Nous sommes un jeune couple, Lila 22 ans et moi, Max 23 ans. Cela fait 4 ans que nous sommes ensemble et tout ce passe pour le mieux dans tous les domaines. Lila est une jolie marocaine de 1.6 m pour 55 kg. Sa chevelure ébène lui descend jusqu’en bas du dos, elle possède de jolis et imposants seins en forme de poire, ainsi qu’un fessier à en faire tomber plus d’un à la renverse. Ses yeux verts clairs contrastent parfaitement avec sa peau mate et ses belles lèvres charnues couleur grenade. Pour ma part, je suis un grand brun de 1.85 pour 80 kg, les yeux verts, bref un physique méditerranéen reflétant fidèlement mes origines italiennes.
J’ai connu Lila à la fac, j’étais en 2ème année de STAPS et elle en 1ère année de droit. Ce fut tout de suite le grand amour. Toujours timide est discrète, mais d’un charme fou qui faisait craquer beaucoup d’étudiants. Plusieurs ce sont cassés les dents sur ma belle, ils étaient trop extravagants pour la plupart. Elle, ne désirait que de la simplicité, de la sincérité, rencontrer un homme sans artifices qui saurait la prendre telle qu’elle était. C’était d’ailleurs ce trait de caractère qui m’avait plût chez elle.
Les années ont passé, durant lesquelles j’ai quitté la fac pour intégrer les rangs de la Police Nationale. Lila quant à elle a décroché sa licence en droit et travaille maintenant comme assistante juridique au Tribunal de Grande Instance de Nanterre. Sur le plan sexuel, nous avions une activité soutenue tout en restant classique. Ma belle aimait la tendresse et la sensualité plus que l’excentricité. Je n’avais pas à me plaindre, nos rapports étaient quotidiens et nous prenions tous les deux un franc plaisir à chaque fois que nous faisions l’amour.
En arrivant au commissariat du 20ème cet après-midi, le major vint me trouver et m’annonça que je pourrai quitter le travail plus tôt. La veille nous étions intervenus sur un homme suspecté d’avoir placé un colis piégé près de l’arc de triomphe, ce qui nous avait mobilisé prêt de 3h supplémentaires. Je quittai donc joyeusement les collègues à 18h et, de bonne humeur, je décidai d’aller acheter un bouquet de roses pour ma chérie.
En arrivant devant l’immeuble où j’habite avec Lila, je découvre une voiture inconnue garée sur notre place de parking réservée. C’est une BMW série 1, intérieur tout en cuir, « Encore un bourgeois qui se pense au-dessus des autres » pensais-je. Je tape le code sur le clavier de la porte d’entrée et voyant une voisine avec son fils en poussette, je décide de prendre les escaliers. Arrivé devant ma porte, j’actionne la poignée lentement pour faire la surprise à ma belle. Je pénètre sans bruit dans l’entrée et n’aperçois pas Lila. Après un rapide coup d’œil dans le salon, je constate sur la table basse deux verres à moitié pleins. Devait-elle recevoir du monde ? Perdu dans mes pensées, des bruits sourds auxquels je n’avais pas prêté attention me ramenèrent à la réalité. Ils venaient de notre chambre. Tremblant légèrement et avec une certaine appréhension, je me dirige le plus silencieusement possible vers la chambre. Une peur glaciale s’insinue en moi à mesure que je m’approche de la porte. Elle est entrebâillée, mais les sons que je perçois ne laissent planer aucun doute. Je me risque alors à jeter un œil à travers cette mince ouverture.
Le choc est puissant, foudroyant. Une vague de chaleur instantanée s’empare de mon corps, je suis pétrifié, mes oreilles bourdonnent. J’ai l’impression que le temps s’est figé, même ma respiration s’est arrêtée. Seuls les battements de mon cœur raisonnent dans ma tête. Cela ne m’aurait pas paru incroyable si mon corps s’était liquéfié tel un glaçon au soleil. Lila est face à moi, les cuisses largement écartées, chevauchant son amant tout en lui tournant le dos. Son sexe gonflé luisant de cyprine dégouline sous le pilonnage incessant de cette verge. Je ne distingue pas le visage de l’homme qui arrache des cris de plaisir à ma femme. Mais ces cuisses sont musclées, à l’instar de ses bras et du corps entier à l’évidence. Lila à les yeux fermés et la tête en arrière, elle bouge son bassin au rythme des vas-et-viens qui se font de plus en plus rapides. Je sens sa jouissance montée quand il survient, imprévisible et bruyant. Un orgasme comme je lui en ai rarement donné. L’homme se retire sous les spasmes qui agitent ma femme, un jet de cyprine éclabousse le sol et les vêtements qui gisent au pied du lit. M. Muscle, une fois l’orage orgasmique passé, soulève Lila et l’allonge sur le dos. Tout en lubrifiant son anus de la mouille abondante, il lui dit :
– Waou tu ne m’avais pas prévenu que tu étais une femme fontaine, ça t’arrive souvent ?
– C’est rare que je jouisse de cette manière, pourtant mon mari s’y prend très bien.
– Tu veux parler de lui ? Eh ben tiens, dis-moi s’il te fait souvent ça !
C’est alors que l’homme enfila d’un seul coup deux doigts dans l’anus de mon épouse. J’étais sidéré, jamais je n’avais eu droit à explorer cette partie de l’intimité de Lila, et là, elle le laissait faire sans rien dire. Une fois le choc de la découverte passé, je me surpris à me caresser le sexe, qui était gonflé et bien dur. Je ne me reconnaissais pas, d’ordinaire jaloux et macho, je prenais un certain plaisir à regarder ma femme jouir dans les bras d’un autre. Lorsqu’il la pénétra par l’anus, Lila émit un cri de douleur, mais bientôt cette plainte se transforma en râles de plaisir. Tout en sodomisant ma belle, l’homme lui triturait le clitoris, ce qui avait pour effet d’intensifier le plaisir de Lila. J’étais moi-même au bord de l’orgasme et je ne tardai pas à éjaculer dans mon boxer en longues giclées brulantes.
– Tu aimes ça sentir ton cul rempli hein Lila ?
– Ohh ouiii j’aime te sentir au fond de moi !! Continue, plus vite, plus fort. Je vais jouir !!!
– Je veux t’entendre crier ton plaisir !! Contracte ton anus tu verras ça sera encore meilleur !
– Ahhhhh ouh ouh ouh ouiiiiiii !!!! C’est bon encule moiiiiiiiii !!!!
Comme la première fois, Lila eu un orgasme très bruyant qui eut pour conséquence un nouveau jet de cyprine. Je distinguais parfaitement M. Muscle, il m’était dans l’ensemble assez semblable bien qu’un peu plus musclé. Il mit ma belle à genou et lui pénétra la bouche de son sexe imposant. Il lui baisait littéralement la bouche qui dégoulinait de salive. Lila se masturbait en même temps qu’elle suçait, léchait, avalait cette queue enduite de sécrétions en tout genre.
– Elle a bon goût ma queue ? Sens moi cette odeur, ça vient de ton petit anus déviergé !!
– Hum j’aime cette forte odeur, ça sent le sexe, ça m’excite énormément !
– Continue de me sucer, va bien jusqu’au bout ! Tu vas avaler mon jus ma petite salope tu as compris ?
– Oui, j’aime quand tu m’insulte, dis-moi des mots crus !
– Tu aimes être insulté petite pute ? Beurette infidèle à son mari, tu aimes être baisée pendant que ton poulet travaille !!
– Humm Humm je suis ta chienne, fais ce que tu veux de moi !
– Arghhh Arghh je jouis !!!! Ahhhhhhhhh !!!
Dans un cri d’extase, l’homme remplit la bouche de Lila de son sperme abondant. Cette dernière avala sans trop de difficulté l’impressionnante quantité de nectar. Je pris alors conscience que je devais m’éclipser si je ne voulais pas être repéré.
La tête pleine d’images des scènes que j’avais vues, je déambulais dans Paris sans vraiment savoir où aller. J’avais surpris celle que j’aime en plein adultère, mais j’avais aimé ça. J’avais ressenti un plaisir immense à voir Lila jouir et réaliser des choses qu’elle n’avait jusque-là, jamais faites. Ma décision était prise, je voulais encore assister à ce genre de spectacle. En rentrant à l’heure habituelle, j’essayai de comporter de façon normale, sans éveiller les soupçons. J’avais envie de ma femme à tel point que lorsqu’elle passa à côté de moi pour débarrasser la table à la fin du diner, je la pris et l’allongeai violemment sur le sofa. Dans une ambiance bestiale qui contrastait incroyablement avec nos habitudes, nous fîmes l’amour sans douceur ni sensualité. Et comme quelques heures auparavant, Lila eu un orgasme déchirant qui éclaboussa le sol de cyprine. Une idée me vint à l’esprit, je mis ma chérie à genou et lui dis :
– Suce moi bien petite chienne, lèche moi bien les couilles !
– M… Mais qu’est ce qui te prend bébé ? Pourquoi est-ce que tu…
– Ta gueule, suce j’ai dit !! Avale mon chibre jusqu’au fond de ta gorge, comme ça !
– Continue de me dire des cochonneries mon cœur … Je suis toute excitée !
– Tu es ma petite pute, et tu fais ce que je dis ! Tu vas boire mon sperme bien chaud !
– Ohhh ouiiii gicle moi dans la bouche !!
– Ahhhhhh je vais jouir, ahhhhhhhhh !!!
C’est à ce moment que je déchargeai une quantité astronomique dans la bouche de Lila, qui ne pût pas tout avaler.
Nous nous écroulâmes l’un sur l’autre. Elle vint se blottir contre moi et me murmura :
– C’était incroyable tout à l’heure, tu ne m’avais jamais fait jouir comme ça mon cœur.
– Je suis content que ça t’ai plu. J’ai pris beaucoup de plaisir également.
– Je t’aime plus que tout.
– Je t’aime aussi, dis-je en repensant à cette femme transformée que j’avais vu baiser dans l’après-midi.
Une chose était sûre, une nouvelle sexualité émergeait entre Lila et moi. Bien que légèrement angoissé sur la question de notre avenir, je positivais en gardant à l’esprit le plaisir qu’on allait en tirer. Je m’endormis en songeant à ce qui nous attendait.
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