Stéphanie est au volant du petit 4×4. Nous avons fait quelques courses, au village, 5 km plus bas et nous nous dirigeons maintenant vers le petit coin de paradis, dont elle m’a parlé. J’ai juste mis un short par-dessus mon maillot de bain une pièce. Stéphanie est vêtue d’un chemisier largement ouvert et d’un short court, mais très large.
La route n’est pas bien large et très sinueuse.
« Passe ta main dans mon short je n’ai pas de culotte » me dit- elle en relevant le bas du short.
« Non ! Concentre-toi sur la route, ça pourrait être dangereux »
A peine avais-je fini ma phrase qu’à la sortie du virage, nous nous retrouvons nez à nez avec une voiture qui s’était écartée pour éviter deux jeunes randonneuses marchant sur le bas-côté.
Instinctivement je lui att**** le bras et pose mon autre main sur le tableau de bord. Mais elle maitrise parfaitement la situation, freine et serre au maximum à droite. Pas de mal !
Je regarde en arrière les deux randonneuses ont dû avoir très peur elles aussi !
Elle prend un chemin sur la gauche, ça descend de façon abrupte sur 2 ou 3 km. Elle arrête la voiture.
« C’est à cinq minutes à pieds «
Elle prend les deux serviettes et moi le petit sac de course.
L’endroit est vraiment superbe ! De grandes dalles de pierres surplombent d’un mètre un méandre de la rivière. L’érosion a formé une cuvette naturelle, comme une grande piscine ronde. Sur le côté droit, un bosquet au bas de la falaise étend son ombre sur la pierre grise parfaitement lisse.
Stéphanie pose les serviettes en plein soleil se déshabille.
« Je vais me baigner ! Tu viens ? « Elle saute à l’eau, nue.
J’enlève mon short et me dirige vers le bord.
« Ne soit pas ridicule, enlève tout, il n’y a jamais personne, ici «
J’enlève donc mon maillot et viens la rejoindre.
L’eau est fraiche et le premier contact avec ma peau me saisit, mais cela devient vite agréable.
Nous nageons un moment, car il doit y avoir de la profondeur, nous n’avons pas pied.
« Viens suis moi, par là c’est moins profond »
La pierre plonge en pente douce dans la rivière, ce qui nous permet de nous allonger tout en restant dans l’eau.
Nous sommes toutes deux sur le dos côte à côte en appui sur nos coudes, les jambes légèrement écartées.
Elle se penche vers moi et m’embrasse du bout des lèvres, une nouvelle fois, puis m’enjambe et, là, m’embrasse à pleine langue. Un long et tendre baisé.
Elle est assise sur le bas de mes cuisses et de ses grandes mains me masse les seins. Elle se penche ces petits tétons me chatouillent, elle m’embrasse langoureusement.
« Viens ! On va se mettre au soleil ».
Je m’allonge sur le dos, les jambes pliées, ferme les yeux pour savourer les caresses du soleil sur ma peau.
Ses mains se posent sur mes genoux qu’elle écarte.
« Tu sais c’est la première fois que je regarde une chatte comme cela ! c’est beau « .
Elle me caresse l’intérieur des cuisses, que j’ouvre plus largement, passe une main dans ma toison brune comme pour la coiffer de ses doigts. Plusieurs fois de bas en haut.
« Ils sont longs, Je vais me les laisser pousser comme toi «
Je ne dis rien ! Je savoure.
Elle approche son visage de mon entre jambe et je sens son souffle chaud. Je l’entends inspirer à plein poumon, pour me sentir.
J’attends, mais sans impatience qu’elle pose ses lèvres ou sa langue sur ma vulve qui se réchauffe doucement.
Voilà, elle pose ses lèvres, juste à l’entrée de mon vagin pour un long baiser, ses mains posées sur mon ventre ! Qu’elle est douce !
J’allonge mes bras au-dessus de ma tête, afin de sentir la légère brise tiède me caresser. Elle me mange, pince mes lèvres une après l’autre, les aspire. Sa langue parcourt ma fente, s’arrête sur mon clito, tourne autour, puis elle l’aspire lui aussi. Ses mains caressent mes hanches reviennent sur mon ventre. Elle s’applique et j’aime beaucoup.
« Continues, j’aimerais que ça dure «
Elle continue, toujours avec autant de douceur, je gémis doucement. Lorsqu’ elle va pour me pénétrer de ses doigts, je lui dis.
« Attends, j’ai une idée ! Tu n’as pas un petit creux «
Elle me regarde surprise que je lui parle de manger alors qu’elle me broute le minou.
« Ben si ! Si tu veux «
Je vais chercher le sac, en sort la barquette de fraise, en mange une.
« Et moi » dit-elle en ouvrant la bouche.
« Attends » J’en prends une seconde que je tente de faire tenir à l’entrée de mon vagin, mais le fruit ressort. Je l’écrase donc entre le pouce et l’index et recommence. je me remets sur le dos.
« Voilà ! La table est mise »
Alors que j’attends qu’elle vienne gouter à ma recette, elle me dit
» Mais j’ai un gros appétit aujourd’hui «
Puis elle écrase une fraise, comme je l’ai fait, me l’introduit puis une deuxième, troisième, quatrième et enfin cinquième. Elle y met ensuite deux doigts et les remue. Puis vient de sa bouche et sa langue recueillir le jus et la pulpe de fruit dans la coupe qu’elle a remplie .
Elle se redresse. Le bas de son visage est maculé de pulpe rose et tout sourire elle me dit.
« Tu as certainement faim toi aussi »
Elle fouille dans le sac en sort une banane qu’elle épluche, me la tend, vient s’installer au-dessus de moi, repose sa bouche sur mon sexe et l’aspire à nouveau.
Des gouttes perlent sur ces lèvres et lorsque que j’introduis le fruit, celui-ci glisse sans effort ,de petites gouttes tombent sur mon visage.
Je croque avec délicatesse la partie du fruit qui dépasse, elle rapproche son entre jambe de ma bouche, et je déguste avec gourmandise et grande excitation la banane accompagnée de la liqueur abondance que sa chatte sécrète.
J’entends le doux chant que produisent ses sussions et ses coups de langue de plus en plus appuyés. A mon tour, j’aspire la partie ramollie du fruit tout en frottant mon menton sur son clito. Elle ne tarde pas à gémir et je sens qu’elle va jouir. Son souffle s’arrête, Elle s’immobilise ! Je maintiens de mon pouce le bout de banane restant en elle, qui sous l’effet des contractions de son vagin tente de s’échapper et j’accélère mes mouvements de langue sur son clito.
Elle jouit ! Je sens au plus profond de mon ventre l’air que ses poumons expulsent au moment de son orgasme.
J’attends que son corps encore tremblant se relâche et laisse glisser dans ma bouche le petit morceau de fruit écrasé restant.
« Tu n’as pas jouit toi. J’aurais tellement aimé te faire jouir »
« Je n’ai pas eu d’orgasme ma chérie, c’est vrai, pas encore, mais j’ai jouit».
« Tu es toute collante, viens je vais te laver !
Nous retournons nous baigner et chacune fouille vigoureusement de ses doigts l’intimité de l’autre cherchant à éliminer les traces laissées par nos jeux sucrés.
Alors que nous nous enduisons mutuellement de crème solaire, je crois entendre des rires.
« Écoute »
Non ! Rien ! Hormis le chant des cigales.
Puis de nouveau !
C’est bien des rires ! Ça vient de derrière le bosquet, à priori pas très loin !
Stéphanie remet son short, je fais de même. Nous passons de l’autre côté du bosquet et longeons la falaise, l’eau aux genoux.
Un gros rocher arrondi nous bouche la vue sur l’endroit d’où proviennent les rires, déjà nettement plus proches. Mais ce rocher est là à propos, puisqu’il nous permet de nous cacher. En regardant sur la droite, je vois sur une petite plage de galet, deux gros sacs à dos, deux paires de chaussures de rando et des vêtements comme jetés négligemment.
Stéphanie, regarde ce qui se passe à gauche du rocher.
« Alors ! Tu vois quoi «
« Ce doit être les randonneuses de ce matin, elles se baignent et s’embrassent »
« Laisse- moi voir »
Elle me laisse sa place et prend la mienne.
Elles sont toutes deux enlacées, l’eau à la taille, le torse nu. Elles paraissent très jeunes. Une petite aux cheveux longs noirs avec de petits seins pointus, que j’aperçois lorsqu’ils se décollent de ceux de la rousse. L’autre a aussi de longs cheveux, une peau blanche comme du lait et des seins en forme de poire. Elles s’embrassent avec fougue. Je ne vois pas leurs visages.
Elles se tiennent maintenant par la main et se dirigent vers la plage de galet. Au fur et à mesure qu’elles sortent de l’eau, leurs corps se dévoilent. Elles sont toutes deux nues. Je n’en verrais pas plus, elles disparaissent derrière le rocher.
Stéphanie : « Elles sont là ! wouah ! Elles sont belles «.
Visiblement le spectacle lui plait car elle a glissé une main dans son short et se caresse.
Agacée ! Je lui pince un téton ! Mais elle me répond par « Hum… oui….. »
« Suis-moi ! J’ai une idée » me chuchote t’elle et elle rebrousse chemin.
Je profite qu’elle me laisse la bonne place et fais ma voyeuse. Elles sont, tète bêche, la brune au-dessus de la rousse allongée sur le dos à même les galets et se délectent de leurs minous.
« Alors ! Viens ! «
Je quitte à contre cœur mon poste d’observation. Nous revenons sur nos pas.
A peine arrivée, Stéphanie regroupe nos affaires, les place au pied d’un arbre du bosquet et, enlève son short.
« Viens on va faire leurs connaissances « et elle plonge.
Elle ne finit pas de m’étonner ! Je me mets nue et la suis à la nage.
A SUIVRE
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