Histoires de sexe en groupe Histoires gays

vieux et cueillette de figue(s) 4

vieux et cueillette de figue(s) 4



Trois semaines après…
(partie 4)

J’avais décidé mon mari en lui disant : « il faudrait que tu viennes un peu ramasser les figues avec moi »… il était loin de se douter de ce qui l’attendait.
Pour ne pas trop éveiller de soupçons, je m’étais contentée de mettre une paire de bas dim-up beiges comme souvent le samedi et de mes belles ballerines noires vernies, avec une jupette fine et un peu courte –une véritable invitation à la paluche- et un tee-shirt moulant bien mes miches et laissant deviner la dentelle de mon sous-tif balconnet, celui là même qui laissait sortir les tétons érigés au-dessus des globes de mes miches apparentes, que l’on pouvait apercevoir quand je me penchais.

Ceci dit, j’avais déjà essayé de mettre un peu « au jus » mon mari en lui parlant souvent de « mon petit vieux », en lui disant qu’il tremblotait, qu’il me « lorgnait », qu’il avait envie de « poisson » comme remerciement [je sus bien plus tard que ce salaud était allé trouver mon vieux et lui avait suggéré de me demander de me « bouffer la moule » en guise de poisson], et aussi en lui parlant de « voisins » bien « présents »…

Donc ce samedi là, nous arrivons à la maison et au jardin du vieux… comme si de rien n’était. Malgré son grand âge, mon vieux sut rester suffisamment distant à notre arrivée… même si le fait que je lui fis « la bise » en arrivant surprit un peu mon mari. Nous nous dirigeâmes jusqu’au figuier de l’autre côté de la rue (il ne restait plus que des figues très haut … ‘justifiant’ la venue de mon mari pour les cueillir et aussi la présence quasi-immédiate du ‘voisin’ René qui amena son échelle double).
La cueillette fut fructueuse, mon mari pouvait voir de temps à autres René et mon vieux me reluquer ostensiblement au niveau de mes gambettes et de ma croupe sous ma jupette, me palucher à la sauvette… Après une bonne demi-heure de cueillette, les paniers remplis, nous nous dirigeons tous les trois vers la cuisine du petit vieux, qui nous offrait la « menthe à l’eau ». Heureusement que les photos (mes photos) en action avaient été rangées !

Je pouvais reprendre… comme si de rien n’était.
Alors que nous minaudions en buvant un peu, mon mari crut bon de remettre le « poisson » au centre de la conversation… ce qui fit sourire mon petit vieux. Ne sachant évidemment pas l’ampleur des aventures précédentes, il demanda à mon vieux « quel type de poisson il aimerait pour être remercié ? ».
Mon vieux, un peu hésitant, bredouilla mais rien de précis ne fut « affirmé »… au grand désappointement de mon mari –qui se croyait toujours dans la première aventure- : « n’importe quel poisson… je les aime tous, je n’en ai pas… ».

Pendant ce temps-là René me serrait de plus en plus près et lorsque nous contemplions des anciennes photos du village que nous montrait mon vieux, il se collait à moi me paluchant un peu en haut des fesses par-dessus la jupe et même appuyant son bas-ventre et sa bite à travers son pantalon contre mes fesses. Cela n’échappa pas à l’œil de lynx de mon mari et l’excita même car il favorisa les regroupements qui permettaient à René de venir appuyer sa tige bandée et se frotter contre mon cul, en me paluchant un peu… ce qu’il observait avec délices du coin de l’œil, en constatant que je ne me dérobais pas.
Je perçus même un échange de sourires et de regards complices entre René et mon mari quand celui-ci vit nettement la bandaison –que dis-je ! la trique- apparente de René à travers son pantalon, après qu’il se fut dégagé un court instant de mon cul qu’il venait de frotter pendant de longues minutes. Aussitôt mon mari provoqua un autre « point de regroupement » qui permit à René de venir carrément se placer derrière moi et immiscer sa queue entre mes fesses, à travers le tissu de ma jupe et celui de son pantalon. Feignant de s’intéresser intensément à ce que nous montrait le vieux –des ustensiles anciens- mon mari, ce vicieux, se régalait de voir René frotter sa bite contre mes fesses, tout en m’ayant un peu enserrée par la taille et caressant un de mes seins par en-dessous, pour finir par palucher mes deux miches. René bandait dru contre mon cul et j’aimais ça, alors je répondis en tendant bien mes fesses que j’agitais imperceptiblement… ce qui le faisait bander encore plus. Là, je n’osais pas aller toucher sa bite mais j’en avais une énorme envie… du coup, je montrais ostensiblement mes seins à mon petit vieux qui reluquait ma vallée avec plaisir.

Flairant le coup et l’aubaine, mon mari dit soudain « je vais aller à l’autre figuier au fond du jardin » et sortit de la cuisine… tout en adressant un clin d’œil complice à René et à mon vieux, qu’il ne connaissait pas plus que ça.
En fait de figuier, il sortit et alla observer la scène de l’extérieur à travers la fenêtre depuis la ruelle.

Aussitôt, surexcité et dédouané par les œillades complices de mon mari, René se recolla à moi dans mon dos, alors que j’étais face à la table mains posées à plat et bras tendus, et me refit sentir avec insistance sa queue membrée bandant contre mon cul, en me paluchant par la taille et par les fesses. Du coup, mon vieux se leva et vint sur le côté pour caresser mes seins et me rouler une galoche d’amour en me disant « il ne dira rien ».
J’eus juste le temps de répondre : « non, il va aimer je crois »
Et les deux vieux m’entreprirent avec ferveur et ardeur.
René releva ma jupette dévoilant mes cuisses gainées par mes bas, caressa le nylon et remonta jusqu’à ma culotte. Mon vieux me fit lui faire face et, profitant de la jupette relevée dégagea ma chatte et, s’étant assis sur une chaise, vint y coller sa bouche pour commencer à me bouffer.
René sortit son boudin qu’il commença à promener entre mes fesses. Je tendis ma main en arrière, je paluchais sa bite et commençais à le branler. Mon mari nous observait mais je ne le savais pas. La bouche de mon vieux s’activait et sa langue aussi fourrageant dans ma toison avec sa langue qui se dardait entre mes lèvres et sur mon clitoris. Je me donnais à eux et je me laissais flotter.
René fléchit sur ses jambes et me pénétra d’un coup de bas en haut, jupette relevée jusqu’à la taille. Voyant cela et sachant attendre son heure, mon vieux me laissa entièrement à sa disposition. Du coup, je repris appui des deux mains sur la table pour pouvoir recevoir et répondre aux coups de bite de René qui m’enfila alors frénétiquement. Ma jupette fut relevée complètement sur mes reins, mes fesses quasiment dénudées ma culotte bien écartée et la queue de René labourant ma fente devinrent visibles pour mon mari qui matait toujours de l’extérieur. J’étais maintenant presque pliée en deux, mon buste et mon visage contre la table, alors que mon vieux caressait mes tétons du bout des doigts en m’embrassant amoureusement.
René m’avait saisie par les hanches et me pilonnait en règle… je répondais avec joie à ses coups de treuil en agitant mon cul et je commençais à dodeliner de la tête en tous sens… je vis le visage surexcité de mon mari à travers la fenêtre et je lui souris même un peu crispée.
René ne se posait pas de questions et y allait de bon cœur, en rajoutant même un peu en regardant vers la fenêtre l’air conquérant en direction de mon mari, comme s’il lui disait « t’as vu ce que je lui mets à ta salope de femme ? ». Mon vieux contourna la table et vint me présenter sa petite bite en main. Je tendis une de mes mains en avant et je saisis sa tige que je me mis à branler, pendant que René me limait toujours. On me fit me décaler un peu sur l’angle de la table… sans que la queue vaillante de René ne quitte mon entre deux fesses et la bite de mon vieux se rapprocha de moi. Aussi, je pus alors l’emboucher –c’est ce qu’il attendait car il avait tendu son bas-ventre en avant- et je commençais à le sucer…
Peu à peu sa petite queue devint de plus en plus dure, alors qu’il caressait ma chevelure pour m’accompagner et m’encourager.
René –voulant probablement s’accorder un peu de répit pour ne pas jouir trop vite et aussi pour faire plaisir à mon vieux- se dégagea alors d’un coup de ma chatte et invita mon vieux à le remplacer. Je restais penchée sur la table, cul offert –et bien visible- attendant une autre queue dans ma chatte, et il m’embrocha à son tour en me saisissant bien aux hanches.
Coquine en diable, je me tournais vers la fenêtre et je « narguais » un peu mon mari en agitant avec délices mon cul sous les coups de pine de mon vieux. Là il devait être satisfait lui qui voulait me voir me faire prendre par des vieux !
A son tour, René vint me présenter sa queue à sucer. Dès qu’il fut à ma portée, j’empoignais son sexe bandé, je le branlais savamment puis je le guidais vers ma bouche, alors que son gros bide m’envahissait. Je me mis à lécher son gros gland luisant, qui sentait fort, puis je le pompais sur toute la longueur de sa hampe épaisse.
Pendant de longues minutes mon vieux me prit ainsi, tremblotant d’aise et de plaisir, alors que ma bouche était totalement obturée par la queue de René. Il me faisait aller et venir sur sa tige en s’agitant en tous sens, ses doigts crispés à ma taille et sur mes hanches ou les replats de ses pognes paluchant mes fesses de toutes parts.

Alors René décida de changer, il s’assit sur un fauteuil un peu plus loin en contemplant le vieux qui me baisait toujours mais semblait manquer de souffle et en maintenant sa grosse bite bien bandée en l’astiquant lentement :
« viens sur moi » me dit-il.
Le vieux –qui avait besoin de souffler- se retira de moi et me guida vers lui. Aussitôt, telle une fière cavalière fougueuse, je l’enjambai et je m’enfilai sur sa queue dressée vers le ciel. Cela m’arracha des gémissements car son gros dard pénétra complètement jusqu’au fond de mon vagin dans cette position. René goba une de mes miches, me saisit par les flans et accompagna ma chevauchée, accompagné par le vieux qui caressait ma croupe, paluchant mes fesses comme un fou.
Dans cette position la grosse queue de René me remplissait bien et me comblait d’aise, je m’agitais dessus gigotant comme une folle.

Je n’entendis pas mon mari rentrer dans la pièce… en tout cas, il revint se mettre aux premières loges pour me contempler en tant que proie des deux vieux.
En effet, René m’écartait les fesses, tant pour bien me planter son gros dard bien au fond –je sentais ses couilles au contact du haut de mes cuisses et sous mes fesses- que pour m’écarteler mon œillet que mon vieux commençait à agacer avec ses doigts… puis sa bouche. Il me darda même sa langue dans mon petit trou, l’humectant avec sa salive pour me lubrifier.
Maintenue par René, vissée sur sa queue, je ne pouvais résister… au plaisir. Mon vieux l’avait bien senti et il se redressa. La hauteur du fauteuil lui permit de venir présenter sa petite bite, bien dure tout de même, à l’entrée de mon cul. Un court instant, René s’arrêta de me limer, maintint mes fesses totalement écartelées, et la queue de mon vieux commença à me pénétrer lentement par le cul.
« Vas-y encule la » dit René, sous les yeux « horrifiés » ( !) de mon mari, qui ne me savait peut-être pas capable de me faire prendre en sandwich par deux vieux… en tout cas, il observait en silence… peut-être qu’il se régalait de me voir prise ainsi.

Et là, ils y allèrent de bon cœur, de bons coups de pine alternés. J’étais entre eux, coincée contre le gros ventre de René, empalée sur son gros dard qui de temps en temps s’imposait, avec dans mon dos le corps de mon vieux qui s’affalait sur moi, sa petite bite vaillante dans mon cul, et venait m’embrasser dans le cou en me tenant par le côté de mes seins qui s’agitaient. Ils alternaient bien et j’aimais ça. Parfois au contraire, ils s’immobilisaient tous les deux au fond de mes trous visités et là je jouissais de leur présence. Ils sentaient bien que ma jouissance montait, montait… Ils redoublaient d’ardeur ; René me « cadençait » avec ses pognes fermes qui me faisaient monter et descendre sur sa propre queue et aller à la rencontre de la bite de mon vieux qui s’activait de plus en plus dans mon cul.
« T’aimes ça hein salope ? t’aimes ça te faire prendre par deux bites, cochonne ? » commença-t-il à beugler, oubliant ou feignant d’oublier la présence de mon mari, pour mieux l’exciter et l’affoler.
Je me tournais un bref instant, les yeux révulsés entre le septième et le huitième ciel, et je le vis debout près de nous, contemplant cette scène d’enfer en se masturbant surexcité de me voir prise ainsi.
Alors, je me mis à gémir et même à crier, ne maitrisant plus mon orgasme. Du coup, mes deux vieux m’accompagnèrent encore plus, leurs coups de pine devinrent plus violents… j’avais un peu mal mais je jouissais à fond et ils le sentaient. Ils m’avaient bien empoignée, j’étais un jouet entre leurs mains et leurs pines qui me bourraient maintenant dans une belle alternance avec de plus en plus de fougue.
Le premier, René se mit à beugler :
« Putain, je vais jouir… tu vas nous faire jouir salope »
Il me traitait de salope devant mon mari, cela devait lui plaire et cela témoignait de sa victoire sur ma chatte en feu. Derrière, je sentais mon vieux trépigner et s’activer de manière de plus en plus désordonnée… lui ne me traitait pas de salope mais s’affolait tout autant que René :
« Ahhhhhh ! oui, que c’est bon ma chérie, tu vas nous faire jouir »
Lui me traitait de « ma chérie » devant mon mari tout en m’enculant, à deux doigts de l’explosion, alors que sa bite drue cognait fort dans mon cul.
« On va te remplir de foutre ! Tu veux hein salope ? » dit René
« oui, oui, je vais jouir en toi ma chérie » rajouta mon vieux
… moi, je gémissais, j’agitais ma tête en tous sens, je jouissais comme une folle, alors que je sentais leurs queues devenir de plus en plus dures dans mes trous, alors que René me mordait les seins, que mon vieux plaquait sa main contre mes reins comme pour permettre aux deux bites d’aller encore plus profond.

« On va la remplir de foutre ta femme ! » beugla René à l’adresse de mon mari, subjugué, qui se masturbait toujours à nos côtés.
« Arrrrrrrrrrrchhhhhhhhhhh ! je déchaaaaaaaarge ! putain que c’est bon, je lui inonde la chatte de foutre ! je te remplis la chatte salope » hurla René en me chopant par les épaules et les deux miches et m’attirant à lui pour une galoche frénétique. Je sentais le sperme chaud m’envahir, sa bite devenue énorme en moi, immobilisée, et déversant de longues saccades dans mon vagin.
« ouiiiiiiiiii, oui, je jouiiiiiiiiiis, je te remplis le cul de foutre ma chérie » gémit à son tour mon vieux, se plantant crispé dans mon cul, ses pognes arc-boutées sur mes hanches, sa bite déversant son foutre dans mon étroit conduit.

Mon mari, qui n’avait encore rien dit, se joint à l’apothéose finale :
« Ahhhhhhhh ! c’est génial ! c’est fabuleux ! putain que vous m’excitez les gars ! allez-y, oui, remplissez la de foutre, ah, ah, ah, j’en peux plus moi »
Et finissant de s’astiquer il m’arrosa de foutre à son tour de manière désordonnée, sur les fesses, surs mes flancs, mes seins et même mes cheveux.

Puis nous rentrâmes à la maison…

Au bout de quelques temps de silence, mon mari osa :
« t’avais déjà baisé avec ces vieux ? c’était ça ta cueillette de figues ? »
« ben oui, c’était ça »
« plusieurs fois ? »
« oui… »

Et il eut l’air satisfait de me savoir salope avec mes vieux !

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire