Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe travesti

Claire

Claire



Il y a quelques années j’ai fait des stages de ski avec un organisme associatif de formation dédiée aux jeunes adultes. C’était bien organisé, intense et parfait pour progresser rapidement. C’était aussi pour tous ces jeunes filles et garçons en pleine forme physique l’occasion de rencontres loin de chez soi et des contraintes habituelles donc dans un espace et un temps de liberté retrouvée. Beaucoup en profitaient, les contacts étant facilités par les soirées organisées sur le lieu d’hébergement.
Je repérais lors de la première soirée une jeune femme timide au physique banal mais pas désagréable. J’avais vu sur les pistes qu’elle skiait pas mal. Je l’ai invitée à danser puis nous avons parlé. Elle n’avait pas de copain et semblait ouverte aux rencontres. La musique nous empêchant de converser je lui proposais d’aller faire un tour. Nous étions dans une ville de la vallée et il faisait doux. Nous nous sommes rapidement posé sur un banc dans un square. Elle ne semblait pas farouche. Je l’ai embrassée et elle m’a donné sa langue. Je l’ai pelotée et elle a défait son soutien-gorge. J’ai voulu la caresser, elle a ouvert son pantalon. Je me suis retrouvé avec une main dans sa culotte, l’autre sur ses tétons et ma langue dans sa bouche. Rapidement l’humidité de son sexe m’a renseigné sur ses dispositions. Nous sommes allés contre un mur dans l’ombre et nous avons fait l’amour debout sans quitter nos vêtements. Je l’ai prise par devant et c’est elle qui s’est retournée face au mur en me disant « je préfère par derrière » en se cambrant très fort. Elle avait visiblement du plaisir sous mes pénétrations et j’ai joui en me retirant et envoyant ma giclée de sperme dans l’herbe. Une fois nos vêtements en place elle se blottit contre moi, m’embrassa de nouveau et me dit « c’était bon mais je n’ai pas joui ». Nous retournâmes à la fête et nous avons encore dansé un peu avant d’aller dormir chacun dans de son côté les dortoirs n’étant pas mixtes. Elle s’appelait « Claire ».
Le troisième jour j’étais dans mon lit le matin tôt dans un dortoir de 8 places occupées que par des garçons, avec des toilettes dédiées. Je suis allé pisser et dans la salle de bain j’ai trouvé une culotte et des vêtements de nana éparpillés. Le soutien-gorge était même dans l’évier et la culotte posée sur la chasse d’eau n’était pas nette. Surpris je retournai me coucher et en somnolant j’entendis des petits grincements rythmés. Je cherchais l’origine et vis dans un lit proche le copain qui était en train de baiser une nana sous lui complètement à poil et les cuisses bien ouvertes. Elle était jeune, fine et jolie et je regardais sans en avoir l’air ce spectacle matinal et gratuit. Tous les autres occupants dormaient encore éreintés par les journées de ski. Ils baisèrent longtemps en essayant de minimiser le bruit. Ils finirent par tomber l’un sur l’autre après s’être agités un peu plus.
Après le petit déjeuner je croisais la jeune femme et lui demandais si elle avait bien dormi. Elle me répondit « oui et j’ai bien aimé quand tu nous matais tout à l’heure, ça a augmenté mon plaisir, j’aime bien faire un peu la salope en vacances, bonne journée ». Tout était dit.
J’avais beaucoup progressé en technique de descente durant la semaine grâce aux compétences d’une monitrice et à l’effectif du groupe qui se réduisait de jour en jour par épuisement des stagiaires qui manquaient de condition ou dormaient assez peu.
Le vendredi soir nous avions une dernière soirée et la jeune- femme du premier jour, Claire, m’invita à danser. Nous avons parlé de nos progrès, du plaisir de skier dans de bonnes conditions, de la météo favorable. La soirée avançant elle me dit « j’ai réservé une chambre à l’hôtel à côté, je t’invite car tu me dois un orgasme ». Ainsi présenté je ne pouvais pas refuser et nous y allâmes rapidement.
Ce fût chaud car elle avait très envie de contacts. Nous avons flirté un moment en préliminaires où je l’ai caressée debout en prenant possession de son anus avec une main et de sa chatte avec l’autre. Elle se tortilla au fur et à mesure que son plaisir augmentait. Elle se caressait les seins et se pinçait les tétons sans façons. Puis elle s’écarta et me dit « c’est très bon mais maintenant c’est moi qui commande ; couche toi sur le lit ». Elle monta sur moi s’empala sur mon pénis et me dit « tu ne bouges pas ; tu me laisses faire ». C’est elle qui mena la danse à son rythme par de savants mouvements de rotation du bassin. Je dus me maîtriser pour arriver à ralentir la montée de mon plaisir. Au bout d’un moment elle se pencha et me dit avec autorité « touche moi les seins et pince mes tétons ». Elle continua à monter et descendre pour profiter de toute la longueur de mon érection. Elle se dégageait complètement et forçait à nouveau mon gland pour écarter ses lèvres et replonger jusqu’au contact de mon pubis qu’elle frappait de plus en plus fort avec son clitoris. Elle se pencha un peu plus et dit tout doucement « maintenant met moi un doigt dans le cul s’il te plait ». Elle partit dans un orgasme bruyant qui la fit trembler de tout son corps quand je lui enfonçai deux doigts dans l’anus. Elle hurla de plaisir s’écroula un moment sur mon torse.
Quand elle reprit ses esprits elle me suça pour me faire jouir à mon tour et but tout mon sperme. Puis elle m’embrassa et me glissa dans l’oreille « tu vois quand tu veux ». Nous avons repris le train du retour dans la même gare mais chacun sur son quai car nous allions dans des directions opposées. Nous ne nous sommes jamais revus.

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