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Qu’est-ce que tu entends par là? La promenade ou la baise? Maintenant que je te connais mieux, je doute du sens de tes paroles!
C’est Béatrice qui pose la question.
A ton avis, petite cochonne?
Sans attendre la réponse de sa nièce, elle vient se coller contre elle. Elle fait courir sa langue dans son cou, mordille le lobe de ses oreilles, puis y introduit le bout de sa langue. Elle enlace tendrement sa nièce, dépose un baiser sur ses lèvres, glisse sa langue à l’intérieur de sa bouche.
A côté, Éric, son salaud de père, en fait autant avec Claude, la petite amie de son fils. Éric est déchaîné. Faire l’amour avec un travelo l’excite au plus haut point. Sans retenue, il lui tripote la verge et les testicules. Il le branle fort. Il se penche et entreprend de sucer cette bite.
Claude s’enfonce dans cette bouche goulue comme dans un fourreau chaud et humide. Il sent monter son plaisir et accélère la cadence. N’y tenant plus, il éjacule longuement dans la bouche d’Éric qui déglutit, gourmand, le sperme chaud et épais de sa nouvelle conquête.
Il se dégage et décide de rendre la pareille à son beau-père.
De son côté, Annie, impatiente, trousse la jeune fille et lui tripote le cul. Elle s’agenouille et enfouit sa tête entre les cuisses de sa nièce. Elle lui arrache sa petite culotte et entreprend de lui lécher le sexe. La jeune fille se laisse faire consentante, cuisses écartées.
Dick, le chien folâtre autour des ces deux couples enlacés. De son museau humide il vient renifler le cul de Béa. Au contact de la truffe froide du chien sur ses fesses elle tressaillit. Elle veut le repousser, mais Annie intervient:
Non, laisse le, il ne va pas te faire de mal, il te renifle seulement. Il sent la petite femelle en rut, c’est tout!
Mais c’est un chien!
Et alors?
C’est dégoûtant…!!!
Pour détourner son attention, Annie se remet à gougnoter sa nièce, vrillant sa langue au plus profond de sa fente humide. Béa se laisse choir sur le sol, entraînant sa tante qui se retrouve allongée sur elle. Béa lui relève la robe sur les reins pour la caresser à son tour.
Annie ne porte jamais de culotte, elle aime sentir sa grosse chatte à l’air libre. C’est conforme à son tempérament de grosse cochonne!
Déshabillons-nous, ma chérie, nous serons plus à l’aise. Je veux sentir ta peau sur la mienne. Je veux te lécher de partout.
Oui, ma petite tatie! Moi aussi, j’ai très envie.
Entièrement nues, elles s’allongent dans l’herbe. Béa, la tête enfouie entre les deux grosses mamelles de sa tante, tente d’introduire un doigt dans son cul. Pour lui faciliter la tâche, Annie se redresse un peu. Béa réussit à enfiler le majeur de sa main gauche entre les fesses grasses et flasques et trouve sans difficulté la rondelle toute dilatée. Elle enfonce son doigt dans le conduit anal et branle le cul de sa tante.
Putain, tatie t’es qu’une grosse salope! T’es trempée!
Tais-toi, petite vicieuse. Toi t’es une petite sale! Tu crois pas! Depuis que je t’ai vu faire toutes ces saletés avec ton frère, ce matin, je me demande si t’es pas pire que moi!
En entendant les propos de sa sœur, Éric, que Claude suce toujours, imagine aussitôt la scène entre ses enfants. Le frère et la sœur copulant comme des chiens! Il n’est pas choqué, bien au contraire, il espérait une occasion pour les regarder en compagnie de sa femme. Il faudra que leurs enfants s’accouplent devant eux, comme dans un théâtre porno. L’idéal serait que Claude y participe, oui c’est ça, un trio!
Il contemple sa sœur, vautrée sur sa fille. C’est vrai qu’elle ressemble à une grosse truie avec toute cette viande étalée. N’empêche qu’elle est belle et désirable. Il faudrait qu’il se la fasse, rêvasse t’il. Dick s’est approchée et renifle le cul d’Annie. Il a enjambé Béa et, la truffe collée au cul d’Annie, il lui lèche la raie du cul.
Mais pousse-toi Dick dit Béa
Non, laisse-le faire, j’aime bien. Enlève ton doigt, laisse-lui la place.
Attends, laisse-moi me sortir de dessous, je veux le voir faire. Ça m’excite…!
Annie, à quatre pattes, se fait lécher le cul par le chien sous le regard des autres, fascinés par le spectacle.
Le berger allemand, donne de grands coups de langue. Béatrice se penche et écarte à fond les fesses de sa tante.. Elle est subjuguée par la perversité de la scène…
Dis, Tatie, tu crois qu’il pourrait nous baiser, le chien?
Je ne sais pas, attends, on va voir. Essaie de le branler!
Béa se glisse sous le ventre du chien et le caresse, s’attardant sur le fourreau et les couilles, comme elle l’avait fait, avec son frère, le matin. Elle fait aller et venir entre ses doigts le sexe perdu au milieu des poils faisant, par moments, apparaître la pointe rouge. Bientôt, celle-ci sortit entièrement de la gaine de poils: une bite longue, rouge, pointue.
Le chien se laisse faire sans trop bouger. Il halète et bave. Béa, confortablement allongée sur le dos, pose la pointe de sa langue sur l’extrémité de la bite du chien. Une espèce de glaire s’en écoule. Elle la fait couler sur sa langue et l’avale. Le sexe du chien devient énorme entre ses doigts.
Excitée par la situation, Béa ne peut résister et embouche la tige!
Son père et Claude se sont rapprochés et regardent, effarés, Béa sucer cette énorme queue rouge. Elle triture les couilles tandis que sa tante se trémousse comme une folle au rythme des coups de langue du chien. Soudain, Dick laisse échapper un long jet ininterrompu de sperme. Surprise, Béa déglutit la semence. Rien à voir avec le sperme de son frère!
Éric et Claude, émoustillés par le spectacle, ne peuvent résister davantage. Éric agenouille Claude et l’empale comme un forcené, tout en admirant le trio bestial, à ses côtés. Il est à son tour le Chien ramonant, défonçant l’anus de sa petite chérie, touillant de sa bite le fond de son rectum. Le claquement de son ventre et de ses couilles sur les fesses de Claude rythme l’intromission de son sexe dans le rectum.
Tatie, tu veux goûter le jus du chien, toi aussi? C’est différent de celui d’un homme, mais c’est bon!
Oui ma chérie… Viens me faire lécher ta langue pleine de son jus!
Lorsqu’elle se redresse, elle croise le regard de son père, toujours emmanché dans le cul de Claude. Il lui sourit, comme pour l’encourager. Béatrice dépose le jus du chien dans la bouche grande ouverte de sa tante. Elles se barbouillent le visage de ce sperme, au goût nouveau pour elles mais délicieusement bon.
Tatie, je veux que tu te fasses prendre par Dick. Ça m’excite, rien que d’y penser. Allez, mets-toi en levrette et donne ta grosse chatte de salope. Présente-lui, ton cul…Je veux qu’il te fourre comme une chienne!!!
Oui, oui, tout ce que tu veux ma chérie. Je veux être saillie comme une bête!
Béa att**** le chien et l’aide à couvrir sa tante. Dressé sur ses pattes arrières, il l’enfourche, les pattes avant griffant ses flancs. Insensible aux gémissements de sa tante causées par les griffures, elle prend la bite du chien dans sa main, la guide entre les grosses fesses et l’introduit dans la vulve. Immédiatement le chien donne de grands coups de reins saccadés et violents, arrachant des cris à Annie. Au bout de 30 secondes à peine, elle sent gonfler en elle le bulbe à la racine de cette bite. C’est nouveau pour elle. Il devient énorme et dilate son orifice. Jamais elle n’a été remplie comme ça! C’est aussi gros qu’une pomme qu’elle aurait introduit dans son ventre.
Putain que sa pine est grosse! Jamais je n’ai ressenti ça! Il me défonce, ce salaud!
Tais toi et penses à ce que tu es en train de faire! Dommage qu’on n’ait pas le caméscope, t’aurais pu te voir en train de forniquer avec un chien! Espèce de grosse truie!!!
Oui, continue, insulte-moi! Dis-moi des choses sales, j’adore!!! Putain, je vais jouir! Bon Dieu que c’est bon!
Le chien se vide dans ses entrailles de femelle en chaleur. Annie veut se dégager mais le bulbe de la bite de Dick ne dégonfle pas. Elle est empalée!
Faites quelque chose, gémit Annie, que la positon à genoux, cul en l’air, commence à fatiguer.
Tu es collée au chien. Il faut attendre qu’il dégonfle. Parfois pour décoller deux chiens, il faut leur jeter un seau d’eau!
Dick, ignorant les récriminations de la femelle, continue à déverser un flot continu de semence dans cette chatte qui semble à son goût! Ce n’est qu’une vingtaine de minutes plus tard, que sa queue se détend et finit par ressortir toute gluante. La semence canine ruisselle obscènement de la chatte d’Annie. Béa se précipite pour récupérer dans sa bouche tout ce jus et sentir son odeur mêlée à celles plus intimes de sa tante chérie. Le sperme de Dick coule le long des cuisses grasses. Une grosse truie, voilà ce qu‘elle est! Elle att**** cette bite canine qui l’a si bien fait jouir et la lèche comme pour en nettoyer les stigmates de la jouissance.
Éric ne perd pas une miette du spectacle. Il n’a jamais été aussi excité. Cramponnant les flancs de Claude, il lui assène encore quelques coups de boutoir, prêt à cracher son foutre au fond de ce petit cul. Il se ravise au dernier moment, sort sa queue mouillée des sécrétions du conduit anal et vient la mettre sous le nez de sa fille.
Prends ma queue, ma chérie. Papa a envie de jouir dans ta bouche. Tu connaîtras le goût de mon sperme!
Oh, Papa! C’est dégoûtant! Tu devrais avoir honte!
Vite, prends tout dans ta jolie petite bouche, je ne peux plus me retenir!
Béa, bouche grande ouverte, tend la langue. Elle prend en pleine figure les giclées de sperme qui jaillissent par saccades de la bite de son père. Elle prend à pleines mains le braquemart et le fait pénétrer dans sa bouche, serrant les lèvres, aspirant, les joues creusées, pour la vider. Le jus, imprégné de l’odeur du cul de Claude se mélange avec sa salive. Elle le fait tourner dans la bouche pour ne rien perdre des arômes! Puis elle avale le tout. Mon Dieu que c’est bon ce jus qui glisse au fond de sa gorge! Un nectar!
L’esprit entièrement accaparé par les ébats, personne n’a remarqué que le soleil a disparu depuis un moment déjà et que de gros nuages noirs s’amoncellent au-dessus d’eux. De grosses gouttes, lourdes et chaudes, annonciatrices d’orage, commencent à tomber,. Ils n’ont que le temps de se rhabiller à la hâte et de courir à travers le pré qui les sépare de la maison.
C’est, trempés, qu’ils regagnent la demeure familiale.
Arrivés sur le perron de la maison. Ils entendent crisser le gravier. Sylvie et Marc reviennent de la ville. Ils ont remonté la capote de la voiture. Éric, les bras chargés de paquets, s’empresse d’aller galamment ouvrir la portière à sa mère. Peut-être aussi pour ne rien perdre du spectacle des jambes de rêve de sa nouvelle femme. Il est encore en semi-érection!
Vous avez vu le temps? s’écrie Sylvie
Un vrai temps de chien!
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