Je suis une petite Nana soumise d’à peine 30 ans. Je suis brune à peau claire, de taille moyenne avec des petits seins bien pointus aux aréoles sombres et tétons érectiles au moindre contact. En amour je suis très passive et j’aime obéir aux ordres de mon maître. Je l’ai rencontré par annonce sur un site de rencontres il y a un an. J’ai été attiré par son autorité. Il cherchait une jeune femme acceptant d’obéir pour satisfaire ses fantasmes. Il promettait humiliation, douleurs et éducation sévère. Ça m’a excitée car ça correspondait à ce dont je rêvais dans mes fantasmes érotiques où je m’imaginais attachée et subissant l’assaut d’hommes sous le regard sévère de mon Maître. Je n’avais jamais aimé les garçons gentils.
Dès notre première rencontre il me fit mettre nue et me demanda de tourner devant lui en écartant mes fesses puis de me coucher à ses pieds en écartant mes jambes et mes lèvres. Quand je fus tout sexe ouvert il me dit « tu t’appelleras Maso » et il me mit un collier en cuir. Il me fit mettre à genou cuisses écartées et il me baisa la bouche en me demandant de baisser les yeux. Il m’a envoyé une grande giclée de sperme au fond de la gorge. Et il m’a dit « maintenant tu es ma soumise, je vais t’apprendre à t’exhiber, tu le feras pour le plaisir de ton Maître ». J’étais bien car je n’avais qu’à obéir.
Lors de notre deuxième rendez-vous il me fit mettre une mini-jupe très courte sans culotte, un peu ras la touffu comme on dit. Puis on alla ensemble nous promener dans un parc public. Il me fit asseoir sur un banc au soleil et il m’a dit quand un homme passe devant toi tu écartes tes cuisses. Lui se tenait à distance et prenait des photos au téléobjectif. Au début j’écartais à peine par timidité mais il m’a engueulé et est même venu me pincer un sein pour que je comprenne plus vite. Alors j’ai vraiment écarté et c’est fou comme une simple touffe de poils peu attirer vite les regards et les propositions de parties de cul dans les fourrés alentour. Du vieux salace au jeune sportif en passant par le père de famille tous sont captivés. Il y a des jeunes papas qui reviennent voir après avoir déposé leurs pitchouns avec maman.
J’ai même eu une proposition d’une grande femme sportive et mûre qui faisait des tours en survêtement. Elle s’est assise sur le banc en face de moi et m’a dit « je t’ai vue en passant tout à l’heure, alors à moi aussi tu vas montrer ta chatte ». J’ai écarté et elle a fixé mon sexe étalé au soleil et qui commençait à couler un peu. Elle avait passé la main dans son pantalon et se caressait. Elle m’a dit caresse toi aussi. J’ai commencé à me masturber mais une famille est arrivée et on a dû arrêter. La femme est venue s’asseoir à côté de moi et m’a dit « j’organise des soirées chez moi pour des amies qui aiment voir de belles filles, donne-moi ton N° de mobile je te ferai une proposition ».
Un autre jour mon Maître m’a emmené en boite, il m’avait complètement épilée et j’étais nue sous une mini-robe très courte. Il m’a dit « ici c’est une boite échangiste on peut se permettre de se faire plaisir sans limites ». Il m’a emmené sur la piste et tout en dansant il a ostensiblement mis sa main entre mes cuisses pour me caresser. Je me sentais bien car je n’avais rien qu’à subir sa main et les regards attentifs du public fixés sur moi. Après m’avoir massé le sexe assez fermement il m’a baissé le haut de ma robe pour découvrir mes seins. Il a continué à danser en me tenant juste par mes tétons qui durcirent et me firent mal. Il en joua en tirant sur mes seins. Quand ils furent bien saillants il se mit derrière moi, releva le bas de ma robe et me mis un doigt dans le vagin tout en continuant à danser. Autour les autres couples s’étaient tous immobilisés pour me détailler de leurs yeux attentifs devenus humides. J’étais bien car j’étais leur chose aussi et je mouillais comme une folle.
Mon Maître m’emmena dans une petite salle privée équipée d’un lit. Il m’enleva ma robe et me dit « là tu baises avec tous ceux qui viennes te voir » et il filtra les entrées en se faisant payer. Il y a eu jusqu’à six hommes autour de moi et je fus prise partout, couverte de jets de sperme. Je fus encore plus excitée quand je vis que deux femmes étaient entrées aussi et qu’elles se masturbaient debout mutuellement en me regardant. En les voyant me mater j’ai eu un orgasme qui comblait ma passivité.
Quelques temps après j’ai eu un coup de fil de la femme rencontrée au parc. Elle me dit « samedi j’organise une soirée lesbienne chez moi, je veux que tu viennes t’exhiber, tu ne seras pas payée mais on te fera jouir ». Mon Maître m’a autorisé à y aller à condition que je lui raconte tout.
Je m’étais faite très belle, douchée, maquillée, épilée, parfumée et très peu vêtue d’une petite robe noire courte et très décolletée. C’était dans une grande maison au milieu d’un parc. Il y avait de belles décapotables garées au pied du perron. C’est une bonne, en tenue de soubrette, jeune et belle qui m’ouvrit en me disant « bienvenue vous êtes attendue, laissez-moi votre sac, je vais vous conduire ». Je suis entrée dans un grand salon ancien. Huit femmes mûres discutaient en buvant du champagne. Deux se tenaient par la taille, deux autres s’embrassaient sur la bouche.
L’hôte me pris par la main, me fit avancer au milieu du groupe, et dit « voici Maso, elle est venue pour notre plaisir, elle va nous régaler les yeux pendant l’apéritif puis vous pourrez l’utiliser à votre guise ». Se tournant vers moi elle me dit doucement « allez salope, monte sur l’estrade et bouge ton cul » puis elle lança la musique et retourna parler à ses amies.
Je fis comme demandé en dansant, en stripteasant avec langueur, en me caressant les seins et la chatte et en finissant pas des poses salaces où je me mettais des doigts dans le cul. Elles continuaient leurs conversations en me regardant régulièrement et en faisant des commentaires qui m’échappaient. Puis la musique s’arrêta et l’hôte pris la parole en disant « qui veut commencer à utiliser cette jolie petite pute ». La plus vieille femme qui semblait avoir une décennie de plus que les autres dit « j’ai le bénéfice de l’âge, viens ici Maso à quatre pattes et suce moi la chatte en t’appliquant bien ». Elle releva sa robe. Elle n’avait pas de culotte comme toutes les autres comme je le vis peu après. Elle était assise dans un grand canapé et entourée d’autres femmes. Elle mit son bassin an avant et écarta les cuisses que ses voisines caressèrent. Elle me prit la tête dans ses mains et imprima le rythme qu’elle souhaitait en accélérant régulièrement et en me disant « plus profond ta langue ». Elle fit durer pour que les autres femmes nous matent bien puis elle eut un orgasme bruyant qui m’arrosa la bouche et le visage. Elle me releva le visage, me regarda en détail et dit « c’est bien Maso lèche toi les lèvres et va te laver ».
Dans les deux heures qui suivirent elles m’ont toutes utilisée à leur guise et je les ai toutes faites jouir sauf l’hôte qui attendait son tour. Elle me fit venir devant elle toujours nue et me dit « tu n’es plus très fraiche, va prendre une douche et reviens que je te baise vraiment ». Quand je suis revenue elle me fit coucher sur le tapis sur le dos et sortit un énorme god double de couloir noire. Il avait deux pénis d’un côté et un seul énorme, nervuré de l’autre. De son côté elle se l’enfila dans le vagin et dans l’anus en utilisant l’extrémité double. Puis elle vint sur moi et me pénétra sans ménagement.
Elle m’a baisé longtemps avec une endurance de sportive entraînée. Ses amies commentaient sa performance et comptaient mes orgasmes qui furent nombreux, bruyants et visibles. A un moment éreinté je la priai d’arrêter mais elle me regarda durement et dit « mais non je n’ai pas encore pris ton cul ». Elle montra un plug nervuré, me dit de me mettre en levrette et me sodomisa en disant « je continue tant que t’a pas joui du cul ma belle ». Je ne fus pas longue à la satisfaire.
Elle me rendit ma robe et en me confiant de nouveau à la bonne elle me dit « je crois qu’on a rempli les conditions de notre accord ».
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