Partie 1 :
Partie 2 :
J’étais toujours avec ma troisième cliente, je prenais tellement mon pied avec Stéphanie que je ne savais plus depuis combien de temps j’étais avec elle. Mais de toute façon, même si les trois heures étaient passé, j’étais plus que d’accord pour faire du rab gratuitement. Après s’être servie de mon corps comme garde mangé, Stéphanie c’était levé pour retourner vers le chariot. A son retour, je constatais qu’elle était maintenant armé d’un pot de crème chantilly.
Je constatais également en la voyant, qu’elle semblait radieuse, ce qui me faisait très plaisir. Elle revint et se mis à genoux entre mes cuisses. Elle prit avec son doigt de la crème qu’elle vint ensuite étaler dans ma chatte et renouvela l’opération jusqu’à ce qu’il y ait une quantité suffisante selon elle. Puis, elle prit des petits morceaux de cerise qu’elle vint ensevelir dans ma chatte. Elle y versa même le reste du jus de cerise. Etant très excité par la situation, j’étais entrain de mouiller et je n’osais imaginer le mélange que tout cela allait donner !
– Il est temps maintenant de mixer le tout, me dit Stéphanie tout en se levant.
Elle alla récupérer dans son sac un gode de petite taille qu’elle me fit lécher avant de me l’introduire dans mon sexe. Puis, étant un gode à pile, elle le mit en route afin de le faire vibrer dans mon vagin. Et puisqu’elle lui faisait faire des va-et-vient en moi, le plaisir me montait très rapidement pour arriver à un nouvel orgasme ! Satisfaite, elle arrêta le gode et me le retira avant de venir ramasser avec sa langue la préparation à base de crème chantilly, cerise, jus de cerise, et ma cyprine.
– C’est délicieux, me dit Stéphanie tout en prenant d’ailleurs sur son doigt avant de me le porter à la bouche.
Je lui suçais le doigt et goûtais ainsi à ce curieux dessert à base de mon intimité ! Nous rimes toutes les deux. Comme elle en a encore plein les lèvres et le menton, je lui dis de venir pour que je puisse lui retirer avec ma langue.
– A ton tour de manger tu dois avoir faim, me dit-elle en s’allongeant sur le lit.
Je me levais pour aller remplir le verre de champagne puis je m’allongeais sur elle afin de commencer à lui verser un peu de champagne sur ses lèvres et sa bouche que je m’empressais de récupérer en lui faisant tourner ma langue dans sa bouche. Je laissais également couler un peu de champagne sur ses seins que je m’empressais de lécher puis sur le nombril et enfin son sexe !
Comme elle était toute mouillée, le goût de sa cyprine mêlé au champagne donnait un cocktail des plus étonnants mais aussi des plus exquis ! Puis, je posais un morceau de poisson cru sur son sexe et introduis ensuite deux doigts dans son sexe pour l’exciter davantage. Cela ne manquait pas et elle mouillait davantage. Je relâchais la pression en retirant mes doigts pour ensuite venir récupérer mon morceau de poisson.
Ayant calmé ma faim, je vins m’allonger à ses côtés et elle en profita pour me caresser à nouveau le long de mon corps. Nous restâmes quelque temps ainsi, sans parler, juste à nous regarder. D’ailleurs, il fallait que je fasse attention à ne pas tomber amoureuse de l’une de mes clientes car je dois bien avouer que j’aimais vraiment son corps, ainsi que son goût, et ainsi que la manière dont elle m’avait baisé !
Elle me signala alors que les trois heures étaient presque passé. Du coup, elle me proposa de prendre une douche avec elle, ce que j’acceptais avec plaisir. Nous nous levâmes, nues toutes les deux, et elle m’accompagna à la salle de bain. J’étais plus impressionnée, je n’avais jamais vu de salle de bain si grande et si belle.
Elle commença à faire couler l’eau de la douche pour la porter à bonne température alors que j’observais le luxe inouï de cette salle de bain, puis elle m’invita à aller sous la douche. Je m’exécutais avant qu’elle ne vienne également. Elle commença par me caresser les cheveux, le visage et descendit progressivement ses mains tout le long de mon corps tout en me frottant et en s’attardant sur mes seins puis mon sexe et mes fesses.
Ensuite, nous nous embrassâmes assez longuement sous la douche tout en caressant les fesses de l’autre, cela me fis vraiment du bien. Enfin, elle ferma le robinet de la douche, sortit de la douche et prit une grande serviette avec laquelle elle m’essuya les cheveux avant de me la porter autour du corps tout en me frottant pour me sécher.
Je me dirigeais vers la chambre afin de récupérer mes vêtements qui jonchaient le sol, elle en profita pour me donner une petite claque sur les fesses tout en me disant qu’elle adoré mon cul ! Pendant que j’étais entrain de me rhabiller, elle me dit qu’elle devait partir dès le lendemain en déplacement pour toute une semaine et qu’elle comptait bien me revoir dès son retour à Paris. J’étais plus qu’heureuse d’apprendre qu’elle souhaitait me revoir. Je ne pensais pas à l’argent que j’allais gagner, non j’étais juste heureuse de pouvoir la revoir, je crois que je suis vraiment entrain de tomber amoureuse d’elle !
Elle me demanda ensuite si j’avais d’autres rendez-vous prévus d’ici-là. Je lui dis que pour le moment non mais que mon amie pouvait m’en trouver un à tout moment. Elle me sourit et me répondit que cela l’excitait mais avec une pointe de jalousie, qu’elle compter chaque soir se caresser tout en m’imaginant avec ces femmes inconnues pendant son absence et qu’elle voulait que je lui raconte lorsque nous nous reverrons la semaine prochaine.
Alors que j’ai fini de me rhabiller et que je me dirigeais vers la porte de la chambre, Stéphanie m’enlaça tendrement et me dit qu’elle a passé un très bon moment et qu’elle est très contente de m’avoir rencontré. Et qu’elle ne désirerait qu’une seule chose, c’est pouvoir m’emmener avec elle en voyage. Je me demandais alors si elle n’était pas entrain de tomber amoureuse de moi. En tout cas, pour le voyage, c’est quand elle veut !
De retour chez moi, j’appelais mon amie pour tout lui raconter, à mon récit, elle était ravie pour moi et me dit qu’une autre femme me voulait pour une séance d’une heure. J’acceptais avant qu’elle ne me dise que cette femme était sa patronne ! J’avais vu cette femme à plusieurs reprise à force de fréquenter son salon. Elle avait la cinquantaine, brune, de taille moyenne, un peu ronde, et elle m’avait toujours paru un peu froide.
Quatre jours après ma superbe expérience avec Stéphanie, je me rendis au salon d’esthétique de mon amie et qui appartenait à ma cliente du jour. C’était là que devait se dérouler notre séance d’une heure. Je m’y rendis un peu en avance pour dire bonjour à mon amie. Elle m’indiqua alors que Stéphanie l’avait appelait un peu plus dans la journée pour reprendre rendez-vous avec moi la semaine prochaine pour une session d’une journée !
Je me dirigeais vers le bureau de la grande patronne des lieux plus qu’heureuse en pensant à l’idée que j’allais pouvoir passer toute une journée avec ma Stéphanie. J’arrivais devant la porte, après avoir frappé, la boss de mon amie m’ouvris et me fis rentrer.
Après avoir refermé la porte, elle me déshabilla de la tête au pied avec son regard, elle semblait satisfaite de l’ensemble et, enfin, me sourit ! Je pense même que c’était la première fois que je voyais cette femme sourire.
– J’ose espérer que je vais passer un bon moment avec toi.
– C’est pour ça que je suis là et que vous me payez.
A ces mots, elle me tendit une enveloppe avec l’argent. Après l’avoir mis dans mon sac, elle m’attira vers elle et commença à m’embrasser tout en me pelotant les fesses au travers de ma jupe. A peine avais-je eu le temps de la laisser jouer avec sa langue avec la mienne qu’elle me retira mon tee-shirt. Une fois retiré, elle passa à ma jupe, me voilà en lingerie moins de cinq minutes après mon arrivée. Elle voulait vraiment rentabiliser son investissement.
Elle continuait à m’embrasser tout en glissant une main à l’intérieur de mon string. De son autre main, elle m’avait déjà dégrafé mon soutien-gorge. Puis, elle arrêta de m’embrasser afin de s’agenouiller et abaisser ainsi mon string.
– Tu es vraiment bien foutue, je ne regrette pas d’avoir fait appel à toi.
Elle me fis me mettre dos à elle pour continuer son inspection de mon corps.
– Et puis tu as un de ces cul !
J’étais quelque peu gêné par sa façon de me parler. Puis, elle me donna une claque puis une deuxième puis une troisième sur mes fesses avant de me demander de m’appuyer contre son bureau. Je m’imaginais alors qu’elle allait me lécher mon petit trou mais je me trompais, elle commença à m’administrer des claques sur chacune de mes fesses par alternance. Au début, c’était des petites claques mais plus ça allait, plus elles étaient fortes !
– Je suis certaine que tu adores les fessés ! Pendant une heure, tu vas adorer être ma petite salope.
C’était la première fois qu’on utilisait ce mot la pour me décrire, je n’aimais pas du tout ça. Heureusement pour moi, les fessés étaient terminées, elle se releva et me demanda de me mettre à genoux face à elle, puis, elle fit glisser sa jupe et retira sa culotte. Elle exigea alors que je lui fasse un cunni tout en m’attrapant mes cheveux pour me guider vers son sexe. Elle tirait sur mes cheveux, cela me faisait un peu mal.
Je commençais donc mon jeu de langue sur ses lèvres, son bouton alors qu’elle continuait à me tenir par les cheveux. Je jouais avec ma langue et sentis qu’elle commençait à mouiller énormément ! Signe que je m’améliorais niveau cunni ! Je passais également ma langue à l’entrée de sa grotte pour ensuite recommencer mon petit va-et-vient de langue entre ses lèvres, et son clito.
– Allonge toi sur cette table de massage, m’ordonna t-elle.
Pendant que je m’y dirigeais, elle sortie d’un des tiroirs de son bureau un énorme gode ceinture qu’elle enfila. J’étais un peu inquiète car je n’avais jamais fait l’amour avec un mec ayant un pénis aussi énorme que ce gode.
Puis, elle vint s’agenouiller près de mon sexe, passa un doigt sur sa langue qu’elle dirigea ensuite sur mon sexe. Elle commença alors à m’humidifier ainsi avant de carrément plonger sa langue sur mon sexe et de fouiller ainsi pour l’exciter. Je commençais enfin à mouiller et à être excitée. Je poussais même quelques gémissements.
Elle devait considérer que j’étais assez excitée car elle passa ses mains sous mes cuisses et dirigea son sexe et donc son gode vers mon vagin. Elle commença à le rentrer, je poussais un petit cri, elle s’arrêta quelques instants puis l’enfonça un peu plus dans mon vagin. Après une nouvelle petite pause, elle finit par l’enfoncer complètement et commença à m’asséner des coups de reins. Finalement, cela n’est pas si terrible et j’y prenais même un certain plaisir.
– Avoues que tu adores ça ma petite salope !
Je n’aimais définitivement pas me faire traiter de salope.
– Mets toi à quatre pattes sur la table maintenant !
Elle commença à me caresser les fesses avant de s’attarder avec son doigt sur mon petit trou. Je sentis un de ses doigts qu’elle avait humidifié venir me titiller mon petit trou avant de rentrer et commencer un mouvement de va-et-vient. Puis je sentis qu’elle essayait d’introduire un deuxième doigt.
Elle me claqua une de mes fesses puis je l’entendis cracher de la salive sur mon petit trou afin de l’humidifier plus encore et faire rentrer son deuxième doigt. Elle recommença l’opération avec un troisième doigt tout en essayant d’écarter ses doigts à l’intérieur de mon anus afin de le dilater. Moi, je n’ose pas bouger, toujours à quatre pattes sur la table de massage. Elle retira enfin ses doigts et reprit la parole.
– Tu aimes te faire enculer ?
– Euh… Je n’ai jamais essayé.
– Tu es vierge du cul ? Mais c’est génial !
– Ce gode est beaucoup trop gros, il va me détruire !
– Et tu vas adorer ça !
Et en même temps qu’elle me dit cela, je sentis qu’elle poussait de toutes ses forces pour essayer de faire rentrer le gode dans mon petit trou. Et d’un seul coup, le gode a commencé à entrer ! Je poussais un hurlement, tellement j’eus mal ayant l’impression d’être ouverte en deux !
Après avoir fait légèrement rentrer le gode, elle c’était arrêtée de pousser afin que mon corps s’habitue à cette présence étrangère. Alors que la douleur devenait plus supportable, voilà qu’elle se remis à pousser, ce qui m’amenais à hurler encore. Elle s’arrêta à nouveau, sans bouger, ce qui me permis de reprendre mes esprits même si j’avais atrocement mal ! Jusque-là, je n’avais vraiment eu aucun plaisir ! J’avais juste l’impression que mon cul était grand ouvert !
Puis, elle redonna un coup de rein, ce qui me fis crier à nouveau. Mais je sentis que ses cuisses touchaient maintenant les miennes, j’en conclue alors qu’elle avait complètement rentré le gode en moi ! Enfin, elle finit par ressortir complètement le gode, ce qui diminua la douleur mais elle recommença rapidement l’opération d’introduction du gode qui, ce coup-ci, rentra beaucoup plus facilement même si cela me fis encore mal. Mais cela avait malheureusement l’air de l’exciter encore plus !
Une fois le gode entièrement entré et après quelques instants sans bouger, elle commença à donner des petits coups de reins qui fit donc bouger le gode. Je continuais à crier ma douleur, même si après avoir touché mon sexe, me dit que je mouillais beaucoup et que je devais donc apprécier énormément cela, si seulement elle savait à quel point elle se trompait…
Après quelques moments de ce traitement qui me paraissent une éternité, elle se dégagea enfin de moi tout en ayant toujours des paroles aussi agréables à mon égard. Je l’entendis ensuite cracher en direction de mon anus puis sentis cette salive sur mes fesses, salive qu’elle s’empressa d’étaler à l’aide de ses doigts tout autour de mon anus, voire même à l’intérieur. Mais je dois bien avouer que ceci me fis du bien et calma un peu la douleur.
– Plie tes coudes et pose ta tête sur la table ! m’ordonne-t-elle ensuite.
Elle, toujours à genoux, prit mes fesses de part et d’autre avec ses mains puis je l’entendis de nouveau cracher de la salive directement dans mon petit trou, ce qu’elle n’avait aucun mal à faire étant donné qu’il était complètement dilaté. Elle se leva et vint placer le gode qu’elle avait toujours à la ceinture juste au-dessus de mon trou. Puis, d’un coup sec, elle le réintroduit complètement, celui-ci entra bien plus facilement. Une fois complètement à l’intérieur, elle lui fit faire de nouveau des mouvements de va-et-vient.
Après s’être lassée de sa position et avoir ressorti le gode puis contemplée son œuvre en examinant mon petit trou tout ouvert, elle me saisit la tête par les cheveux et l’amena à hauteur du gode qu’elle m’ordonna de lécher ! J’ouvris la bouche et elle y enfonça le gode que je léchais donc avec ma langue.
Ensuite, elle retira le gode de ma bouche, défit la ceinture puis vint m’embrasser sur la bouche en introduisant sa langue. Elle me dit alors qu’elle avait passé un bon moment et que la première sodomie était toujours un peu douloureuse mais que je m’y ferai et apprendrai à aimer ça avant de me dire que je pouvais me rhabiller. Mon supplice était enfin terminé.
Je m’empressais de finir de ramasser mes affaires malgré le mal que j’avais à faire des mouvements et en me demandant comment j’allais rentrer chez moi car j’avais l’impression de ne plus pouvoir marcher tellement cela me faisait encore mal. Je sentais d’ailleurs que mon anus était encore complètement dilaté. Elle m’accompagna jusqu’à la porte et me dit, toujours sur un ton aussi froid, qu’elle avait passé un bon moment et serai contente de me revoir prochainement.
Avant de quitter le salon, j’allais voir mon amie pour lui dire que ce métier était finalement trop dure pour moi, et que par conséquent, je ne souhaitais plus aucun rendez-vous sauf si cela concernait Stéphanie.
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