De retour chez-elle, après la discothèque, il devait être 3 heures trente du matin, à l’entrée, sur le garde-robe, j’ai remarqué des vêtements d’hommes, je savais que le mari était là, à attendre le retour de sa femme, en effet, la femme me l’avait confirmé car elle est rentrée dans la chambre à coucher et son mari était là, sur lit, il commençait à lui parler mais la femme lui dit, désolée, je ne suis pas seule, bonne nuit !
Moi qui attendais debout sur le pas de la porte, je ne savais quoi faire, sortir vite de ce appartement ou rester et faire face aux évènements qui allaient suivre, je n’ai pas eu le temps de prendre une décision que la femme rousse réapparait, de la literie sur ses avants bras, elle me fait signe de la suivre, elle ouvre la porte coulissante de la cuisine et on y entre, elle ferma la porte et s’empressa de déballer un fauteuil pour en faire un lit à une place, elle le couvre d’un drap et m’invite à m’allonger, entre temps on entendait le mari qui parlait seul dans la chambre à coucher « « Sie sind nicht menschlich sind, sind Sie Tiere » « Vous êtes des animaux, pas des êtes humains » disait-il à notre attention. J’enlève mes vêtements et je m’allonge sur le fauteuil-lit, comme il n y a pas assez de place pour deux la femme s’était mise en position assise juste à hauteur de mon bas-ventre et elle commençais à me caresser, doucement, les jambes, puis remonte sur mes cuisses, moi à demi somnolant, je sentais ses douces caresses comme dans un rêve érotique, elle posa sa joue gauche sur ma cuisse er commença à jouer de sa douce main avec mon sexe, qui était, déjà, à demi bandé mais qui réagissait avec des soubresauts au contact de sa douce et chaude main, je commençait à avoir chaud et mes sens sensoriels étaient en alerte maximum, à chaque mouvement de sa main sur ma bite, je sentais comme une décharge électrique qui traverse tout mon corps ; on avait complètement le mari qui était dans la chambre, juste, à quelques pas de nous, seul notre plaisir compte ; la femme est maintenant à mes pieds, elle m’a tiré par les jambes, de manière à avoir les pieds posés sur le plancher et mon bassin au bord du fauteuil, toujours assise sur ses fesses, elle commença un fellation, léchant et avalant mon sexe, fait des vas et viens à ma bite dans sa bouche, une de ses main passe sur mon ventre le caresse et joue avec la toison de ma poitrine, n’y tenant plus, je me redresse et je tire en la tenant des deux mains par les avant-bras, elle se mis debout et vient s’allonger sur moi mais je la bascule et c’est moi qui suis sur elle mais avant, j’ai pris sa place où elle était avant, et je lui écartais les jambes, j’ai commençais à lui faires les préliminaires, j’ai commençais par lui lécher les doigts des pieds, qu’elle avait très jolis et mignons, puis doucement et lentement, mes mains, ma bouche er mes lèvres progressent vers ses belles et fermes cuisses d’allemande, je l’entendais gémir sous mes caresses et elle disait «weiter, nicht zu stoppen, es ist sehr gut, » « continue, ne t’arrêtes pas, c’est très bon », je ne suis plus celui qui l’avait prise sauvagement la veille, je suis redevenu très attentionné, j’aime voir ma partenaire jouir sous mes mains, ma bouche et mes lèvres, je tire, aussi, du plaisir de cette manière de faire donc je ne me fais prier, je contenue à la doigter avec deux doigts dans l’anus et le pouce dans la chatte tout en passant ma langue entre les lèvres charnues de son vagin, je lèche et je taquine le clitoris gonflé de plaisir et d’excitation, la femme remue sa croupe en venant au contact des mes doigts et de ma bouche, elle a joui au moins deux fois depuis, je l’ai senti à chaque fois à l’affaissement de tout son corps qui reste quelques secondes inerte et sans aucun mouvement, dans ces moments j’arrête toute activité sur ses parties intimes, jusqu’à ce qu’elle reprenne souffle.
A un moment donné, elle s’est levée et est allée prendre une bouteille d’eau au frigidaire, elle a bu au goulot, toujours nue, je l’ai suivi du regard, j’admirais son magnifique corps aux formes succulentes, tout est sa place, rien ne dépasse, je me suis dis, au fond de moi-même, je rêve ou c’est la réalité ? Quand elle revient, elle me tire vers la réalité, me poussant sur le lit et viens s’installer à califourchon sur moi, elle était très excitée et jouie trois fois, ce qui lui avait donné soif mais pas assez pour sa libido débordante, elle a envie d’être pénétrer, pénétrer au plus profond de son ventre, mon sexe était toujours bandé et très dur, elle n’a pas eu de mal à s’empaler dessus, j’aime cette position, je suis au repos et ça me permet de lui caresser les fesses, lui donner des tapes et même jouer et sucer ses seins, elle montait et descendait doucement sur mon membre, j’aime sentir de cette façon la pression des parois de ses lèvres intimes sur mon sexe qui l’enserrent comme des anneaux mais très doux, à chaque pression je sentais une sensation de béatitude extrême, un plaisir qui n’a pas comparaison, je me suis laissé faire, j’entendais la femme gémir , elle prenait son pied ; à un moment, elle se pencha en arrière et continuait à ahaner, ce qui m’a permis de voir mon sexe entrer et sortir de son vagin mais voilà que je vois les lèvres devant mes yeux et ma bite ma bite qui entre sort d’un autre orifice, oui, je suis dans son anus, c’est pour ça que c’est serré !! A cette vue, tellement excité que je n’ai pu me retenir, j’ai éclaté en elle, dans son anus, elle me regarda et souri d’un sourire qui en dit long, j’ai compris qu’on venait de jouir en même temps.
Je me suis réveillé à 6 heures piles pour me rendre par train à Berlin.
La belle rousse se tenait assise à côté de moi sur une chaise, elle à veillé sur moi car elle avait peur que son mari fou de rage, vienne nous tuer dans notre sommeil. Elle m’avait conduit à la gare et elle retourna chez-elle.
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