Désir de viol simulé
Après plusieurs messages échangés sur un site libertin, nous avions enfin décidé de nous rencontrer. J’avais précisé que j’aimais les scénarios qui sortaient de l’ordinaire, être dirigée, soumise, et avouais même fantasmer sur un viol simulé. Pour un premier rendez-vous, nous devions simplement nous retrouver à un café et faire plus ample connaissance devant un verre . Seule fantaisie à la rencontre, il m’avait demandé de venir habillée d’une façon particulière : talons hauts, jupe courte, manteau long. Le jour venu, jes me suis rendu au lieu de rendez-vous en respectant les consignes. J’attends et fais le pied de grue, depuis une dixaine de minute, matée par tous les hommes qui passent. Le salopard, il m’a posé un lapin. Furieuse, je décide de rentrer chez moi en le maudissant. Arrivée chez moi, je déverrouille ma porte et soudain, un homme que je n’avais pas vu, me met une main sur la bouche, et me plaque contre ma porte. « Doucement ma belle, tout va bien se passer. Tu vas gentiment ouvrir ta porte, sans faire de bruit ! »
Toujours une main sur la bouche, il me tord le bras gauche dans le dos. Morte de trouille, j’ouvre ma porte avec ma main libre. Là , il me pousse à l’intérieur et referme la porte avec son pied.
Maintenue très fermement et m’empêchant tout mouvement, il me dit :
« Fais tomber tout doucement ton manteau, un bras après l’autre. » J’obéis. A peine ai-je fais tomber le manteau que je me retrouve attachée par des menottes les mains dans le dos. Une boule en latex vient se fourrer au fond de ma bouche, attachée dans le coup. Ma tête tourne. Mon cerveau est en ébulition. Et si c’était un scénario?L’homme me plaque assez brutalement face contre le mur.
« Ah, tu voulais du viol simulé ma salope ? Tu vas être servi ! »
Mince, l’enfoiré, il avait pris mes confidences au pied de la lettre. Sa main s’infiltre alors sous ma jupe, m’écarte fermement les jambes, remonte et s’attarde sur mon cul. Son autre main malaxe ma chatte
à travers mon string et je me met instantanément à mouiller. Sa langue parcourt ma nuque et léche le creux de mon coup. Ses doigts s’infiltre sous la dentelle et investissent mon sexe déjà humide.
« Code rouge si tu veux arrêter salope OK ? Si tu ne dis rien, je vais te violer comme une grosse chienne ! »
Tout en parlant ses mains s’étaient montrées plus ambitieuses, deux me pénétraient alors qu’un autre frottait mon clito. Prise entre l’émotion, la peur et le désir de réaliser mon fantasme, j’hésitais à répondre. Puis, morte de peur et de honte, je lançais comme un suicide, étouffé par la boule de latex entre mes dents :
« Violez-moi Monsieur ! »
A peine avait-je donné ma réponse que l’inconnu me tirait par mes mains menottées. Je le suivais, tant bien que mal, avec sur mes talons aiguilles, en marche arrière. En entrant dans le salon, je tombais mais l’infâme internaute, continuait à me tirer en me faisant glisser jusqu’au milieu de la pièce. D’un mouvement brusque, il m’arrache mon chemisier, faisant péter tous les boutons, et tire ma jupe. Je le vois sortir un couteau et là j’ai vraiment peur.
« Noooon ! Pitié ne’m faite pas de maaaaal !!! »
Il me coupe mon beau soutien-gorge et mon string assorti. Je me met à pleurer. Il m’att**** sous un bras et me traîne jusqu’au canapé où il me jette. Aussitôt une violente claque me cingle les fesses me faisant crier. Une seconde et une troisième claque retentissent. Mes fesses me chauffe. Puis il commence à me branler énergiquement. « Tu dois bien avoir un sex-toy chez toi, salope ? Il est où ? ». Une autre claque sur mes fesses rythme sa question.
« Alors ? tu veux pas m’le dire ? Tu préfères que je te rougisse le cul putain ? »
Et, joignant le geste à la parole, vlan, une autre. Claque s’abat sur mes fesses. Je tente entre mes cris et mes sanglots de parler mais ce que je dis est inaudible avec la boule dans ma bouche. « Attention, j’t’enlève la boule, mais au premier cri, j’la remet et tu dégusteras !!! »
Il détache le bâillon. Je reprend ma respiration et mes esprits mais impatient, il me dis :
« Alors ! Salope ce sex-toy ? »
Honteuse et d’une voix presque inaudible, je chevrote :
« Dans le tiroir de ma table de chevet,. »
Il me remet immédiatement le bâillon et file dans ma chambre. Je le vois revenir avec mes trois godes.
« Et bien ma cochonne, tu ne t’ennuies pas ! Je savais que t’étais une chaude salope mais au point d’avoir cette collection,,,, ! »
Il les examine, les détaille et les essai dans mes fesses, et ma chatte. Quelle humiliation,,,, !
« Bien bien,,,Voyons comment une chienne en chaleur comme toi peut utiliser ces trucs…En voilà un électrique qui tourne et vibre quand on l’allume,,, Huuuumm, celui-ci est énorme, dis donc,,,,Rentrerait-il bien dans ton cul ? Non je vais opter pour le troisième avec ses grosses protubérances. »
Il passe l’électrique sur mon clito qui aussitôt me stimule. Puis, il enfonce le gros dans ma chatte ouverte et bien graissé.
« Mais c’est que çà rentre tout seul ! T’es un vrai garage à bites salope ! »
J’ondule dans tous les sens et je gémie de plaisir. Mais quand il rentre le troisième dans mon petit trou, je hurle de douleur. Cà le fait rigoler mais il continue la pénétration monstrueuse jusqu’à la garde. Il commence alors un jeu de piston à deux mains. Après quelques minutes de ce régime, il arrête les va et vient, laissant les 2 engins plantés dans mes trous. Il détache à nouveau le bâillon. Épuisée, seul un râle sort de ma bouche.
« T’as du scotch américain ? »
Dans un souffle, je lui réponds :
« Dans le placard de l’entrée. ».
Il va fouiller le placard et après une minutes, revient avec avec son butin. Il en déroule une large bande et commence à me scotcher le premier gode pour qu’il reste enfoncé dans mon cul. Puis, il retire le gros de ma chatte, allume le vibro et me le fourre à la place en le scotchant lui aussi. Je ne peux m’empêcher d’onduler, et de gémir sous l’action du phallus électrique. Mon violeur se met nu et j’apprécie ses forme et son dard bien dressé que j’ai hâte de sucer. Il me saisi par les cheveux et m’enfonce alors son chibre dans la bouche.
« Tiens, régales toi salope ! »
Je prend un plaisir énorme à sucer cette belle queue. Ne pouvant m’aider de mes mains, il m’imprime le rythme en guidant ma tête avec ses mains. A plusieurs reprises, il m’enfonce sa bite de longues secondes au fond de ma gorge puis la retire pleine de bave. Il se retire de ma bouche soudain pour couper au couteau le scotch maintenant le gode dans mon cul. Il le retire et me le donne à sucer. Il se placer derrière et m’enfonce dans mon anus bien ouvert et commence à me chevaucher sauvagement. Sentant sa jouissance venir, il se retire et viens éjaculer sur mon visage et dans ma bouche. J’avale docile et dégluti avant qu’il ne me rattache la boule dans la bouche. Après son orgasme, il s’assoit par terre et reprend son souffle. Je suis toujours attachée sur le canapé, un vibro dans la chatte, une boule dans la bouche. J’ai quasiment des orgasmes à répétition et je coule littéralement. Lui, en me regardant air amusé, se rhabille tranquillement.
« Ça t’a plu ma salope ? »
« Oui, beaucoup, mais détaches moi s’il te plaît maintenant ! »
« Houlà doucement ma grande, j’ai quelques photos à prendre pour ma collection et diffuser sur le net. Une pute comme toi y faut en faire profiter les copains ! »
« Non non, pas çà ! T’as pas le droit ! »
« Mais pauvre conne, tu crois que t’es en position pour exiger quoi que ce soit ? »
Il me prend en photo sous toute les coutures et tout en étant révoltée, mon corps, lui, jouit.
« Maintenant, je vais te détacher. Tu vas compter jusqu’à 100 avant de te retourner. »
Il me claque une dernière mes fesses offertes, puis déverrouille les menottes et sort de l’appartement rapidement. Je joue le jeu et compte jusqu’à cent, la trouille au ventre puisque la porte est restée ouverte et je m’écroule épuisée sur le canapé. Quand je reprends mes esprits, je vais, après avoir verrouillé la porte, prendre une douche réparatrice et réfléchir à la suite des événements.
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