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Fiction : Achat de ma première parure (et c

Fiction : Achat de ma première parure (et c



De retour du service militaire, je commençai à travailler dans une boité d’électronique qui m’envoyait souvent en mission à l’étranger. Ces missions me permettaient d’augmenter substantifiquement mon salaire, et me laissaient pas mal de congés entre deux départs.

C’est au cours d’un de ces congés que je m’achetai ma première parure de sous-vêtements féminins. Je n’avais plus recommencé les séances de travestissement depuis mon adolescence, après m’être fait surprendre par ma maman. Comment cela m’est-il revenu en tête, je ne saurais le dire.

Ce jour-là, j’étais allé à Paris, pour me faire une prostituée rue Saint-Denis. Il était près de midi. En descendant la rue, j’avisai une boutique de lingerie féminine. J’admirai subrepticement la devanture, puis une impulsion me fit entrer.Je remarquai un ensemble rouge vif, soutien-gorge, slip et porte-jarretelles. La vendeuse, une belle femme dans sa quarantaine épanouie, en jupe droite et chemisier faussement sage qui laissai entr’apercevoir son soutif blanc, m’accueillit.
– Que puis-je pour vous, jeune homme?

Le rouge aux joues, je lui dis que je voulais offrir une parure à ma femme. Je sortis un petit carnet dans lequel j’avais noté les équivalences de mes mensurations en termes de mesures féminines que j’avais prises dans le catalogue de la Redoute. Je lui montrai la parure en vitrine.
– Je voudrais ça en 90C et slip 40. Et aussi le porte-jarretelles et des bas. Ma femme les a vus et voudrait les mêmes.
– C’ est plutôt pour vous n’est-ce pas?
– Mais enfin… Euh… Je ne…
– N’ayez pas honte, jeune homme… J’ai l’habitude… Au premier coup d’œil, j’ai vu que les tailles vous correspondaient… Et puis, ce genre de modèle est plutôt demandé par des femmes plus mûres. Et enfin vous ne portez pas d’alliance.»
Le feu aux joues, j’inventais en bredouillant une histoire de pari stupide avec une de mes collègues de travail.
– Ne vous mettez pas en peine. Nous allons régler votre problème. D’abord, est-vous sûr de vouloir porter ce genre de parure un peu, comment dire, un peu trop suggestive. Ce n’est pas parce que vous vous travestissez,même temporairement pour un pari, j’ai bien compris, qu’il faut paraître trop… pute! Que diriez-vous plutôt d’une jolie couleur pastel, comme ce parme? Et puis la forme du soutien-gorge ne vous ira pas. Essayez plutôt un modèle en triangle plutôt qu’une corbeille. C’est moins sexy, certes, mais vous aurez plus de facilité pour le dissimuler… ou pour le remplir de prothèses.
Elle me montra le soutif et le slip qui me plurent beaucoup. J’avais dépassé le stade de la protestation.
– Venez, dit-elle en m’entraînant vers le fond de sa boutique. Il faut que vous l’essayiez.

J’allais protester quand elle ajouta:
– Ne craignez rien. Je vais fermer la boutique, vous ne serez pas dérangé. C’est l’heure de toute façon.

Je me laissai faire et me retrouvai dans une cabine d’essayage. Je tirai le rideau, mais elle me tendit une paire de bas fumés.
– Vous saurez les passer? Il ne faudra rien garder sous le soutien-gorge et le porte-jarretelles, pour ne pas fausser l’essayage. Quant au slip, vous me passerez le vôtre, pour que je vérifie avec celui que vous prendrez.

J’étais complètement dépassé par les événements, et je lui obéis sans même protester. Il émanait de cette jolie femme une douce autorité qui me laissait sans défense. Je me dépêchai donc de retirer mes vêtements. Je passai d’abord le soutien-gorge et m’aperçus que les gestes appris lors de mon adolescence étaient toujours là. C’était mon premier PJ, mais il ne me posa pas de problème. J’ôtai mes chaussettes et entrepris de passer les bas comme il faut. J’entendis la vendeuse revenir.
– Je vais entrer dans la cabine pour mesurer votre tour de hanche et définir la taille de slip qu’il vous faudra. Au fait comment vous appelez-vous? Moi c’est Paule. Je peux?
-Euh, deux secondes. Moi c’est Marc.

Je repassai vite fait mon slip pour cacher une virilité qui hésitait entre excitation et défaillance.
-Vous pouvez entrer.

Elle entra dans la cabine un mètre de couturière en main, qu’elle me passa dans le dos pour prendre mes mesures. Je sentis, et mon sexe aussi, ses mains effleurer ma taille, la caresser plutôt. Elle repartit dans le boutique et revint très vite. Une main me tendit un slip par le côté du rideau.
– Passez ça. Quand vous serez prêt, je viendrai vérifier que vos avez bien mis votre parure.

Je retirai mon slip et enfilai la culotte. Je lui dis que j’ avais fini. Alors le rideau s’ouvrit brusquement pour faire apparaître une Paule magnifique, débarrassée de sa jupe et de son chemisier. Elle portait des Dim’Up, et son tanga blanc assorti à son soutif corbeille laissait apercevoir sa toison brune. Elle s’avança avant que je ne puisse réagir (quoique mon sexe, lui, commençait à se dresser).
– Pardonne moi, Marc, je ne peux résister, dit-elle dans un souffle.

Elle se colla à moi. Je sentis l’une de ses mains englober mon appareil génital, pendant que ses lèvres se posaient sur les miennes. Mon sexe gonflait, mes lèvres s’entrouvrirent, et sa langue envahit ma bouche. Je répondis avec fougue à son baiser.
– Me voici rassurée, j’avais peur que tu ne sois pas attiré par les femmes. Mais tu ne devrais pas mettre ton sexe droit dans un slip de femme: mets-le de côté, pour qu’il reste un tant soit peu dedans dans ce genre de situation!

Elle continua de poser ses lèvres sur mon torse, puis descendit sur mon ventre. Elle fit glisser le slip sur mes hanches et mon sexe jaillit pour se retrouver dans sa bouche. Elle entama une superbe fellation. Mais j’étais trop excité, et ne voulant pas jouir tout de suite, je la repoussai. Puis je fis jaillir ses seins opulents mais fermes des bonnets de son soutif, je me mis à en lécher les aréoles et les mamelons qui se mirent à durcir d’excitation. Je baissai les mains pour faire glisser son tanga, tout en me baissant pour embrasser son ventre et sa touffe. Elle poussa un soupir et me dit:
– Bouffe-moi la chatte!

Je levai les yeux vers elle, désemparé. Je n’avais jamais fait ça. J’avais toujours le slip autour des cuisses. Elle aussi. Elle me demanda de lui retirer son slip, et je le fis glisser le long de ses jambes. Puis elle s’assit sur le tabouret de la cabine, les jambes écartées, me donnant une vue imprenable sur sa chatte. Elle avait compris mon ignorance de l’acte. Elle me prit la tête entre ses mains et la guida vers son minou. Je me retrouvai le nez dans sa fente qui exhalait un mélange de parfum et de senteurs plus fortes.
– écarte mes lèvres et lèche avec ta langue. Oui, c’est bien… Remonte un peu, tu vas trouver mon clitoris, tu vois, cette petite excroissance… Lèche! Roule le entre tes lèvres ! OH oui, c’est bon, continue…

Je fis du mieux que je pouvais, et je me rendis compte que j’aimais ça ! Au bout de quelques minutes, elle poussa un cri plus fort que ses encouragement, et une liqueur envahit ma bouche. Elle avait joui.
– Viens en moi maintenant, me dit-elle.

Je fis baisser mon slip à mes chevilles et l’embrassai avant d’introduire d’un seul coup mon sexe dans son vagin lubrifié par sa liqueur. Son sexe était à la fois serré et accueillant, je m’y sentis bien. J’entamai de lents va-et-vient dans son intimité, mais elle m’ordonna bientôt d’accélérer le mouvement, d’être plus ferme. Mes va-et-vient devinrent des coups de boutoir et nos corps ébranlèrent la cloison de la cabine. Puis, au moment de l’orgasme, je me vidai en elle en long jets.
– Reste encore un peu en moi, me demanda-t-elle comme je faisait mine de me retirer.

Je restai donc en elle, remuant doucement pour entretenir mon érection, tout en l’embrassant.

– Pourquoi? finis-je par lui demander.
– Parce que tu es jeune, que j’ai compris que tu étais sensible, mais pas efféminé, qu’au pire tu serais bi et que tu pourrais me donner du plaisir. Et que je me fiche complètement que tu mettes de la lingerie de femme. Au contraire je dois dire que cela m’a excitée.
– Je… Tu es la première qui ne soit pas une professionnelle, lui avouai-je. C’était merveilleux…
– Si nous allions déjeuner? Je connais un petit restaurant sympa pas loin… Et puis si tu acceptes d’y aller avec ta lingerie de femme sous tes habits d’homme, je te l’offre.

Ce que je fis. Heureusement, ma chemise était suffisamment opaque pour que l’on ne puisse pas s’en rendre compte. Il aurait fallu qu’on passe la main sur ma chemise pour sentir les bretelles du soutif. J’avais poussé le vice jusqu’à garder les bas sans remettre mes chaussettes par-dessus. Je vis une serveuse observer mes pieds gainés de «chaussettes» quasi transparentes et très fines, mais un regard discret de Paule la découragea de chercher plus avant.
Je payai notre repas (bien moins cher que la parure) et nous quittâmes le resto. Je la suivis jusqu’à sa boutique, et après qu’elle eut refermé, elle m’entraîna au fond de l’échoppe. Elle s’attaqua à la ceinture de mon pantalon et le fit glisser à mes chevilles. Le petit slip suivit le même chemin. J’étais déjà en érection quant elle prit ma hampe en main et entama un fellation extraordinaire. Je ne pus résister bien longtemps, et fis mine de me retirer pour éjaculer. Mais elle cramponna mes hanches et je me vidai un deuxième fois, cette fois-ci dans sa bouche. Elle fit mine d’avaler, et se redressa pour m’embrasser. Alors je sentis qu’elle régurgitait mon sperme dans ma propre bouche. Cela avait un goût sucré salé somme toute pas désagréable.
– Je vais rouvrir le magasin, maintenant. Change-toi si tu veux, et pars vite avant que je ne fasse une bêtise!

Mais la petite séance du resto m’avait excité, et je gardai la parure. Je lui donnai un dernier baiser et lui dis:
– Si j’ai encore besoin de lingerie, pour une fille… ou pour moi, je reviendrai ici, et cette fois-ci, je paierai!
– Alors reviens juste avant la fermeture!

Je repris le métro jusqu’au parking où j’avais laissé ma voiture, et rentrai chez moi. Je restai toute la soirée en sous-vêtements féminins, et rien que ça. Ce soir-là, je me masturbais encore trois fois, jusqu’à l’épuisement, et m’endormis dans mon lit, toujours revêtu de lingerie parme.

Comme promis, je revins quelque temps plus tard chez Paule, et elle me conseilla une très jolie parure vert amande qui comprenait un serre-taille, un string et un magnifique soutien-gorge. Bien sûr, je m’empressai de l’essayer dans la petite cabine, et Paule me rejoignis. Nous fîmes encore l’amour et je repartis vidé de mon sperme.
Nous entamâmes, Paule et moi une liaison qui dura trois mois. Chaque fois que je passais, nous faisions l’amour; fellation, cunnilingus , prise en levrette, ou bien elle sur moi assis sur le tabouret de la cabine d’essayage. Quelquefois, je venais «en homme» et repartais avec une nouvelle parure, quelquefois j’arrivai avec une parure qu’elle m’avait vendue, mais nous fîmes toujours l’amour en portant nostre lingeire respective.
Puis je dus repartir en mission professionnelle. Quand je revins trois mois plus tard, je me précipitai dans sa boutique. Une jolie jeune femme blonde, plus jeune que Paule, m’accueillit et me demanda en quoi elle pouvait m’aider.
– C‘est-à-dire que… je pensais voir Paule. Vous êtes sa vendeuse?
– Non, je suis la nouvelle propriétaire. Paule m’a vendu la boutique il y a trois semaines. Mais je crois vous reconnaître. Vous êtes Marc, n’est-ce-pas? Moi, c’est Aurélie. Elle m’a beaucoup parlé de vous. Elle m’a laissé quelque chose pour vous, et m’a dit que vous deviez faire comme d’habitude.
Elle m’enveloppa d’un regard un peu moqueur. Elle partit chercher un paquet en réserve, me le tendit et dit:
– Paule a beaucoup insisté pour que vous le preniez, mais à la condition que vous fassiez comme d’habitude. Il y a un mot que je ne pourrai vous donner que si vous acceptez cette condition.

Sur ce, elle alla fermer la boutique, et ajouta en revenant:
– Ne lui en voulez pas. elle m’a expliqué, je suis au courant. Si vous avez un probème, n’hésitez pas, je viendrai vous aider. Ne craignez rien.Tout ceci restera entre nous.

Je ne pouvais que m’incliner, car je voulais prendre connaissance du mot laissé par Paule. Je pris le paquet en rougissant, et la fille m’accompagna vers la cabine d’essayage. Une fois dedans, j’ouvris le paquet. Une magnifique guêpière noire à motifs roses, un soutif, un porte-jarretelles, un tanga et un string assortis apparurent à mes yeux émerveillés. je me déshabillai entièrement, ne gardant que mon slip masculin. Je m’empressai d’essayer de passer la guêpière, mais le système d’agrafage au dos ne me rendit pas la tâche aisée. Je fis comme pour un soutien-gorge, et agrafai la guêpière par devant, puis je la tournai autour de mon thorax. Ce ne fut pas facile, mais j’y arrivai finalement. Je passai les jarretelles sous mon slip, mais je m’aperçus que je n’avais pas de bas. Au même moment, j’entendis Aurélie me demander si tout allait bien. Je répondis que je n’avais pas de bas pour mettre avec la guêpière. Un instant plus tard, une main me tendit une paire de bas brun foncé avec de larges jarretières à motif. Magnifiques. Je les enfilai et les attachai aux jarretelles. J’entendis Aurélie me parle:
– Je peux vérifier que tout va bien?

Et avant que je puisse répondre, le rideau s’ouvrit et Aurélie apparut dans la même tenue que Paule lors de notre première rencontre!

– Paule m’a dit que vous deviez faire comme d’habitude! Mais qu’est-ce que c’est que cet hoorible slip?

Elle tira sur mon slip qui descendit à mes chevilles. Puis elle me fit enfiler le string. Mon sexe tout d’abord recroquevillé se mit à gonfler. Aurélie se pencha, le fit sortir par un côté du string et commença une fellation qui donna à ma bite une raideur inattendue. Elle était meilleure experte encore que Paule! Nous fîmes l’amour dans toutes les positions que nous permettait l’étroitesse de la cabine. Je renouvelai le broute-minou avec délices, et je finis par l’empales contre la cloison.
Après cette séance, je remis mes habits masculins sur la guêpière. Elle me tendit alors une enveloppe dans laquelle je trouvai le mot de Paule. Elle m’expliquait qu’elle venait de perdre son mari des suites d’une longue maladie qui l’avait privée de sexe pendant des années. C’est pourquoi elle m’avait pris comme amant, le temps de notre relation, mais qu’elle voulait tourner la page, et qu’elle espérait qu’Aurélie pourrait avantageusement la remplacer, car elle se doutait qu’elle serait excitée d’entamer une relation avec moi. La guêpière était un cadeau d’adieu. Mais elle ne voulait pas que je cherche à la retrouver.
Je fis bouleversé par cettte confession. J’embrassai Aurélie et lui dit «à bientôt». Mais je savais que je ne reviendrais pas la revoir, d’autant qu’elle ne voulut pas me donner les nouvelles coordonnées de Paule.

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