur son visage. Son regard de salope avide se dessine à nouveau sur son visage. Le message est clair pour moi. Les vacances sont sauvées et le chargeur de mon eBook est devenu superflu… Sophie s’endort contre moi. Rassasiée…

Engourdis nous déchargeons la voiture sous la pleine lune. Le ciel étoilé est superbe et on sent le sel marin emplir l’air d’une odeur très caractéristique. Nos parents nous donnent les clés de notre partie de la maison. Delphine et ses parents ne sont pas encore arrivés à destination, au moins une soirée à passer au chaud avec ma soeur… Et cela ne rate pas, à peine la porte se referme sur nos quartiers que Sophie se jette sur moi et m’embrasse goulument, sa langue vient fouiller ma bouche, affamée. Je la repousse un peu histoire de lutter et de lui faire comprendre qu’elle ne peut pas me jeter comme elle l’a fait ces derniers temps. Mais c’est peine perdue. Elle enfonce dans ma bouche un doigt qu’elle venait d’utiliser pour explorer son sexe. Ce gout inimitable me fait perdre toute résistance… Elle se relève alors pour se jeter sur le lit le plus prêt de nous, à quatre pattes, les fesses bien en l’air, elle fait glisser son short en jean, seul sont petit string qui à du mal à cacher ses orifices et le fait qu’elle mouille comme une fontaine reste en place.

– Tu attends quoi pour venir défoncer ta soeurette ? Tu ne vois pas que mon cul réclame un bon gros coup de bite ?
Il ne m’en faut pas plus que ça… Je m’approche d’elle le pas sur, att****s un coussin et lui jette sur le visage.
– Mords là-dedans, je pense que tu vas crier…

Sophie me sourit en coin, et me regarde fixement. Je me retourne vers ses fesses toujours en l’air et sans ménagement pousse son string sur le côté. Je pose mon gland violacé sur son anus, qui ne sait pas ce qui l’attend. Je tiens fermement mon sexe en main et pousse devant ce petit trou qui me résiste… Il ne cède pas… Quel joli muscle… Enfin d’un coup sec j’enfonce mon sexe quelques centimètres plus bas dans son vagin, détrempé et lui arrive un premier cri de surprise, je le retire aussi vite pour revenir pousser dans son cul et cette fois le peu de lubrifiant suffit à le faire céder. Sophie pousse des cris étouffés par l’oreiller qu’elle mord violemment alors que je commence à lui ramoner le cul… Je lui mets aussi quelques claques sur ce gros cul que je possède, la forme de ma main s’imprime sur ses fesses alors que je la fesse toujours plus fort. Je vois des larmes se former au creux de ses yeux pendant que je m’enfonce toujours plus profond en elle. Après plusieurs minutes à la limer comme un sauvage je me retire et laisse son cul ouvert, béant. Elle à voulu jouer avec moi, elle va le regretter…

Je rapproche mon sexe de sa bouche, son visage est rouge et le rimmel mêlé aux larmes qui ont coulé de partout, on dirait un panda. Elle a le souffle court, mais j’enfile mon gland dans sa bouche.
– Sophie nettoie moi avec ta langue. À partir de ce soir et pour toutes les vacances, tu es ma chienne. Ma chose, ma salope. Je vais t’utiliser comme bon me semble. Quand je te dirai de me sucer tu me demanderas si je veux que tu avales ou que je vienne sa ta tronche.
Je me mets à lui ramoner la bouche. Elle pleure de plus belle, mais continue de me sucer avec envie. La voir comme ça soumise m’excite encore plus. Je finis par lui éjaculer à gros traits chaud dans la bouche et elle déglutit, comme la grosse salope qu’elle est…

– Tu sais Yann j’adore quand tu me traites comme une vulgaire pute… Ça m’excite tellement…
– Je sais… Je vais adorer ces vacances, mais toi tu risques d’avoir mal au cul au retour…
– Delphine te plait ?
– Ouais depuis que je suis petit… Ça te gêne ?
– Oui je suis un peu jalouse… Mais bon je pense que je te pardonnerais si jamais tu devais coucher avec que tu penserais à m’inviter à participer …
– Non, mais tu rêves. Delphine me déteste tout simplement !
– Mais quelle conne pourquoi ??
– Elle préfère les types plus vieux, elle se la raconte « adulte »…
– Quelle petite conne prétentieuse, on va lui donner une belle leçon pendant ces vacances…

Nous nous endormons tout les deux, encore le souffle irrégulier de nos ébats et dans les bras l’un de l’autre…

La matinée est joyeuse et nous faisons les idiots avec Sophie dans la piscine. Nos parents sont ravis de nous voir nous chahuter sous le soleil plutôt que de nous tirer encore la gueule… S’ils savaient qu’en fait j’essaye d’enfiler des doigts dans le sexe de Sophie et qu’elle essaye de m’att****r le sexe… Tout ça sous leurs yeux… Finalement vers 10h la voiture de la famille de Delphine fait crisser le gravier de la maison. Nos parents nous font alors sortir de l’eau pour les accueillir… Je m’attache une serviette autour des hanches pour masquer une érection que mon caleçon de bain a cessé de tenter de contenir… Delphine sort de la voiture et son regard glacial me rend flasque instantanément. Visiblement par contre nos parents ont l’air plus que ravis de se voir. Je ne savais pas qu’ils entretenaient une telle relation -bizarre-. Delphine après s’être fait indiquer notre chambre monte sans jeter un regard à ma soeur.

Les parents de Delphine nous lancent :
– Elle a pas arrêté de faire la tête depuis qu’elle sait que nous venons, j’espère quand même que vous allez la faire rire un peu !
– Oh oui, elle va se rappeler de ses vacances. Puis Sophie de me dire « Fais le beau avec la famille et reste là »et de la voir foncer vers notre chambre…

Elles sont restées les deux seules une bonne heure, surement pour faire la conversation, déballer leurs affaires, ou faire des trucs de fille je n’en sais rien. Je vois seulement revenir Sophie avec un grand sourire qui me rejoint au bord de la piscine.
– Tiens j’ai un petit cadeau pour toi !
– De quoi…? Et elle me lance une petite boule rouge
– C’est la culotte qu’elle avait sur la route… Je viens de lui voler, le moins que l’on puisse dire c’est que se petite chatte sent bon ! Pour une rousse, elle casse un peu le mythe… Et visiblement ça te fait effet…

Je jette en catastrophe mon magazine sur mon sexe qui à enflé d’un coup… J’enfonce mon visage dans mes mains et respire une grande bouffée de ce parfum…

– Tu veux que je te suce pendant que tu respires le fond de sa culotte ?
-…
– Allez je vois que tu en meurs d’envie, tu n’auras qu’a fermer les yeux et imaginer que c’est Delphine qui et à genoux devant toi…

Elle me prend par la main et me dirige vers la maison, mais du bruit dans le salon nous ralentit. Sophie passe discrètement la tête par la porte pour votre notre père se faire sucer par Sandra, la mère de Delphine… Visiblement elle à faim vu l’entrain qu’elle y met… Sophie et moi nous nous regardons, choqué de voir cela, mais conscient que c’est juste sexuel, avec un peu de chance notre mère est probablement à quatre pattes quelque part… Il y a longtemps que nous avons fait la distinction du sexe et de l’amour… Nous continuons notre chemin dans la maison, direction la cave, construite sous terre elle sera parfaite pour étouffer nos cris. À peine arrivés en bas des escaliers Sophie me pousse dans le dos et me fais tomber sur le dos… Elle fait glisser mon maillot de bain à mi-cuisse et se jette sur mon sexe. Elle l’enfonce directement au fond de sa bouche alors que je ne suis pas complètement dur afin de le sentir gonfler sur sa langue. À chaque pulsation de mon coeur, mon sexe se gorge un peu plus de sang et elle lutte en s’enfonçant un peu plus mon gland dans sa bouche. Je la sens lutter, étouffer, tousser… Finalement un gros filet de bave s’échappe de sa bouche et elle commence à imprimer un long mouvement de va-et-vient. Elle aspire tellement mon sexe que ses joues se creusent à chaque fois qu’elle relève la tête. Même pas besoin de la culotte de Delphine, ma soeur est trop douée, c’est une déesse. J’ouvre ma main et la culotte roule hors de ma paume sur le sol et je me laisse aller quelques instants avant de me reprendre et de réaliser que Sophie à le dessus sur moi et que ce n’est pas ce que j’ai décidé. Je me redresse sur les coudes, puis je me relève, Sophie est à genoux et n’a pas cessé une seconde de me sucer… Je la regarde alors qu’elle me dévore le gland puis empoigne une grosse touffe de ses cheveux et lui met la tête en arrière… La bouche grande ouverte je donne des grands coups de gland à l’intérieur de ses joues, une grosse bosse lui déformant le visage. Je retire enfin mon gland, toujours en lui maintenant la tête penchée, son regard est suppliant…

– Tu es vraiment qu’une sale petite pute. MA petite pute… Et tu sais comment on traite ce genre de fille…?
– Je…
Un grand jet doré lui coupe la parole… Un jet de pisse chaude s’abat sur son visage… Elle essaye de se retirer, mais je lui tiens fermement les cheveux « Bois sale chienne » et de lui secouer un peu la tête. Alors je la vois ouvrir la bouche en grand, des flots d’urine ruisselant sur ses seins, se cheveux collés sur la peau…

-Tu es vraiment un sal…
Une gifle
– Tu as quelque chose à dire ? Chienne ?
Et de lui jeter fasse contre terre, le visage dans une flaque de pisse… Baisse ta culotte et doigte toi, fais-moi bander !
Sophie commence alors à se caresser les fesses, les pétries, les écartes, je vois sa chatte dégouliner de miel, son petit anus se contracter alors qu’elle s’écarte en grand le cul à ma vue… Elle finit enfin par s’enfiler des doigts dans ses deux petits trous. Un puis deux et enfin trois qui passent de l’un à l’autre… Je me caresse au-dessus de ses fesses alors qu’elle essaye de se faire jouir comme elle peut. J’enfile alors deux doigts dans son anus chaud et serré puis les fais aller et venir en elle. Le manque de lubrifiant rend cette pénétration douloureuse pour elle ce qui m’excite encore plus… Je finis par éjaculer un gros paquet de sperme dans ma main qu’elle lape comme une petite chienne.

Elle finit par se relever et me lancer.
– J’adore quand tu me traites comme ça… Mais tu restes mon petit frère et me pousses en arrière. Le dernier dans la piscine est puni ce soir !
Elle part en courant dans la maison, je la poursuis du mieux que je peux, mais plus grande que moi la distance entre nous grandit inexorablement. Arrivée au bord de la piscine et pour ne pas trop montrer son état elle plonge d’un coup dans les eaux bleues… Puis quelques poignées de seconde plus tard, je m’écrase à mon tour dans l’eau ou nous chahutons, comme d’habitude.

Essoufflés, appuyés au bord de la piscine alors que Sophie m’a coulé plusieurs fois de suite mon oeil est attiré par les chaises longues ou Sandra se fait dorer sur le ventre au soleil. Le bas de son bikini est tiré dans sa raie des fesses pour bien se faire bronzer… Alors que je la mate, Sophie passe près de moi en nageant et me lance :
– Tu ne vas quand même pas fantasmer sur les vieilles ?
– Ta gueule tu es conne quand tu t’y mets…

Et pourtant l’idée est là en train de germer dans ma tête. J’imagine ma langue explorer le moindre petit pli de son anus. Une MILF, ça doit être plutôt cool de se taper une Milf… Une petite demi-heure plus tard alors que je me suis séché au soleil, Sandra pars dans l’appartement se reposer, nos pères et Delphine sont partis en ville un peu plus tôt alors que nous étions introuvables avec ma soeur. Ma mère est partie de son côté faire quelques courses pour le barbecue du soir. Sophie quant à elle dort dans un hamac à l’ombre d’un palmier. Un mois, va falloir agir vite et de toute façon je n’ai rien à perdre… Je décide de rejoindre Sandra dans la maison et de lui faire du chantage sur ce que j’ai vu avec mon père.

Pendant ce temps en ville…

….

– Alors Delphine contente d’être en vacances dans le Sud ?
– Bof c’est mon père qui m’a trainé ici, j’aurai préféré rester chez nous, j’avais prévu pleins de trucs avec des amis et tout tombe à l’eau… Donc pas vraiment en fait…
– Je suis sur que l’on va trouver un moment de t’amuser ! Voilà ton père.
– Delphine, tu veux aller nous chercher des glaces ? Il faut que je parle avec Nicolas
– Pfff…
Et Delphine de s’éloigner…
– Bon alors ? Écoutes ta femme suce toujours aussi bien… Mais j’avoue que j’ai un petit faible pour ta fille, regarde moi ce petit cul qui se dandine sous sa jupette. J’en salive !
– Ouais tu n’es pas le seul, ton fils aussi à le béguin… Tiens faut que je te montre un truc sympa.
Franck sort son smartphone de sa poche et cherche dessus un fichier qu’il débloque à l’aide d’un mot de passe.
– Tiens regarde la, elle s’enfile sa brosse à cheveux… J’ai installé des petites caméras partout dans la salle de bain et sa chambre.
– Et c’est seulement maintenant que tu me montres ça !
– He ho, je trouve que tu ne partages pas beaucoup ta fille Sophie non plus…
– Certes…

Une vidéo se met à défiler sur l’écran du téléphone, Delphine repose un rasoir sur le bord de la baignoire, sa chatte est rasée de près. Elle tend le bras pour att****r une brosse à cheveux dont elle enfile le manche dans sa bouche. Après l’avoir enduit de salive, elle le dirige entre ses petites lèvres qu’elle écarte délicatement de son autre main. Elle fléchit un peu ses jambes sous l’effet dur désir alors qu’elle imprime un mouvement de va-et-vient à la brosse… Elle finit par se retourner et de sa main libre prendre appui sur le mur tout en cambrant toujours plus le dos…

– Vous regardez quoi ?
Nicolas range rapidement le téléphone dans sa poche…
– Rien rien un truc de boulot… Merci pour les glaces ! On va les manger près du port ? Il y a un petit parc pour s’assoir ?
Après quelques minutes de marche, Delphine s’assoit dans l’herbe un peu à l’abri d’un arbre, son père s’assied à côté alors que Nicolas se met en face de Delphine. Les Jambes un peu repliées vers elle on peut apercevoir grâce à un short vraiment trop petit sa petite culotte. Nicolas n’en perd pas une miette. Alors qu’il contemple ce petit bout de tissu, il est sorti de sa rêverie par un doigt de Delphine qui apparait dans son champ de vision. Il se dirige vers un bord de sa culotte et la tire sur le côté pour révéler des petites lèvres roses… Delphine fixe Nicolas droit dans les yeux avec un regard qu’il serait difficile de mal interpréter… Elle finit par enfoncer une phalange en elle et la faire bouger un peu… Puis finit par se lever.

– On se fait un cinéma ? J’en ai un peu marre…
– Tu veux t’enfermer alors qu’il fait si beau ?
– Ouais on à l’après-midi à tuer et il y a un film que je voulais voir. C’est un film de mec avec des explosions et un scénario qui tient sur un timbre-poste. Vous devriez adorer.
Alors que son père lui tourne le dos Delphine plante sont doigt dans la bouche de Nicolas… Et de lui chuchoter :
– Si tu en veux plus…
Nicolas la regarde juste au fond des yeux, un sourire carnassier illumine son visage.
– OK pour le ciné !

Retour à la villa…

Je décide de ne pas laisser trainer les choses et d’attaquer directement Sandra de front.
– Sandra, je peux te parler ?
– Oui Yann dit moi ce qu’il y à ?
– Tu sais je t’aime bien… Et je t’ai vu avec mon père…
Rouge d’un bloc Lina balbutie…
– Tu as vu quoi ?
– Je t’ai vu sucer mon père et je me demande comment ton mari ou ma mère le prendrait…
– Hum. Et quel serait le prix de ton silence… ?
– Que tu me fasses profiter de ton expérience, mais avant tout je voudrais lécher ton gros cul.
– Et bien, tu ne manques pas de culot… Voyons voir si tu as la langue aussi bien pendue.
Sandra se retourne alors et se penche en avant sur la table du salon, d’une main fait glisser son maillot de bain le long de ses jambes. Son anus est magnifiquement sombre et parfaitement plissé. Je me mets à genoux derrière elle et lui lèche son petit trou qui sent l’huile de bronzage… Je la sens qui se tend sous mes coups de langue, visiblement elle aime, et quelques secondes plus tard sa chatte se met également à dégouliner. Je ne résiste pas à accentuer la distance de mes mouvements de langue et fait des aller-retour cette fois entre son anus et son clitoris, me soulant de tous ses gouts délicieux. Un régal. À la faveur d’une reprise de souffle, je remarque Sophie cachée derrière une porte en train de se caresser le sexe comme une folle. Je lui fais un signe du doigt lui indiquant de nous rejoindre et elle ne se fait pas prier pour ça…
– Sandra, tu ne diras rien contre un peu d’aide ?
– Je… De l’aide ?
Sans se redresser de la table, Sophie me rejoint à genoux et se met également à laper ce cul grassouillet de femme mure. Elle lui explore les trous à l’aide de sa langue fine et pointue. Je l’aide en écartant les fesses de Sandra qui se trémousse de plus en plus fort. Je prends un peu de recul pour laisser plus de place à Sophie et me réjouis de la voir le visage dans les fesses d’une autre femme… Finalement Sandra se crispe brutalement et un jet de miel vient s’étaler sur la face de Sophie surprise qui se met à embrasser les fesses de Sandra en récompense…
– Et bien vous deux vous faites une sacrée bande de pervers ! Ne me dites pas que…
– Yann me prends seulement par le cul, comme ça aucun risque…
– Et bien, sacrée famille… Les vacances vont être trop courtes je le sens…
– D’ailleurs en parlant de ça et vu que tu es bien lubrifiée…
Je sors l’énorme érection que de mon maillot de bain, Sophie me l’att**** et le dirige vers les fesses encore ruisselantes d’un mélange salives miel…
– Tu crois que tu vas faire quoi…
Sophie empoigne les cheveux de Sandra et lui plaque le visage sur la table
– Laisse-toi faire… Je suis sûre que tu en meurs d’envie et j’ai trouvé que sous ma langue ton petit trou était plutôt résistant, alors je pense qu’il faut qu’on le dresse un peu…

Je présente mon gland à l’entrée de ce trou sombre et pousse sur mes reins. Il résiste bien, mais il a été tellement lubrifié par nos langues que sa résistance est vaine, mon gland rentre, comme avalé par l’anus… Je continue a pousser sans marquer de temps d’arrêt, pourtant Sandra se met à crier et il est évident que je lui fais mal… Sophie se met alors à écarter les fesses de Sandra à deux mains. Son gros cul m’empêchait de voir ce que je faisais… Elle pose alors sa joue sur les fesses de Sandra et fait couler par paquets des gros filets de bave qui glissent entre les fesses… Nous lubrifiant encore plus.
– Vas-y frérot fait moi crier cette grosse vache ! Elle aime tellement se faire défoncer cette truie ! Quelle grosse salope !

Sophie sait que l’entendre jurer m’excite au plus haut point. Entendre ce petit visage angélique débiter des horreurs pareilles m’excite au plus haut point et prit de frénésie je lime comme un a****l le cul de Lina. À chaque fois que je recule je vois son anus traumatisé et toujours un peu résistant à la sodomie me retinir le sexe et s’étirer hors de ses fesses. Et c’est au moment ou il est le plus dilaté, alors que mon gland se fraye un passage dehors que je me renfonce d’un coup de reins dans son intestin… Après quelques minutes Sophie me dit :
– Si tu voyais cette salope, elle est toute rouge et est couverte de larmes, je pense qu’elle devrait te sucer la bite et avaler pour se faire pardonner d’être une chienne.
– Tu as raison, voyons voir comment elle avale…
Je me retire alors du cul endolori de Sandra qui arrache un nouveau cri et me dirige sexe dressé vers son visage… Elle ouvre la bouche, le souffle court et sanglotante…
– C’était ma premiè…
J’enfonce sans aucun ménagement mon sexe au fond de sa bouche et viens taper mon gland sur sa gorge, créant chez elle un haut-le-coeur. Mais rien ne me fait arrêter mon mouvement, finalement, elle se détend et je sent sa langue s’activer pour me nettoyer le sexe. Avec attention elle s’affaire à n’oublier aucune partie. Elle s’enhardit et me suce de plus en plus fort, aspire encore alors que sa langue s’agite de plus belle. Sophie a collé son visage sur celui de Sandra, joue contre joue, elle tire la langue en espérant recueillir un peu de semence… Et elle me connait bien, je me retire quelques secondes plus tard pour éjaculer de longs traits blancs qui viennent s’aplatir en paquets sur leurs visages. Les yeux, leurs nez et leurs bouches sont couverts de sperme chaud. Haletant, suant je regarde Sophie embrasser Sandra pleine bouche, leur langue se baladant sur leurs visages pour récupérer mon sperme et l’avaler…

– Yann et Sophie, vous êtes vraiment des petits salauds. J’étais encore vierge des fesses ! Quelle idée de me prendre comme ça, si violemment !
– Tu n’as pas aimé ? Demande alors Sophie.
– Si, mais vous auriez été doux ça…
Je lui coupe la parole
– Tais-toi, je suis sur que tu aimes te faire prendre de la sorte, tu trompes ton mari, tu es une chienne et ont te traite comme tel. Maintenant si on allait reprendre nos esprits autour de la piscine ?

Sans même attendre leur réponse, je saisis mes deux complices par la taille et nous dirigent vers la piscine ou j’ai tôt fait de m’endormir dans une chaise longue.
– Ton frère quelle bête ! Je n’ai jamais vu une telle quantité de sperme… Ca fait longtemps que vous deux… ?
– Quelques mois, depuis je n’arrive pas à m’en passer et lui non plus. Il veut tout le temps me lécher ou me sauter. Il aime quand c’est vulgaire et sauvage et j’avoue que je me sens plutôt à l’aise quand je fais la pute pour lui.
– Et ben …

Sandra remet alors ses lunettes de soleil et s’assoupit à son tour à l’ombre des arbres. Sophie quant à elle totalement excité, mais insatisfaite fait glisser une main dans son maillot de bain pour venir caresser son clito. Elle se connait par coeur et il lui faut que quelques minutes pour se faire jouir et s’endormir aussi, bercée par le gout salé dans sa bouche et le son des cigales.

Prendre soin de Delphine

La salle de cinéma est vide comme Delphine s’en doutait. Qui irait s’enfermer dans une salle obscure alors que le soleil est radieux… Personne sauf justement quelqu’un qui cherche l’obscurité. Et c’est bien ce que cherche Delphine, le film à peine commencé depuis un quart d’heure que sa main vient se poser sur l’entrejambe de mon père. Il est tellement surpris qu’il n’ose pas bouger d’un cheveu. La main experte de Delphine ouvre sans aucun bruit la fermeture éclair du pantalon et ses doigts sont accueillis par un corps chaud qui se rigidifie au toucher. À peine à t’elle empoigné le sexe qu’il jaillit hors du pantalon. Delphine entame alors un mouvement de va-et-vient le long du sexe en serrant fortement sa main. Mon père à du mal à se retenir de gémir. Il pense au fait que Delphine n’est qu’une gamine que son fils rêve de se taper, mais ses pensées sont balayées par son appétit sexuel. Le rêve de se taper la mère et la fille ! Un coup d’oeil à son ami Franck et il découvre que celui-ci à la tête penchée en arrière, appuyée sur le fauteuil, les yeux fermés.
– Il n’aura vraiment pas mis long à s’endormir » se dit-il… Et la bête qui l’habite commence à montrer les dents… Mais finalement son oeil est attiré par un petit mouvement dans l’obscurité. L’autre main de Delphine tient le sexe de son père et le branle également !
Surpris et excité à la fois son érection se fait plus violente et son envie lubrique décuple. Franck ouvre alors un oeil coquin en direction de Nicolas.
– Tu n’as pas idée de ses talents… Sa mère c’est une nonne à côté. Je ne sais pas où ces jeunes apprennent des trucs pareils. D’un geste rapide, il enlace Delphine et la retourne sur son siège puis la met à genoux. Mon père fixe ses yeux sur le visage de Franck qui enfonce son visage dans les fesses de sa fille. Le bruit est explicite, il la dévore. Il se laisse aller à la détente alors que la paume de sa main vient se poser sur les cheveux soyeux de Delphine et que la bouche de celle-ci se referme sur son gland turgescent. Des sensations l’envahissent, la honte affronte la volupté. La tête de Delphine imprime un va-et-vient encore plus rapide tandis que Franck se débarrasse de son short. Delphine se relève et s’assied sur son père lui faisant face. Sa poitrine laiteuse de gamine rebondissant sous les coups de reins. Mon père alors se redresse et approche Delphine par-derrière. Elle ne le quitte pas des yeux pendant que son père lui écarte les fesses. Le peu de lumière diffusée par le film fait briller sa petite raie entrevue dans le parc un peu plus tôt. Mais la place est prise pas un autre sexe et qui ne semble pas vouloir s’en aller. La main de Delphine descend alors vers son anus et une phalange entre en elle.
– « Par là » murmure telle en direction de mon père qui ne se laisse pas prier pour pousser son sexe entre ses fesses et c’est surpris qu’il s’enfonce sans résistance en elle. Comme si son cul s’offrait à lui. Pourtant c’est si étroit ! Il sent l’anus de Delphine se contracter et décontracter en rythme autour de sa chair lui tirant un cri qu’il a de la peine à étouffer.
– Franck ta fille…
– Je l’encule depuis longtemps, elle à une technique incroyable ! Ca te dit qu’on lui montre ce qu’il en coute de s’attaquer à deux mâles comme nous ?
– Oh oui, faites-moi ce que vous voulez. Défoncez-moi ! lance Delphine, haletante.
Excités par la voix déjà brisée de Delphine, Franck et Nicolas se mettent en cadence à faire rentrer et sortir leurs deux sexes. Toujours plus vite, toujours plus fort et plus profond. Les deux paires de mains d’hommes écartent au maximum ces petites fesses encore tendres d’une gamine qui ne demande que ça… Delphine est effondrée de jouissance sur son père, comme si elle avait perdu le contrôle de son corps alors que les deux bas ventre à l’unison viennent se cogner à ses fesses.
– Je vais jouir aussi, je crois…
– Pas dans ses fesses, je pense qu’elle à droit à une petite collation…Hein chérie ?
C’est tous les deux au bord de la jouissance qu’ils se retirent du corps de Delphine qui se jette à genoux sur le sol. La bouche grande ouverte et la langue dehors elle astique sauvagement ces deux sexes encore luisants des sécrétions de son corps… Finalement dans un râle commun tout deux se déchargent sur le visage angélique de Delphine. Un visage pur souillé par des grosses quantités de sperme qu’ils poussent à l’aide de leurs glands à l’intérieur de sa bouche…
– Elle avale en plus… Tu m’avais caché ça…!
– Et tu es loin d’avoir tout vu, les vacances sont très loin d’être finies.
– J’adore déjà mon premier jour.

Le soir tout le monde se retrouve autour du barbecue bien fournit, ma mère s’est offert un joli sac à main également, ce qui irrite mon père vu comme on est court sur l’argent, mais visiblement elle à pu charger le barbecue et nos estomacs et se faire plaisir avec l’argent imparti pour aujourd’hui, visiblement elle à aussi ses trucs…

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