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Une vie bien rangée

Une vie bien rangée



– Dis donc, je t’ai encore vue ce matin avec ton petit vieux ! Vous aviez l’air de bien vous amuser, m’a dit mon amie Virginie !
– Bah, il faut bien, lui ai-je répondu ! Il m’a fait visiter l’appartement que je vais habiter !
– Un appartement ! Mazette, m’a répondu Virginie ! Tu n’aurais pas une chambre pour moi ? J’en ai marre de mon studio inconfortable !
– Tu veux que je lui en parle ?
– Si tu fais ça, je passe tes concours à ta place, m’a-t-elle répondu !
Il est vrai que j’avais du mal avec mes études. J’avais trop de soucis en tête pour pouvoir étudier correctement. Ma mère qui m’appelait tout le temps pour me dire que je dois lui trouver de l’argent. Comment avait-elle sue que j’avais un ami fortuné ? J’avais rencontré ce type et il s’était épris de moi. Il aurait pu être son grand-père !
– Il a quel âge, déjà, ton ami, m’a demandé Virginie ?
– Soixante-douze !
– Au moins, tu es sûre que c’est de l’amour platonique, m’a-t-elle répondu !
– Ne crois pas ça ! L’autre jour, j’ai bien vu la belle bosse dans son pantalon !
– Tu le fais bander, m’a encore demandé Virginie ?
– Il m’a tout dit ce qu’il ressent pour moi et tu sais pas ce qu’il veut ?
– Non, raconte !
– Il m’a proposé de l’épouser et en plus, il veut que je lui fasse un enfant !
– Alors, fais-le, a ajouté mon amie ! Comme ça, il te fera sûrement son héritière et tu n’auras plus jamais de besoins d’argent !
– Non, mais ça va pas ? J’ai dix-neuf ans ! Tu me vois avec le gros ventre ?
– Peut-être que ça te fera avoir de plus gros nichons, a-t-elle ajouté en éclatant de rire ? Attends ! Tu es sérieuse ? Il veut vraiment que tu lui fasses un enfant ?
C’était vrai. Mon ami me l’avait demandé plusieurs fois depuis qu’on se connaissait. Je me souviendrais toujours de la fois où il avait voulu que je lui fasse un sourire et après il m’avait demandé de lui monter ma poitrine. Qu’est-ce que je pouvais lui montrer ? J’avais toujours eu l’air d’être un garçon, ne serait-ce ma chevelure et ce qui fait de moi une fille : ma vulve. Il m’avait demandé si je me masturbe et j’avais rougi. Il avait ajouté que même s’il était marié, il avait toujours préféré la masturbation à sa femme qui n’aimait pas le sexe. Je m’étais étonnée qu’il n’ait jamais eu d’enfant et il m’avait répondu que son épouse n’en a jamais voulu parce que ça aurait risqué de déformer son corps.
J’avais raconté ça à mon amie et elle avait eu le toupet de me demander de lui laisser la place auprès de lui. Il m’avait aussi avoué qu’il avait toujours aimé les gros seins et elle pourrait lui plaire avec son quatre-vingt-dix D. Un jour que je me demandais ce que j’allais devenir, j’avais fait l’amour avec elle. Ça avait commencé par un baiser sur les lèvres et ça avait continué par des caresses avant que ça ne devienne vraiment du sexe mais ça n’empêchait pas que j’étais toujours vierge, au contraire. Elle était contente de me dire qu’elle s’était faite sauter une centaine de fois par toujours des garçons différents. Je lui avais répondu qu’elle a une belle santé et elle m’avait répondu que ce n’est pas de sa faute si elle aime la bite et je lui avais conseillé de s’offrir un godemiché et nous avions feuilleté un catalogue qu’on avait trouvé dans sa boîte. Il y en avait un superbe, en caoutchouc rose et qui ressemblait à une vraie bite et je lui avais offert et elle l’avait essayé sur moi et j’avais eu un orgasme. Je pensais que tout était bon à Virginie puis elle m’avait avoué que sur toutes ses conquêtes, la moitié étaient des filles comme nous, des étudiantes de la fac. Elle avait fini par me redonner mon cadeau et je m’en servais de temps en temps. J’imaginais qu’on faisait cela avec un pénis et je l’embrassais et je l’enfonçais dans ma bouche et je me l’étais même enfoncé dans l’anus mais j’étais trop étroite et j’avais eu du mal à l’enfoncer complètement puis je l’avais retiré. Un jour, Virginie m’avait parlé de la sodomie. Je ne voulais pas l’écouter mais elle avait continué sur son élan en me disant que la plupart des garçons ne veulent pas mettre des capotes et qu’elle en a assez de se mettre un diaphragme et elle avait ajouté que la sodomie est la réponse à tous nos problèmes parce qu’en se faisant prendre dans l’anus, on ne risque pas d’être enceintes.
– Dis, avait insisté Virginie, il y a bien une chambre pour moi dans ton futur appartement ? Tu le vois quand ? Demande-lui ! J’en peux plus !
Elle savait être convaincante.
– Embrasse-moi !
J’ai tendu mes lèvres et elle m’a roulé un patin. Par moments, je perdais les pédales.
– Viens, on va baiser ! J’ai envie, a insisté Virginie et je l’ai suivie chez elle et je me suis laissée faire. Elle savait bien s’y prendre et elle ne s’arrêtait qu’après m’avoir fait jouir plusieurs fois ou quand elle se lassait. Un jour, à la fac, un garçon que nous avions repoussé nous avait traitées de gouines.
J’ai revu mon ami quelques jours plus tard. On n’avait jamais de rendez-vous et il surgissait sans prévenir.
– Comment va ma belle chérie, m’a-t-il demandé ?
Je l’avais rencontré la première fois un soir sur la rambla. J’étais venue avec Virginie mais je l’avais perdue de vue. Qu’est-ce qu’il m’avait dit ce soir-là pour m’aborder ? Ah, oui, que je suis la plus belle fille ce soir et ça m’avait fait rougir. Il m’avait offert à boire puis au moment de payer, il m’avait glissé un gros billet dans la main et il m’avait demandé de régler l’addition. Au moment de lui rendre la monnaie, il avait voulu que je garde tout et je l’avais prévenu que je ne couche pas et il m’avait attrapée l’avant bras et il avait dirigé ma main vers son ventre mais il me l’avait lâchée avant qu’il ne soit trop tard en me demandant pardon. Pourquoi lui avais-je alors proposé de voir mes seins ? Pour le provoquer ? J’avais déboutonné mon corsage et j’avais commencé à en écarter les pans pour qu’il constate que je n’avais rien à part mes tout petits mamelons et il m’avait dit de ne pas faire ça et il m’avait tendu un autre gros billet et pour le remercier je l’avais embrassé sur la joue et je lui avais dit qu’il est trop gentil.
Je connaissais une fille à la fac qui se ventait de s’être maquée avec un petit vieux dont elle tirait tout un tas de pognon et je me suis demandé si ce n’était pas lui mais le sien était un gros banquier avec des moustaches et qui était marié.
– Tu es marié, ai-je demandé à mon chevalier servant ?
– Je l’ai été mais elle est morte avant moi, m’avait-il répondu !
Pour cette première rencontre, je m’étais contenté de sa réponse et plus tard, il m’avait raconté que sa femme me ressemblait et qu’il l’avait épousée même si elle ne correspondait pas vraiment à ses rêves. Il avait ajouté qu’elle l’avait quand même rendu heureux. Je lui avais demandé si, pour le sexe… Il m’avait répondu que sa femme s’était toujours laissé faire et il avait ajouté qu’il lui avait fait tout ce qui lui était passé par la tête et je lui avais répondu que je ne me laisserai jamais faire. Et si vous étiez vraiment amoureuse, avait-il ajouté ? Même pas pour ça, lui avais-je répondu ! Moi, je vous ferai tout et je vous ferai même un enfant parce que vous finirez par être amoureuse de moi ! Comment aurait-il pu savoir que sa proposition m’avait fait mouiller ma robe ? Comment aurait-il pu savoir que je n’avais pas mis de culotte ce soir-là et que j’aimais me faire bronzer nue sur le sable ? Je lui avais demandé de ne pas s’affoler vu que ça n’arrivera jamais, nous deux puis je lui avait dit qu’il faut que je rentre et j’avais disparu de sa vue.
Donc, il avait surgi et il m’avait dit qu’il est heureux de pouvoir parler avec moi et je m’étais laissé séduire et j’avais tout déballé, le studio minable où j’habitais et il m’avait répondu qu’il va me trouver quelque chose de mieux et je lui avais dit que je n’aurai jamais les moyens et il avait ajouté que ce n’est pas un problème et il avait aussi ajouté que je n’aurai plus jamais de soucis de ce côté-là et je ne l’avais pas cru. Et voilà qu’il m’emmène visiter un appartement dans une jolie résidence et le seul problème était que c’était au premier étage et sa réflexion m’avait fait rire. Il avait toujours un bon mot, une bonne histoire pour me sortir de ma mélancolie causée par les soucis d’argent. Après l’appartement il m’avait emmené dans la rue commerçante et il m’avait proposé d’aller m’acheter une jolie robe et tout ce qui me plairait et il m’avait donné sa carte de paiement avec le code et je m’étais achetée une robe et des sous-vêtements et il m’avait demandé ce que j’avais acheté. Quand je lui avais parlé du soutien-gorge, il avait ri puis il avait ajouté qu’il espère que j’en aurai bientôt besoin. Je lui avais demandé qu’est-ce qui lui faire dire ça et pour la première fois, il m’avait parlé de lui faire un enfant, parce qu’il n’en a jamais eu et j’avais voulu en savoir plus sur son épouse et il m’avait raconté qu’il avait fini par lui proposer d’essayer avec une femme et après cette première expérience, son épouse était partie avec l’autre femme.
Je me suis installée dans mon nouvel appartement et maintenant, n’ayant plus de loyer à payer, j’ai pu disposer de tout mon argent pour me faire plaisir, d’autant plus que mon ami n’a pas tardé à me verser une rente. Un jour, il m’a dit que je devais m’ennuyer toute seule dans mon grand appartement et j’ai pensé au pire, mais il m’a parlé de Virginie. Comment avait-il su ? Elle est venue s’installer et il mon ami m’a prévenue que si un jour je devais le tromper, il préférerait que ce soit avec elle mais pour moi, c’était juste un petit plaisir, juste comme ça et après, je m’endormais sans penser à mal, tout comme mon amie.
Pourtant, un jour, mon ami nous a surprises et il nous a avoué qu’il nous avait regardées et il a ajouté que ce n’était pas vraiment juste un petit plaisir parce qu’on y avait mis beaucoup d’énergie et j’ai eu honte et j’ai refusé pendant longtemps de recommencer avec Virginie mais elle avait toujours de quoi m’oublier parce qu’elle me racontait ses exploits comme cette fois où elle avait été prise par deux frères, et devant et derrière en même temps et elle m’avait même dit que je devrais essayer ça.
Mon ami ne me parlait plus de lui faire un enfant. Un an plus tard, il a voulu que je l’accompagne et quand j’ai vu que c’était chez un notaire. Celui-ci nous a fait asseoir devant lui et il s’est mis à lire la convention qu’avait signé mon ami qui mettait l’appartement à mon nom, un capital assurant le paiement des taxes puis le notaire a lu la suite, comme quoi je serais héritière de mon ami à condition que je lui fasse un enfant et je ne sais pas pourquoi j’ai répondu qu’il faudra d’abord qu’il m’épouse. De toute façon, je n’avais pas le droit à la parole puisque c’était déjà signé. C’était la première fois depuis longtemps que mon ami me parlait de l’enfant. Il m’a raccompagnée chez moi sans dire un mot et quand j’ai parlé de cette visite à Virginie, elle n’a plus cessé d’essayer de me convaincre et j’ai fini par lui demander si par hasard, elle ne voudrait pas prendre ma place. Elle m’a répondu que c’est impossible parce que je suis la seule pour mon ami.
C’était un drôle de dilemme. Quand j’ai revu mon ami, je lui ai donné mon accord et je l’ai suivi chez lui. Il a commencé par me dire qu’on peut faire ça rapidement et qu’il ne m’en demandera pas plus. Je lui ai répondu que c’est le bon moment et il m’a prise en levrette et j’ai senti pour la première fois un pénis me pénétrer et me faire vibrer puis la semence m’a envahie. Après, nous sommes restés allongés l’un contre l’autre. Je pensais à ce que je venais de faire. J’étais plutôt inquiète et mon ami m’a rassurée en me disant que j’aurai de l’aide pour l’enfant.
– T’imagine ce qu’ils vont dire à la fac, lui ai-je demandé ?
C’était la première fois que je le tutoyais. J’ai demandé si on va vraiment se marier ensemble et il m’a répondu que c’est moi qui décide et je lui ai répondu qu’on fera ça discrètement et il était d’accord. Virginie a été mon témoin et il a pris un ami à lui. La seule personne avec qui j’avais dormi c’était mon amie mais avec lui, je me suis senti plus en sécurité. Je suis resté le lendemain et nous avons recommencé la saillie car c’était plutôt ça. Mon ami me pénétrait et j’attendais que la semence m’envahisse, mais peu à peu, il y a eu plus de tendresse et j’ai eu des orgasmes. Mon ami était très délicat. Le matin, il m’apportait mon déjeuner au lit et je n’avais plus de complexe à m’afficher nue devant lui. Il m’a montré des photos de son épouse et il ne m’avait pas menti parce qu’elle était aussi mince que moi. Je lui ai demandé d’où lui venait cette attirance pour les gros seins. Il m’a répondu que ça vient de sa grand-mère et il m’a montré des photos d’elle, habillée quand même. Je lui ai demandé où se trouve sa femme maintenant et il m’a répondu qu’elle est au cimetière et il m’a emmenée sur sa tombe et j’ai vu qu’elle avait été enterrée avec sa maîtresse parce qu’elles avaient fini par se suicider.
Ne voyant pas revenir mes menstrues, j’ai su que j’étais prise et je l’ai dit à mon mari. J’avais hésité à porter mon alliance. Virginie avait profité de mon absence pour inviter des garçons et j’ai dû remettre de l’ordre pour l’en empêcher. Il y avait deux mois que nous ne nous étions pas revues et elle aurait bien voulu que je lui en laisse la jouissance mais la jouissance c’était ce que je voulais et j’ai recommencé à faire l’amour avec elle. Nous avons fêté les soixante-quinze ans de mon époux tous les trois. A la fin du repas, je leur ai proposé de faire l’amour ensemble et si mon amie a d’abord dit qu’elle préfère les jeunes, elle a fini par céder quand elle a vu la pension que mon mari lui donnait à condition qu’elle ne me quitte jamais et elle s’est accouplée avec lui sous mes yeux et je me suis arrangée pour que la semence s’écoule sur son ventre plutôt que dans son vagin.
Mon gros ventre attirait beaucoup Virginie et je continuais à faire l’amour avec elle mais il faisait aussi beaucoup bander mon mari. Je prenais beaucoup de plaisir à le satisfaire. Un jour, je lui ai demandé de me sodomiser et j’ai reçu sa bite avec plaisir et sa semence a disparu au fond de mon anus. Après la naissance de notre fils, le temps a commencé à filer. Virginie se détournait de moi et mon mari avait plus de mal à bander et je préférais me servir de ma bouche. Donner le sein m’épuisait et je me rendais compte que j’avais mis au monde un goulu si bien que je l’ai nourri au sein jusqu’à l’âge de quatorze mois. Mes seins avaient bien doublé de volume mais deux fois rien, ça ne fait pas grand-chose. Ça ne les empêchait pas d’être très généreux.
Quand j’ai arrêté de donner le sein, j’ai commencé à prendre du poids et curieusement, mes seins se sont décidés à pousser. En un an, j’ai rattrapé Virginie et moi aussi je faisais du quatre-vingt-quinze C. Six mois plus tard, je faisait du bonnet D et j’ai décidé de faire quelque chose et j’ai fait un régime très sévère et j’ai fini par perdre dix kilos mais mes seins n’ont perdu que du poids et ils se sont mis à pendre sur mon torse. Ça amusait beaucoup mon amie. Une bonne s’occupait de mon fils et une autre faisait notre ménage. J’allais voir mon mari de temps en temps pour qu’il tire un coup mais je me servais de plus en plus de ma bouche. Il jouissait dedans et j’aimais bien l’embrasser pour lui faire goûter sa semence mais c’était de moins en moins courant. Nous avons fêté ses quarante ans. Je ne saurais jamais ce qu’il avait pris mais il avait une splendide érection et il a voulu nous prendre toutes les deux, Virginie et moi. Il n’y avait jamais eu de jalousie entre nous, juste la peur qu’elle lui fasse un enfant en secret. Il a commencé par elle et il l’a sodomisée. Moi je m’occupais de maintenir son érection en jouant avec ses couilles. Au bout d’un moment, j’ai protesté que c’est à moi et mon mari m’a sodomisée mais au bout de quelques pompes, il s’est écroulé sur le lit. –
Putain, on l’a tué, a fait Virginie ! Tu es riche !
Mon mari était vraiment mort. Je l’ai enterré dans son caveau avec son épouse et la maîtresse qu’il avait donné à son épouse et qui méritait bien ça. Après avoir touché mon héritage, j’ai vendu l’appartement et j’ai viré Virginie de ma vie. Elle ne comprenait pas et elle m’a dit qu’elle ne pourra jamais se passer de ma chatte et je lui ai répondu que des chattes, il y en a plein d’autres, et même aussi des bites. Je ne l’ai jamais revue.
Quand mon fils a eu dix ans, je suis retournée voir ma mère qui n’a pas voulu comprendre ce que j’avais fait, que je m’étais mariée et que j’avais eu un enfant. On portait des beaux-vêtements mais je ne lui ai pas dit que je suis riche. Elle a fini par me traiter de putain et elle l’a dit à tous ses voisins, si bien que je suis rentré chez moi, je veux dire dans la maison de mon mari.
Je suis retournée voir le notaire et pour m’assurer qu’il s’occupe bien de mon argent, je suis devenue son amante et je lui ai même fait un enfant pour consolider notre entente, ce qui, vu qu’il était marié…
Quand mes enfants sont dans leur collège, je voyage et quand je rencontre quelqu’un qui me plaît, homme ou femme, je les séduits et le moment voulu, je leur dit de me payer. La plupart acceptent parce que je suis devenue une bonne putain. Les autres peuvent me baiser quand même sans me payer. Quant à mes seins, me direz-vous, parfois ils reprennent du poids et parfois ils en perdent. En tout cas ils sont de plus en plus longs et ils dépassent mon nombril mais j’aime bien même si on m’a parfois proposé de les faire bourrer de silicone.
Je vais arrêter ce récit parce que la suite de ma vie, je ne l’ai pas encore vécue. Peut-être que je vais rencontrer un petit jeune qui me plaira, que je lui offrirai un appart et qu’il va m’épouser et que j’en ferai mon héritier. Non, j’en ai déjà deux. Je lui proposerai de me gouiner et il me trouvera une jolie fille, peut-être son ex-fiancée qu’il a quitté pour mon argent ? En tout cas, je la rendrai heureuse et surtout, je la ferai engrosser pour qu’elle puisse avoir la chance d’avoir un enfant dans sa vie.
FIN

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