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Marathon Pelvien

Marathon Pelvien



Jeune étudiant âgé de 21 ans. Je m’étais déniché un emploi dans une salle communautaire. Faisant l’entretiens ménagé quotidiennement et l’animation d’une soirée bingo le dimanche. L’endroit bondé de femmes âgées en cette journée. Comptant en moyenne environ 85 personnes attablées dans la salle. Ajoutant une dame à l’accueil qui s’occupait des billets et des cartes. Ainsi que des accessoires vestimentaires. Une autre travaillant à la cantine vendant du café, des gâteaux aux carottes et des sandwichs. Puis la directrice s’occupant du bon fonctionnement du lieu. Une première soirée terminée faisant entendre ma voix au micro. Faisant dérouler quelques chansons entre les segments morts. Une rencontre avait été prévue cinq jours plus tard. Avec Rolande la directrice à son bureau. Juste pour connaître mes aperçues et mes appréhensions envers ce travail…

Rolande – Alors…Tout c’est bien passé…
Moi – Oui…Très bien…(Remarquant sa forte odeur de parfum)…
Rolande – Les madames ont vraiment appréciées ton animation…En passant…
Moi – Ah…Merci…
Rolande – Les études…Çà va bien…
Moi – Oui…Très bien…
Rolande – Les coûts reliés à ceux ci…Pas trop onéreux…
Moi – Assez…Mais je m’en sors quand même bien…
Rolande – Toujours pas de voiture…
Moi – Non…Toujours pas…
Rolande – Tu vis à la résidence étudiante…
Moi – Oui…À quinze minutes de marches d’ici…
Rolande – Je remarque ta carrure athlétique…Tu fais beaucoup de sport…
Moi – Oui…Des arts martiaux…En général…
Rolande – Ah…Bon…Aimerais-tu faire plus d’argent…
Moi – Oui…Mais…On ne peut pas tout avoir dans la vie…
Rolande – Et si j’arrivais à t’obtenir un meilleur salaire…En retour de quelques faveurs…Accepterais tu…
Moi – Enfin…Des faveurs…Dans quel contexte…
Rolande – T’as pas remarqué à quel point tu as été sollicité à la fin de la soirée de dimanche…
Moi – Oui…Mais…
Rolande – Elles ne parles que de toi depuis ce jour…
Moi – Enfin…Je ne sais pas quoi dire à ce propos…
Rolande – Selon leurs dires…Elles seraient prêtes à te donner 50 dollars pour avoir des relations sexuelles avec toi…Ajoutant que ton salaire minimum sur 18 heures…Passerait à 50 dollars…
Moi – Enfin…Je sais pas trop…On parle de femmes de cinquante ans et plus…
Rolande -T’as couché avec combien de filles jusqu’à présent…
Moi – Quelques unes…Mais…
Rolande – Tu peux le faire combien de fois dans une soirée…
Moi – Je dirais trois fois…Mais…
Rolande – Alors…Pourquoi tu n’acceptes pas…
Moi – Hey…Bien…Une question d’étique…Et si…Il y en avait certaine dans le groupe…Envers qui j’aurais moins d’attirance…
Rolande – Tu seras payé le double…Je jugerai de leurs apparences en temps et lieu…
Moi – Enfin…Peut-être…Tu me laisses le temps d’y penser…
Rolande – 18 fois 50…Çà fait 900 dollars la semaine…Plus…En me disant que tu peux le faire trois fois…Alors trois dames le dimanche…En soirée…Dans une petite chambre aménagée de la salle communautaire…Avec un lit et une douche à ta disposition…La troisième qui sera celle qui te racompagnera chez toi…Le fera dans l’espace qui lui conviendra…
Moi – (Y pensant un court instant)…Enfin…Oui…Si vous voulez…Mais je suis loin d’être un étalon…
Rolande – Çà…Je vais en juger dans les instants…Parce-qu’il va falloir qu’on baise ensemble…Pour ainsi tester la marchandise…Si tu le veux bien…Mon cher ami…
Moi – Déjà…Tout de suite là…Sans préparatif…Je ne l’ai pas fais souvent en passant…
Rolande – Oui…Dès maintenant…Je vais même t’avouer que j’ai la chatte en feu présentement…Fais moi pas trop languir s’il te plaît…

Rolande était une petite dame élégante de 56 ans. Brunette aux yeux bleus avec une silhouette fort agréable à regarder. Un peu plus petite que moi. Mesurant 5 pieds 3 pouces. Portant un pantalon corsaire blanc. Puis un chandail blanc avec des motifs de vagues de couleur bleue. Avec une poitrine de bonne proportion et un intellect distinct. Son mari toujours absent à cause de son travail. Les nombreux besoins affectifs de la madame souvent négligés par celui ci. L’envie de se taper un petit jeune fort présent dans son esprit. Passant alors de son bureau à la chambre désignée envers mes futurs accouplement. La madame qui trémoussait son fessier avec la hâte de se faire pénétrer. Je pouvais déjà sentir l’odeur de sa chatte en chaleur en la suivant derrière…

Rolande – Je veux que tu me fourres fermement…Montre moi de quel bois tu te chauffes…Si tu le veux bien…Jeune loup…

Une fois déshabillé baisant la madame dans le petite lit simple. Quelques léchouilles sur sa chatte velue tout en lui passant deux doigts. Me délectant de sa cyprine chaude et sirupeuse. Pour ensuite l’entreprendre en missionnaire. En l’enfournant de ma tige vivement. Découvrant une femme très expressive au lit s’agrippant ardemment de mon fessier. Fourrant ma première dame âgée avec ses cuisses bien ouvertes. Le lit craquant d’une cadence rythmée. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Découvrant cette cinquantenaire hyper chaude. Totalement soumise à mes intrusions pelviennes. Éjaculant en elle en peu de temps…

Rolande – Une douche…Puis on recommence sous d’autres cieux…Si tu le veux bien…

Investiguant la douche tout près pour ensuite nous rhabiller et nous retrouver dans sa voiture. Stationné dans la pénombre à l’arrière d’une église. Baisant à nouveau dans le véhicule. La madame qui savait bel et bien chevaucher une queue. Appuyant sa grosse poitrine molle contre mon visage durant l’ébat. Faisant vibrer son corps de bas en haut en vitesse. Une vitre de sa portière entrouverte pour se faire entendre au loin. Puis arrivant chez elle baisant comme deux lapins effarouchés. La faisant grimper au rideau d’une intense levrette dans la chambre conjugal. La madame qui citait mon nom à chacune de mes séquences rapides. En s’agrippant fermement de la couverture de son lit. Son fessier bien cambré dans les airs jouissant. Ma hampe sortant et entrant dans sa vulve toujours étroite. Pour venir éclabousser à nouveau sa fleur des semences humides. En poussant un long râle de satisfaction.

Fort satisfaite de mes performances sexuelles. M’affirmant que je pouvais inévitablement le faire trois fois. Nettoyant sa fente d’un mouchoir. Après être venu pour une troisième fois en elle…

Rolande – Hummm…J’ai hâte que tu rencontres mes amies…

Debout contemplant mon corps nu. En essuyant d’un linge mouillée ma verge ramollie imbibé de mouille et de semence. Caressant mon torse imberbe en venant m’embrasser sur la joue. M’affirmant que je sentais royalement bon et que j’étais super bien bâti. Ce qui lui faisait inévitablement courber l’échine. Tout en la faisant mouiller instantanément.

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