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Aurélie 8

Aurélie 8



Je me réveillai au son de la sonnerie de mon réveil. Je jetai un œil sur l’affichage 06 h 45. Je me levai, fis une toilette rapide et me précipitai dans la cuisine. Tout en déjeunant, je préparai le petit déjeuner de ma maîtresse.

Je bondis sur mes pieds et m’emparai du plateau, dès que j’entendis la clochette tinter. Après avoir frappé, j’entrai dans la chambre.

 Bonjour, maîtresse, avez-vous bien dormi ?

 Oui, très bien. Et toi, Cybèle ?

 Aussi, maîtresse. Voici votre petit déjeuner. Que dois-je préparer comme vêtements, maîtresse ?

 Sors mon ensemble pantalon bleu, un chemisier blanc, manches longues, mes escarpins noirs. Pour les sous-vêtements, mon ensemble culotte et soutien-gorge push-up bleu ciel.

 Bien maîtresse ! bon appétit !

Pendant que Véronique dégustait son encas, je me hâtai de préparer ses vêtements. Je palpais avec délice et envie la texture de ses sous-vêtements, sous-vêtements qui m’étaient interdits. Je disposai toute la toilette demandée sur le lit puis m’agenouillai, les mains dans le dos, attendant les consignes de ma maîtresse. Sans s’occuper de moi, elle repoussa son plateau, se leva et se rendit dans la salle de bain. Restée seule, je me mis à réfléchir à ma dépravation.

En quelques semaines, j’étais passée de femme frigide et coincée à nymphomane, soumise, masochiste et zoophile. Quelle évolution. Bientôt, je serais annelée et prostituée. Un pas de plus vers la dégradation, ma dégradation. Et dire que j’aimais cela. Plus encore, je l’attendais et l’espérais, avec une impatience, comme un ultime cadeau du ciel. Pourtant, je me doutais que la pose des anneaux ne se ferait pas sans douleur, mais, rien que d’y faire allusion, je sentis que je mouillais. J’étais si pris par mes pensées que je n’entendis pas ma maîtresse m’appeler. Ce ne fût qu’au troisième appel que je répondis enfin :

 J’arrive, maîtresse !

 Que se passe-t-il, Cybèle, cela fait trois fois que j’appelle !

 Pardonnez-moi maîtresse, j’étais perdue dans mes pensées !

 Tu n’as pas autre chose à faire ?

 Si maîtresse. Pardonnez-moi ! Je mérite une punition !

 Pour l’instant, passe-moi ma serviette et rapporte le plateau à la cuisine. Ensuite, lorsque tu auras fait la vaisselle, tu iras dans la chambre passer tes bracelets.

 Bien maîtresse !

 Attend, approche, fit-elle, au moment où je faisais demi-tour.

Je m’approchai tout près d’elle. Elle se pencha un peu et frôla mon mont de Vénus, puis, sans autre forme de procès, introduisit un doigt dans mon vagin. La pénétration fut aisée, tellement j’étais trempée. Avec un sourire goguenard, elle me le fit sucer, puis m’envoya vaquer à mes occupations.

J’avais déjà placé mes bracelets lorsqu’elle arriva, toute habillée dans mon réduit.

 Etends-toi sur le dos, salope ! Ecarte les bras et les jambes.

Elle m’attacha les poignets aux montants du lit, puis ce fut le tour des chevilles. J’étais immobilisée, bras et jambes écartées. Ensuite, elle sortit un bâillon-boule qu’elle introduisit dans ma bouche et boucla derrière ma nuque. Enfin, elle s’empara d’un bandeau et m’aveugla.

 Ainsi, me dit-elle, tu perdras toute perception du temps. Qu’en penses-tu, Cybèle ? Que je suis bête, tu ne peux répondre. Toutefois, si tu le désires, tu pourras toujours te libérer. Au- dessus de ta main gauche, il y a un petit boitier. Touche-le ! Voilà, c’est ça. Tu sens le gros bouton ? Il te permet de libérer ta main. Tu pourras ensuite te détacher. Toutefois, sous peine de punition sévère, je te conseille fortement de ne l’utiliser qu’en cas d’urgence. Compris ?

Ne pouvant articuler un mot, je hochai la tête, en signe de compréhension. J’entendis alors Véronique quitter la pièce. Je l’entendis aller et venir dans l’appartement, puis la porte d’entrée s’ouvrir et se fermer. J’entendis la clef tourner dans la serrure et le silence se fit. J’étais seule, bâillonnée, aveugle et attachée, jusqu’au retour de ma maîtresse. A moins que j’utilise le dispositif. Dans ce cas, je serais punie et je savais que la sévérité de ma maîtresse n’était pas feinte.

Combien de temps passais-je ainsi, me posant la question ? Je ne sais. Toujours est-il, qu’au bout d’un moment, je me sentis couler. La situation m’excitait. Une fois de plus, j’avais la preuve de ma dépravation. Je décidai donc de résister et d’attendre le retour de ma maîtresse. L’immobilisation, dans le noir, dans le silence presque complet était une torture qui m’excitait, me plaisait. Je finis par m’endormir.

Quelle heure pouvait-il bien être lorsque je m’éveillai ? Impossible de le savoir. Combien de temps avais-je dormi ? Même réponse. Je tâtai au-dessus de ma main gauche. La présence du dispositif me rassura et j’attendis. J’avais mal aux fesses, d’être ainsi, sans bouger, et je me trémoussai, afin de faire travailler mon postérieur.

Les heures s’étiraient, interminables. Sans aucun repère, je trouvais cette torture bien plus dure qu’une fouettée. La torture n’était pas physique, mais psychologique. En même temps, cette immobilité forcée m’excitait au-delà de ce que je pensais. J’avais tout le temps de me remémorer toutes mes dépravations passées et me projeter dans le futur.

J’avais perdu toute notion de temps, lorsque j’entendis la porte s’ouvrir.je sursautai, non pas à l’ouverture mais lorsque les pas s’approchèrent. Il y avait deux personnes. Si je reconnu le pas de ma maîtresse, j’ignorais à qui appartenait l’autre. Sans doute à un homme, puisqu’il m’avait semblé plus lourd. J’entendis une ceinture se détacher, une fermeture éclair descendre, des chaussures tomber, le glissement du pantalon sur les cuisses, suivi du sous-vêtement. J’allais être baisée, cela ne faisait aucun doute, et par quelqu’un que je serais bien incapable de reconnaître, aveuglée comme je l’étais. D’autant plus que celui qui s’était déshabillé ne prononçait pas un mot.

Tout à coup, je sentis un poids monter sur le lit, se placer entre mes cuisses disjointes. Deux bras se placèrent, de chaque côté de ma poitrine, faisant affaisser le lit et je sentis un gland heurter mon pubis. Après quelques tâtonnements, la bite trouva mon trou et s’enfonça d’un seul coup de rein. Il n’eut aucun mal, tant la situation m’excitait. J’étais trempée de mouille.

Sans un mot, comme depuis son arrivée, l’homme commença à me besogner, à la hussarde, sans douceur. Il avait une queue assez conséquente, car chaque mouvement entrant, faisait cogner son gland contre le col de mon utérus. Je commençai à gémir de plaisir à travers mon bâillon, pendant que l’homme me ramonait. Il n’y avait aucune douceur dans cet accouplement, sans doute ce que ma maîtresse lui avait demandé. Pourtant, j’y prenais plaisir. Chacun de ses coups de reins me clouait sur le lit, son ventre, qui me semblait proéminent claquait contre mon pubis, sa queue frappait mon utérus, déclenchant des ondes de plaisir et de douleur mêlés. Je sentais la jouissance monter dans mes reins et, lorsqu’elle se déclencha, je m’arquai. Les bracelets se tendirent à l’extrême, m’empêchant de désarçonner celui qui me tringlait. Je retombai sur le lit, anéantie. L’homme patienta quelques instants, puis recommença à me baiser.

Repue, anéantie de jouissance, je réfléchissais. Je me rendis soudainement compte qu’il n’avait pas mis de préservatif. Il me baisait à cru. Il allait déverser sa semence dans mon vagin. Je n’eus guère le temps de me poser de question supplémentaire. Je le sentis se tendre, grogner, et soudain, la première giclée de foutre atteignit le fond de mon vagin. A grands coups de reins désordonnés, il se vida en moi. Il ne devait pas avoir joui depuis pas mal de temps car je le sentais me remplir le vagin.

Enfin, il se retira et je sentis sa semence couler hors de moi, le long de la raie de mon cul. Je l’entendis se rhabiller et la porte se fermer. Je ne savais toujours pas qui m’avait baisée, et je ne pensais pas l’apprendre par ma maîtresse. Elle avait trouvé le moyen de m’humilier, une fois de plus. Pourtant, je ne lui en voulais pas ? J’avais joui très fort.

Elle ne m’adressa pas la parole, et se retira, me laissant la chatte pleine de sperme, avec le lit se mouillant de plus en plus. Je l’entendais aller et venir dans l’appartement, puis je la sentis venir vers moi.

 Alors, salope, ça t’as plu, de te faire baiser ?

Je ne répondis pas, même pas un signe de tête. Elle reprit :

 Tu te fais baiser par n’importe qui, salope, et tu jouis ! Je crois que tu mérites une punition !

J’entendis le sifflement, juste avant que la cravache s’abatte sur mon ventre. Sous la douleur, je me cambrai et gémis dans le bâillon. Elle attendit que je me détende pour asséner le deuxième coup, bientôt suivi d’autres. Lorsqu’elle cessa, j’aurais bien été en peine de lui dire le nombre de coups reçus. Par contre, j’avais joui deux fois, et je pense qu’elle s’en était rendu compte.

Enfin, elle se décida à me retirer mon bandeau. Je clignai des yeux, tâchant de me réhabituer à la lumière. Elle détacha mon bâillon et mes bracelets. Lorsque ce fut fait, elle me dit :

 Va préparer le dîner. Sans te laver. Les salopes ne se lavent pas après avoir été baisée.

Je me rendis à la cuisine, les cuisses collantes de sperme. Tout au long de la préparation du repas, je sentis encore la semence de l’homme couler, de ma chatte à mes cuisses, jusqu’à mes chevilles. Le fait que le sperme sèche me gênait quelque peu, mais je n’aurais jamais eu l’idée de me plaindre.

 Est-ce que le repas est prêt ? demanda soudainement ma maîtresse.

 Oui maîtresse !

 Alors, sers-moi tout de suite. Après, je crois que nous sortirons un peu.

Je tressaillis à ces mots. Qu’avait-elle encore inventé. Quoi qu’il en soit, je n’avais qu’à obéir. Elle mangea silencieusement, jetant de temps en temps un regard vers moi, agenouillée à ses pieds. Bien sûr, je ne la regardai pas mais je savais, je sentais lorsque son regard se posait sur moi. Lorsqu’elle eut fini de dîner, elle se rendit dans la chambre. Elle en ressortit quelques minutes plus tard. Elle avait enfiler un jeans, un pull léger un blouson de cuir elle chaussa des bottines avant de m’appeler.

 Cybèle, viens ici !

Je m’approchai d’elle, dans l’expectative.

 Mets les mains dans le dos.

J’obéis aussitôt et elle me passa des menottes, qu’elle serra fort. Je ne pus m’empêcher de gémir, ce qui la fit sourire. Ensuite, elle me passa un collier et une laisse. C’est dans cet équipage qu’elle me fit sortir sur le palier, fermant la porte derrière elle. Elle me fit descendre par les escaliers. A aucun moment je n’aurais pu dissimuler ma nudité, si quelqu’un était survenu. Cela m’excita, de savoir que l’on pourrait me surprendre, dans le plus simple appareil. Cela ne semblait pas perturber Véronique qui me conduisit jusqu’à la voiture et me fit monter dans le coffre. Peu de temps après, la voiture sortit du garage.

Je serais bien incapable de dire combien de temps nous roulâmes, mais je poussai un soupir soulagement lorsque le véhicule s’arrêta. Où étions-nous ? Je n’aurais su le dire. J’avais bien entendu de nombreux véhicules autour de nous, comme si nous étions sur une voie rapide.

Lorsqu’elle ouvrit le coffre et me fit sortir, je me rendis compte que nous étions entourés de poids lourds. Elle me tira par la laisse et m’attacha à un banc, à quelques mètres de la voiture. Cela fait, elle posa une boite de préservatifs sur le sol et me dit :

 Je te laisse. Je suis là-bas, dans la voiture. Je veux que tu te fasses baiser par tous les hommes qui en auront envie et qui t’approcheront. Tu ne devras refuser personne, tu entends, personne !

 Mais maîtr…

Je n’eus pas le temps d’en dire plus. Une gifle magistrale me fit taire, et elle reprit, d’une voix pleine de colère :

 J’ai dit personne, compris ?

 Oui maîtresse, répondis-je, la tête basse, la joue brûlante et les larmes aux yeux.

 N’oublie pas de leur dire de mettre une capote, s’ils veulent te baiser.

 Oui maîtresse !

 A tout à l’heure, salope !

Et elle me quitta. Je l’entendis réintégrer sa voiture et j’attendis le premier client, qui ne tarda pas. C’était un homme d’une cinquantaine d’années, avec un gros ventre, distendant sa chemise. Tout d’abord, il me fixa, regarda autour de lui, se demandant où était le piège. Je ne fis rien, ni pour l’attirer, ni pour le repousser. D’ailleurs, avais-je besoin de faire quelque chose, ma nudité, ainsi que mes menottes et la laisse, étaient un appel au viol.

L’homme s’approcha doucement, me faisant face, à me toucher. La tête baissée, je ne voyais que son bide, énorme. Il passa ses doigts sur ma joue. Mon immobilité le fit s’enhardir. Il baissa sa braguette, farfouilla par l’ouverture et sortit une queue encore à moitié molle. Je déglutis et attendis, me demandant comment j’allais pouvoir sucer cette pine, gênée par ce ventre proéminent. Ce fut lui qui trouva la solution. Il baisa son pantalon et son slip, s’assit sur le banc où était fixée la laisse, et, tirant dessus, m’obligea à me rapprocher de son membre violacé, turgescent. Il n’était pas long, mais plutôt épais. Je me penchai et gobai le gland. Il sentait quelque peu la sueur et l’urine. Je m’appliquai à monter et descendre le long de la courte colonne de chair. Au bout d’un moment, il sembla apercevoir la boite de capotes. Il en sortit une, me repoussa et se releva. Je le vis passer le préservatif se positionner derrière moi. Il saisit mes hanches, puis introduisit un doigt dans ma chatte, pour vérifier la lubrification.

 Ah, la salope, elle est trempée. Tu as envie de te faire baiser ?

Comme je ne répondais pas, il me claqua le cul et redit :

 Alors, tu veux que je te baise, salope ?

 Oui monsieur, répondis-je d’une voix rendue rauque par l’excitation, baisez-moi, bourrez-moi le con !

Je le sentis tâtonner pour trouver ma chatte, puis pousser son gland. Son ventre, qui gênait, ne permettait pas une pénétration profonde, à mon grand dam. Lui non plus ne devait pas aimer la situation, puisqu’il se releva, quitta son pantalon et son slip, repassa derrière moi. Je sentis qu’il appuyait sur mon dos afin de me faire m’aplatir. Je posai les épaules au sol, cambrant au maximum ma croupe. Je le sentis me pénétrer à nouveau, cette fois plus profondément. Je sentis ses couilles heurter mon mont de Vénus. S’il n’était pas très long, il me remplissait en largeur et je ne tardai pas à gémir de ses va et vient dans ma chatte.

Notre coït n’était pas particulièrement discret et, au bout de cinq minutes, plusieurs autres routiers faisaient cercle autour de nous. Tous avaient sorti leur sexe et se masturbaient, attendant probablement leur tour. Deux d’entre eux ne purent tenir longtemps et je reçus leur décharge sur le dos.

Au bout d’un moment, il sortit de ma chatte, aussitôt remplacer par un autre. Lui, pendant ce temps, s’approcha de mon visage et éjacula sur mon front.

Et cela continua. A chaque fois ou presque, les hommes retiraient les capotes et m’éjaculaient dessus. Je n’étais rien pour eux, rien qu’un objet que l’on souille. On n’éjacule pas dans un objet, on jouit dessus. Et c’est ce qui se passait pour moi. Combien déchargèrent ainsi, après m’avoir baisé la chatte ou la bouche ? Je ne saurais le dire. Toujours est-il, qu’à un moment, je me retrouvai seule, affalée dans l’herbe, couverte de foutre. Plus personne, à part ma maîtresse et moi.

C’est à ce moment qu’elle sortit et se dirigea vers moi. Epuisée de ces saillies répétitives, je réussis néanmoins à me redresser pour faire bonne figure devant elle. Elle détacha la laisse, tira pour me relever et me conduisit au coffre. Elle étendit un plastique au fond, me fit entrer, coucher et referma le coffre. Nous n’avions pas quitté l’aire de repos que je dormais.

Le réveil fut beaucoup plus difficile. J’eus du mal à sortir du coffre et ma maîtresse ne m’aida en rien, me houspillant plutôt pour me faire hâter. Je remontai les marches dans un brouillard d’où je n’émergeais qu’à la fermeture de la porte d’entrée de l’appartement. Ma maîtresse me tira jusqu’à la salle de bains où je me lavais d’habitude, détacha mes menottes et me dit :

 Tu as cinq minutes pour enlever tout ce que tu as de collé sur toi. Tu peux faire couler de l’eau chaude. A tout de suite.

Et elle quitta la pièce. Je m’empressai de me glisser sous l’eau. Elle était chaude. Véronique l’avait rétablie. Cette chaleur me fit du bien et je me hâtai de me savonner et me rincer. Alors que je coupai l’eau, je sentis celle-ci devenir froide. Juste à temps. Je me séchai et revins dans le salon. Ma maîtresse était là, dans un fauteuil, uniquement vêtue d’un déshabillé transparent qui ne cachait de ses formes harmonieuses.

 Je suis excitée, salope, viens me sucer. Dépêche-toi !

Je me mis à genoux devant elle et approchai de son entrecuisses. Son odeur était forte, mélange subtil d’urine et de mouille. Toutefois, j’étais bien trop fatiguée pour ressentir une quelconque excitation. Lorsque j’avançai les doigts pour écarter les lèvres de sa vulve, elle me reprit :

 Les mains dans le dos. Seulement la bouche, applique-toi.

Je lapai la chatte odorante, de haut en bas et de bas en haut, avant de dénicher le clitoris, de le happer entre mes lèvres et de le faire tourner entre elles. Ma maîtresse ne tarda pas à gémir et ses hanches furent prises d’un mouvement de houle évocateur. Il ne me fallut que quelques minutes avant qu’elle ne se laisse aller à la jouissance.

Pendant qu’elle reprenait pied dans la réalité, je restai le nez dans sa chatte, car, lorsqu’elle était partie, elle avait plaqué mon visage contre son pubis, d’une main ferme.

Enfin, elle me relâcha, me repoussa et se leva, me faisant signe de la suivre, ce que je fis, à quatre pattes. Elle me mena dans ma chambre, et me fit coucher. Là, elle attacha mes poignets au collier et sortit, éteignant la lumière. Il ne me fallut que deux minutes avant de sombrer dans un profond sommeil.

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