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un séjour avec tati Béatrice

un séjour avec tati Béatrice



Histoires vrai.

Un mardi en début de soirée, le téléphone sonne et je reconnais la voix de Tati. On parlait de la famille et de nous, quand je décide de lui lancer une invitation à venir pour le weekend.

– C’est très gentil Seb, mais je viendrais seulement à partir de lundi jusqu’à mardi après-midi.
– Très bien Tati,
– Je vais regarder les horaires de train partant le lundi et je te confirme l’heure d’arrivée, mais que se sera dans l’après-midi. Car j’ai quelque chose à faire absolument lundi matin.
– Ok je t’appelle demain et tu me dis.

Comme convenu elle me rappelle, et par chance je suis rentré du travaille vers 17h, un peu plus tôt que d’habitude.

– Alors tu as pris ton billet de train ?
– Oui, j’arrive à 20h.
– Parfait, je viendrai te chercher à la gare, c’est à 15 minutes de l’appartement.

Je n’ai pas le temps de lui dire quelle me laisse, ça sonnait chez elle. Elle me dit à lundi, et elle raccroche. Surpris par cette conversation si vite abrégée. J’étais déçu car je dormirais seulement une nuit avec Tati. Le jour-j arrive, direction la gare. Je trouve Tati Béatrice qui m’attend déjà à la sortie de la gare. Un simple bisou sur la bouche et direction la voiture. A peine le temps de se dire comment s’est passé la semaine, nous voilà déjà arrivés à l’appartement,

– Tati nous voilà, voici mon appartement.

Je l’aide à poser ces bagages dans l’entrée et je l’emmène faire le tour de l’appartement.

– Tati tu as peut-être soif non ?
– Non merci, Seb.

Je lui montre notre chambre pour cette nuit. Je prends ces petits bagages et lui montre ou elle peut poser ces habilles. Je lui suggère de se changer car nous allons rester là ce soir comme elle est fatigué et quelle doit se mettre allaise. Je me dirige vers le salon. Surpris, je me retourne et découvre Tati Béatrice, en sous-vêtement 2 pièces avec de l’huile de massage, le haut moulant des seins superbes laissant deviner ses tétons, et le bas mettant en valeur ses grosses fesses, les couvrant un peu plus qu’un string le ferait aujourd’hui. Le dos légèrement cambré, une allure de vestale à se pâmer. Je ne peux m’empêcher de la déshabiller du regard, ce dont elle se rend évidemment compte.

– Mon amour, On va faire un petit jeu.
– Oh oui, tata.
– C’est un jeu d’érotisme, ou on doit s’excité le maximum. Allonges toi sur le canapé et dés habille-toi.
– Oui tata.

Je me couche sur le ventre, je sens des gouttes d’huile couler sur mon dos et ses mains commencent à parcourir tout mon corps en faisant comme un massage doux et très sensuel. A la fin cela ressemble plus à des caresses. Je me retourne à sa demande pour qu’elle s’attaque au côté pile de mon corps. Obligé de fermer les yeux, j’ai l’impression de m’offrir totalement à elle. Ses mains glissent divinement sur ma peau, elle pétrit légèrement mes pectoraux, mes cuisses, mon ventre. Elle est là si près de moi, ses seins et son ventre touchent presque mon corps. La bosse qui se dessine dans mon boxer, est trop évidente pour qu’elle ne la voit pas. En fait je surprends son regard fixé sur cette partie de mon anatomie au fur et à mesure qu’elle me prodigue ce qui sont maintenant presque des caresses. Mais à aucun moment elle ne touche mon boxer et donc mon sexe, sans doute afin de créer encore plus d’excitation chez moi. Je suis en pleine dans ces pensées coquines, qu’elle me dit :

– Ça y est mon amour, à toi maintenant, fais-moi un massage.

Elle s’allonge sur le ventre et je commence à parcourir son corps avec mes mains enduites d’huile. Je lui masse un peu la nuque, doucement, je laisse glisser mes mains le long de son dos et sur les côtés en alternant des pressions fermes et des glissades que je cherche à rendre sensuelles. Elle me dit de dégrafer son soutien-gorge pour passer de l’huile et j’étends les 2 bretelles de chaque côté. Je laisse mes mains glisser sur les côtés de ses seins sous ses aisselles. Je devine des seins fermes, que je ne peux pas voir car elle est toujours couchée sur le ventre. Je remarque seulement un léger mouvement de ses reins, elle se cambre un peu et soulève très légèrement ses fesses. Je l’entends murmurer :

– Comme tu as les mains douces.

Je commence maintenant à parcourir ses jambes et ses cuisses. Je fais remonter mes mains le long de ses jambes, et au fur et à mesure je vois qu’elle les écarte lentement tout en soulevant un peu ses fesses. Mes mains peuvent alors naturellement continuer à remonter le long de l’intérieur de ses cuisses, frôler le bord de son tanga et presque atteindre son ventre. Comme elle l’a fait pour moi, je ne touche pas non plus à son tanga, mais je ne peux m’empêcher de l’imaginer cambrée dans la même position, nue, offrant à mon regard ses lèvres et sa vulve entrouverte. Je l’invite à se retourner. Après les bras, le cou, je glisse doucement vers ses seins. Quelle sensation ! Je m’efforce de garder mes doigts juste en lisière du soutien-gorge, mais j’aimerais tellement pouvoir les contempler en totalité et les pétrir. Elle a un très léger soupir, la bouche entrouverte, visiblement s’abandonnant. Je meurs d’envie de soulever sont bas et d’y glisser mes doigts pour découvrir le trésor qui doit s’y cacher. Tout ceci s’est passé sans un mot. Je commençais à comprendre ce que veulent dire érotisme et sensualité et combien le plaisir se situe d’abord dans le cerveau.

– Ça y est, Tati.

Elle s’approche de moi, plaque son corps contre le mien. Nos visages sont si près l’un de l’autre, qu’une envie folle de l’embrasser me prend. Je glisse ma main a maintenant sur son tanga et la paume de ma main se trouve au niveau de son pubis. Je fais glisser un peu plus mes doigts jusqu’à sentir à travers son tanga la fente, tandis que le bout de mon index s’appuie sur le pubis et le reste de l’index touche la zone du clitoris. Maintenant elle garde au contraire les jambes en position et c’est moi qui avec mes doigts fait un mouvement de va et vient de frottement à travers son bas. La porte sonna, je me suis vite habiller.

– Oui ?
– C’est Sabine, je te ramène juste ton Tup.
– J’arrive, part-contre Sab tu ne peux pas rentrer. Je vais me coucher, je suis désolé.
– Pas grave Seb.

Tati profita pour aller à la douche. J’entends la douche couler, je réalise que je n’ai sans doute pas mis de serviette propre dans la salle de bain et j’entre sans bruit, tandis que l’eau coulait je la voyais de profil. Je décide de me d’habillé, quand, elle se retournant pour att****r le savon, elle m’aperçut et je décide de m’approcher et dit doucement :

– Elle est mignonne la Tati, viens que je te savonne le dos.

Je prends le savon et commence à parcourir son dos, descend rapidement sur ses reins puis ses fesses, et très vite je glisse ma main droite pleine de savon entre ses fesses. Elle prit sa main et la dirige vers mon sexe qui était devenu raide comme la justice. Elle me fait pivoter et se met à faire glisser sa main droite sur mon sexe tendu face à elle.

– Tu m’excites, j’ai envie de toi Seb.
– Viens on va dans la chambre Tati.

Ses yeux brillaient en me regardant fixement dans les miens. Une fois sorti de la douche nous passons dans la chambre.

– Chut, Seb ne dit rien, le jeu n’est pas fini.

Elle pétrit mon corps, mes muscles, qu’elle masse et étire, comme pour mieux s’en imprégner. Elle descend le long de mon ventre et s’arrête juste au-dessus du pubis en évitant de toucher mon sexe qui est devenu plus dur et plus tendu que jamais. A l’évidence elle fait durer l’attente pour exacerber mon désir au maximum. Elle me retourne sur le ventre et commence à m’embrasser tendrement sur la nuque dans le cou. La pointe de sa langue dans mon oreille, me fait frissonner. Elle est couchée sur moi, s’appuie de tout le poids de son corps et je sens le contact de ses seins dans mon dos et de son ventre qui pèse sur mes fesses. La voilà à califourchon sur mon dos et je devine qu’elle doit être épilée, car je sens un contact très doux là où normalement ce serait un peu plus piquant avec des poils. Elle continue à pétrir mon corps jusqu’au moment où elle se relève et va se placer au niveau de mes pieds. Lentement elle écarte mes jambes tendues, remonte peu à peu des mollets vers mes cuisses, qu’elle veut écarter davantage. Doucement, en me tirant par les hanches, elle me fait comprendre que je dois me cambrer, relever mes fesses pour pouvoir écarter davantage mes cuisses et permettre à ses mains de remonter. J’ai l’impression d’être dans la position d’une femme en levrette. Elle pétrit, embrasse mes fesses, fais glisser sa langue mouillée dans la raie entre mes fesses, sans jamais toucher mon sexe, ni mes bourses. Heureusement, sinon je pense que j’exploserais au premier toucher. Elle doit sans doute imaginer mon sexe pénétrant sa vulve qui serait en dessous et donc visualiser ce que serait notre acte d’amour vu par un tiers posté derrière nous. Mon désir est extrême et elle doit le sentir, vu que je commence à faire onduler mes reins en écartant mes fesses pour qu’elle voit bien tout. Soudain elle me retourne, se glisse à califourchon sur mon ventre, suffisamment en avant de mon sexe tendu pour ne pas le toucher. Je la découvre enfin superbe, cambrée les bras légèrement écartés de chaque côté du corps pour bien faire remonter ses seins au galbe affolant. Ses yeux brûlent de désir et dans un souffle elle me dit :

– Prends-moi, prends mon corps.

Elle ferme les yeux et je commence à caresser ce corps tellement désirable, à pétrir ses seins, pincer doucement ses tétons qui deviennent durs de par l’excitation. Je parcours son dos, ses hanches et je commence à deviner son pubis et sa vulve toute lisse. Je ne vois pas encore ses lèvres puisqu’elle est à califourchon sur mon ventre. Je la tire en avant vers moi, la force à se pencher jusqu’à att****r sa bouche avec la mienne et nous abandonner dans un baiser qui semble durer une éternité. Je mordille doucement le lobe de son oreille et la couvre de baisers coquins sur sa nuque. Je sens son corps qui frissonne, sa peau devient plus chaude, des gouttes de transpiration commencent à apparaître dans son cou, puis sur ses seins. C’est moi qui ai pris l’initiative maintenant, et au fond c’est ce qu’elle devait chercher pour se sentir pleinement femme, s’offrant totalement sans retenue. Je la fais se retourner, moi toujours allongé sur le dos et elle maintenant à califourchon, mais me tournant le dos. Un début de 69 en quelque sorte. Elle reste cambrée un petit moment le temps que je presse bien ses seins et puisse glisser mes mains le long de ses hanches jusqu’à atteindre ses fesses que je commence à écarter très doucement. En tirant ses cuisses légèrement vers l’arrière elle comprend spontanément que je veux l’amener dans la position de la levrette et offrir à mon regard son sexe sans aucune pudeur. Elle reste comme cela suffisamment redressée pour ne pas pouvoir encore toucher mon sexe, elle attend que je la guide. Son sexe est maintenant à 15 ou 20 cm de mes yeux. J’effleure avec mes doigts le pourtour complètement lisse, extraordinairement doux de cette chatte, en tournant doucement depuis le pubis, les grandes lèvres jusqu’à la paroi entre l’anus et la vulve. Le spectacle est sublime. Lentement avec mes doigts j’écarte les grandes lèvres et voit comme une fleur qui laisse ouvrir ses pétales. Les lèvres sont toutes mouillées et laissent juste une ouverture sur sa vulve à l’évidence toute humide. Le clitoris est visible caché sous son petit capuchon. Tati est toujours immobile, elle ne sait pas ce que je vais faire ensuite, mais je sens des petits tremblements de son corps et une respiration un peu hachée, trahissant la montée du désir. Je mouille mon doigt et effleure la hampe du clitoris en le massant doucement par petits cercles et en prenant soin de le décalotter progressivement. Elle gémit un peu, se cambre et là je l’attire un peu plus vers moi pour commencer à explorer toute son intimité avec ma langue. J’aspire son clitoris entre mes lèvres, laisse glisser ma langue sur tout le pourtour de ses petites lèvres pour finir par pénétrer, avec ma langue, sa vulve que je sens s’ouvrir petit à petit et devenir de plus en plus humide. J’entends :

– Ah chéri continues, je t’en supplie ne t’arrêtes pas.

Et en même temps elle se cambre davantage et s’appuie un peu plus sur mon visage pour que ma langue puisse la pénétrer le plus loin possible. J’entends sa respiration qui s’accélère, son corps frémit, j’ai juste le temps de la soulever un peu pour dégager ma bouche et lui dire :

– Viens, donnes-moi ton corps tati.

Je replonge ma langue et accélère le mouvement quelques secondes au bout desquelles je sens avec le bout de ma langue les contractions de son vagin, un liquide chaud qui vient soudain dans ma bouche, au même rythme que les spasmes désordonnés de tout son corps et de ce feulement si typique de l’orgasme féminin. Elle vient de jouir. J’arrête d’agiter ma langue, car je sais que la vulve est devenue très sensible, et je la soulève légèrement pour reprendre ma respiration. Je la sens heureuse, je la fais basculer doucement sur le côté, puis allonger, et viens me serrer contre elle, continuant à caresser ses seins, son ventre pendant que je l’embrasse dans le cou. Elle gémit doucement, je me redresse et vois dans ses yeux, un rayonnement de satisfaction. Tata est radieuse, épanouie. Je continue à la caresser doucement, ma bouche trouve la sienne, nos langues se perdent l’une dans l’autre dans un baiser fougueux. Son corps est brulant. Aussi je prends sa tête doucement entre mes mains, force nos bouches à se détacher, et je la guide lentement sur mon cou, mon thorax. Elle veut s’y attarder, mais je lui pousse un peu plus la tête doucement vers mon ventre. Je n’ai plus besoin de la guider maintenant, elle se dirige toute seule, elle a compris, elle a envie enfin de sentir, de toucher mon membre gonflé de désir.
Elle s’est mise légèrement de coté de sorte que je peux d’une main caresser ses reins, pétrir ses fesses et glisser mes doigts dans cette raie, qui conduit à cette grotte encore toute humide de sa jouissance. Elle prend mon pénis à la base avec deux doigts pour le redresser, tellement il est tendu et plaqué contre mon ventre. Je sens le souffle chaud de sa bouche qui s’approche, puis le contact de sa langue à la racine du pénis. Sa langue remonte lentement tout le long et je lui lance :

– Je te l’offre, il est tout pour toi tati.

Ses lèvres se posent si doucement sur le bout du gland que je les sens à peine. A peine commencent elles à descendre, que le gland se décalotte tout seul, tellement il est gorgé de sang. Le contact de ses lèvres mouillées sur cette peau plus sensible du gland est divin. Elle l’aspire, commence un va et vient d’une douceur incomparable. Sublime, elle le fait avec talent et amour. Mes doigts explorent un peu plus sa vulve trempée. Pendant qu’elle prépare ma verge en l’enfonçant à chaque fois un peu plus loin dans sa bouche si chaude, je joue à aller et venir avec deux doigts dans sa chatte. Elle est de plus en plus lubrifiée, mes doigts glissent tout seuls, je la sens qui s’ouvre un peu plus à chaque fois. Au bout d’un moment l’envie devient trop forte et je la repousse sur le dos en lui disant :

– Viens j’ai envie de te prendre.
– Moi aussi j’allais te le dire.

Elle écarte alors d’elle-même ses cuisses le plus possible, m’offrant le spectacle sublime de sa vulve entrouverte et luisante de sa cyprine. Je suis à genoux, elle voit mon sexe tendu qui se rapproche. Je frotte doucement deux ou trois fois le gland le long de ses lèvres, afin de l’imprégner de cette moiteur, pour qu’il puisse glisser plus facilement au début de la pénétration. En fait il n’y en a pas besoin, tellement sa vulve est déjà mouillée, mais c’est histoire de faire languir tati qui est comme fascinée par ce membre dont elle n’attend qu’une chose, c’est qu’il pénètre.

– Viens chéri prends moi, je t’en supplie baises moi, fais-moi tout ce que tu veux, me dit-elle.

Je pousse doucement le gland en avant. Pas besoin de forcer, les lèvres s’écartent d’elles-mêmes. Je me recule un peu, pour re-pénétrer chaque fois un peu plus loin, ne voulant pas forcer sa vulve et son vagin d’un seul coup au risque de lui faire mal. En fait elle s’offre tellement que je rentre aussi loin que je veux. Je sens ses reins qui commencent à accompagner le mouvement, elle suit mon rythme que j’accélère petit à petit. Elle noue ses jambes autour de mes reins pour être sûre de m’attirer à chaque fois plus profond.

– Vas-y continues, encore, plus fort, t’arrêtes pas, viens baises moi, baises moi fort.

Mes coups de rein sont de plus en plus fort, je sens monter aussi l’envie de jouir chez moi et, juste avant d’atteindre le point de non-retour, c’est elle qui se met à crier son orgasme et à se tordre de plaisir pendant plusieurs secondes. J’arrive à ne pas éjaculer malgré les contractions de son vagin sur mon gland. C’était limite. Je ne bouge plus, tout en restant en elle le temps qu’elle reprenne ses esprits, attend encore quelque seconde, car mon érection est toujours présente et plus que jamais j’ai envie de jouir aussi. Je recommence lentement le va et vient, puis plus vite et à nouveau, je sens à sa respiration de plus en plus saccadée et aux contractions qui débutent de son vagin que son orgasme arrive bientôt à nouveau. Voir ses yeux révulsés, entendre ces cris de plaisir et sentir ce corps qui se tend et se tord dans tous les sens sans contrôle, je ne peux pas résister. J’ai juste le temps de me retirer et je jouis, répandant en plusieurs saccades ce liquide blanchâtre sur ses seins et sur son ventre. Elle a vu l’éjaculation et se penche vite en avant pour prendre mon sexe dans sa bouche espérant sans doute aspirer les dernières gouttes restées encore dans le gland et qu’une petite pression finit par faire sortir. Je prends cela comme un remerciement de lui avoir procuré un orgasme. Mon sexe est encore un peu dur, et je le replonge sans tarder dans son vagin trempé de plaisir, pour ne plus bouger et attendre que ses muscles le chasse progressivement au fur et à mesure qu’il va ramollir. Simultanément je me penche pour l’embrasser pour faire comme si nos deux corps étaient noués l’un dans l’autre, par nos sexes et par nos bouches, mais elle préfère avant récupérer avec son doigt mon sperme qui a giclé sur ses seins et le porter dans sa bouche, le faire tourner plusieurs fois avec sa langue comme pour mieux s’en imprégner et pleinement le déguster avant de finir par l’avaler. C’est seulement après que je peux enfin l’embrasser, nos deux corps restant collés l’un à l’autre pendant de longues minutes, dans un abandon total. Tati me dit :

– Tu aurais pu rester et jouir en moi, il n’y a pas de risque. J’avais tellement envie de m’abandonner totalement dans tes bras, de m’offrir à toi toute entière, plus rien ne comptait. J’avais l’impression d’être dans un autre univers, loin de tout, où il n’y avait plus que toi.

Doucement, tendrement je la serre dans mes bras. Nous restons comme cela, comme sur un nuage un petit moment, comblés l’un et l’autre. Puis elle se dégage lentement puis nous nous sommes endormis.

Le lendemain matin, après notre réveil à 8 heures j’entraîne tati sous la douche. Plus besoin de pudeur, notre nudité ne nous choque plus. C’est un jeu de parcourir tout le corps de l’autre avec les mains pleines de savon, de frotter nos corps qui en fait glissent l’un sur l’autre, de s’enlacer sous cette eau qui ruisselle au-dessus de nous. Nos bouches se trouvent spontanément, et tati sent que ma verge reprend de la vigueur, tandis que mes doigts cherchent à écarter sa fente.

– Tu as encore envie ? Chéri pas maintenant, tu me referas l’amour tout à l’heure, après que j’ai repris des forces.

Chacun essuie l’autre tout en douceur et elle enfile sa chemise de nuit, presque transparente, qu’elle avait laissée à coté de mon lit. Je reste torse nu et remets juste mon boxer. Elle entre dans la cuisine. A contre-jour et je la vois par transparence, nue sous cette chemise de nuit, et sa démarche légèrement chaloupée, volontairement provocante, met encore plus en valeur ces courbes de sa silhouette. Je la trouve sculpturale, tellement érotique et désirable, que je ne peux m’empêcher de m’avancer vers elle les mains tendues, jusqu’à la toucher et laisser glisser mes mains le long de de ses épaules, de ses seins et de ses hanches en les effleurant, comme si je redessinais ces courbes. Je pose mes lèvres derrière sa nuque, pour m’enivrer un peu plus de ces effluves et m’apprête à la serrer dans mes bras. Elle me repousse si gentiment, si doucement.

– Pas maintenant, tout à l’heure.
– Tu veux un Café ou un thé ? Qu’est-ce que tu préfères ?
– Thé s’il te plait.
– Tiens att****s le miel et la confiture, là dans ce placard, pendant que je fais griller du pain.

On a fini de déjeuner. Elle commence à ranger les affaires dans le lave-vaisselle.

– Passes moi les couverts, puis les bols.

Elle les range dans la partie haute où il reste encore de la place. Elle se penche en avant, tire le casier inférieur :

– Passes moi les deux assiettes.

Je lui passe la première en m’approchant derrière elle, et tandis qu’elle est penchée pour la ranger, je lui tends la seconde avant qu’elle se relève en faisant en sorte que mon sexe tendu dans mon boxer, vienne se placer entre ses fesses en repoussant un peu sa chemise de nuit si fine dans la raie de ses fesses. Elle ne se dérobe pas, ferme le lave-vaisselle, se redresse et en se retournant me dit :

– Tu as déjà envie, coquin. Tiens allonges toi sur le canapé et fermes les yeux.

Je ne fais bien sûr pas prier, et je sens qu’elle me pose un morceau de tissu sur les yeux, une serviette sans doute, qu’elle me noue derrière la tête. Elle retire mon boxer et me voilà nu comme un ver allongé sur ce canapé complètement à sa merci. J’entends un vague bruit de tissu, comme si on le froissait, puis un tiroir qu’on ouvre et un objet métallique qu’on prend parmi d’autres dans ce tiroir.
Un frisson d’angoisse m’envahit, ce qu’elle perçoit sans doute. Soudain je sens quelque chose de tiède qui coule sur mon gland et tout le long de mon sexe tendu. Je pousse un petit cri de surprise. Mon sexe se dresse un peu plus. Non cela ne brûle pas, je ne sens pas de sensation désagréable, mais je sens soudain sa langue qui le lèche, sa bouche qui amorce comme un mouvement de succion, sa langue qui visiblement récolte tout ce liquide épais. Mon excitation est au maximum, et sa bouche vient soudain se poser sur la mienne pour y introduire avec sa langue ce que je réalise être du miel, ce même miel qui, il y a quelques minutes, je mangeais sur du pain grillé. A peine ai-je eu le temps de dire :

– Ah c’est bon.
– Écarte un peu tes lèvres pour sortir ta langue.

Je sens à nouveau ce goût de miel posé sur quelque chose à la fois de ferme, comme une petite boule. Je comprends de suite et lèche doucement le mamelon de son sein, l’auréole tout autour qu’elle a aussi enduite de miel. Je suis en train de sucer, d’aspirer ces bouts de seins qui sont tout durs du fait de son excitation, qu’elle enlève mon bandeau et vient plaquer sa bouche contre la mienne et mêler sa langue à la mienne, jusqu’à en perdre le souffle. Elle est complètement nue, ayant enlevé sa chemise de nuit.

– Tu es fabuleuse tati, viens j’ai envie de toi.

Je bande comme un fou, j’ai envie de la prendre, là tout de suite sur ce canapé, d’écarter ses cuisses de fouiller sa vulve avec ma langue avant de plonger mon sexe dans sa fente. Je n’ai pas le temps de mettre mes desseins en œuvre, qu’elle me tire par la main.

– Viens.

Elle part vers la chambre. Elle s’arrête au bord du lit, se retourne et s’allonge sur le dos les bras relevés en arrière, en ouvrant ses cuisses au maximum dans un geste de soumission totale.

– Je me livre à toi chéri, fais tout ce que tu veux de mon corps, il est pour toi, pour toi seul.

Je m’agenouille par terre au bord du lit face à ce corps qui s’abandonne. Elle ferme les yeux, ne bouge plus. Dans cette position à genoux par terre au pied du lit, je n’ai pas besoin de pencher beaucoup la tête pour atteindre ces pétales ouverts qui laissent deviner l’entrée toute humide de cette partie si secrète de son corps. Ma langue et mes doigts se délectent à l’exploration de son intimité. Son clitoris gonflé, je peux le décalotter, le sucer, l’aspirer doucement avec mes lèvres tout en laissant mon index explorer l’intérieur trempé de sa chatte. Les mouvements de son bassin, sa respiration, trahissent la montée progressive du désir en elle. Je continue à laisser glisser ma langue jusqu’en bas des petites lèvres, je relève encore plus ses cuisses pour livrer à mon regard et à ma langue son autre orifice ou il avait un plug. Elle se laisse faire, elle aime visiblement ma langue parcourant le pourtour de son plug, Je retira sont plug et commençant à percer doucement cette ouverture. Elle pousse un petit soupir : de surprise, de frayeur ou de plaisir, je vais le savoir vite. Je suis comme pris d’une envie folle de pousser mon exploration plus loin. Je mouille mon index avec ma langue et commence à exercer une légère pression au centre de l’anus. L’orifice s’ouvre.

– Vas-y doucement si tu veux, c’est bon aussi.

Je renouvelle la lubrification de mon doigt et pénètre un peu plus loin. Je sens que c’est plus facile, qu’elle se laisse faire qu’elle a envie que je la prenne là aussi. Pour l’ouvrir encore plus, j’approche deux doigts de sa bouche entrouverte, les insèrent doucement et sent sa langue qui les humecte de salive. Elle a compris totalement mon désir et se laisse faire. En même temps que mes deux doigts ont élargi le passage et entament un va et vient très doux pour qu’il se détende complètement, je plonge ma langue et fouille ses petites lèvres et son clitoris. Ses gémissements et son corps qui se cambre un peu me font comprendre qu’il est temps que l’organe masculin joue son rôle. Pour faciliter la pénétration, je la fais se retourner et se mettre en levrette très cambrée. Spontanément elle écarte même ses fesses avec ses deux mains, comme pour me dire qu’elle s’offre totalement, comme dans un acte de soumission au mâle dominant. Mon sexe est tendu au maximum, il va falloir que je résiste pour ne pas jouir trop vite. Je le glisse lentement dans sa vulve qui dégouline déjà, puis le plus loin possible en accélérant le rythme. Elle m’accompagne avec un mouvement de reins en parfaite synchronisation. Son corps tremble déjà et je décide de tenter la pénétration dans son anus, maintenant que mon chibre est tout lubrifié. Pas facile, elle se raidit un peu, mais une fois le barrage de l’entrée franchi, son sphincter se détend et là je peux pénétrer dans un puits sans fond. La sensation sur mon sexe est très agréable, car mêlée à ce sentiment de possession totale de ce corps féminin. Elle aime visiblement cela aussi, car elle libère une de ses mains et commence à se masturber le clitoris pendant que je la sodomise. Je me retire et plonge immédiatement dans sa vulve, alors qu’elle continue à se caresser. Elle transpire, elle commence à onduler et à se cambrer.

– Chéri continues, ne t’arrêtes pas, fais-moi jouir je t’en supplie, baises moi, fort, plus fort, encore, ne t’arrêtes pas.

Quelques secondes et elle pousse un cri, suivi d’un râle qui n’en finit plus, accompagné de spasmes qui font vibrer tout son corps. Je me retire et replonge dans son anus, avant qu’il ne se referme. Je garde spontanément des petits mouvements qui maintiennent mon érection.

– Ah chéri tu es fou, fais-moi jouir encore, j’ai envie de toi, donne-moi tout.

Je replonge prestement dans sa vulve que je trouve complètement inondée par sa première jouissance et la pénètre de plus en plus fort. J’ai l’impression de donner des coups de boutoir, mais ce n’est plus un cri, mais presque un hurlement de plaisir qui se déchaine. Je sens comme un flot autour de mon sexe et ne pouvant plus résister je décharge au fond de son vagin toute ma semence, dans un cri rauque qui se mêle au sien. Je m’écroule sur elle, épuisé, le sexe encore planté dans sa vulve, dont je sens que commence à s’écouler le mélange de nos deux jouissances. On reste un long moment, immobiles, comme attachés l’un dans l’autre, le temps que les battements de cœur et notre respiration retrouvent un rythme normal. Je finis par me détacher d’elle, roule sur le côté, elle aussi, chacun allongé sur le dos, nous serrant seulement par la main, comme pour ne pas nous séparer complètement, ivres du plaisir qu’on vient de partager. On s’est enlacé, et je sentais le désir monter à nouveau en moi. Comment résister à un tel appel. Elle aimait mes baisers sur sa nuque, juste derrière l’oreille, pendant qu’elle caressait mon dos, mes reins et mes fesses. Chaque fois que nos lèvres se retrouvaient, c’était un enchevêtrement de nos langues, qui durait jusqu’à perdre haleine. Ses seins n’avaient plus de secret pour mes mains ou ma bouche. Je tissais avec ma langue des cercles rapprochés sur ses auréoles, mordillait doucement les bouts qui se gonflaient, pendant que mes mains alternaient entre effleurement et pétrissage en douceur de ses seins. Elle se cambrait, laissait sa tête osciller sans contrôle, plongée dans l’abandon à ces caresses. Sa main caressait et ou se refermait sur mon sexe en érection. Elle le masturbait doucement, tandis que mes doigts avaient pénétré dans sa chatte encore pleine de la jouissance précédente et que mon pouce frottait la base de son clitoris.

– Oh chéri, je voudrais que tu me fasses jouir uniquement avec mon gode, me dit-elle.
– Tu as ramené un gode ?
– Oui, celui que j’utilise quand tu n’es pas là.
– Mais montres-moi comment tu l’utilise quand tu es toute seule.

Sans hésiter elle cherche sont gode et commence avec son jouet à titiller son clitoris, mouillant de temps en temps son gode en le glissant entre ses petites lèvres. Je la contemple, c’est super excitant car elle me fixe dans les yeux en même temps. Son mouvement s’accélère et je décide de la pénétrer avec son gode un lent mouvement de va et vient. Il glisse sans problème tellement son vagin est lubrifié par son orgasme de tout à l’heure et par l’excitation qui monte en elle en ce moment.

– Ah c’est bon, continue.

Sa respiration devient plus syncopée, elle se cambre, se raidit, son doigt frotte plus vite sur son clitoris et l’orgasme jaillit d’un seul coup. Je continue 10 à 15 secondes, elle est superbe, elle crie se tord de plaisir. Ma bouche trouve la sienne, elle ne réagit presque pas, car elle n’est pas encore complètement revenue elle.

– Chéri c’était fabuleux. A moi de m’occuper de toi maintenant.

Et aussitôt elle se met à genoux à côté de moi et commence à prendre mon sexe avec sa bouche. Elle lèche, suce, aspire, masse tout mon sexe et mes testicules. C’est tellement doux, tellement bien dosé, qu’elle arrive à anticiper mes envies en sentant les réactions de mon sexe dont elle tient la base entre son pouce et son index. Elle m’amène plusieurs fois au bord de l’explosion, mais sait s’arrêter juste avant pour faire durer encore plus le plaisir. 5 ou 6 fois le basculement irréversible a failli se produire, et à chaque fois je ne pouvais m’empêcher de lui crier :

– Arrêtes, si tu continues je vais jouir.

J’avais l’impression d’être un jouet sexuel entre ses mains et sa bouche, mais c’était divin comme supplice. C’est elle qui a choisi le moment de me faire jouir. Mon sperme est sorti en 6 ou 7 giclées, alors que d’habitude c’est plus court. Comme si elle avait voulu tout aspirer cette fois-là. Elle a tout pris dans sa bouche, a continué à sucer un peu mon sexe et puis s’est retournée vers moi pour me montrer comment elle faisait tourner tout ce liquide blanc visqueux avec sa langue dans sa bouche. Elle a avalé le tout devant moi avec un sourire épanoui et a plaqué sa bouche sur la mienne. On est resté au moins 10 minutes sans bouger, exténués d’avoir autant joui depuis se week-end. Il fallait bien se lever, il était bientôt midi et son train était à 13 heures. On s’est douché ensemble dans ma salle de bains, une fois de plus en caressant encore le corps de l’autre avec le savon et la mousse. Mais cette fois elle avait épuisé toutes mes ressources et je n’avais plus d’érection.
Une fois habillé je prends les affaires en vue de partir. Elle arrive peu après. Avant de monter en voiture, je lui donne un dernier baiser.

– J’aurais tellement aimé que tu puisses rester encore, car j’ai passé un moment merveilleux.

Elle n’a pas répondu. Et nous voilà en route vers la gare. Pas besoin que je l’accompagne sur le quai. Un dernier petit baiser et elle disparaît vers les quais. Pendant tout le retour, je n’arrêtais pas de repenser à cette matinée d’amour. Tata Béatrice m’avait fait découvrir un autre monde. Un peu fatigué. Je suis en train de me coucher, il est 21 heures quand le téléphone sonne. Je reconnais tout de suite sa voix si suave.

– Mon jeune amour je suis bien rentré.

Notre conversation se poursuit un peu avec plein de mots doux et on se quitte.

Merci à vous,

Sébastien6893

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